• L'escorial 2000

    Les apparitions de Jésus et Marie à L'ESCORIAL
    2000

    1er Janvier 2000
     

    Notre Seigneur : Assieds-toi, ma fille.
    Mes enfants, priez beaucoup. Priez pour la situation du monde. Priez pour mes pasteurs.
     
    Oui, mes enfants, âmes de prédilections de mon Coeur. Je vous répète de nouveau, mes enfants, vous qui êtes mes amis et qui, selon vos dires, vous targuez de l'être, un ami, s'il est vraiment bon, ne peut décevoir un ami, or beaucoup d'entre vous, mes enfants, vous êtes dans les ténèbres, vous n'avez pas la crainte du péché et vous ne le méprisez pas, vous menez une vie voluptueuse, mes enfants, Est-ce là aimer votre Maître et Seigneur ? Renoncez à tant de confort, mes enfants, à tant de plaisirs que vous donnez à votre corps. Mes enfants, vous ne désavouez pas le péché et vous perdez ma présence. Changez vos vie, Je l'exige de vous, mes enfants. Priez, faites des sacrifices. Priez beaucoup et arrachez l'ivraie que vous portez au fond de votre coeur, mes enfants. Et lorsque, vous aurez changé de vie, Moi, les bras ouverts, Je vous embrasserai fraternellement et avec amour, et Je comblerai votre âme de grâces, mes enfants. Mais comment pouvez-vous penser qu'en vivant (beaucoup d'entre vous en tout cas) comme vous le faites, toute la Majesté de Dieu ne soit pas outragée et foulée aux pieds ! Car vous avez fait un pacte avec Dieu et vous ne le respectez pas...

    Soyez des pasteurs zélés de mon Eglise, mon Coeur a une prédilection pour vous, et vous, au lieu de Me défendre, mes enfants, - car vous avez plus que quiconque l'obligation de le faire -, vous Me foulez aux pieds et Me méprisez. Savez-vous pourquoi, mes enfants ? Parce que ce n'est pas de l'amour que vous ressentez pour Moi. Et savez-vous pourquoi vous n'avez pas atteint l'Amour ? Parce que vous n'êtes pas parvenus à l'humilité. Soyez humbles, et vous verrez comme vous atteindrez l'Amour. Vous avez perdu la présence de Dieu parce que Je ne suis présent, mes enfants, ni dans ce que vous dites ni dans ce que vous écoutez ; ni dans vos promenades, ni dans vos occupations. Vous m'avez écarté de toutes vos actions, mes enfants ; c'est pourquoi vous avez perdu la présence du Dieu Très Haut. Si J'étais présent dans vos sens, Je serais présent en vous avec mon essence et ma puissance divines, mes enfants, et rien ni personne n'aurait de pouvoir contre vous, vous vaincriez les tentations.

    Je veux une rénovation dans l'Eglise, de pasteurs fidèles à la doctrine de l'Evangile.
    Toi, ma fille, n'aie peur de rien, n'omets pas un seul mot de ce que Je te dis ; c'est pour le bien de leurs âmes. C'est pour leur éviter de tomber, les uns dans la profondeur de l'Enfer, d'autres en Purgatoire, ma fille. Regarde-les ; celui-ci est au Purgatoire depuis 50 ans ; cet autre, ma fille, y est depuis 40 ans. Regarde ces prêtres et ces curés, ma fille. Ils souffriront des années et des années au Purgatoire. Et c'est par une grâce très spéciale qu'ils ne sont pas tombés en Enfer, ma fille
    Corrigez vos vies, mes enfants, âmes de prédilection de mon Coeur. Renouvelez votre esprit, soyez zélés pour l'Eglise et travaillez pour votre Seigneur et Maître. Je suis le Maître de tout votre être, mes enfants ; vous m'appartenez de la tête aux pieds. C'est pourquoi Je vous demande tout cela, et Je viens vous rappeler ce que vous avez laissé dans l'oubli : la prière, le sacrifice. Mais beaucoup d'entre vous, mes enfants, vous êtes si orgueilleux que vous ne reconnaissez pas l'état de vos âmes. Oui, mes enfants, votre orgueil vous empêche de reconnaître que Je Me manifeste pour sauver les hommes, et vous-mêmes, qui en faites partie, mes enfants. Or vous ne cessez de dire : tant de messages et tant de messages ! Mais en faites-vous cas, mes enfants ? Je viens vous rappeler d'observer l'Evangile. Si vous le respectiez, mes enfants, Je ne viendrais pas vous apporter tous ces messages, que vous refusez. Mais comme vous ne faites pas votre devoir, mes enfants, et que Je vous aime, Je viens vous avertir et vous rappeler ce que vous êtes. Mes enfants, si vous arrachez tous les vices de votre âme et si vous vous tenez en ma présence, Je demeurerai en vous et Je ne vous abandonnerai pas, parce que Je vous aime, mes enfants. Que peut dire de plus à ses créateurs le Dieu Tout-Puissant ? Priez beaucoup, mes enfants, car vous vous êtes relâchés, et renoncez aux plaisirs de la chair, de la gourmandise, et de toute cette vie voluptueuse que vous menez, mes enfants. Imitez votre Jésus, imitez la façon dont Je suis venu au monde et dont J'en suis parti. J'exige de vous, mes enfants, que vous éleviez votre regard vers Dieu et que vous vous convertissiez. Et laissez-vous aider par ceux qui suivent le chemin droit de l'Evangile. Ne soyez pas ingrat ; vous n'entrez pas dans le Royaume des Cieux et vous empêchez les autres d'y entrer. Priez, faites des sacrifices pour lutter contre les tentations.
    Et toi, ma fille, Je te le répète, ne crains rien, si Moi Je suis (pour toi), qui (sera) contre toi ?
    Vous tous qui venez en ce lieu, mes enfants, priez beaucoup pour ceux qui ne prient pas, sacrifiez-vous pour ceux qui ne se sacrifient pas et faites beaucoup de pénitence.
    Combien d'âmes se sont converties en ce lieu ! Quelle joie éprouvent nos Coeurs quand les hommes se convertissent. Priez, mes enfants, et aimez-vous les uns les autres, tel est le commandement que les hommes ont oublié : le commandement de l'amour.
    Vous tous qui venez en ce lieu, mes enfants, vous recevrez des grâces très spéciales dans votre vie et à votre mort. Demandez à vos anges gardiens de garder vos pas pour glorifier Dieu. Et merci, mes enfants, pour tous ces hommages affectueux et pour tant d'allégresse et de joies que Je reçois des âmes qui arrivent en ce lieu, après avoir changé leur vie livrée au péché et à la destruction. Elles ont reçu les grâces et elles ont reconstruit leurs vies ; et il y en a beaucoup au ciel qui ont reçu ces grâces au Pré Neuf. Regarde, ma fille, comme ils sont nombreux.

    Luz Amparo : Oh!... Combien : José, Carlos, Aquilina, Jesus, Antonio... Oh, combien !

    Notre Seigneur : Tous ceux qui ont reçu des grâces spéciales en ce lieu, ma fille, sont sauvés et jouissent de la divine présence de Dieu. Ceci dit pour les hommes qui demandent pourquoi Je me manifeste. Combien d'âmes s'adonneraient aux plaisirs mondains si mes avertissements ne les en avaient détournées.
    Priez, mes enfants, accomplissez bien les travaux de chaque jour et mettez de l'ordre dans votre esprit. Beaucoup d'entre vous serez marqués du sceau. Approchez-vous des sacrements, mes enfants, de la Pénitence ; Faites des visites au Très Saint Sacrement et aimez nos Coeurs.
    La Très Sainte Vierge : Levez tous les objets, il seront tous bénis, avec des bénédictions spé...(oh! s'écrie alors Luz Amparo) ...ciales pour vous préserver de tant de maux qu'il y a dans le monde, mes enfants. Portez toujours votre chapelet dans la poche, mes enfants, il vous protégera de nombreux loups qui sont à l'affût pour dévorer la première proie qu'il pourront saisir. Ils ont été bénis pour éviter les tentations.
    Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.

     MENSAJE DEL DÍA 1 DE ENERO DE 2000, SANTA MARÍA, MADRE DE DIOS,

    PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         EL SEÑOR:

         Siéntate, hija mía.

         Hijos míos, orad mucho. Orad por la situación del mundo. Orad por mis pastores.

         Sí, hijos míos, almas queridas de mi Corazón, os repito otra vez, hijos míos, aquéllos que sois amigos míos y así os jactáis de decirlo. Un amigo no puede defraudar a otro amigo, siendo un buen amigo, y muchos de vosotros, hijos míos, estáis en tinieblas; no tenéis temor al pecado ni lo despreciáis; vivís una vida regalada, hijos míos. ¿Eso es amar a vuestro Dueño y Señor?

         Renunciad a tantas comodidades, hijos míos, a tantos gustos como le dais al cuerpo, hijos míos. Hijos míos, no repudiáis el pecado y perdéis mi presencia, hijos míos. Cambiad vuestras vidas, os lo exijo, hijos míos. Orad, haced sacrificios. Orad mucho y arrancad de dentro de vuestro corazón la mala hierba que lleváis, hijos míos. Y cuando cambiéis de vida, yo, con los brazos abiertos, os daré un abrazo de fraternidad y de amor, y llenaré vuestra alma de gracias, hijos míos. Pero ¿cómo pensáis que viviendo, muchos de vosotros, como vivís..., toda la Majestad de Dios, que es ultrajada y pisoteada, porque hicisteis un pacto con Dios, hijos míos, que no lo cumplís...?

         Sed pastores celosos de mi Iglesia, que mi Corazón tiene preferencia por vosotros, y vosotros, en vez de defenderme, hijos míos, que tenéis más obligación que nadie de defenderme, me pisoteáis y me despreciáis. ¿Sabéis por qué, hijos míos? Porque no es amor lo que sentís por mí; y ¿sabéis por qué no habéis alcanzado el amor? Porque no habéis alcanzado la humildad. Sed humildes, veréis cómo alcanzáis el amor. Habéis perdido la presencia de Dios, porque no estoy presente ni en vuestras palabras, ni en vuestros oídos, ni en vuestros paseos, hijos míos, ni en vuestros trabajos. No me tenéis presente en ninguna de vuestras acciones, hijos míos; y por eso la presencia de todo un Dios la habéis abandonado. Si yo estuviera presente en vuestros sentidos, estaría en esencia, presencia y potencia, hijos míos, y nada ni nadie podría contra vosotros; venceríais las tentaciones.

         Quiero una renovación en la Iglesia de pastores fieles a la doctrina del Evangelio.

         Tú, hija mía, no te dé miedo de nada, no te calles ni una sola palabra de las que te digo; es para bien de sus almas, hijos míos. Es para evitarles el caer, unos en la profundidad del Infierno y otros en el Purgatorio. Muchos años llevan en el Purgatorio, hija mía; mira éstos: éste lleva cincuenta años en el Purgatorio. Mira este otro, hija mía: lleva cuarenta años en el Purgatorio. Mira sacerdotes y mira párrocos, hija mía. Años y años estarán sufriendo en el Purgatorio. Y por una gracia muy especial no han caído en el Infierno, hija mía.

         Corregid vuestras vidas, hijos míos, almas queridas de mi Corazón. Renovad vuestro espíritu y sed celosos de la Iglesia y trabajad para vuestro Señor y Dueño. Soy dueño de todo lo vuestro, hijos míos; me pertenecéis de la cabeza a los pies. Por eso, os pido que, aquello que habéis dejado en el olvido, la oración, el sacrificio, os lo vengo a recordar. Pero muchos de vosotros, hijos míos, sois tan soberbios que no reconocéis la situación de vuestras almas, hijos míos. Pero sí que vuestra soberbia no os hace reconocer que yo me manifiesto para salvar a los hombres, y entre los hombres estáis vosotros, hijos míos. Y siempre estáis diciendo que tantos mensajes y tantos mensajes; pero ¿hacéis caso de los mensajes, hijos míos? Os vengo a recordar que cumpláis el Evangelio. Si lo cumplierais, hijos míos, no vendría a traeros tantos mensajes como vosotros rechazáis. Pero como no cumplís, hijos míos, y os amo, os vengo a avisar y a recordaros lo que sois. Si arrancáis de vuestra alma, hijos míos, todos los vicios y os ponéis en mi presencia, yo habitaré en vosotros y no os abandonaré, porque os amo, hijos míos. ¿Qué más puede decir todo un Dios a sus criaturas? Orad mucho, hijos míos, que os habéis abandonado, y dejad los apetitos de la carne, de la gula y de toda esa vida regalada que lleváis, hijos míos. Imitad a vuestro Jesús: cómo vine al mundo y cómo me fui del mundo. Os exijo, hijos míos, que levantéis vuestra mirada a Dios y os convirtáis. Y dejad que os ayuden aquéllos que llevan el camino recto del Evangelio. No seáis ingratos, que no entráis en el Cielo ni queréis que entren los demás. Orad, haced sacrificios para luchar con las tentaciones.

         Y tú, hija mía, te repito: nada temas; si estoy yo, ¿quién contra ti?

         Todos los que acudís a este lugar, hijos míos, orad mucho por los que no oran, sacrificaos por los que no se sacrifican y haced mucha penitencia.

         ¡Cuántas almas se han convertido en este lugar! ¡Qué gozo sienten nuestros Corazones cuando los hombres se convierten! Orad, hijos míos, y amaos unos a otros; ése es el mandamiento que los hombres han olvidado: el mandamiento del amor.

         Todos los que acudís a este lugar, hijos míos, recibiréis gracias muy especiales en la vida y en la muerte. Pedid a vuestros ángeles custodios que custodien vuestros pasos para glorificar a Dios. Y gracias, hijos míos, por todos aquellos halagos y por tantos gozos y alegrías como recibo de las almas que llegan a este lugar, habiendo cambiado su vida de pecado y de destrucción. Recibieron las gracias y construyeron sus vidas; y hay muchos en el Cielo de los que han recibido esas gracias en el Prado. Mira, hija mía, cuántos...
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Huy!, José, Carlos, Aquilina, Jesús, Antonio... ¡Huy, cuántos!
     
     

         EL SEÑOR:

         Todos los que han recibido gracias especiales en este lugar, hija mía, están salvos y gozando de la divina presencia de Dios. Para que los hombres digan que por qué me manifiesto. Cuántas almas estarían entregadas a placeres mundanos si no hubiera sido por mis avisos.

         Orad, hijos míos, y haced bien los trabajos de cada día y ordenad vuestro espíritu. Muchos de vosotros seréis sellados. Acercaos a los sacramentos, hijos míos, a la Penitencia; haced visitas al Santísimo y amad nuestros Corazones.
     
     

         LA VIRGEN:

         Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con es... peciales bendiciones... (Interrumpe Luz Amparo con exclamaciones). Para evitaros de tantos males como hay en el mundo, hijos míos. Llevad siempre vuestro rosario en el bolsillo, que os protegerá de muchos lobos que están al acecho para devorar a la primera presa que cojan. Han sido bendecidos para evitar las tentaciones.

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

    5 février 2000

    Notre-Seigneur : N'aie pas honte, ma fille (de t'asseoir), n'en sois pas humiliée. C'est Moi qui te frappe et qui t'envoie ta maladie, en réparation des offenses des hommes, des désobéissances de bien des pasteurs.

    La Très Sainte Vierge : Je vous remercie, mes enfants, vous tous qui venez vénérer mon Nom. Chaque Ave Maria que vous priez en ce lieu est un pétale de rose que vous aurez au Paradis. Les hommes ont oublié le Rosaire, une si belle prière pour les familles !... Et ils ont jeté dans l'oubli tous les principes religieux. Ils ne pensent qu'à leurs études, à leurs carrières, mes enfants. Or plus il apprennent, plus il pensent avoir de sagesse, moins ils comprennent Dieu et moins il croient à la sagesse divine. Ah, mes enfants, qu'ont fait les hommes du globe terrestre ? Il ne pensent qu'à la matière. Et l'esprit, mes enfants ?

    Notre-Seigneur : Voyez : Je prends celui qui est faible et Je le rends fort, celui qui est inculte Je le rends sage. Ah, la sagesse qui vient de Dieu ! C'est celle qui peut diriger l'homme, en son corps et en son âme ! Mais malheur à tous ceux qui ne pensent qu'à leurs études et à leurs carrières ; à ceux qui recherchent les études les plus hautes pour ambitionner le poste le plus élevé. Ils ont oublié la grandeur la plus noble, qui est la grandeur de Dieu !

    C'est pourquoi, Je dis, mes enfants : que celui qui se prend pour le plus grand se reconnaisse comme le plus petit. Et ne méprisez pas, mes enfants, n'écrasez pas les plus incultes, parce qu'ils pourraient bien être les plus sages, mes enfants. Ce n'est pas dans un livre que l'on apprend la sagesse ; elle vient du Coeur de Dieu, c'est la reine des sagesses. Les autres sagesses servent à l'homme pour la recherche, et pour vouloir parvenir au sommet afin d'être des dieux. Ce sont des sagesses humaines qui souvent aident plus l'homme à se damner qu'à se sauver ; et combien d'âmes incultes et humbles ont la sagesse de Dieu, sans avoir jamais lu un livre, mes enfants !

    Ah, mes enfants, ne vous laissez pas tourner la tête par ceux qui se croient sages et puissants ! C'est à cause d'eux que mon Coeur souffre le plus, parce que l'orgueil les empêche d'être humbles et simples, ils se croient supérieurs à tous les êtres humains. Ayez le coeur pur, mes enfants, aimez-vous les uns les autres, pensez avec la pensée même de Dieu ; vivez dans l'unité et dans l'amour, c'est ce qui plaît à mon Coeur. A quoi sert-il à un homme d'être savant, s'il ne sait pas aimer, partager et communiquer avec les autres ! Où allais-Je, mes enfants ? A la recherche des pauvres, des nécessiteux, des incultes, des déshérités. Je suis votre Maître, et le Maître est plus que le disciple. L'amour, voilà la science la plus importante, vous l'avez oubliée, et le monde est en train de se détruire parce que les hommes n'ont pas d'amour les uns pour les autres, ils ont perdu la joie, le bonheur, parce que leurs coeurs sont des blocs de glace. Moi, Je suis le feu qui fait fondre les coeurs. Venez à Moi, Je suis le feu qui fait fondre les coeurs et Je rendrai votre coeur semblable au Mien, afin que vous partagiez les uns avec les autres vos peines et vos joies, et que vous communiquiez les uns avec les autres, mes enfants.

    Que seriez-vous devenus si Je m'étais caché et si Je n'étais pas venu dans le monde afin d'enseigner aux hommes les vérités pour se sauver!

    Je demande l'unité entre vous, et que personne ne se croie supérieur à l'autre. Si le monde est dans la situation où il se trouve, c'est parce que chacun se croit d'un rang supérieur à l'autre.

    Comme ils sont beaux, les mots de simplicité et d'humilité ! Celui qui cherchait Jésus le trouvait ; on cherchait Marie, et elle était toujours disposée à être avec les pauvres et les nécessiteux.

    Soyez des fleurs vivantes, ne soyez pas des fleurs coupées. La prière doit servir à adoucir le coeur, elle ne doit pas être routinière. Je veux des coeurs brûlant de l'amour divin. Ne voyez-vous pas que le monde est dans cette situation par manque d'amour ? Les hommes ne s'aiment pas, ils se méprisent, ils se croient supérieurs les uns aux autres, ils ont perdu le regard de Dieu. Toute leur action est une routine, et ils ont oublié la grandeur du Créateur. Soyez humbles, mes enfants ; éloignez-vous de ceux qui vous flattent et vous donnent des tapes dans le dos ; de ceux qui vous donnent titres et honneurs. Soyez simples et humbles, et rendez votre coeurs semblable à celui de Jésus.

    Accourez en ce lieu, mes enfants. Combien d'âmes se sont sauvées en venant ici ! Mes pasteurs ne veulent pas l'admettre mais vous savez pourquoi, mes enfants ? Parce que à la plupart d'entre eux, il manque l'humilité, pour reconnaître que Je peux me manifester à une femme inculte et lui communiquer mes grandeurs. Ils ne sont pas humbles, ma fille, pour admettre que Dieu peut faire et défaire ce qu'Il veut. C'est pourquoi ils ne sont pas capables de l'accepter et ils sont constamment en train de piquer avec l'aiguillon et de voir comment ils sont faire, votre siège pour vous attaquer, mes enfants. Vous devez vous défendre avec des paroles humbles et avec la vérité. Ne vous servez pas du mensonge, mes enfants, la vérité, c'est le Christ et si vous êtes avec Moi, vous n'êtes pas contre Moi. Pourquoi doivent-ils vous mépriser et vous écraser de cette manière, mes enfants ? Vous êtes des fils de l'Eglise, reconnus par l'Eglise, même si beaucoup d'entre eux ne veulent pas l'admettre. Vous, mes enfants, aimez beaucoup l'Eglise, aimez le Saint-Père, approchez-vous des sacrements et demandez de l'aide pour pouvoir supporter toutes ces attaques directes et indirectes. Mais soyez courageux, mes enfants, n'ayez pas peur et ne vous laissez pas impressionner, parce que c'est vous qui obéissez à l'Eglise et qui servez l'Eglise.

    Je vous demande surtout, à vous qui vivez en communauté, d'être courageux, et Je vous répète que vous êtes des fils de l'Eglise, même si beaucoup d'entre eux ne veulent pas vous reconnaître comme tels. Mais ne vivez pas dans votre coin, et ne manquez pas de vous défendre. Défendez-vous avec la vérité, mes enfants, Soyez humbles et aimez-vous les uns les autres.

    La Très Sainte Vierge : Et merci, mes enfants, pour vos prières et pour tant et tant d'Ave Maria que J'entends en ce lieu. Venez en ce lieu, vous y recevrez beaucoup de grâces, mes enfants, pour votre santé et pour votre salut. Levez tous les objets, ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales pour les pauvres pécheurs.

    Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit-Saint.

      MENSAJE DEL DÍA 5 DE FEBRERO DE 2000, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         EL SEÑOR:

         No te avergüences, hija mía, ni te humille; yo soy el que te hiero, el que te enfermo, para reparar las ofensas de los hombres, las desobediencias de los pastores, muchos de ellos.
     
     

         LA VIRGEN:

         Gracias, hijos míos, por todos los que acudís a venerar mi nombre. Cada avemaría que rezáis en este lugar es un pétalo de rosas que tendréis en el Paraíso. El Rosario... los hombres lo han olvidado: ¡una plegaria tan hermosa para las familias!, y todos los principios religiosos los hombres los han echado en el olvido. Sólo piensan, hijos míos, en tener carreras, en aprender, y cuanto más aprenden y más sabiduría se creen que tienen, menos comprenden a Dios y menos creen en la sabiduría de Dios. ¡Ay, hijos míos!, ¿qué han hecho los hombres, del globo terrestre?; sólo están pensando en la materia; ¿y el espíritu, hijos míos?
     
     

         EL SEÑOR:

         Mirad, yo cojo lo flaco y lo hago fuerte, y lo inculto y lo hago sabio. ¡Ay de la sabiduría que viene de Dios, ésa es la que puede regir al hombre en el cuerpo y en el alma! Pero, ¡ay, todos aquéllos que sólo piensan en carreras y cuál de ellas mayor, para ver cuál es el mayor, y han olvidado la mayor grandeza, que es la grandeza de Dios!

         Por eso digo, hijos míos: el que se crea el mayor, que se reconozca como menor. Y no despreciéis, hijos míos, ni anuléis a los más incultos, porque pueden ser los más sabios, hijos míos. La sabiduría no se aprende en un libro, la sabiduría viene del Corazón de Dios, ésa es la reina de las sabidurías; las otras sabidurías sirven al hombre para indagar y querer llegar a las alturas para ser dioses. Ésas son sabidurías humanas, que muchas veces le sirven al hombre para condenarse más que para salvarse; y ¡cuántas almas incultas, humildes, tienen la sabiduría de Dios, sin haber leído un libro, hijos míos!

         ¡Ay, hijos míos, no os enloquezcáis por los que se creen sabios y poderosos! Son por los que más sufre mi Corazón, porque la soberbia no les deja ser seres humildes y sencillos, se creen superiores a todos los seres humanos. Sed limpios de corazón, hijos míos; amaos unos a otros; pensad con el mismo pensamiento de Dios; vivid en unidad y amor, eso es lo que agrada a mi Corazón. ¿De qué sirve un hombre sabio, si no sabe amar, ni compartir, ni comunicarse con los demás? ¿Dónde iba yo, hijos míos?: a buscar a los pobres, a los necesitados, a los incultos, a los desvalidos. Yo soy vuestro Maestro, y el Maestro es más que el discípulo. El amor, ésa es la carrera más importante, que la habéis olvidado, y el mundo se está destruyendo, porque los hombres no tienen amor unos con otros, han perdido la alegría, la ilusión, porque sus corazones son bloques de hielo. Yo soy fuego que derrito los corazones. Venid a mí, que yo derretiré vuestros corazones y haré vuestro corazón semejante al mío, para que compartáis unos con otros vuestras penas, vuestras alegrías, y os comuniquéis unos con otros, hijos míos. ¿Qué hubiera sido de vosotros si yo me hubiese ocultado y no hubiese salido al mundo a enseñar a los hombres las verdades para salvarse?

         Unidad pido unos con otros y que nadie se crea superior a otro. Por eso está el mundo en estas condiciones, porque cada uno se cree mayor que el otro, en rango.

         ¡Qué palabra tan hermosa la sencillez y la humildad! Quien buscaba a Jesús lo encontraba, y a María la buscaban y siempre estaba dispuesta a estar con los pobres y los necesitados.

         Sed flores vivas, no seáis flores ajadas. La oración tiene que servir para ablandar el corazón, no tiene que ser de rutina. Quiero corazones ardientes de amor divino. ¿No veis que el mundo está en esta situación por falta de amor? Los hombres no se aman, se desprecian, se creen superiores unos a otros, han perdido la mirada de Dios, todo lo han hecho una rutina y se han olvidado de la grandeza del Creador.

         Sed humildes, hijos míos, y retiraos de aquéllos que os halaguen y os den palmadas en la espalda, y de aquéllos que os den títulos y honores. Sed sencillos y humildes, y haced vuestro corazón semejante al de Jesús.

         Acudid a este lugar, hijos míos. ¡Cuántas almas se han salvado viniendo a este lugar! Mis pastores no quieren reconocerlo, pero ¿veis, hijos míos, por qué no quieren reconocerlo? Porque a la mayoría de ellos les falta la humildad para reconocer que a una mujer inculta puedo manifestarme y comunicarle mis grandezas. No son humildes, hija mía, para reconocer que Dios puede hacer y deshacer lo que quiera. Por eso no son capaces de aceptarlo y están constantemente clavando el aguijón y a ver cómo os van rodeando para atacaros, hijos míos. Tenéis que defenderos con palabras humildes y con la verdad. No vais con la mentira, hijos míos; la verdad es Cristo, y si vosotros estáis conmigo no estáis contra mí. ¿Por qué os tienen que despreciar y anular de esta manera, hijos míos? Sois hijos de la Iglesia, reconocidos por la Iglesia, aunque muchos de ellos no quieran reconocerlo. Vosotros, hijos míos, amad mucho a la Iglesia, amad al Santo Padre, acercaos a los sacramentos y pedid ayuda para poder soportar todos estos ataques directos e indirectos. Pero sed valientes, hijos míos, y no os acobardéis, porque vosotros cumplís con la Iglesia y servís a la Iglesia.

         Sobre todo, os pido, a aquéllos que vivís en comunidad, que seáis valientes, y os repito que sois hijos de la Iglesia, aunque no quieran, muchos de ellos, reconoceros como hijos de la Iglesia. Pero no os arrinconéis y no os defendáis (1); defenderos con la verdad, hijos míos. Sed humildes y amaos unos a otros.
     
     

         LA VIRGEN:

         Y gracias, hijos míos, por vuestras oraciones y por tantas y tantas avemarías como escucho en este lugar. Acudid a este lugar, que recibiréis muchas gracias, hijos míos, para vuestra salvación y para vuestra salud.

         Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales para los pobres pecadores...

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

    (1) Construcción gramatical extraña; es como si dijera: “No os quedéis arrinconados, ni dejad de defenderos, sino defendeos con la verdad”.

    4 mars 2000

    La Très Sainte Vierge : Comme tant et tant de fois, Me voici, ma fille, Moi, la Mère des affligés, la Mère des pécheurs. Je viens seulement vous demander, mes enfants, vous supplier, de demeurer dans la foi, dans la charité, et de ne pas défaillir, de savoir mettre à profit toutes ces grâces que vous recevez en ce lieu, mes enfants, pour sauver vos âmes, pour changer de vie.
    Priez, mes enfants, le monde est dépourvu de prière et de sacrifice. Je vous demande à tous, mes enfants, de vous réunir pour prier et de changer de vie, de prier, mes enfants, pour la situation du monde.
    Priez pour ces pauvres âmes qui ont quitté mon troupeau, afin qu'elles reviennent au bercail ; priez pour mes prêtres, si aimés de mon Coeur, afin qu'ils soient forts, qu'ils n'aient peur de rien ni de personne ; priez pour qu'ils proclament avec clarté les vérités de l'Evangile, afin que ces vérités portent du fruit dans leurs âmes ; priez pour qu'ils soient forts, mes enfants.
    Ne soyez pas lâches, parlez avec clarté aux âmes, et que votre voix parvienne jusqu'au tréfonds de leurs coeurs. C'est Marie qui vous le demande, la Mère de Jésus, la Mère de l'Eglise que mon Coeur aime tant. Et comme Mère de l'Eglise que mon Coeur aime tant. Et comme Mère de l'Eglise, Je vous supplie, mes enfants, de ne pas perdre courage, car vous n'êtes pas seuls. Moi, comme Mère de l'Eglise, Je suis avec vous tous. Mais ce que mon Coeur vous demande, mes enfants, c'est que vous, vous soyez avec Moi. La situation du monde est grave, malgré l'aveuglement des hommes qui ne voient pas la conséquence du péché dans les désastres qu'il y a dans le monde.

    Notre Seigneur : Je demande aux laïcs d'être de bons chrétiens, de bons pratiquants, et à mes prêtres d'être de bons pasteurs et de rassembler toutes les ouailles qui sont éparpillées de toutes parts.
    A vous tous, mes enfants, qui collaborez à cette Oeuvre, Je vous promets une place dans le ciel.
    Soyez forts et courageux, soyez de bons travailleurs, mes enfants, parce qu'il y a beaucoup de travail à faire, il y a beaucoup de brebis perdues, et le loup les guette pour les dévorer. Ne laissez pas les loups les dévorer, mes enfants, Priez, faites pénitence et oraison, mettez en pratique la charité, mes enfants, et demeurez dans la foi.
    A vous tous qui venez en ce lieu, mes enfants, Je vous promets que Je répandrai des grâces sur vous et sur les membres de vos familles, et sur vos âmes tout spécialement, mes enfants. Assurez-vous le Royaume du ciel ; on ne l'obtient qu'avec de bonnes oeuvres, mes enfants. Gardez mes commandements, mes enfants, spécialement le commandement nouveau : "Aimez-vous les uns les autres comme Je vous ai aimés". Aimez nos Coeurs, mes enfants, nos Coeurs ont soif d'âmes, d'âmes fidèles, d'âmes humbles et d'âmes sacrifiées.

    La Très Sainte Vierge : Levez tous les objets, mes enfants, ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales pour la conversion des pauvres pécheurs.
    Je vous bénis, mes enfants, comme Le Père vous bénit par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.

    MENSAJE DEL DÍA 4 DE MARZO DE 2000, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hija mía, ya estoy aquí, como tantas y tantas veces, como Madre de los afligidos, como Madre de los pecadores. Sólo vengo a pediros, hijos míos: os ruego que permanezcáis en la fe, en la caridad y que no desfallezcáis, hijos míos. Que todas estas gracias que recibís de este lugar, hijas mías, sepáis aplicarlas para la salvación de vuestras almas; para cambiar vuestras vidas.

         Orad, hijos míos, orad, que el mundo está falto de oración y de sacrificio. Pido a todos, hijos míos, que os reunáis para orar y que cambiéis vuestras vidas y oréis por la situación del mundo, hijos míos.

         Orad por aquellas almas desvalidas que se han ido de mi rebaño, para que vuelvan; por mis sacerdotes queridos de mi Corazón, para que sean fuertes y no tengan miedo a nada ni a nadie y hablen con claridad las verdades del Evangelio; para que fructifiquen en sus almas los frutos y las verdades que hay en el Evangelio; pedid para que sean fuertes, hijos míos.

         No seáis cobardes, hablad con claridad a las almas y que vuestra voz llegue a lo más recóndito de sus corazones. Os lo pide María, la Madre de Jesús, Madre de la Iglesia, a la que tanto ama mi Corazón. Y como Madre de la Iglesia os suplico, hijos míos, que no os abandonéis, que no estáis solos; yo, como Madre de la Iglesia, estoy con todos vosotros. Pero lo que mi Corazón pide es que vosotros estéis conmigo, hijos míos. La situación del mundo es grave, aunque los hombres están ciegos y no ven la consecuencia del pecado en los desastres que hay en el mundo.
     
     

         EL SEÑOR:

         Pido a los seglares que sean buenos cristianos, buenos practicantes; y a mis sacerdotes, que sean buenos pastores y que recojan todos los rebaños que hay esparcidos por todas partes. Todos los que colaboráis, hijos míos, en esta Obra, os prometo un lugar en el Cielo, hijos míos. Sed firmes y valientes y buenos trabajadores, hijos míos, porque hay mucho que trabajar, muchas ovejas perdidas que el lobo las está acechando para devorarlas; no dejéis que los lobos las devoren, hijos míos. Orad, haced penitencia y oración, practicad la caridad, hijos míos, y permaneced en la fe.

         Todos los que acudís a este lugar, hijos míos, os prometo que derramaré gracias sobre vosotros y sobre vuestros familiares, y sobre vuestras almas en especial, hijos míos. Aseguraos el Reino del Cielo; sólo se consigue con buenas obras, hijos míos. Guardad mis mandamientos, especialmente el nuevo mandamiento: “Amaos los unos a los otros como yo os he amado”, hijos míos. Amad nuestros Corazones, hijos míos, que nuestros Corazones están sedientos de almas: de almas fieles, de almas humildes y de almas sacrificadas.
     
     

         LA VIRGEN:

         Levantad todos los objetos, hijos míos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales para la conversión de los pobres pecadores...

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

    1er avril 2000

    La Très Sainte Vierge : Ma fille, me voici, comme toujours. Moi, la Mère des pécheurs, la Mère des affligés. J'intercéderai devant mon Fils pour tous ceux qui viennent à Moi, afin qu'Il pardonne leurs fautes, et Je les consolerai de leurs peines et de leur tristesses. Quelle grande joie éprouvent nos Coeurs à la vue de milliers et milliers d'âmes qui viennent en ce lieu ! Et il arrive toujours, ma fille, que beaucoup d'entre elles s'en retournent converties !

    Notre Seigneur : Je le répète : comment les pasteurs de mon Église ne voient-ils pas le fruit qui est produit en ce lieu ? Examinez donc l'arbre, vous verrez comme il est bon, et comme il donne de bons fruits. Or que faites-vous, mes enfants ? Beaucoup d'entre vous nient qu'un Dieu Tout-Puissant puisse se manifester à qui il veut et où il veut. Vérifiez donc les fruits, mais sans frapper l'arbre.
    Je vous demande à vous tous, mes enfants, qui venez en ce lieu : changez de vie, mes enfants, renouvelez-vous dans la grâce et ne perdez jamais la foi, approchez-vous des sacrements de l'Eucharistie et de la Pénitence.
    Quelle tristesse de voir le peu de respect qu'il y a dans mon Église ! Mes enfants, entrez avec pudeur devant la Divine Majesté de Dieu. Et vous, pasteurs, vous avez l'obligation d'avertir (les fidèles) d'entrer dans mon Église avec décence. On a perdu le respect envers le Tabernacle. Les hommes passent devant lui, comme s'il n'y avait rien à l'intérieur, sans même faire une génuflexion. Quel respect avez-vous donc, mes enfants, à l'égard de la Divine Majesté de Dieu ? J'ai répandu beaucoup de grâces en ce lieu, et Je continuerai à les répandre. Je remercie tous ceux qui collaborent à cette Oeuvre. Je leur donnerai plus du centuple. Mais comment beaucoup de mes pasteurs peuvent-ils (critiquer) en disant que l'on y demande des aumônes ? Comment donc les Oeuvres se réalisent-elles, mes enfants? Avec l'aide des uns et des autres. On sollicite (ici des aumônes) pour faire de bonnes Oeuvres, comme vous, vous en demandez pour aider l'Église. Et pour cette raison ce serait un négoce, mes enfants ? Respectez, respectez cette Oeuvre ! Vous tous qui Me reniez, Je vous renierai devant mon Père.

    La Très Sainte Vierge : Je remercie, mes enfants, tous ceux qui viennent avec dévotion. Merci pour tant et tant d'Ave Maria qui parviennent au Ciel. Comme ils glorifient Dieu et comme ils honorent mon Nom ! Je vous remercie, mes enfants, d'être fidèles à la Divine Majesté de Dieu.
    Levez tous les objets, ils seront tous bénis avec des bénédictions très spéciales pour les pauvres pêcheurs. Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.

    MENSAJE DEL DÍA 1 DE ABRIL DE 2000, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hija mía, estoy aquí, como siempre, como Madre de pecadores, como Madre de los afligidos. Todo el que acuda a mí, yo intercederé ante mi Hijo para que perdone sus culpas, y consolaré sus penas y sus tristezas. ¡Cuánta alegría sienten nuestros Corazones viendo que miles y miles de almas acuden a este lugar, y siempre, hija mía, muchas de ellas se van convertidas!
     
     

         EL SEÑOR:

         Repito: ¿cómo los pastores de mi Iglesia no ven el fruto que sale de este lugar? Examinad el árbol, veréis cómo el árbol es bueno y sale buen fruto de él. Pero ¿qué hacéis, hijos míos, muchos de vosotros?: negar que todo un Dios puede manifestarse a quien quiera y donde quiera. Examinad los frutos, pero sin machacar el árbol.

         Pido a todos vosotros, hijos míos, a los que acudís a este lugar: cambiad vuestras vidas, hijos míos; renovaos en la gracia y nunca perdáis la fe; acercaos a los sacramentos de la Eucaristía y de la Penitencia.

         ¡Qué tristeza ver el poco respeto que hay en mi Iglesia! Hijos míos, entrad con pudor ante la Divina Majestad de Dios. Y vosotros, pastores, tenéis la obligación de avisar que entren a mi iglesia con modestia. Se ha perdido el respeto al Tabernáculo. Los hombres pasan por él como si nada hubiese dentro, sin hacer ni una genuflexión. ¿Qué respeto tenéis, hijos míos, a la Divina Majestad de Dios?

         He derramado muchas gracias en este lugar y seguiré derramando. Y también doy las gracias para todos los que colaboran en esta Obra; les daré más del ciento por uno. Pero, ¿cómo muchos de mis pastores dicen que se piden limosnas? Pero, ¿cómo se realizan las obras, hijos míos?: con la ayuda de unos y otros. Se pide para hacer buenas obras, como vosotros pedís para ayuda de la Iglesia. ¿Y por eso es un negocio, hijos míos? Respetad, respetad esta Obra, que todos los que me estáis negando, yo os negaré ante mi Padre.
     
     

         LA VIRGEN:

         Gracias, hijos míos, a todos aquéllos que vienen con devoción, y por tantas y tantas avemarías que llegan al Cielo. ¡Cuánto glorifican a Dios y honran mi nombre! Gracias, hijos míos, por ser fieles a la Divina Majestad de Dios.

         Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones muy especiales para los pobres pecadores...

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

    6 mai 2000

    La Très Sainte Vierge : Ma fille, Me voici encore ici présente, Moi, la Mère des pécheurs, la Mère des affligés. Comment une mère, si elle est une véritable mère, peut-elle abandonner ses enfants ? Je suis la Mère des hommes, parce que le Christ l'a voulu ainsi au pied de la Croix quand Il a dit à Jean : "Voici ta mère", (et à Moi) : "Voici ton fils". Je suis donc la Mère des hommes, et mon Coeur souffre pour eux.

    Notre Seigneur : Le monde, en effet, est bouleversé jusque dans ses fondements, les hommes ont oublié Dieu et beaucoup de ceux qui le connaissent sont en train de l'oublier, car ils ne respectent pas mes lois, oui, les lois du Fils du Dieu vivant ! Ils veulent planifier les voies de Dieu et lui indiquer la direction, le moment et la manière. Mais combien de fois dois-Je dire que Je me manifeste à qui Je veux, où Je veux et quand Je veux et que Je donne aux hommes la possibilité d'écouter mes paroles ? Et comme les hommes ferment l'oreille, Je continue à leur adresser ma parole avec insistance. Ma parole est la Vérité, et celui qui doute de ma parole doute de l'Esprit Vérité, et celui qui doute de ma parole doute de l'Esprit. Je viens corriger les hommes, les aider et les aimer, car Je n'ai pas cessé de les aimer. Ce sont eux qui ont cessé de m'aimer, mais Moi, Je n'ai pas cessé de les aimer. Beaucoup d'hommes marchent dans les ténèbres, et ils ne s'approchent pas de Moi qui suis la Lumière pour éclairer leur pauvres âmes. Mes enfants, J'ai les bras ouverts comme le père du fils prodigue. Venez à Moi, vous qui êtes accablés, et Je vous soulagerai, mes enfants. Aussi graves que soient vos fautes, plus grand est mon amour, mes enfants. Que de grâces vous avez reçues en ce lieu ! que de brebis perdues sont revenues au bercail ! Pourquoi donc les hommes obstinés disent-ils que mes messages sont longs, et pourquoi tant de messages... Mais le monde n'a-t-il pas besoin de ma Parole, mes enfants ? Il y en a beaucoup qui font la sourde oreille et ne veulent pas l'écouter. Ma Parole a été consignée par écrit, mais il y a aussi des aveugles qui ne veulent pas la lire et qui ne veulent pas l'écouter. Le temps est court, mes enfants, c'est pourquoi Je vous le demande : venez à Moi, et Moi Je vous déchargerai du poids de tout votre fardeau, mes enfants. Combien d'âmes sont montées au Ciel parce qu'elles ont foulé ce lieu ! N'est-ce pas une grande chose, mes enfants, que les âmes parviennent au Ciel ? Pourquoi vous efforcez-vous de Me faire disparaître ? Ecoutez ma loi, mes enfants, et mettez ma parole en pratique. Observez mes commandements, mes enfants, approchez-vous de l'Eucharistie, du sacrement de la Pénitence, et menez une vie ordonnée.

    Prie, ma fille, fais oraison pour que les hommes mettent de l'ordre dans leur vie et tournent leur regard vers Moi. Beaucoup d'entre eux M'ont tellement offensé qu'ils ne seraient pas dignes de mon amour. Mais Moi, ma fille, J'aime tellement les hommes que J'ai vraiment donné ma vie pour eux, et Je continue à répéter : "regardez mes mains et mes pieds", mes enfants. Mon Corps a été flagellé et outragé à cause de vos fautes, mes enfants, et Moi, Je continuais à demander pardon à mon Père pour vous. Je vous aime, mes enfants, Je suis un Père au coeur tendre ; mais considérez, mes enfants, que Je dois aussi appliquer la justice sur les hommes. Aimez Dieu de tout votre coeur et de toutes vos forces, mes enfants, et aimez-vous les uns les autres comme Je vous ai aimés.

    Je vous remercie, mes enfants, vous tous qui venez en ce lieu, car pour la conversion de chaque âme qui vient en ce lieu, il y a une grande fête dans le Ciel. Que de fêtes ont été célébrées au Ciel pour tant et tant d'âmes qui se sont converties ici ! Et dire que les hommes sont si entêtés et ne voient pas la réalité de ces faits ! Merci, mes enfants. Bois un peu du calice de la douleur, ma fille.

    (Luz Amparo prend une coupe invisible avec ses deux mains et avale quelques gouttes. On entend nettement le bruit de la déglutition. Elle a des nausées et elle tousse, en disant : Oh, comme c'est amer ! Oh !).

    Ma fille, offre cette amertume pour les pauvres pécheurs. Oui, elle est très amère, l'amertume que ressent mon Coeur quand Je vois que les âmes que J'ai crées, ma fille, ne veulent pas venir à Moi.
    Bois d'autres gouttes.
    (Luz Amparo reprend la coupe à deux mains, avale avec le bruit de la déglutition et a des haut-le-coeur).

    Ma fille, il en coûte beaucoup de racheter les pécheurs. Sois courageuse, ma fille, et que ton coeur ne s'attriste pas. Qu'ils disent ce qu'ils voudront. Que de fois t'ai-Je dit, ma fille, que le disciple n'est pas au-dessus du Maître ? Si ton Maître a été calomnié, méprisé..., que dira-t-on de toi, ma fille ? Mais que personne ne te confonde, ma fille. Je suis la Vérité, et c'est Moi qui t'indique le chemin, jour après jour. Toi, ma fille, laisse-toi influencer par ma vérité. Ne doute pas de mes paroles ni de ma présence. Sois forte, ma fille, et ne te laisse pas ébranler, tu vacilles souvent d'un côté et d'un autre. Tu chancelles, ma fille, parce que les paroles des hommes te remplissent d'angoisse. Regarde ton Maître, et tu verras que tu ne chancelleras pas. Aime nos Coeurs, ma fille, tu ne sais pas les joies qu'on reçues nos Coeurs, car nous t'avons donné un hameçon pour attirer les âmes. Ne t'en écarte pas. Conduis-les, parle-leur avec tendresse, avec amour, et présente-les-moi, le coeur attendri. C'est là la joie qu'éprouvent nos Coeurs. Veillez sur l'Oeuvre, mes enfants, veillez sur elle tous ensemble ! Ne permettez pas que l'on puisse faire du tort à cette Oeuvre, mes enfants ! Si vous l'aimez, protégez-la !

    La Très Sainte Vierge : Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.

    (Amparo voit comme des bénédictions, sous forme de rayons, sortent de la Vierge et descendent sur les personnes, leurs objets, leur demeures.

     MENSAJE DEL DÍA 6 DE MAYO DE 2000, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hija mía, otra vez aquí, estoy presente como Madre de los pecadores, como Madre de los afligidos, hija mía. ¿Cómo una madre va a abandonar a sus hijos, si es una verdadera madre? Y yo soy Madre de los hombres, porque así lo quiso Cristo al pie de la Cruz, cuando dijo a Juan: “He ahí a tu Madre...; he ahí a tu hijo”. Por eso soy Madre de los hombres y mi Corazón sufre por ellos.
     
     

         EL SEÑOR:

         Porque el mundo está trastornado hasta los cimientos y los hombres se han olvidado de Dios y muchos de los que le conocen se están olvidando porque no acatan mis leyes. Sí, las leyes del Hijo de Dios vivo; no aceptan mis palabras ni creen en mi presencia. ¡Pero qué ilusos son los hombres! Tener que decir a Dios y planearle los caminos, a dónde y cuándo y cómo... Pero, ¿cuántas veces tengo que decir que yo me manifiesto a quien quiero, donde quiero y cuando quiero, y doy a los hombres para que escuchen mi palabra (1)?; y, como los hombres se hacen sordos, sigo insistiendo en mi palabra. Mi palabra es la verdad, y aquél que duda de mi palabra, duda del Espíritu. Y yo vengo a corregir a los hombres, a ayudar a los hombres y a amar a los hombres, porque no he dejado de amarlos; ellos han dejado de amarme a mí, pero yo no he dejado de amarlos a ellos. Van por el camino de la tiniebla, muchas almas, y yo, que soy la Luz, no se acercan para dar luz a sus pobres almas. Hijos míos, estoy con los brazos abiertos como el padre del hijo pródigo. Venid a mí los que estéis agobiados, que yo os aliviaré, hijos míos. Por muy graves que sean vuestras culpas, mayor es mi amor, hijos míos.

         ¡Cuántas gracias habéis recibido de este lugar! ¡Cuántas ovejas perdidas han vuelto al rebaño! ¿Por qué los hombres, obstinados, están en que mis mensajes son largos, en que tanto mensaje?... ¿Pero el mundo no necesita mi palabra, hijos míos?; porque hay muchos oídos sordos que no la quieren escuchar. Mi palabra se quedó escrita; pero también hay ciegos que ni la quieren leer ni la quieren escuchar. El tiempo es corto, hijos míos; por eso os pido: venid a mí, que yo os descargaré de todo vuestro peso, hijos míos. ¡Cuántas almas han subido al Cielo por pisar este lugar! ¿No es grande, hijos míos, alcanzar el Cielo las almas? ¿Por qué os empeñáis en hacerme desaparecer? Escuchad mi ley, hijos míos, y cumplid mi palabra. Cumplid con mis mandamientos, acercaos a la Eucaristía, al sacramento de la Penitencia, hijos míos, y vivid una vida ordenada.

         Reza, hija mía, y ora para que los hombres tengan orden en sus vidas y vuelvan su mirada a mí. Muchos me han ofendido tanto que no serían dignos de mi amor. Pero yo, hija mía, amo tanto a los hombres que, si di mi vida por ellos, sigo repitiendo: mirad mis manos y mis pies, hijos míos. Mi cuerpo fue azotado y ultrajado por vuestras culpas, hijos míos, y yo seguía pidiendo perdón a mi Padre por vosotros. Os amo, hijos míos; soy un padre con un corazón tierno; pero pensad, hijos míos, que tengo que aplicar la justicia sobre los hombres también. Amad a Dios con todo vuestro corazón y con todas vuestras fuerzas, hijos míos, y amaos unos a otros como yo os he amado.

         Gracias, hijos míos, a todos los que acudís a este lugar, porque cada conversión de cada alma que acude a este lugar hay una gran fiesta en el Cielo. ¡Cuántas fiestas se han celebrado en el Cielo por tantas y tantas almas como se han convertido! ¡Y que los hombres sean tan testarudos y no vean la realidad de estos hechos! Gracias, hijos míos.

         Bebe un poco del cáliz del dolor, hija mía...
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, qué amargo!... ¡Oy!...
     
     

         EL SEÑOR:

         Hija mía,... esta amargura, ofrécela por los pobres pecadores. Está muy amargo: la amargura que siente mi Corazón cuando veo que las almas que yo he creado, hija mía, no quieren acudir a mí.

         Bebe otras gotas...

         Hija mía, cuesta mucho redimir a los pecadores. Sé valiente y que tu corazón no se entristezca, hija mía. Digan lo que digan, hija mía. Pero, ¿cuántas veces te he dicho, hija mía, que no es el discípulo más que el maestro? Y si a tu Maestro le calumniaron, le despreciaron..., ¿qué van a decir de ti, hija mía? Pero que nadie te confunda, hija mía. Yo soy la Verdad y soy el que te indico el camino día a día. Tú déjate, hija mía, influenciar por mi verdad. No dudes ni de mis palabras ni de mi presencia, hija mía. Sé fuerte y no te dejes “tamboledar”, hija mía, que te “tamboleas” (2) muchas veces para un lugar y para otro. Te tambaleas, hija mía, porque te angustian las palabras de los hombres. Fíjate en tu Maestro y verás cómo no te tambaleas. Ama nuestros Corazones, hija mía, que no sabes las alegrías que han recibido nuestros Corazones, porque te hemos dado gancho para atraer a las almas. No te retires de ellas. Llévalas, háblalas con ternura, con amor, hija mía, y preséntamelas con el corazón enternecido; ésa es la alegría que sienten nuestros Corazones.

         Velad por la Obra, hijos míos. Velad todos juntos. No permitáis que nadie pueda dañar esta Obra, hijos míos. Si la amáis, protegedla.
     
     

         LA VIRGEN:

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

    (1) Quiere decir: “...y doy a los hombres mi palabra para que la escuchen”.

    (2) Al escuchar la grabación, se entiende “tamboledar” y “tamboleas”, que no corresponden a verbos en español. Es probable que se trate de un error de pronunciación, pues, seguidamente, dice “tambaleas” (del verbo “tambalear”), cuyo sentido ya es claro conforme al contexto.

    3 Juin 2000

    La Très Sainte Vierge : Ma fille, voici ta Mère, la Mère de tous les hommes ; des affligés, de ceux qui sont tristes, des orphelins, des misérables. Je viens donner un message au monde, un message d'amour et de paix ; mais les hommes font la sourde oreille et ne veulent pas écouter ma voix, ma fille. Comme mon Coeur est triste !

    Notre Seigneur : Oui, mes enfants, priez, mais que votre prière sorte du plus profond de votre coeur. Le monde est corrompu.
    Bois quelques gouttes du calice de la douleur, ma fille, (Amparo prend à deux mains le calice de la douleurs, boit et tousse à plusieurs reprises), pour que tu éprouves l'amertume de nos Coeurs en raison de la perversité des hommes, ma fille.

    La Très Sainte Vierge : Priez, mes enfants, car si la prière sort du plus profond de votre coeur, la colère de Dieu se calmera.

    Notre Seigneur : Mais les hommes n'écoutent pas ma voix et ont perdu confiance en Moi. Voilà la plus grande tristesse de nos Coeurs ; que l'homme n'ait pas confiance en Dieu et se comporte comme des bêtes sauvages ; pire que les bêtes sauvages, t'ai-Je dit, car les fauves protègent leurs petits, tandis que les hommes s'entre-tuent. Quelle tristesse éprouve notre Coeur! Et les hommes continuent à faire les sourds. Et ce n'est pas pour ceux qui ne se sont pas consacrés à Moi que Je ressens une si grande douleur, mais pour ceux qui se sont consacrés à Moi ; pour les prêtres, pour les religieux et les religieuses, pour ces âmes aimées de notre Coeur avec prédilection.
    Regarde, ma fille, ce que mon Coeur a souffert un jour pour les hommes...
    Vision du coeur de Jésus comme un volcan d'amour:
    Luz Amparo : Oh, je vois un volcan de feu et d'a...! A l'intérieur de ce Coeur, de quel feu brûle ce Coeur! Oh, quel Coeur! C'est le Coeur de Jésus ; l'intérieur est semblable à un volcan de feu.

    Notre Seigneur : J'ai beaucoup souffert, ma fille, de ce volcan de feu qui me consumait d'amour pour les hommes, et J'ai institué l'Eucharistie pour eux, pour les fortifier. Or qu'advient-il de tout cela, ma fille ? Les hommes n'ont pas de dévotion envers l'Eucharistie ; beaucoup d'entre eux s'en approchent comme s'ils allaient à une corvée. Quant à mes prêtres, un groupe important d'entre eux tombent dans la routine ; ensuite dans la fatigue ; puis dans la désobéissance ; et enfin dans la tiédeur. Moi qui Me suis livré entre leurs mains pour qu'ils fassent de Moi ce qu'ils veulent, pour qu'ils m'emportent et m'apportent où ils le veulent. Je les vois, ma fille, qui se sont introduits dans le monde et ont perdu la vision céleste. Comment nos Coeurs ne seraient-ils pas tristes ? Et si Je leur envoie un message, ils se mettent en fureur, parce qu'ils ne veulent pas se reconnaître tels qu'ils sont. Mes enfants, vous qui êtes les plus aimés de nos Coeurs, pourquoi vous comportez-vous ainsi ? Vous avez beaucoup de travail, car le monde, sans Dieu, se trouve plongé dans un chaos. Oeuvrez, pasteurs de l'Église, et attirez les âmes dans le troupeau de Jésus. Ne dites pas, mes enfants, que vous avez beaucoup à faire et que vous vous épuisez tout de suite, ne cédez pas à la routine, mais que vos coeurs soient remplis de foi et d'amour afin de pouvoir transmettre aux hommes les vérités qu'ils ne connaissent pas. Quelle tristesse de voir ces âmes, mes enfants, qui s'écartent des troupeaux et s'engagent sur les chemins de la perdition ! Vous êtes également responsables des actes de ces âmes, mes enfants. Moi, votre Dieu, Je me livre entre vos mains, mes enfants, et Je m'humilie pour que ce soit vous qui m'exaltiez. Or combien d'entre vous s'exaltent eux-mêmes et amoindrissent le Christ.

    Ah, créatures de Dieu, ouvrez vos oreilles à mes paroles, mes enfants, car mon Coeur brûle d'amour pour vous. Vous êtes des privilégiés, mes enfants. Or vous, comment correspondez-vous à ce privilège ? Quant à ceux qui veulent suivre le chemin droit et sûr, vous les en empêchez, mes enfants. Âmes bien-aimées de mon Coeur, changez de vie, car la tâche est grande. Ne vous épuisez pas si vite, mes enfants. Le prêtre est comme le médecin : jour et nuit, il doit être attentif aux âmes car il est le médecin de l'âme. Or comme vous vous fatiguez tout de suite, mes enfants, comme vous vous introduisez dans le monde, dans les plaisirs et dans les caprices ! Rejetez tous les plaisirs et tous les caprices, mes enfants, et consacrez-vous à votre ministère ; vous verrez comme vous trouverez le bonheur, le bonheur éternel. Sinon, le bonheur temporel vous conduira dans la profondeur de l'enfer, mes enfants.
    Je demande à tous les hommes de changer de vie, car le monde empire de jour en jour, il est sans foi. L'homme a oublié Dieu ; et là où Dieu est absent, il ne saurait y avoir de paix, d'amour et de tranquillité, mes enfants.
    Ma fille, n'aie pas peur de transmettre aux hommes ce que Je te communique ; crie-leur de changer de vie, même s'ils n'en reconnaissent pas (la nécessité), mais toi, remplis ta mission, ma fille. Je veux que tu sois humble, ma fille. Tu sais que J'aime beaucoup l'humilité. Et bien que tu sois remplie de misères, si tu est humble, ma fille, jamais Je ne me séparerai de toi. Les orgueilleux, les superbes, les hypocrites, les pharisiens, Je les méprise. Ma fille, l'humilité, Je te l'ai dit souvent, est la base principale de tout. Tu sais que J'ai placé auprès de toi un Directeur à qui J'ai donné la lumière pour reconnaître tes péchés et comprendre ton âme. Je sais que tu es affligée, ma fille, à la pensée qu'un jour il ne sera plus là, mais il t'a très bien préparée, et bien que tu aies des misères, ma fille, ton amour est plus grand que tes misères ; c'est pourquoi nos Coeurs t'aiment et te demandent d'être humble, ma fille, et de ne te laisser troubler ni affliger par rien. Tu sais que le Créateur est au-dessus de la créature, et Moi Je t'ai souvent protégée de nombreux dangers, depuis ta petite enfance, dans maintes situations. Tu sais que Je ne t'ai pas abandonnée. Ne sois pas triste, ma fille, parce que ton Directeur s'affaiblit de jour en jour et prépare son chemin pour être bien reçu, ma fille. Combien de foi te l'ai-Je dit : écoute son enseignement, car tous ceux qui se font petits comme des petits enfants viendront au Père, s'assiéront sur ses genoux, pour être chéris et caressés par Lui.
    J'ai mis une Oeuvre entre tes mains de tous ceux qui en font partie ; que personne ne dise qu'il ne lui appartient pas de lutter pour cette Oeuvre ; tous les membres de cette Oeuvre doivent en prendre soin, à commencer par les prêtres parce qu'eux aussi, ils reçoivent des grâces pour leurs âmes, et Je les ai revêtus d'une grâce très spéciale. Comment ne se préoccuperaient-ils pas de l'Oeuvre, eux qui en sont membres ? Mes enfants, sachant que vous êtes aimés de nos Coeurs, très aimés, soyez capables de vous consacrer corps et âme au salut des âmes et de faire en sorte que cette Oeuvre grandisse, ainsi que Je vous l'ai dit, comme les étoiles du ciel. Je demande l'humilité pour tous. Quant à vous tous qui venez en ce lieu, mes enfants, vous avez reçu des grâces très spéciales. Continuez à prier. Aimez-vous les uns les autres. Que dans vos foyers il y ait la paix, l'amour, et tout spécialement l'unité. Apprenez à vos enfants le chemin de la perfection, qui est le chemin de l'Évangile. Priez pour le Saint Père. Priez beaucoup pour lui, mes enfants, et priez aussi pour les religieux, les religieuses et les prêtres, afin qu'ils retrouvent le chemin de la perfection, qu'ils fassent mourir l'orgueil et la superbe, et qu'ils se considèrent comme un néant. Qu'ils croissent en vertus, et non en orgueil et en vanité. Je demande l'humilité, mes enfants, l'humilité.

    La Très Sainte Vierge : Levez tous les objets ; ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales pour les pauvres pécheurs.
    Et Moi, Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.

    MENSAJE DEL DÍA 3 DE JUNIO DE 2000, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hija mía, aquí está tu Madre, Madre de todos los hombres; de los afligidos, de los tristes, de los huérfanos, de los miserables. Yo vengo a dar un mensaje al mundo de amor y de paz; pero los hombres se hacen los sordos y no quieren escuchar mi voz, hija mía. ¡Qué triste está mi Corazón!
     
     

         EL SEÑOR:

         Sí, hijos míos, orad, pero con una oración que salga de lo más profundo de vuestro corazón. El mundo está corrompido.

         Bebe unas gotas del cáliz del dolor, hija mía... Para que sientas la amargura de nuestros Corazones por la perversidad de los hombres, hija mía.
     
     

         LA VIRGEN:

         Orad, hijos míos, que si la oración sale de dentro de vuestro corazón, la ira de Dios se calmará.
     
     

         EL SEÑOR:

         Pero los hombres no escuchan mi voz y han perdido la confianza en mí. Ésa es la mayor tristeza de nuestros Corazones: que el hombre no tenga confianza en Dios y se comporte como las fieras; peor, te dije, que las fieras, hija mía, porque las fieras protegen a sus cachorros, y los hombres se matan unos a otros. ¡Qué tristeza siente nuestro Corazón!; y los hombres siguen haciendo los sordos. Y no siento tanto dolor por aquéllos que no se han consagrado a mí, sino por los que se han consagrado a mí: por los sacerdotes, por los religiosos y religiosas, por aquellas almas predilectas de nuestro Corazón.

         Mira, hija mía, un día mi Corazón lo que sufrió por los hombres...
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Oy, veo un volcán de fuego y de a...! ¡Ay, dentro de ese Corazón..., qué fuego siente ese Corazón! ¡Oy, qué Corazón! Es el Corazón de Jesús; dentro de Él es como un volcán de fuego.
     
     

         EL SEÑOR:

         Sufrí mucho, hija mía, con este volcán de fuego que me consumía de amor por los hombres, e instituí la Eucaristía para ellos, para fortalecerlos. ¿Y qué es de todo aquello, hija mía?: los hombres no tienen devoción a la Eucaristía; van muchos de ellos como si fuesen al matadero. Mis sacerdotes, un gran grupo de ellos, es rutina lo que tienen; después, tienen cansancio, hija mía; después desobediencia; y luego tibieza. Yo, que me entregué en sus manos para que hiciesen lo que quisiesen conmigo, me llevasen y me trajesen donde quisieran, y los veo, hija mía, que se han introducido en el mundo y se han quedado sin la visión celestial. ¿Cómo no van a estar triste nuestros Corazones? Y si yo les mando un mensaje, se enfurecen, porque no quieren reconocerse como son. Hijos míos, si sois lo más amado de nuestros Corazones, ¿por qué os comportáis así, hijos míos? Tenéis mucho trabajo porque el mundo está en un caos, sin Dios. Trabajad, pastores de la Iglesia, y atraed a las almas al rebaño de Jesús. No digáis que tenéis mucho trabajo y os agotéis enseguida, hijos míos; no lo toméis de rutina, sino que vuestros corazones estén llenos de fe y de amor para poder transmitir a los hombres las verdades que no conocen. ¡Qué pena de almas, hijos míos, que se desvían de los rebaños y se meten en los caminos de la perdición! Vosotros sois también responsables de los actos de esas almas, hijos míos. Yo, vuestro Dios, hijos míos, me entrego en vuestras manos y me humillo, para que vosotros seáis los que me ensalcéis. ¡Y cuántos de vosotros os ensalzáis a vosotros mismos y disminuís a Cristo!

         ¡Ay, criaturas de Dios, abrid vuestros oídos a mis palabras, hijos míos, que mi Corazón se derrite de amor por vosotros! Sois privilegiados, hijos míos, y vosotros, ¿cómo correspondéis a ese privilegio? Y a los que quieren seguir el camino recto y seguro, tampoco los dejáis, hijos míos. ¡Ay, almas queridas de mi Corazón, cambiad vuestras vidas, que hay mucho trabajo! No os agotéis tan pronto, hijos míos. El sacerdote es como el médico, de día y de noche tiene que estar pendiente de las almas, porque es médico del alma. ¡Y cómo os cansáis en seguida, hijos míos, y os introducís en el mundo, en los placeres y en los gustos! Rechazad todos los placeres y todos los gustos, hijos míos, y dedicaos a vuestro ministerio; veréis cómo encontráis la felicidad, la felicidad eterna. Porque si no, hijos míos, la felicidad temporal os introducirá en la profundidad del Infierno, hijos míos.

         Pido a todos los hombres que cambien sus vidas, que el mundo cada vez está peor, sin fe. El hombre ha olvidado a Dios; y donde no está Dios, hijos míos, no puede haber paz ni amor ni tranquilidad, hijos míos.

         Hija mía, no te dé miedo de comunicar a los hombres lo que yo te comunico; grítalo, que cambien sus vidas, aunque no lo reconozcan, pero tú cumple con tu misión, hija mía. Te quiero humilde, hija mía. Sabes que me gusta mucho la humildad. Y aunque estés llena de miserias, si eres humilde, hija mía, jamás me separaré de ti. Yo desprecio a los orgullosos, a los soberbios, a los hipócritas, a los fariseos. Hija mía, la humildad, te lo he dicho muchas veces, es la base principal de todo. Sabes que te puse un director al que le di luz para reconocer tus pecados y comprender tu alma. Sé que te aflige el día que él no esté, hija mía, pero te ha preparado muy bien, y aunque tienes miserias, hija mía, tu amor es más grande que tus miserias, y por eso nuestros Corazones te aman y te piden que seas humilde, hija mía, y que nada te turbe ni te angustie. Sabes que el Creador está por encima de la creatura, y yo te he protegido muchas veces de muchos peligros, desde muy niña, en muchas situaciones. Sabes que no te he abandonado. No te entristezcas, hija mía, porque tu director se va desgastando día a día, preparando su camino para ser bien recibido, hija mía. Cuántas veces te he dicho: aprende de él, que todos los que se hacen como niños vendrán al Padre y serán sentados en su rodilla y queridos y acariciados.

         He puesto una Obra en tus manos y en las manos de todos los que pertenecen a ella; que nadie diga que no le corresponde luchar por esta Obra. Todo el que está en esta Obra tiene que mirar por ella, empezando por los sacerdotes, porque de ellos también reciben gracias para sus almas y los he revestido de una gracia muy especial. ¿Cómo no van a preocuparse como miembros de la Obra? Hijos míos, si sabéis que sois queridos por nuestros Corazones, muy queridos, sed capaces, hijos míos, de entregaros en cuerpo y alma para la salvación de las almas y para que esta Obra crezca —os he dicho— como las estrellas del cielo.

         Pido humildad para todos. Y todos los que acudís a este lugar, hijos míos, habéis recibido gracias muy especiales. Seguid orando. Amaos unos a otros. Que en vuestros hogares haya paz y amor, hijos míos, y especialmente unidad. Enseñad a vuestros hijos el camino de la perfección, que es el camino del Evangelio. Pedid por el Santo Padre. Orad mucho por él, hijos míos, y también pedid por religiosos y religiosas y sacerdotes, para que vuelvan al camino de la perfección y maten el orgullo y la soberbia y no se vean nada (y). Que crezcan en virtudes.
     
     

    Que no crezcan en orgullo ni vanidad. Humildad pido, hijos míos, humildad.
     
     

         LA VIRGEN:

         Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales para los pobres pecadores...

         Yo os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

    (y) “...no se vean nada”; es decir, que practiquen la humildad y no se consideren algo importante, sino nada y miseria.

    1er Juillet 2000

    La Très Sainte Vierge : Ma fille, me voici, une fois encore, Moi qui suis la Mère des pécheurs.
    Comme il en coûte de sauver les âmes, ma fille! Ces trois âmes, ma fille!... (il faut faire) beaucoup de sacrifices, beaucoup de pénitence pour elles, ma fille, car ce sont des aveugles qui ne veulent pas voir. Offre-toi en victime pour eux. Encore un mois de plus, ma fille, offre les souffrances, les pénitences, pour ces pauvres âmes qui n'ont pas voulu être fidèles à leur propre vocation ; ils aiment être dans le monde, ma fille, et dans les affaires du monde. Ils aiment être des salariés. Oui, en premier lieu ils ne sont pas fidèles à l'engagement qu'ils ont contracté avec Dieu depuis le début, et ils changent, vont d'un côté et d'autre, parce qu'ils n'aiment pas la discipline ni le sacrifice.

    Notre Seigneur : Voyons, ma fille, continue à prier pour eux. Nous prierons ensemble. Mais en second lieu, ma fille, ils n'aiment pas accepter la vérité. Ils sont les premiers à voir comment ils peuvent détruire la vérité, et ils ont beau vouloir tout passer au crible, ma fille, pour chercher le négatif et ne pas garder le positif, la vérité resplendit toujours. C'est ce qu'ils cherchent, pour démolir tout ceci comme on l'a fait en d'autres lieux. Mais il n'y a rien contre la foi.
    Malheur à ces guides des peuples qui arrêtent au filtre le moucheron et avalent le chameau! Comment pouvez-vous avoir tant de haine, mes enfants, à l'égard d'êtres humains! Pauvres âmes, ma fille! Comment peuvent-ils voir la paille dans l'oeil d'autrui et ne pas voir la poutre qui est dans la leur, mes enfants! Malheur à ceux qui ne suivent pas le chemin droit et sûr, le chemin de la vérité, et qui ne cherchent qu'à piquer les âmes de leur aiguillon!
    Toi, ma fille, répète ce que Je te dis, et n'aie pas peur, ne crains pas. La vérité resplendit. Le mensonge, ma fille, c'est toujours les ténèbres. Je t'ai déjà souvent dit que ce qu'ils trament dans l'obscurité, Moi je le fais venir au grand jour.
    Quand aux pasteurs fidèles, aux pasteurs fidèles de mon Coeur, Je leur demande d'être forts et fermes pour continuer leur chemin avec rectitude. Et que les religieux et les religieuses qui ont gardé encore leur fraîcheur et leur vigueur comprennent une rénovation ; qu'ils renouvellent leur vie, qu'ils poursuivent leur chemin avec force et qu'ils n'aient peur de personne, qu'ils ne craignent ni la persécution, ni la calomnie ni le mensonge, parce que Dieu est la Vérité et tous ceux qui sont avec Dieu n'ont rien à craindre. Ames bien-aimées de mon Coeur, comme mon coeur souffre à cause de ceux qui s'écartent du chemin qu'ils ont choisi et de leur ministère! Alors que la moisson est si abondante, mes enfants, et les ouvriers si peu nombreux pour en prendre soin! Mais il reste encore un grand groupe de prêtres bien-aimés de mon Coeur; qu'ils soient forts, et qu'ils aiment beaucoup nos Coeurs, comme nous, nous les aimons de tout notre Coeur.
    Oui, mes enfants, maintenez-vous dans la foi, ne la perdez jamais; cherchez l'espérance et pratiquez la charité. Par votre exemple, mes enfants, vous pouvez entraîner beaucoup d'âmes sur le chemin de la perfection. Ne vous laissez pas tromper par la ruse de l'ennemi. Je veux des prêtres saints, des prêtres qui aiment nos Coeurs, des prêtres humbles qui reconnaissent la vérité et qui aient été fidèles depuis le début au chemin qu'ils ont choisi. Mais s'ils n'ont pas été fidèles au commencement, comment le seront-ils à la fin, mes enfants ? S'ils ont abandonné les couvents à la recherche de la liberté, comment peuvent-ils être de bons prêtres s'ils n'ont pas été de bons religieux ? Priez pour eux, mes enfants. Qu'ils rejettent de leur coeurs cette rancoeur qu'ils éprouvent contre les âmes, et qu'ils cessent de calomnier et de diffamer. N'ont-ils pas peur que Je puisse les rappeler à tout moment pour qu'ils rendent compte de leur actes, mes enfants ? L'Evangile dit :"Aimez-vous les uns les autres". Pourquoi méprisez-vous les créatures ? Mes enfants, si vous n'avez pas la charité, vous n'avez rien. Ne soyez pas des fonctionnaires, mes enfants, soyez des prêtres de mon Eglise. Rénovez vos vies, Je vous attends, mes enfants.
    Ces âmes vont coûter beaucoup, ma fille, mais nous allons continuer à prier pour elles.

    La Très Sainte Vierge : Oui, mes enfants, prêtres bien-aimés de mon Coeur, vous qui vous conservez encore fermes dans la foi, ayez du courage. Ne voyez-vous pas comme les fils des ténèbres sont courageux ? Vous qui êtes les fils de la lumière, vous devez être plus forts et plus courageux que les fils des ténèbres.
    Priez, mes enfants, priez beaucoup, car le monde est dans une situation grave, mes enfants. Seuls la prière, le sacrifice et la pénitence peuvent arrêter le bras de Dieu, mes enfants. Priez, faites pénitence, visitez le Prisonnier et priez pour les pécheurs, mes enfants. Priez pour que Dieu arrête son bras; en effet, ma fille, de grands châtiments, des cataclysmes, surviendront dans le monde; des cataclysmes, ma fille. Je ne dis pas que ce sera au début de (l'an) 2000, mais Je dis aussi qu'ils ne surviendront pas à la fin de (l'an) 2000. Des astres de plus de douze kilomètres de long tomberont sur la Terre et en finiront avec la plus grande partie de la planète. C'est pourquoi, mes enfants, Je vous demande de prier, de faire pénitence, de faire des sacrifices, afin que Dieu fasse miséricorde aux âmes. Soyez prêts, mes enfants; les hommes, en effet, ne se préoccupent pas de leur âme; ils ne s'occupent que de divertissements, de plaisirs, des affaires du monde, et ils oublient Dieu. Dieu est oublié de ses créatures.
    Priez le saint Rosaire, mes enfants, Je vous demande de le prier en famille; on ne donne plus d'importance au saint Rosaire; mais Dieu peut avoir pitié des hommes qui récitent cette prière tous les jours. Alors que le Rosaire disparaît des foyers et de nombreux endroits du monde. Moi Je continue à demander : priez le Rosaire avec dévotion, mes enfants. Et Je vous demande aussi : méditez la Passion du Christ, soyez des dévots de sa Passion, mes enfants, et méditez-la pendant vingt minutes.
    Priez, aimez-vous les uns les autres, mes enfants. Venez en ce lieu de bénédictions et de grâces; vous y recevrez des grâces pour fréquenter les sacrements, mes enfants. Aimez l'Eglise, aimez le Saint Père. Mes enfants, Je vous demande l'amour entre toutes les créatures. Réfugiez-vous dans nos Coeurs; ils ne vous abandonneront pas.
    Levez tous les objets; ils seront tous bénis pour la conversion des pauvres pécheurs.
    Et Moi, Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.

     MENSAJE DEL DÍA 1 DE JULIO DE 2000, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hija mía, aquí estoy, otra vez más, como Madre de los pecadores.

         ¡Cuánto cuesta salvar a las almas, hija mía,... estas tres almas, hija mía! Mucho sacrificio y mucha penitencia, por ellas, hija mía, porque son ciegos que no quieren ver. Ofrécete víctima por ellos. Otro mes más, hija mía, ofrece los dolores, las penitencias, por estas pobres almas que no han querido ser fieles a su propia vocación; y les gusta, hija mía, estar en el mundo y las cosas que hay en el mundo, ser asalariados. ¡Si no son fieles, primero, al compromiso que han tenido con Dios desde el principio, y mudan de un lado para otro, porque no les gusta la disciplina, ni el sacrificio!
     
     

         EL SEÑOR:

         A ver, hija mía, sigue pidiendo por ellas. Oraremos juntos. Pero, luego, hija mía, no les gusta aceptar la verdad. Son los que están primeros para ver cómo destruyen la verdad; y la verdad siempre resplandece, por mucho que quieran escudriñar a ver lo negativo y no quedarse con lo positivo, hija mía. Es lo que buscan, para echar abajo todo esto, como en otros lugares lo han hecho, hija mía. Pero no hay nada en contra de la fe.

         ¡Ay, aquellos guías de los pueblos que se tragan el camello y cuelan el mosquito! ¿¡Cómo tenéis tanto odio, hijos míos, a los seres humanos!? Pobres almas, hija mía; ¿¡cómo pueden ver la paja en el ojo ajeno y no ven la viga en el suyo, hijos míos!? ¡Ay, aquéllos que no siguen el camino recto y seguro, el camino de la verdad que sólo buscan aguijonear a las almas!

         Tú, hija mía, di lo que te digo. Y no tengas miedo, no temas. La verdad resplandece. La mentira siempre, hija mía, es la tiniebla. Ya te he dicho muchas veces que lo que hacen en la oscuridad, yo lo saco a la luz.

         Y pido a aquellos pastores fieles, aquellos pastores fieles de mi Corazón, que sean fuertes y firmes para seguir el camino con rectitud. Y que hagan una renovación aquellos religiosos y religiosas que todavía permanecen frescos y lozanos; que renueven su vida y caminen con fortaleza y no tengan miedo a nadie, ni a la persecución, ni a la calumnia, ni a la mentira, porque Dios es la verdad y todo el que está con Dios no puede temer nada. Almas queridas de mi Corazón, ¡cuánto sufre mi Corazón por aquéllos que se desvían del camino que escogieron, de su ministerio! Tanta mies como hay, hijos míos, y tan pocos operarios para cuidar esa mies. Pero todavía queda un gran grupo de sacerdotes amados por mi Corazón; que sean fuertes y amen mucho nuestros Corazones, como nosotros los amamos con todo nuestro Corazón.

         Sí, hijos míos, conservaos en la fe, no la perdáis jamás; buscad la esperanza, y practicad la caridad. Con vuestro ejemplo, hijos míos, podéis arrastrar muchas almas al camino de la perfección. No os dejéis engañar por la astucia del enemigo. Quiero sacerdotes santos, sacerdotes que amen nuestros Corazones, sacerdotes humildes que reconozcan la verdad y que, desde el principio, hayan sido fieles al camino que escogieron. Pero si no han sido fieles en sus principios, ¿cómo van a ser fieles, hijos míos, al final? Si han abandonado los conventos buscando libertad, ¿cómo pueden ser buenos sacerdotes, si no han sido buenos religiosos? Pedid por ellos, hijos míos. Que salga de sus corazones ese rencor que tienen contra las almas y que dejen de calumniar y difamar. ¿No les da miedo de que puedo llamarlos en cualquier momento para que den cuenta de sus actos, hijos míos? El Evangelio dice: “Amaos los unos a los otros”; ¿por qué despreciáis a las criaturas? Hijos míos, si no tenéis caridad, no tenéis nada. No seáis funcionarios, hijos míos, sed sacerdotes de mi Iglesia. Renovad vuestras vidas, que os estoy esperando, hijos míos.

         Mucho van a costar estas almas, hija mía, pero vamos a seguir orando por ellas.
     
     

         LA VIRGEN:

         Sí, hijos míos, sacerdotes queridos de mi Corazón, aquéllos que todavía os conserváis firmes en la fe, sed valientes. ¿No veis los hijos de las tinieblas cómo son valientes? Vosotros, que sois hijos de la luz, tenéis que ser más fuertes y más valientes que los hijos de las tinieblas.

         Orad, hijos míos, orad mucho, pues el mundo está en una situación grave, hijos míos. Sólo la oración, el sacrificio y la penitencia pueden detener el brazo de Dios, hijos míos. Orad, haced penitencia, visitad al “Prisionero” y pedid por los pecadores, hijos míos. Orad para que Dios detenga su brazo, pues en el mundo, hija mía, habrá grandes castigos de cataclismos; cataclismos, hija mía, que no digo que sean al principio del 2000, pero también digo que no serán tampoco al final del 2000.[1]
     
     

    Astros con más de 12 kilómetros de longitud caerán sobre la Tierra y terminarán con la mayor parte de ella. Por eso, hijos míos, os digo que oréis, que hagáis penitencia y sacrificio, para que Dios tenga misericordia de las almas. Estad preparados, hijos míos, que las almas no se preocupan de su alma; sólo se ocupan de diversiones, de placeres, de cosas mundanas, y olvidan a Dios. Dios es olvidado por sus criaturas.

         Rezad el santo Rosario, hijos míos; os pido que lo recéis en familia, pues no le dan importancia al santo Rosario; pero Dios puede compadecerse de los hombres que rezan esta plegaria diariamente. Ahora que el Rosario desaparece de los hogares y de muchos lugares del mundo, yo lo sigo pidiendo: rezad el Rosario con devoción, hijos míos. Y también os pido: meditad la Pasión de Cristo, sed devotos de ella, hijos míos; y meditad veinte minutos la Pasión.

         Orad, amaos unos a otros, hijos míos. Acudid a este lugar de bendiciones y gracias; aquí recibiréis gracia para ir a los sacramentos, hijos míos. Amad a la Iglesia, amad al Santo Padre. Hijos míos, os pido amor entre todas las criaturas. Refugiaos en nuestros Corazones, que ellos no os abandonarán.

         Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos, para la conversión de los pobres pecadores...

         Yo os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

    [1] Consultada Luz Amparo, poco después de recibir el mensaje, para aclarar esta frase, puntualizó que veía con claridad: 1º) La fecha del Castigo está condicionada a la oración, penitencia y sacrificio que hagamos los fieles. 2º) Que el Castigo no se produciría ni al principio ni al final del año 2000; es decir: no en ese período de tiempo.

    5 Août 2000

    Notre Seigneur :
    Ma fille, voici le Fils de Dieu Vivant. Combien coûtent les âmes, ma fille ! Regarde mon visage, ma fille, regarde mon corps, regarde mes mains. Ce sont les âmes ingrates, ma fille, qui me mettent dans cet état. Combien coûte une âme, ma fille, et que les hommes sont ingrats ! Regarde : c'est ainsi qu'ils sont reconnaissants à Dieu Tout-puissant, qui est en agonie pour les hommes. Je le répète, ma fille, Je ne suis pas triste pour ceux qui ne me connaissent pas, mais pour ceux qui se disent miens et qui m'offensent continuellement.
    Le démon est en train de gagner la bataille dans les âmes consacrées, dans beaucoup d'âmes sacerdotales. Ils ont abandonné la prière et le sacrifice, ma fille, et c'est par l'exemple qu'ils donnent aux âmes que le démon fait le plus de tort. Regarde en quelle léthargie ils sont tombés ; c'est parce qu'ils ont abandonné Dieu, ma fille, or les hommes sans Dieu ne peuvent progresser. La grandeur du Dieu Tout-Puissant suspendue au bon vouloir de ses créatures ! Et les créatures qui s'opposent aux grâces et aux paroles de Dieu !
    Mais, mes enfants, combien de fois vais-je vous dire que vous cueillez les fruits sans vouloir reconnaître l'arbre! Guides aveugles des peuples, jusqu'à quant faut-il vous donner des avertissements, mes enfants ! Votre comportement n'est pas bon, mes enfants ; aussi Je descends sur terre pour que vous vous amendiez, et vous, vous faites la sourde oreille, mes enfants, non seulement vous n'entrez pas dans le ciel mais vous empêchez les autres d'y entrer. Ne vous rendez-vous pas compte, mes enfants, que ceux qui sont avec moi ne sont pas contre moi ? Pourquoi êtes-vous si têtus et voulez-vous faire disparaître l'Oeuvre du Dieu vivant, comme vous l'avez fait en d'autres lieux ?
    Ma fille, voilà dans quel état mes âmes mettent mon visage. La beauté du Dieu Tout-puissant, elles l'outragent par leurs péchés et leur luxure. Les pêchés de la chair, mes enfants, et ce sont ceux que (vous commettez) en vous laissant entraîner par le démon et ses partisans. Maintenez-vous propres et purs, mes enfants. Celui qui est dans la luxure est aveugle et tombe peu à peu dans tous les autres péchés. Combien de fois t'ai-je dit, ma fille, que le péché de la chair est celui qui offense le plus la divine Majesté de Dieu.

    Amparo : Seigneur, je veux réparer avec Toi. Je le veux, Seigneur. Aide-moi à être forte. Parfois les forces me manquent.

    Notre Seigneur : Ma fille, tu devras affronter beaucoup d'ennemis, mais Je suis la force.

    Amparo : Seigneur, je T'aime de tout mon coeur.

    Notre Seigneur : Parce que tu m'aimes, ma fille, Je ne t'abandonnerai jamais. Pense que lorsque Je vois une âme qui m'aime, Je suis toujours avec elle ; et même si ses misères sont nombreuses, ma fille, J'applique sur elle mon amour et ma miséricorde et Je ne me retire pas de cette âme qui m'aime. Mais ceux qui déchirent mon Coeur, ce sont ces nombreuses âmes qui n'ont de consacrés ou de prêtres que le nom ; pasteurs sans troupeau, car vous avez abandonné le troupeau, vous vous êtes introduits dans le monde, et vous avez oublié Dieu. Prenez exemple sur ces prêtres saints, qui annoncent l'Evangile tel qu'il est écrit. Je vous le répète : beaucoup d'entre vous, vous le réduisez à des métaphores ; or l'Evangile, il faut l'expliquer tel qu'il est écrit. Combien êtes-vous, mes enfants, à omettre le Purgatoire, l'Enfer, et (à dire) qu'il n'existe que la gloire céleste. Expliquez aux hommes les vérités de l'Evangile, pour que les hommes se sanctifient grâce à ses vérités.
    Toi, ma fille, n'aie pas peur et répète tout ce que Je te dis. Le monde en est là parce qu'il a oublié Dieu, et beaucoup de mes âmes, tant aimées de mon Coeur, sont tombées en léthargie ; elles n'oeuvrent pas pour la gloire de Dieu, mais pour le monde et pour ses vanités. Elles ont oublié la prière du saint Rosaire. Or le saint Rosaire, mes enfants, est très important, parce qu'il peut arrêter une guerre, gagner une bataille, soigner des maladies, guérir des âmes. C'est une prière très belle, et il plaît beaucoup à Dieu qu'on la récite. Mes enfants, ne cessez pas un seul jour de prier le Saint Rosaire. Dieu a établi sa Mère comme la Porte du Ciel, le Refuge des pécheurs, la Mère des affligés. C'est pourquoi Je vous demande cette prière : c'est la prière préférée de Dieu. Le démon rejette Marie, parce que Marie est la Porte établie par Dieu pour entrer au ciel. Venez à Marie, mes enfants, et Elle vous conduira à Jésus.

    La Très Sainte Vierge : Venez en ce lieu, mes enfants, vous y serez bénis et vous y recevrez beaucoup de grâces. Priez, mes enfants, priez sans cesse. Faites des sacrifices et faites pénitence, les hommes les ont oubliés, et c'est pourquoi le démon s'est emparé des âmes. Priez pour l'Eglise, aimez le Saint Père, mes enfants, aimez les évêques, et priez pour tous.

    Notre Seigneur : Et vous, mes enfants, ne soyez pas de ceux qui arrêtent au filtre le moucheron et avalent le chameau. Réfléchissez, mes enfants, et choisissez le bon fruit, mais n'oeuvrez pas à la légère sans examiner l'arbre. Malheur à ceux qui n'écoutent pas ma voix, malheur à ceux qui, l'ayant entendue, l'abandonnent ! Pauvres âmes, ceux qui se comportent ainsi, Je les chasse loin de moi, parce qu'ils ne veulent pas que J'applique ma miséricorde sur eux. Ils sont si orgueilleux, si superbes, que ni l'amour de Dieu, ni sa miséricorde, ne leur importent pour leur salut. Ah, mes enfants, quand viendra le jour où vous devrez vous présenter devant la Divine Majesté de Dieu, combien d'entre vous voudront entrer et ne le pourront pas, parce que vous n'aurez pas été dignes de vous trouver en ma présence ! Ne cessez pas de vous sacrifier, mes enfants. Faites oraison, faites des visites au Seigneur dans le Très Saint Sacrement, car Il se trouve seul, mes enfants. Aimez nos Coeurs : tous ceux qui aimeront nos Coeurs, mes enfants, ne seront pas oubliés. L'amour du Dieu Tout-puissant se répand sur ses créatures. Priez, faites des sacrifices, mes enfants.

    La Très Sainte Vierge : Levez tous les objets, ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales pour les pauvres pécheurs.
    Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.

    MENSAJE DEL DÍA 5 DE AGOSTO DE 2000, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         EL SEÑOR:

         Hija mía, aquí está el Hijo de Dios vivo. ¡Cuánto cuestan las almas, hija mía! Mira mi rostro, mira mi cuerpo, mira mis manos, hija mía. Las almas ingratas, hija mía, son las que me ponen así. ¡Cuánto cuesta un alma, hija mía, y qué desagradecidos son los hombres! Mira, así es como agradecen la agonía de todo un Dios agonizando por los hombres. Hija mía, y vuelvo otra vez a repetir: no estoy triste por los que no me conocen, sino por los que se llaman míos y me siguen ofendiendo. El demonio está ganando la batalla en las almas consagradas, en muchos de los sacerdotes. Se han abandonado a la oración y al sacrificio, hija mía; y ahí es donde el demonio hace más daño, por el ejemplo que dan a las almas. Mira qué letargo tienen, y es porque han dejado a Dios, hija mía, y los hombres sin Dios no pueden caminar. La grandeza de todo un Dios pendiente de sus criaturas, y sus criaturas se oponen a las gracias y a las palabras de Dios.

         Pero, hijos míos, ¿cuántas veces os voy a decir que cogéis los frutos y no queréis reconocer el árbol? Guías ciegos de los pueblos, ¿hasta cuándo hay que estar dando avisos, hijos míos? Vuestro comportamiento no es bueno, hijos míos, y por eso bajo a la Tierra para que os enmendéis; y os hacéis los sordos, hijos míos; y no sólo no entráis en el Cielo, que no dejáis que entren los demás. ¿No os dais cuenta, hijos míos, que los que están conmigo no están contra mí? ¿Por qué sois tan testarudos y queréis hacer desaparecer, como habéis hecho en otros lugares, la obra de Dios vivo?

         Hija mía, así ponen mi rostro mis almas: la belleza de todo un Dios la ultrajan con sus pecados y con las lujurias. Los pecados que más ofenden al Señor son los pecados de la carne, hijos míos, y son los que vosotros os dejáis arrastrar por el demonio y sus secuaces. Conservaos limpios y puros, hijos míos. El que está en lujuria se queda ciego y va cayendo en todos los pecados. Cuántas veces te lo he dicho, hija mía: que el pecado de la carne es el que más ofende a la Divina Majestad de Dios.
     
     

         LUZ AMPARO:

         Señor, yo quiero reparar contigo. Yo quiero, Señor. Ayúdame a ser fuerte. A veces me fallan las fuerzas.
     
     

         EL SEÑOR:

         Hija mía, tendrás que enfrentarte a muchos enemigos, pero yo soy la fuerza.
     
     

         LUZ AMPARO:

         Señor, yo te amo con todo mi corazón.
     
     

         EL SEÑOR:

         Porque me amas, hija mía, nunca te abandonaré. Piensa que cuando yo veo un alma que me ama, siempre estoy con ella; y aunque sean sus miserias muchas, hija mía, yo aplico mi amor y mi misericordia, y no me retiro del alma que me ama. Pero aquéllos que desgarran mi Corazón, aquellas almas que sólo tienen el nombre, muchos, de consagrados o de sacerdotes, pastores sin rebaño, porque habéis abandonado el rebaño y os habéis introducido en el mundo y tenéis olvidado a Dios. Tomad ejemplo de aquellos sacerdotes santos que llevan el Evangelio tal como está escrito. Os repito: que lo dejáis muchos en metáforas y el Evangelio hay que explicarlo tal como está escrito. Cuántos, hijos míos, os coméis el Purgatorio, el Infierno, y sólo existe la Gloria. Explicad a los hombres las verdades del Evangelio, para que los hombres se santifiquen con las verdades que hay en él. Tú, hija mía, no tengas miedo y di todo lo que yo te digo. El mundo está así porque se ha olvidado de Dios, y muchas de mis almas, tan queridas por mi Corazón, están en un letargo y no trabajan para la gloria de Dios, trabajan para el mundo y sus vanidades. Se han olvidado de rezar el santo Rosario, y el santo Rosario, hijos míos, es muy importante porque puede parar una guerra, ganar una batalla, curar enfermedades, sanar almas... Es una plegaria tan hermosa, que a Dios le gusta que se rece. Hijos míos, no dejéis de rezar un solo día el santo Rosario. Dios ha puesto a su Madre como Puerta del Cielo, como Refugio de los pecadores, Madre de los afligidos; por eso, os pido esta plegaria; es la favorita de Dios. El demonio rechaza a María porque María es la Puerta que ha puesto Dios para entrar en el Cielo. Acudid a María, hijos míos, y Ella os llevará a Jesús...
     
     

         LA VIRGEN:

         Hijos míos, acudid a este lugar, que seréis bendecidos y recibiréis muchas gracias. Y orad, hijos míos, sin cesar. Haced sacrificios y penitencias, que los hombres las han olvidado y por eso el demonio se ha apoderado de las almas. Rezad por la Iglesia, amad al Santo Padre, hijos míos, amad a los obispos y rezad por todos.
     
     

         EL SEÑOR:

         Y vosotros, hijos míos, no coléis el mosquito y os traguéis el camello. Reflexionad, hijos míos, y escoged el buen fruto, pero no obréis a la ligera sin examinar el árbol. ¡Ay de aquéllos que no oyen mi voz y los que la han oído y la abandonan! Pobres almas; aquéllos que tienen este comportamiento los arrojo lejos de mí, porque no quieren que aplique mi misericordia sobre ellos; son tan orgullosos y tan soberbios que ni el amor de Dios ni su misericordia les importa para su salvación. ¡Ay, hijos míos, cuando llegue el día que tengáis que presentaros ante la Divina Majestad de Dios! ¡Cuántos querréis entrar y no podréis, porque no habéis sido dignos de estar en mi presencia! No dejéis de sacrificaros, hijos míos. Haced oración, visitad al Señor en el Santísimo Sacramento, que se encuentra solo, hijos míos. Amad nuestros Corazones, que todo el que ame nuestros Corazones... no quedarán, hijos míos, en el olvido. El amor de todo un Dios se derrama sobre sus criaturas. Orad, haced sacrificios, hijos míos.
     
     

         LA VIRGEN:

         Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales para los pobres pecadores...

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

    2 Septembre 2000

    La Très Sainte Vierge : Me voici, ma fille, une fois de plus, pour avertir les hommes, bien que les hommes continuent obstinément à faire leur volonté.
    Demeurez, mes enfants, dans la crainte de Dieu. Si vous demeurez dans la crainte de Dieu, vous restez dans la lumière, et celui qui reste dans la lumière n'est pas dans les ténèbres, et ses oeuvres sont bonnes. Mais quant à ceux qui demeurent dans les ténèbres, leurs oeuvres ne viennent pas d'en haut, leurs oeuvres sont mauvaises, parce qu'ils haïssent la lumière et ils ne sont pas dans la vérité. Celui qui est dans la vérité ne perd pas le regard du Créateur ; mais ceux qui sont dans les ténèbres oeuvrent comme des hommes charnels et terrestres, sans placer leur pensée en Dieu, car ils ne parlent que des choses de la terre. Combien de fois, mes enfants, vous ai-Je averti ! : que votre pensée soit en Dieu, pour que vous vous détachiez du sang, de la chair, et des affaires domestiques. Combien d'âmes se perdent, ma fille, à cause des attachements mondains ! Elles n'adorent en effet qu'un seul Seigneur, le monde, et ses vanités ! Elles adorent les sept péchés capitaux, qui sont portés en triomphe dans l'humanité, et c'est la chair, ma fille, qui les introduit au plus profond de l'enfer. Mais les hommes continuent à estimer que la situation du monde est bonne. Seuls les aveugles et les sourds peuvent penser ainsi. Ah, mes enfants ! les hommes ont oublié la prière, les hommes ne veulent pas renoncer aux passions, et c'est pourquoi Satan est le roi du monde, et il est en train de faire des ravages partout, mes enfants. Avec la prière, le sacrifice et la pénitence le démon s'enfuit des foyers, des couvents et de toutes ces communautés qui sont tombées en léthargie.
    Ma fille, la majorité des hommes sont possédés par Satan. Et comme aujourd'hui ils ne se rendent pas compte de cette possession, et qu'ils n'ont pas d'âmes prêtes à appliquer la grâce pour chasser les démons de leurs corps, ma fille, le monde est de plus en plus possédé par le démon. Des possédés, ma fille, il y en a à foison de par le monde, et on ne fait pas d'exorcismes pour chasser ces terribles démons de leurs pauvres âmes, elles ne trouvent personne qui les aide à se libérer de cet esclavage.
    C'est pourquoi Je lance un appel aux âmes qui ont une préparation pour faire des exorcismes ; qu'elles libèrent ces pauvres âmes des tromperies et de la tristesse dans lesquelles Satan les a englouties. O vous, âmes qui avez pouvoir de le faire, priez beaucoup, jeûnez et faites pénitence pour pouvoir libérer tant et tant d'âmes angoissées.
    Regarde, ma fille, presque la moitié du monde est possédée par l'ennemi...

    Luz Amparo : Mon Dieu, quelle horreur ! ah !...

    La Très Sainte Vierge : Le démon s'empare de leurs âmes parce que les hommes ont abandonné Dieu et se trouvent dans les ténèbres ; ils veulent sortir de ces ténèbres, mais ils ne trouvent pas la lumière, parce qu'ils ne trouvent pas d'âmes qui les aident à sortir de la situation où ils sont plongés, ma fille. Priez beaucoup, priez. Jeûnez, mes enfants, faites pénitence, pour que les hommes tournent leur retard vers Dieu et se libèrent : ils sont enchaînés à Satan, et ce n'est qu'avec la prière et le jeûne, ma fille, que l'on peut chasser ces démons.

    Notre Seigneur : Ah, guides des peuples, aidez les âmes, car il y a des âmes dans le besoin ; exercez votre ministère et que beaucoup d'entre vous ne perdent pas leur temps en critiques, médisances et persécutions. Il y a un tel besoin dans les âmes, mes enfants, et vous, vous perdez votre temps. N'êtes-vous pas peinés, mes enfants, d'avoir oublié d'exercer le ministère que vous avez choisi ? Beaucoup d'entre vous, vous êtes des fonctionnaires, Je vous le répète, mes enfants, vous n'êtes pas des pasteurs d'âmes. Obéissez à l'Église, mes enfants. Obéissez au Vicaire du Christ et changez vos vies, car la moisson est abondante, mes enfants, mais les pasteurs sont peu nombreux. Beaucoup d'entre vous se consacrent à semer l'ivraie au milieu du blé, et on ne peut enlever l'ivraie du blé, sans l'abîmer, mes enfants. Pourquoi ne savez-vous pas distinguer le bien du mal ? Vous n'entrez pas dans le Ciel et vous ne laissez pas les autres y entrer. Cela ne vous fait-il pas de peine de persécuter tellement ceux qui veulent faire la volonté de Dieu ? Ah, ces pasteurs lâches qui n'ont pas été capables de défendre cette Oeuvre et de suivre le chemin que J'ai marqué pour leur propre salut ! Ah, ne rejetez pas les grâces, mes enfants ! Combien d'âmes ont peur de suivre le Christ comme Il a vécu sur la terre ; elles le suivent à moitié. Vous vous appelez des Christs, des Christifiés ? Mais vous "christifiez-vous", mes enfants ? C'est le Christ qui est (le modèle des) christifiés. Le Christ a été crucifié, calomnié, souffleté ; et vous, vous ne vous laissez pas conseiller et vous ne voulez pas écouter la voix de Dieu !

    Bois quelques gouttes du calice de la douleur, ma fille, pour ces pauvres âmes (Luz Amparo prend à deux mains une coupe invisible, on entend nettement le bruit de la déglutition, elle tousse avec dégoût).

    La Très Sainte Vierge : Et vous, prêtres bien-aimés de nos Coeurs, changez de vie, revenez, réunissez le troupeau, et consacrez-vous corps et âme à rassembler les ouailles qui sont éparpillées de tous côtés, mes enfants. Soyez les prêtres bien-aimés de nos Coeurs. Regardez vers le Ciel, mes enfants, renoncez aux passions et retirez-vous du monde. Vous qui n'avez pas eu la force de suivre ma voix, mes enfants, comme elles vous attirent, les flatteries et la voix des hommes qui repoussent la voix de Dieu ! Que mon Coeur est triste !
    Quant à vous, mes enfants, vous tous qui venez en ce lieu, remplissez votre esprit de force et ne perdez pas courage, mes enfants. Suivez l'Évangile, approchez-vous des sacrements, de la Pénitence, et vivez en union avec Dieu, mes enfants. Aimez-vous les uns les autres, ayez de la charité les uns pour les autres, mes enfants, et pardonnez-vous les uns aux autres. C'est alors que vous pouvez vous appeler "miens". Priez. Ne cessez pas de prier, mes enfants, ni de vous alimenter avec le Pain de vie. Venez en ce lieu, mes enfants, vous y recevrez beaucoup de grâces pour vos pauvres âmes. Levez tous les objets, mes enfants, ils seront tous bénis pour les pauvres pécheurs.

    Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.

    MENSAJE DEL DÍA 2 DE SEPTIEMBRE DE 2000, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Ya estoy aquí, hija mía, otra vez más, para avisar a los hombres, aunque los hombres siguen obstinados en hacer su voluntad.

         Permaneced, hijos míos, en el temor a Dios. Si permanecéis en el temor a Dios, permanecéis en la luz, y el que permanece en la luz no está en tinieblas y sus obras son buenas. Pero aquéllos que permanecen en la tiniebla, sus obras no vienen de lo alto, sus obras son malas, porque odian la luz y no están en la verdad. El que está en la verdad no pierde la mirada del Creador; pero aquéllos que están en las tinieblas obran como los hombres que están en la Tierra, sin poner el pensamiento en Dios, que sólo hablan de las cosas de la Tierra. ¿Cuántas veces, hijos míos, os he avisado que vuestro pensamiento esté en Dios para que os despeguéis de la sangre y de la carne y de lo doméstico? ¡Cuántas almas se pierden, hija mía, por los apegos mundanos, porque sólo adoran a un señor: al mundo, a sus vanidades! Adoran los siete pecados capitales, que son los que están en triunfo en la Humanidad; y la carne, hija mía, es la que los introduce en lo profundo del Infierno. Pero los hombres siguen viendo que el mundo está en una situación buena. Sólo los ciegos y los sordos pueden pensar así. ¡Ay, hijos míos!, los hombres se han olvidado de orar, los hombres no quieren renunciar a las pasiones, y por eso el rey del mundo, que es Satanás, está haciendo estragos en todos los lugares, hijos míos. Con oración, sacrificio y penitencia el demonio huye de los hogares, de los conventos y de todas aquellas comunidades que se han aletargado.

         Hija mía, la mayoría de los hombres están poseídos por Satanás, y como hoy no ven, hija mía, la posesión, ni tienen almas dispuestas a aplicar la gracia para echar los demonios de sus cuerpos, hija mía, cada día el mundo está más poseído por el demonio. Hay posesos, hija mía, a montones por todo el mundo; ¡que no aplican exorcismos para echar esos terribles demonios de sus pobres almas!; no encuentran quien les ayude a liberarse de esa esclavitud.

         Por eso hago un llamamiento a aquellas almas que tengan una preparación para hacer exorcismos, que liberen a estas pobres almas de los engaños y de la tristeza donde los ha engullido Satanás. Almas, aquéllas que tenéis poder para hacerlo: orad mucho y haced ayunos y penitencia, para poder liberar a tantas y tantas almas angustiadas.

         Hija mía, mira, casi medio mundo está poseído por el enemigo...
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, Dios mío, qué horror!, ¡ay!
     
     

         LA VIRGEN:

         El demonio se apodera de sus almas porque los hombres han abandonado a Dios y se encuentran en tinieblas, y quieren salir de esas tinieblas pero no encuentran la luz, porque no encuentran almas que les ayuden a salir de donde están metidos, hija mía. Orad mucho, orad. Ayunad, hijos míos, haced penitencia, para que los hombres vuelvan la mirada a Dios y se liberen, que están encadenados a Satanás, y sólo con la oración, el ayuno, se puede echar a estos demonios, hija mía.
     
     

         EL SEÑOR:

         ¡Ay, guías de los pueblos, ayudad a las almas, que hay almas necesitadas; ejerced vuestro ministerio y no perdáis el tiempo, muchos de vosotros, en críticas, en murmuraciones y en persecuciones! ¡Tanta necesidad como hay en las almas, hijos míos, y perdéis el tiempo! ¿No os da pena, hijos míos, que habéis olvidado de ejercer el ministerio que habéis escogido? Que muchos de vosotros sois funcionarios, os lo repito, hijos míos, no sois pastores de almas. Sed obedientes a la Iglesia, hijos míos. Obedeced al Vicario de Cristo y cambiad vuestras vidas, que hay mucha mies, hijos míos, pero pocos pastores. Os dedicáis muchos a sembrar, entre el trigo, cizaña, y esa cizaña no se puede sacar del trigo porque estáis dañándolo, hijos míos. ¿Por qué no sabéis reconocer el bien del mal? Ni entráis en el Cielo ni dejáis entrar. ¿No os da pena de perseguir tanto a los que quieren hacer la voluntad de Dios? ¡Ay, aquellos pastores cobardes que no han sido capaces de defender esta Obra y de seguir el camino que marqué para su propia salvación! ¡Ay, no rechacéis las gracias, hijos míos, que cuántas almas se acobardan de seguir a Cristo tal como Él vivió en la Tierra!; le siguen a medias. Os llamáis cristos, “cristificados”; pero, ¿os “cristificáis”, hijos míos? Cristo se “cristificó”: Cristo fue crucificado, fue calumniado, fue abofeteado; y vosotros no os dejáis aconsejar ni queréis escuchar la voz de Dios.

         Bebe unas gotas del cáliz del dolor, hija mía, por estas pobres almas... Esta amargura, hija mía, es la que sienten nuestros Corazones por los pecados de las almas tan queridas por nuestro Corazón. Pedid por ellos, hijos míos.
     
     

         LA VIRGEN:

         Y vosotros, sacerdotes queridos de nuestros Corazones, cambiad vuestras vidas, volved y recoged el rebaño, y dedicaos en cuerpo y alma a recoger los rebaños que están por ahí perdidos, hijos míos. Sed sacerdotes queridos de nuestros Corazones. Mirad al Cielo, hijos míos, y dejad las pasiones y retiraos del mundo. Aquéllos que no habéis tenido la fuerza de seguir mi voz, hijos míos, cómo os atraen los halagos y la voz de los hombres, rechazando la voz de Dios. ¡Qué triste está mi Corazón!

         Vosotros, hijos míos, todos los que acudís a este lugar: llenad vuestro espíritu de fortaleza y no os abandonéis, hijos míos; seguid el Evangelio, acercaos a los sacramentos, a la Penitencia, y vivid en unión con Dios, hijos míos. Amaos los unos a los otros. Tened caridad, hijos míos, unos con otros y perdonaos unos a otros. Y es cuando os podéis llamar míos. Orad; no dejéis de orar, hijos míos, ni de alimentaros con el Pan de Vida. Acudid a este lugar, que recibiréis muchas gracias, hijos míos, para vuestras pobres almas.

         Levantad todos los objetos, hijos míos; todos serán bendecidos para los pobres pecadores...

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

    7 octobre 2000

    Luz Amparo : Me permettez-vous de m'asseoir, Seigneur ?

    Notre Seigneur : Assieds-toi, ma fille.
    Plus de vénération pour Marie
    Ma fille, Me voici, Moi le Fils de Marie, Vierge et Immaculée. Je veux que l'on vénère ma Mère avec les titres que la Divine Majesté de Dieu lui a octroyés. Car les hommes veulent faire disparaître le nom de la Vierge Marie. Ils veulent la regarder comme femme de l'homme, mais non comme Mère de Dieu. Vénérez-la, mes enfants, car Elle est la Porte du Ciel; car Dieu veut se servir d'Elle pour sauver l'humanité.

    Les hommes, ma fille, ont des yeux et ne voient pas, des oreilles et n'entendent par. Je donne le message pour faire changer les coeurs des hommes, et les hommes, ma fille, au lieu d'écouter ma voix et de se convertir, se moquent de mes paroles.
    Conditions de la conversion des hommes
    Ma fille, il faut faire beaucoup de pénitences, beaucoup de sacrifices, pour que les âmes tournent leur regard vers Dieu.
    le mal
    Le monde est sans Dieu et les hommes sont des monstres qui tuent sans respecter les lois de Dieu; ils profanent leurs corps, ma fille, qui est instrument de sanctification, et leurs âmes, qui est la propriété de Dieu en vertu du Baptême. Ils disent que Je ne souffre pas ! Comment ne vais-je pas souffrir, ma fille, en voyant la situation de l'humanité ! Et ce qui afflige le plus mon Coeur, c'est de voir mes âmes choisies s'écarter du troupeau.

    Luz Amparo : Ah, Seigneur, je prie pour elles, et je m'offre comme victime de réparation...

    Notre Seigneur : Tous les pécheurs, ma fille, me font souffrir. Mais mon Coeur ressent une grande amertume à cause de mes âmes, de mes prêtres, de mes consacrés. Mes enfants, venez à moi ! Aussi graves que soient vos fautes, mes enfants, plus grande est ma miséricorde. Aimez l'Église, mes enfants, obéissez-lui. Le monde sans Dieu est malade ; c'est pourquoi, mes enfants, vous devez beaucoup travailler pour guérir les âmes. Ne vous relâchez pas, mes enfants. Mon Coeur vous aime tant ! Mais vous, mes enfants, vous me méprisez, vous m'humiliez. Quant à ceux qui sont bons, mes enfants, vous les empêchez d'agir car...

    Luz Amparo : Ah, ah, mon Dieu...!

    Notre Seigneur :... non seulement vous n'entrez pas au ciel, mes enfants, mais vous ne laissez pas les autres y entrer.

    Luz Amparo : Ah! Mon Dieu, je t'implore pour tous...
    Sécheresse de coeur des prêtres
    Notre Seigneur : Ce qui afflige le plus mon Coeur, ma fille, c'est l'infidélité de mes âmes consacrées, c'est le manque d'amour de mes prêtres, Mon Coeur les aime tant ! Or combien sont-ils Or combien sont-ils à correspondre très mal à cet amour !

    Les hommes ont oublié le sacrifice et la pénitence, et c'est pourquoi, ma fille, le monde s'achemine vers la perdition.

    Priez, mes enfants, priez, faites pénitence et sacrifiez-vous pour pouvoir sauver l'humanité.
    Satan
    Le monde est entre les mains de Satan. Seule la prière, mes enfants, avec le sacrifice et la pénitence, fera fuir le malin. Les hommes, ma fille, affligent tellement mon Coeur !

    Luz Amparo : Seigneur, je veux réparer les péchés de tous les hommes. Aide-moi à être forte. Donne-moi la force, Seigneur !

    Notre Seigneur : Ma fille, le sacrifice et la pénitence font beaucoup de bien aux âmes, mais les âmes ne savent pas prier ni se sacrifier, et c'est pourquoi les hommes sont possédés par Satan.
    Ne voyez-vous pas la situation du monde, mes enfants ? Les hommes ne se respectent pas les uns les autres ; dans les foyers, il n'y a ni amour ni paix ; les mères tuent leurs enfants dans leurs entrailles ; la plupart des couvents, sont tombés en léthargie, et mes prêtres bien-aimés s'écartent de leur ministère ; prie beaucoup pour eux, ma fille.
    Exortations
    Je demande le sacrifice, la pénitence et la prière, mes enfants. Faites des visites au Très Saint Sacrement. Approchez-vous de l'Eucharistie et passez (d'abord) par la Pénitence, mes enfants. Revenez, mes enfants, sur le chemin de la perfection. Observez les lois (de Dieu), les Dix Commandements, mes enfants. Aimez nos Coeurs.
    Jésus promet le bonheur sur la terre [la paix du coeur] et dans l'éternité
    Et vous, prêtres bien-aimés de mon Coeur, venez à Moi, et Moi Je vous donnerai le bonheur sur la terre et dans l'éternité. Priez pour les pauvres pécheurs, mes enfants. Priez et faites pénitence.

    La Très Sainte Vierge : Levez tous les objets, mes enfants, ils seront tous bénis pour les pauvres pécheurs. Je vous bénis mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.

    MENSAJE DEL DÍA 7 DE OCTUBRE DE 2000, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

           LUZ AMPARO:

         ¿Me dais permiso, Señor, para sentarme?
     
     

           EL SEÑOR:

         Siéntate, hija mía.

         Hija mía, aquí estoy, el Hijo de María Virgen e Inmaculada. Quiero que se venere a mi Madre con los títulos que la Divina Majestad de Dios le ha otorgado. Que los hombres quieren hacer desaparecer el nombre de María Virgen; la quieren dejar como mujer del hombre no como Madre de Dios. Hijos míos, veneradla, porque es la Puerta del Cielo, porque Dios la quiere para la salvación de la Humanidad.

         Los hombres, hija mía, tienen ojos y no ven, y orejas y no oyen. Yo traigo la palabra para hacer cambiar los corazones de los hombres, y los hombres, hija mía, en vez de escuchar mi voz y convertirse, se mofan de mis palabras. Hija mía, hay que hacer mucha penitencia, mucho sacrificio, para que las almas vuelvan la mirada a Dios. El mundo está sin Dios, y los hombres son monstruos que matan sin respetar las leyes de Dios; profanan sus cuerpos, hija mía, instrumento de santificación, y sus almas, herencias de Dios por el Bautismo. Dicen que no sufro; ¿cómo no voy a sufrir, hija mía, viendo la situación de la Humanidad? Y lo que más angustia mi Corazón es ver a mis almas escogidas cómo se desvían del redil.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, Señor!, yo pido por ellas y me ofrezco víctima de reparación.
     
     

         EL SEÑOR:

         Todos los pecadores, hija mía, me causan dolor, pero mi Corazón siente mucha amargura por mis almas, por mis sacerdotes, por mis consagrados.

         Hijos míos, venid a mí, que por muy graves que sean vuestras culpas, mayor es mi misericordia, hijos míos. Amad a la Iglesia, hijos míos, obedecedla. El mundo sin Dios está enfermo; por eso, hijos míos, tenéis que trabajar mucho para sanar las almas. No os abandonéis, hijos míos, ¡os ama tanto mi Corazón!; pero vosotros, hijos míos, me despreciáis, me humilláis. Y aquéllos que sois buenos, hijos míos, no os dejan porque...
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, ay, Dios mío!...
     
     

           EL SEÑOR:

         Ni entráis ni dejáis entrar en el Cielo, hijos míos.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, Dios mío!, te pido por todos.
     
     

         EL SEÑOR:

         Lo que más angustia mi Corazón, hija mía, es la infidelidad de mis almas consagradas, es el desamor de mis sacerdotes. Los ama tanto mi Corazón, y cuántos de ellos corresponden muy mal a este amor. Los hombres han olvidado el sacrificio y la penitencia, y por eso el mundo camina hacia la perdición, hija mía.

         Orad, hijos míos, orad, haced penitencia y sacrificios para poder salvar a la Humanidad. El mundo está en manos de Satán. Sólo con oración, hijos míos, con sacrificio y penitencia huirá el maligno, hijos míos. ¡Los hombres, hija mía, afligen tanto mi Corazón!
     
     

         LUZ AMPARO:

         Señor, yo quiero reparar el pecado de todos los hombres. Ayúdame a ser fuerte. Dame fortaleza, Señor.
     
     

         EL SEÑOR:

         Hija mía, el sacrificio y la penitencia hacen mucho bien a las almas, pero las almas no saben orar ni sacrificarse, y por eso a los hombres los posee Satanás.

         ¿No veis la situación del mundo, hijos míos?; que los hombres no se respetan unos a otros, que en los hogares no hay amor ni paz, que las madres matan a sus hijos dentro de sus entrañas, que en la mayoría de los conventos están aletargados, y mis sacerdotes queridos se desvían de su ministerio; ora mucho por ellos, hija mía.

         Sacrificio pido y penitencia. Oración, hijos míos. Haced visitas al Santísimo. Acercaos a la Eucaristía y pasad por la Penitencia, hijos míos. Volved, hijos míos, al camino de la perfección. Cumplid las leyes, los diez mandamientos, hijos míos. Amad nuestros Corazones.

         Y vosotros, sacerdotes queridos de mi Corazón, venid a mí, que yo os daré felicidad en la Tierra y en la eternidad. Orad por los pobres pecadores, hijos míos, orad y haced penitencia.
     
     

         LA VIRGEN:

         Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos para los pobres pecadores...

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

    4 novembre 2000

    Notre Seigneur : Ma fille, il faut continuer à réparer pour ces âmes. Ces âmes se sont introduites dans le monde. Leur infidélité, ma fille, les empêche de retourner sur le véritable chemin ; ils ne pensent, ma fille qu'au sang, à la chair, et au foyer qui les a vus naître. Ils se sont donnés à Dieu, ma fille, mais ils ne Le suivent qu'à moitié. N'est-il pas triste, ma fille, que des âmes si chères ne Me suivent qu'à moitié ?
    Ah, pasteurs de mon Église, qui ne vous conduisez pas par le chemin de la vérité et vous laissez entraîner par les flatteries de la chair et du sang et vos amitiés, mes enfants ! Renoncez aux affaires domestiques, à la chair et au sang, et suivez Dieu, votre Créateur. Occupez-vous des âmes, mes enfants, car il y a beaucoup d'âmes qui ont besoin de vous et vous ne vous en souciez guère !
    Crie, ma fille, pour que les pasteurs de mon Église entendent ma Voix et la transmettent aux hommes ; en effet, Dieu est triste parce que les hommes se sont détournés de Son regard et ont recouvert la terre de crimes et de péchés.
    Guides des peuples, enseignez aux hommes l'Évangile. Apprenez-leur à fréquenter l'Église, à s'alimenter aux canaux qui s'y trouvent, et à s'abreuver aux sources de la grâce. Les hommes se sont relâchés, et le monde est aux mains de Satan. Ne le voyez-vous pas, mes enfants ? Ne faites pas les sourds, cueillez les bons fruits et sélectionnez-les. Ah, mes enfants, qui faites la sourde oreille et ne voulez pas écouter mes paroles ! Votre orgueil, mes enfants, vous empêche de voir et d'entendre. Qui êtes-vous donc pour imposer des limites à Dieu ! Dieu se manifeste à qui Il veut, comme Il veut et quand Il veut. Pourquoi êtes-vous si obstinés et vous entêtez-vous à ne pas écouter la paroles de Dieu ! Examinez vos vies, et vous comprendrez pourquoi Dieu descend sur la terre : pour vous apprendre à mettre l'Évangile en pratique. Il ne vient que pour vous rappeler l'Évangile, car beaucoup d'entre vous, vous vous êtes égarés e vous vivez selon vos propres goûts. Prêchez au hommes, mes enfants, les vérités que renferme l'Écriture et ne vous laissez pas dominer par vos goûts et vos caprices. Soyez des prêtres saints, mes enfants, car les âmes sont dans le plus grand besoin. Ne voyez-vous pas l'invasion des démons dans le monde ? Ils ont envahi le monde, mes enfants ; vous devez aider les âmes à sortir des ténèbres où les tient Satan. Beaucoup d'âmes ne trouvent pas de consolation et ne savent où se décharger de leurs fautes ; beaucoup veulent se libérer de Satan, mais elles ne trouvent pas de prêtres préparés pour expulser les démons de leurs esprits. Mes enfants, la seule chose que Je vous demande, c'est d'enseigner aux hommes les vérités de l'Évangile, afin qu'ils tournent leur regard vers Dieu et se repentent.
    Ah, jeunesse ! Jeunesse endurcie ! Ne vous rendez-vous pas compte, mes enfants, que le démon veut s'emparer de vos âmes et vous introduit dans les plaisirs et les jouissances ?
    Ah, hommes de peu de volonté, qui n'acceptez ni les lois naturelles ni les lois divines !
    Vous ne vous acceptez pas vous-mêmes tels que vous êtes, mes enfants. Que les hommes s'acceptent comme hommes, et que les femmes s'acceptent comme femmes ! N'adultérez pas vos corps, mes enfants : ce sont les temples de l'Esprit Saint. Ne prenez pas de mauvais pendants, mes enfants.
    Bois quelques gouttes du calice de la douleur, ma fille, pour tant d'offenses que commettent ces âmes (elle prend à deux mains une coupe invisible ; on l'entend boire et tousser). Ma fille, quelle grande douleur causent à mon Coeur les péchés d'impureté des hommes, et le fait que chacun ne s'accepte pas tel qu'il est. Et quelle douleur causent à mon Coeur mes âmes choisies, car il y en a beaucoup aussi qui ne s'acceptent pas comme elles sont. Comment Dieu ne serait-Il pas triste en voyant que ses créatures ont des penchants pour le mal sans vouloir s'accepter elles-mêmes ni accepter la volonté de Dieu?
    Ah, hommes qui avez abandonné la prière et qui ne connaissez pas le sacrifice ni la pénitence ! Si le monde est dans l'état où il est, mes enfants, c'est parce que les hommes piétinent les grâces et foulent aux pieds les sacrements. Approchez-vous de la Pénitence, mes enfants, du sacrement de l'Eucharistie. Tous ceux qui mangeront mon Corps et boiront mon Sang auront la vie éternelle. Aimez la Sainte Église, approchez-vous d'elle, mes enfants, et elle, elle vous apprendra à aimer Dieu. Aimez le Saint Père.
    Et vous, prêtres, évêques et cardinaux, obéissez à ce saint homme et protégez-le. Comme il souffre à cause des désobéissances, mes enfants ! C'est un saint homme, (un saint Pape) comme il n'y en a jamais eu sur la terre, un homme tout donné à Dieu et qui unit les hommes sans tenir compte de leur race ni de leur couleur, sans se soucier de lui-même mais en pensant constamment aux autres. Imitez-le, mes enfants, imitez-le, et vous verrez comme vous marcherez sur le chemin de la perfection.
    Priez, mes enfants, n'oubliez pas la prière. Avec la prière, le démon s'enfuit des âmes. Et priez beaucoup pour qu'il y ait de saints prêtres qui puissent expulser des âmes les ennemis qui s'y introduisent. Satan est très rusé et il s'introduit dans les âmes pour les contaminer les unes les autres. Prenez garde, mes enfants, n'abandonnez pas les sacrements, priez beaucoup, car la prière met Satan en fuite.
    Oui, mes enfants, Je veux des âmes qui soient capables de tout donner par amour pour Moi, et qui n'en restent pas aux affaires temporelles, aux attachements à la chair, au sang et au foyer, car la plupart se détachent de Dieu pour s'attacher aux choses mortelles.
    Continuez à prier. Ma fille, regarde combien d'âmes sont sur le point de parvenir au Ciel à cause de votre prière. L'une d'entre elles va se faire le porte-parole de toutes.

    Une âme du Purgatoire : Merci, merci pour tant de prières dédiées à nos âmes. Merci parce que beaucoup d'entre nous, nous n'avons pas reçu une seule prière de nos êtres chers. Nous avons reçu des larmes, mais pas de prières, et les larmes ne nous ont servi à rien. Regarde, ma soeur, quelle horrible souffrance ressentent nos âmes, parce que nous sommes privées de prières, et quel soulagement nous éprouvons lorsqu'une prière vient vers nous. En effet, le plus grand des tourments de la terre est le plus petit que nous subissons ici. On ne peut pas comparer les souffrances de la terre avec celles du Purgatoire ; (ici) le plus petit tourment est plus douloureux que n'importe quelle souffrance de la terre, aussi grande et douloureuse qu'elle soit. Notre douleur est plus grande qu'aucune autre douleur, parce que nous désirons voir Dieu, nous avons un désir immense de voir Dieu. Priez pour nous, afin que nous puissions aller vers le Créateur. Beaucoup d'entre nous sommes ici depuis des milliers d'années, parce qu'il y a très peu de prière. Nos familles nous aiment et nous chérissent beaucoup, mais quand nous cessons d'exister, elles ne font que verser des larmes, elles ne font pas de prières et ne participent pas au Saint Sacrifice de la Messe, qui a une si grande valeur pour nous. Présentez des suffrages pour nous, offrez pour nous des prières, et nous aussi nous collaborerons un jour avec vous, pour vous aider. Regarde toute la puissance d'une seule prière remplie de charité et d'amour...

    Luz Amparo : oh, comme elles volent vers le Ciel ! Oh! Oh! Oh!

    L'âme du Purgatoire : Oh! merci, merci pour les prières. Nous ne pouvons rien dire d'autre que merci.

    Luz Amparo : Oh, quelle grandeur, mon Dieu, oh!...

    L'âme du Purgatoire : La charité a une grande valeur pour soulager nos peines et pour nous permettre de parvenir à la Gloire du Ciel, avec la prière et le Saint Sacrifice de la Messe. Priez pour nous. Merci encore.

    Notre Seigneur : Tu vois, ma fille, combien la charité et l'amour sont utiles ? Or les hommes ne s'aiment pas eux-mêmes et ne s'aiment pas les uns les autres. Comment se souviendraient-ils des autres ! C'est pourquoi, ma fille, la Terre subit tant de châtiments. Depuis combien d'années t'ai-Je dit qu'il y aurait des trombes d'eau, des ouragans, des mers débordées, des nations englouties sous les décombres, parce que les hommes ne tournent pas leur regard vers Dieu ! Sans Dieu, mes enfants, l'homme n'est rien, c'est un mort, ma fille, un mort vivant. Et ceux qui se disent chrétiens pratiquants et qui participent au péché des hommes, et qui pèchent par omission en ne s'écartant pas de ceux qui offensent Dieu et en ne les oubliants pas ! Que vous êtes cruels, mes enfants, comme vous prenez part à l'offense faite à Dieu ! Changez vos vies et aimez Dieu par-dessus toutes choses ! Qui observe ce commandement, mes enfants ? Ni les laïcs, ni les prêtres, ni les religieux. Tous font passez leur père, leur mère, leur frère, leur soeur, avant Dieu leur Créateur. Aimez Dieu, votre Créateur, mes enfants. Observez les Commandements. Tous ceux qui observeront les Commandements seront sauvés. Aimez-vous les uns les autres, mes enfants. Pratiquez la charité. Combien d'âmes, qui sont venues en ce lieu, se sont sauvées et jouissent maintenant de l'éternité (bienheureuse)! Voilà, en vérité, une joie pour nos Coeurs.
    Venez en ce lieu, mes enfants, Je changerai vos vies, et Je vous apprendrai à aimer l'Église et à fréquenter les sacrements. Aimez nos Coeurs, mes enfants ! Combien parmi les âmes qui viennent en ce lieu...(Luz Amparo pousse un cri d'admiration). Regarde quelle joie, ma fille, regarde quelle joie éprouvent nos Coeurs à cause de tant et tant d'Ave Maria qui réjouissent nos Coeurs, et pour chaque Ave Maria, ce sont des jardins qu'elles se sont préparés dans le Ciel.

    Luz Amparo : Oh, quelle beauté !

    Notre Seigneur : Soyez fermes, mes enfants, et persévérez. Ne vous lassez pas, mes enfants ! Venez, priez le saint Rosaire. Venez en ce lieu, et Je vous bénirai, mes enfants. Aimez-vous les uns les autres, voilà le Commandement le plus important, mes enfants.

    La Très Sainte Vierge : Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.

    MENSAJE DEL DÍA 4 DE NOVIEMBRE DE 2000, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         EL SEÑOR:

         Hija mía, hay que seguir reparando por estas almas. Estas almas están introducidas en el mundo; su infidelidad, hija mía, no las hace retornar al verdadero camino; sólo piensan, hija mía, en la sangre, en la carne, en el hogar que las vio nacer; se han entregado a Dios, pero lo siguen a medias, hija mía. ¿No es triste que unas almas tan queridas me sirvan a medias, hija mía?

         ¡Ay, pastores de mi Iglesia, que no os conducís por el camino de la verdad, y os dejáis arrastrar por los halagos de la carne y de la sangre y vuestras amistades, hijos míos! Renunciad a lo doméstico, a la carne y a la sangre, y seguid a Dios, vuestro Creador. Ocupaos de las almas, hijos míos, que hay muchas almas que os necesitan, y no os preocupáis de ellas.

         Grita, hija mía, para que los pastores de mi Iglesia oigan mi voz y la transmitan a los hombres; que Dios está triste, porque los hombres han abandonado la mirada de Dios, y han cubierto la Tierra de crímenes y de pecados.

         Guías de los pueblos, enseñad a los hombres el Evangelio. Enseñadles que vayan a la Iglesia y que se alimenten de los canales que hay en ella, y beban de las fuentes de gracia. Que los hombres se han abandonado y el mundo está en manos de Satanás. ¿No lo veis, hijos míos? No os hagáis los sordos y coged los frutos buenos y seleccionadlos. ¡Ay, hijos míos, que os hacéis los sordos y no queréis escuchar mis palabras! Vuestra soberbia no os deja ver ni oír, hijos míos. ¿Quién sois vosotros para limitar a Dios? Dios se manifiesta a quien quiere, como quiere y cuando quiere. ¿Cómo sois tan obstinados y os empeñáis en no escuchar la palabra de Dios? Revisad vuestras vidas y veréis a lo que baja Dios a la Tierra: a enseñaros que cumpláis con el Evangelio. Sólo a recordároslo, hijos míos; porque muchos de vosotros os habéis desviado y vivís según vuestros gustos. Predicad a los hombres, hijos míos, las verdades que hay escritas y no os dejéis dominar por vuestros gustos y vuestros caprichos. Sed sacerdotes santos, que las almas están muy necesitadas, hijos míos. ¿No veis la invasión, que hay en el mundo, de los demonios? Han invadido el mundo, hijos míos; tenéis que ayudar a las almas a sacarlas de las tinieblas que las tiene Satanás. Muchas almas no encuentran consuelo donde descargar sus culpas, y muchas quieren liberarse de Satán, pero no encuentran sacerdotes preparados para expulsar los demonios de sus espíritus. Hijos míos, sólo os pido que enseñéis a los hombres las verdades del Evangelio, para que los hombres vuelvan la mirada a Dios y se arrepientan.

         ¡Ay, juventud, juventud empedernida! ¿No os dais cuenta, hijos míos, que el demonio quiere apoderarse de vuestras almas y os introduce en los placeres, en los gozos?

         ¡Ay, hombres de poca voluntad, que no aceptáis ni las leyes naturales, ni las divinas!

         ¿No os aceptáis vosotros mismos como sois, hijos míos? Aceptaos como hombres los que sean hombres y como mujeres las que sean mujeres. No adulteréis vuestro cuerpo, hijos míos; son templos del Espíritu Santo. No toméis malas inclinaciones, hijos míos.

         Bebe unas gotas del cáliz del dolor, hija mía, por tantas ofensas como cometen estas almas... Hija mía, cuánto dolor causan a mi Corazón los pecados de impureza de los hombres, de no aceptarse cada uno como es. Y cuánto dolor causan a mi Corazón mis almas escogidas, que también hay muchas que no se aceptan como son. ¿Cómo Dios no va a estar triste viendo a sus criaturas que se inclinan por el mal sin querer aceptarse a sí mismos ni aceptar la voluntad de Dios?

         ¡Ay, hombres, que habéis dejado la oración y no conocéis el sacrificio ni la penitencia! Por eso el mundo está en las condiciones que está, hijos míos; porque los hombres pisotean las gracias y pisotean los sacramentos. Acercaos a la Penitencia, hijos míos, al sacramento de la Eucaristía. Todo el que coma mi Cuerpo y beba mi Sangre tendrá vida eterna. Amad a la Santa Iglesia, acercaos a ella, hijos míos; ella os enseñará a amar a Dios. Amad al Santo Padre.

         Y vosotros, sacerdotes, obispos, cardenales, obedecedle a ese santo varón, y protegedle. ¡Cuánto sufre por las desobediencias, hijos míos! Es un santo varón como jamás ha habido en la Tierra; un varón entregado a Dios y uniendo a los hombres, sin importarle razas ni colores, sin mirar por sí mismo, sino mirando por los demás constantemente. Imitadle, hijos míos, imitadle, y veréis cómo camináis por el camino de la perfección.

         Orad, hijos míos, no os olvidéis de la oración; con la oración, el demonio huye de las almas. Y orad mucho para que haya sacerdotes santos, que puedan expulsar las almas de los enemigos que se introducen dentro de ellas. (1) Satanás es muy astuto y se introduce dentro de las almas, para ir contagiando unas a otras; tened cuidado, hijos míos, no os abandonéis en los sacramentos, orad mucho, que Satanás huye con la oración.

         Sí, hijos míos, quiero almas que sean capaces de darlo todo por mi amor, no que se queden en el tiempo, en los apegos de la carne y de la sangre y del hogar; que la mayoría se despegan de Dios para apegarse a lo mortal.

         Seguid orando, hija mía. Mira cuántas almas hay, por vuestra oración, a punto de llegar al Cielo.

         Una de ellas va a ser portavoz de todas.
     
     

         ALMA DEL PURGATORIO:

         Gracias, gracias por tantas oraciones dedicadas a nuestras almas. Gracias porque muchas de nosotras no hemos recibido ni una sola oración de nuestros seres queridos. Hemos recibido lágrimas, pero oraciones no, y las lágrimas no nos han servido de nada. Mira, hermana mía, qué sufrimiento tan horrible sienten nuestras almas, porque carecemos de la oración, y qué alivio sentimos cuando viene una oración a nosotros; porque el más grande tormento que hay en la Tierra es el más pequeño que sufrimos nosotros aquí. No se puede comparar los tormentos de la Tierra con los tormentos del Purgatorio; el más pequeño es más doloroso que cualquier sufrimiento de la Tierra por muy grande y muy doloroso que sea. Nuestro dolor es más grande que ningún dolor, porque deseamos ver a Dios, tenemos ansias inmensas de ver a Dios. Orad por nosotras para que podamos ir al Creador. Muchas estamos aquí millones de años porque hay muy poca oración. Nuestras familias nos quieren y nos aman mucho, pero cuando dejamos de existir sólo echan lágrimas, no hacen oración ni oyen el Santo Sacrificio de la Misa, que tiene tanto valor para nosotras. Haced sufragios por nosotras, ofrecednos oraciones, que nosotras también colaboraremos un día con vosotras, para ayudaros. Mira cuánto puede hacer una sola oración llena de caridad y de amor.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, cómo vuelan al Cielo! ¡Ay...!
     
     

         ALMA DEL PURGATORIO:

         ¡Gracias, gracias por las oraciones! No podemos decir otra palabra, nada más que gracias.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, qué grandeza, Dios mío! ¡Ay...!
     
     

         ALMA DEL PURGATORIO:

         La caridad vale mucho para calmar nuestras penas y para llegar a la Gloria, la oración y el Santo Sacrificio de la Misa. Orad por nosotros. Gracias, otra vez.
     
     

         EL SEÑOR:

         ¿Ves, hija mía, cuánto sirve la caridad, el amor? Y los hombres no se aman ellos mismos, ni unos a otros. ¡Cómo se van a acordar de los demás! Por eso, hija mía, la Tierra es tan castigada. ¡Cuántos años, te dije que vendrían trombas de agua, huracanes, mares desbordados, naciones engullidas bajo los escombros, porque los hombres no vuelven su mirada a Dios! Hijos míos, sin Dios el hombre no es nada, está muerto, es un muerto viviente, hija mía; y aquéllos que se llaman cristianos practicantes, y participan en el pecado de los hombres y pecan de omisión, sin retirarse y olvidarse de aquéllos que ofenden a Dios. ¡Qué crueles, hijos míos; cómo sois partícipes de la ofensa a Dios! ¡Cambiad vuestras vidas y amad a Dios sobre todas las cosas! ¿¡Quién cumple este mandamiento, hijos míos!? Ni los laicos, ni los sacerdotes, ni los religiosos. Todos anteponen antes a su padre, a su madre, a su hermano, a su hermana, antes que a Dios su Creador. Amad a Dios vuestro Creador, hijos míos. Cumplid los mandamientos. Todo el que cumpla los mandamientos se salvará. Amaos los unos a los otros, hijos míos; practicad la caridad. ¡Cuántas almas, que han llegado a este lugar, se han salvado y están gozando de la eternidad! Eso sí que es un gozo para nuestros Corazones.

         Acudid a este lugar, hijos míos, que yo cambiaré vuestras vidas y os enseñaré a amar a la Iglesia y a frecuentar los sacramentos. Amad nuestros Corazones, hijos míos. ¡Cuántas almas de las que acuden a este lugar...!
     
     

         LA VIRGEN:

         Mira qué gozo, hija mía, mira, qué gozo siente nuestro Corazón de tantas y tantas avemarías que alegran nuestros Corazones, y son jardines que tienen preparados en el Cielo por cada avemaría.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Oy, qué belleza!...
     
     

         EL SEÑOR:

         Sed firmes, hijos míos, y perseverad. No os hartéis, hijos míos. Venid, rezad el santo Rosario. Acudid a este lugar, que yo os bendeciré, hijos míos. Amaos unos a otros, ése es el mandamiento más importante, hijos míos.
     
     

         LA VIRGEN:

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

    (1) Frase de construcción equívoca. Al transmitir la vidente el contenido del mensaje, en este punto, parece omitir una preposición y trasponer otra. Salvando el sentido que consideramos propio, quedaría, pues, así: “Y orad mucho para que haya sacerdotes santos, que puedan expulsar de las almas a los enemigos que se introducen en ellas”.

    2 décembre 2000

    La Très Sainte Vierge : Me voici, ma fille, Moi qui suis la Mère des délaissés.

    Notre Seigneur : Bois quelques gouttes du calice de la douleur, ma fille (Amparo boit et tousse). C'est amer, ma fille, mais en même temps cela te fortifie.
    Aimer et réparer - vouloir aimer Jésus
    Aime-Moi beaucoup, ma fille, et fais-Moi aimer. Répare pour tes misères, ma fille, et pour celles des autres. Quand Je vois que les âmes réparent pour les misères des autres et pour leurs propres misères, mon Coeur se déverse en elles et Je me réfugie dans leurs coeurs. Quand Je vois qu'elles veulent M'aimer, peu m'importent leurs misères, c'est leur amour qui compte pour Moi. C'est pourquoi, ma fille, Je te demande de Me faire aimer par les âmes, et de ne pas te laisser affliger par les diffamations et les calomnies.
    en Jésus: justice et miséricorde
    Prie pour ces pauvres âmes qui enlèvent (des passages) de l'Évangile et qui en rajoutent à leur guise ; elles se fabriquent un Évangile à leur goût ; c'est ainsi qu'elles considèrent toujours la miséricorde, mais pas ma justice. Or, ma justice est l'égal de ma miséricorde. Et Je l'appliquerai sur eux, afin qu'ils en prennent conscience, et qu'ils n'aillent pas dire aux hommes que J'use seulement de ma miséricorde. Je suis le Juge suprême des vivants et des morts. Mon Coeur se déverse sur les âmes qui ont le désir de M'aimer, d'être fidèles et de Me respecter.
    Mais, combien mon Coeur souffre, ma fille, à cause de l'infidélité de mes âmes ! C'est pourquoi Je quémande, comme un mendiant, un peu d'amour, et
    sais-tu qui retient Ma colère, ma fille ? (Ce sont) ces âmes qui ont le désir de M'aimer, ce sont elles qui arrêtent mon bras. Regarde, ma fille, les hommes disent que Je ne mets pas en oeuvre ma justice. Si Je ne la mettais pas en oeuvre, ces âmes ne seraient pas en ce lieu, elles seraient toutes en cet autre lieu...
    Vision de l'enfer
    Luz Amparo (elle a une vision de l'enfer) : Oh, quelle horreur ! Oh, quelle horreur !
    Notre Seigneur : Mais Je ne veux pas que ton coeur souffre.
    Vision du Paradis
    Regarde la félicité de ces autres, ma fille (elle contemple une demeure céleste). Ils sont tous arrivés là par leur amour, leur obéissance et leur fidélité. Ils ont tous atteint ce lieu, aussi pécheurs qu'ils soient ; s'ils ont la volonté et s'ils viennent à Moi, Je leur pardonne, Je leur ouvre mes bras et les étreins éternellement. Mais ceux qui ne veulent pas faire ma volonté et qui commentent des homicides, ma fille, se changent en fauves blessés par la haine et par le mépris des âmes. Moi, qui suis tout Amour, J'ai appris aux hommes à s'aimer, et qu'ont-ils fait de mon Commandement, ma fille ? Ce ne sont que désunions, haines et destructions.
    Jésus n'est pas aimé
    Moi qui suis descendu (du Ciel), ma fille, pour donner la Vie aux âmes par ma mort, regarde comme elles ont mal correspondu à cet amour ! Moi qui ai tant souffert pour elles, Moi dont le Coeur était comme un volcan de feu, et qui ai institué l'Eucharistie afin qu'elles viennent toutes s'alimenter de mon Corps et de mon Sang ; Je l'ai instituée par amour, et que font-ils, ma fille ? Comment correspondent-ils à cet amour ? En foulant aux pieds mon Corps.
    Communions en état de péché mortel= sacrilèges
    Comment beaucoup d'âmes me reçoivent-elles, ma fille ? En état de péché mortel. Que de sacrilèges commet-on avec nom Corps, ma fille ! Moi qui ai dit : "Celui qui mangera mon Corps et boira mon Sang aura la vie éternelle", Je souffre aussi de voir que cela sert de condamnation à beaucoup, car ils Me reçoivent en état de péché mortel, ma fille.
    se confesser
    C'est pourquoi Je vous demande : Mes enfants, allez au sacrement de la Pénitence, confessez vos fautes et venez ensuite recevoir le Corps du Christ. Mais ne semez pas votre condamnation en Me recevant en état de péché mortel, mes enfants ! Approchez-vous du sacrement de la Pénitence, beaucoup d'entre vous ne le font pas, mes enfants. Confessez vos fautes, mes enfants, et recevez-Moi dignement. N'outragez plus le Corps du Christ, mes enfants ! Allez à la Pénitence : le prêtre vous pardonnera vos fautes, et approchez-vous (ensuite) de l'Eucharistie, Je vous donnerai la force et Je raviverai votre foi, afin que vous demeuriez dans mon amour. Je serai toujours avec tous ceux qui demeureront dans mon amour.
    Mes enfants, aimez-vous les uns les autres, Je demande la charité entre les hommes. Et tous ceux qui suivront mon chemin auront une place près de Moi dans l'éternité, ma fille.
    guides des peuples
    Et vous, guides des peuples, expliquez aux hommes les vérités de l'Évangile ; n'omettez pas, n'ajoutez pas non plus, selon votre caprice, mes enfants. Malheur à vous qui enlevez ou qui rajoutez !
    messages catastrophistes?
    Comment mes messages, mes messages catastrophiques - comme vous dites, mes enfants -, peuvent-ils vous effrayer ? Ne voyez-vous donc pas (ce que dit) la Bible ? Ou serait-ce que vous n'y croyez pas ? C'est la Parole de Dieu ; expliquez-la telle qu'elle est écrite, mes enfants, et enseignez les vérités aux hommes. Comment pouvez-vous supprimer ce que vous voulez ? Votre infidélité, mes enfants, vous a rendus aveugles, et c'est pourquoi vous cachez ce que vous voulez, et vous parlez de choses dont vous n'avez pas à parler. Ne craignez-vous pas, mes enfants, que Je puisse appliquer ma justice sur vous ?
    Comment pouvez-vous persécuter ceux qui essaient de vivre l'Évangile alors que ceux qui sont avec Moi ne sont pas contre Moi ? Quels motifs avez-vous pour les persécuter et les calomnier ? Votre conscience ne vous tourmente-t-elle pas, mes enfants ? Où est votre charité, votre amour du prochain ? Gardez ce qui est bon et ne cherchez pas toujours ce qui est négatif. Qui êtes-vous pour dire au Dieu Tout-Puissant à qui, où et quand Il doit se manifester ? Et vous m'imposez aussi des limites de temps. Si vous aviez la foi, mes enfants, vous n'auriez peur de rien. Serait-ce que vous n'êtes pas tranquilles vous-mêmes ? Cherchez ce qui est positif, et ne détruisez pas les âmes.

    Quand à vous, n'ayez pas peur de ceux qui veulent vous détruire. Je suis avec vous, qui pouvez-vous donc craindre ? Et ne passez pas tellement les messages au crible. Le message divin est très difficile à comprendre, mes enfants. Toi, ma fille, communique-le en entier, et ne t'inquiète pas si chacun le comprend à raison de son intelligence. Mon temps n'est pas le temps de la Terre, et mes paroles sont imprégnées de grâce et de vie éternelle.
    Purgatoire
    Il y a des âmes au Purgatoire, Je le répète, pendant des siècles de mon temps à Moi, et non du vôtre, mes enfants.
    Jean-Paul II
    Et en ce qui concerne le Saint Père, mes enfants, Je vous le répète, c'est un saint homme sur la Terre, martyr pour l'humanité, qui unit les peuples et des nations entières. C'est un saint homme, et Je le répète, après Pierre, le plus saint de tous les Papes.

    Prière
    Mais, mes enfants, celui qui est en état de grâce sait discerner toutes choses. Aimez beaucoup les âmes, et priez beaucoup pour l'Église, mes enfants, et pour ceux qui en font partie ; priez pour le Vicaire du Christ. Priez, mes enfants, priez. Ne vous relâchez pas dans la prière.
    pourquoi le monde va mal
    Si le monde, en effet, est dans la situation où il est, c'est parce que les hommes n'élèvent pas leur regard vers Dieu ; que les foyers sont sans Dieu, et que les hommes font passer toutes choses avant Dieu. Et mon Coeur est triste à cause de mes âmes bien-aimées.

    Je le répète encore une fois, mes enfants ; ne soyez pas des fonctionnaires, soyez des pasteurs de mon Église ; réunissez les troupeaux qui sont éparpillés, et apprenez-leur les vérités de l'Évangile ; et surtout, mes enfants, Je vous demande la charité ; usez de votre charité avec le prochain. Le plus important, c'est l'amour. Comment pouvez-vous avoir l'âme tranquille, mes enfants, alors que vous persécutez les âmes qui essaient de vivre l'Évangile ?
    chacun est jugé selon ses actes
    Enseignez aux hommes que Je suis Juge, et que Je les jugerai selon leurs oeuvres, enseignez-leur que Dieu n'est pas catastrophique, mais qu'Il est Juge, et qu'Il jugera chacun selon son comportement.
    Jésus cause une division entre les hommes
    Et Je viendrai sur la terre et J'apporterai la guerre, la mère se dressera contre le fils, le fils contre la mère, la belle-mère contre la belle-fille, la belle-fille, contre la belle-mère, des frères contre des frères, pour tous ceux qui auront rejeté ma Parole, qui foulent aux pieds l'Évangile et qui ajoutent et rajoutent ce que bon leur semble. Malheur à ceux qui ne croient pas à ma justice ! Quand Je la leur appliquerai, comme ce sera horrible !
    Priez, faites des sacrifices et des jeûnes, mes enfants. Priez pour les pauvres pécheurs. Aimez-vous les uns les autres, soyez tous unis, mes enfants, pour cheminer ensemble et pour que personne ne vous fasse tomber. Votre silence est important, mes enfants, même si l'ennemi ne se laisse pas instruire par lui. Priez pour mes âmes, pour mes pasteurs, et changez vos vies, mes enfants.

    Aimez nos Coeurs. Venez contrits et repentis. Donnez un témoignage de vie, mes enfants, par votre exemple, même si le méchant ne veut pas voir ; c'est celui qui a la grâce qui sait discerner, mais celui qui est dans les ténèbres n'aura jamais ce discernement. Pénitence et sacrifice, mes enfants.

    La Très Sainte Vierge : Levez tous les objets ; ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales pour les pauvres pécheurs. Venez en ce lieu, vous y recevrez des grâces corporelles et spirituelles, mes enfants.
    Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.

    MENSAJE DEL DÍA 2 DE DICIEMBRE DE 2000, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hija mía, aquí estoy como Madre de los desamparados.
     
     

         EL SEÑOR:

         Bebe unas gotas del cáliz del dolor, hija mía... Es amargo, hija mía, pero al mismo tiempo te fortalece. Ámame mucho, hija mía, y hazme amar. Repara tus miserias, hija mía, y las miserias de los demás. Cuando yo veo que las almas reparan las miserias de los demás y las suyas propias, mi Corazón se vuelca en ellas y yo me refugio en sus corazones. Cuando las veo que tienen deseos de amarme, no me importan sus miserias, me importa su amor. Por eso te pido, hija mía, que hagas porque las almas me amen, y no te angustien las difamaciones, las calumnias. Pide por esas pobres almas que quitan del Evangelio y ponen lo que les agrada; ellos hacen un Evangelio a su gusto; por eso, siempre ven la misericordia, pero no ven mi justicia. Y mi justicia es igual que mi misericordia. Y la aplicaré con ellos para que vean mi justicia, para que no vayan diciendo a los hombres que sólo empleo mi misericordia. Soy Juez Supremo de vivos y muertos. Que mi Corazón se vuelca hacia las almas que tienen deseos de amarme, de ser fieles y de respetarme. Pero, hija mía, ¡cuánto sufre mi Corazón por la infidelidad de mis almas! Por eso pido, como un mendigo, un poco de amor. ¿Y sabes quién detiene mi ira, hija mía? Esas almas que tienen deseos de amarme, ésas son las que sujetan mi brazo. Mira, hija mía, los hombres dicen que no empleo mi justicia. Si no emplease mi justicia, no estarían éstos en este lugar, estarían todos en este otro, hija mía.
     
     

         LUZ AMPARO:

         (Durante unos instantes, tiene una visión del Infierno). ¡Ay, ay! ¡Ay, qué horror! ¡Ay, qué horror! ¡Ay!
     
     

         EL SEÑOR:

         Pero no quiero que tu corazón sufra. Mira la felicidad de estos otros, hija mía; todos han llegado a mí por el amor, por la obediencia, por la fidelidad. Todos han llegado a este lugar, por muy pecadores que sean; si ellos tienen voluntad y vienen a mí, yo los perdono, y les abro los brazos, y les doy un abrazo eterno. Pero aquéllos que no quieren hacer mi voluntad, y matan a los seres, se convierten en fieras heridas por el odio y por el desprecio a las almas, hija mía. Yo, todo amor, enseñé a los hombres a amarse, y ¿en qué han convertido mi mandamiento, hija mía? En desunión, en odios, en destrucción. Yo, que bajé a darles vida a las almas, hija mía, con mi muerte; mira qué mal correspondieron a ese amor. Yo, que sufrí tanto por ellas, que mi Corazón era un volcán de fuego e instituí la Eucaristía para que todos viniesen a alimentarse de mi Cuerpo y de mi Sangre; la instituí por amor, y ¿qué hacen, hija mía? ¿Cómo corresponden a ese amor? Pisoteando mi Cuerpo. ¿Cómo me reciben muchas almas, hija mía? En pecado mortal. ¡Cuántos sacrilegios cometen con mi Cuerpo, hija mía! Yo, que dije: “El que coma mi Cuerpo y beba mi Sangre tendrá vida eterna”, también sufro porque veo que a muchos les sirve de condenación porque me reciben en mal estado, hija mía.

         Por eso pido: ¡hijos míos, id al sacramento de la Penitencia, confesad vuestras culpas!, y después venid a recibir el Cuerpo de Cristo. Pero no sembréis vuestra condenación recibiéndome en mal estado, hijos míos. Acercaos al sacramento de la Penitencia, que muchos de vosotros no os acercáis, hijos míos. Confesad vuestras culpas, hijos míos, y recibidme dignamente. No ultrajéis más el Cuerpo de Cristo, hijos míos. Id a la Penitencia: el sacerdote perdonará vuestras culpas, y acercaos a la Eucaristía, que yo os daré fortaleza y avivaré vuestra fe para que permanezcáis en mi amor. Todo aquél que permanece en mi amor, yo estaré siempre con él. Hijos míos, amaos unos a otros; caridad pido entre los hombres. Y todo aquél que siga mi camino, tendrá un lugar en la eternidad junto a mí, hija mía.

         Y vosotros, guías de los pueblos: explicad a los hombres las verdades del Evangelio; no os comáis lo que queréis y añadís lo que queréis también, hijos míos. ¡Ay de vosotros, aquéllos que quitáis o ponéis! ¡Cómo os asustan mis mensajes catastróficos —como decís vosotros, hijos míos— y no os fijáis en la Biblia! ¿O es que no creéis en ella? Es palabra de Dios; explicadla según está escrita, hijos míos, y enseñad a los hombres las verdades. ¿Cómo os coméis lo que queréis? Vuestra infidelidad, hijos míos, os ha dejado ciegos y, por eso, escondéis lo que queréis y habláis lo que no debéis. ¿No os da miedo, hijos míos, que puedo aplicar mi justicia sobre vosotros?

         ¿Cómo perseguís a los que intentan vivir el Evangelio, si el que está conmigo no está contra mí? ¿Qué motivos tenéis, hijos míos, para perseguirlos, calumniarlos? ¿No os remuerde la conciencia, hijos míos? ¿Dónde está vuestra caridad, vuestro amor al prójimo? Quedaos con lo bueno y no busquéis siempre lo negativo. ¿Quién sois vosotros para decir a todo un Dios a quién tiene que manifestarse, dónde y cuándo? Y me limitáis también el tiempo. Si tuvierais fe, hijos míos, no os asustaríais de nada. ¿No será que no estáis tranquilos vosotros? Buscad lo positivo y no destruyáis las almas.

         Y vosotros, no tengáis miedo a aquéllos que os quieran destruir. Yo estoy con vosotros, ¿a quién vais a temer? Y no escudriñéis tanto el mensaje. El mensaje divino es muy difícil entenderlo, hijos míos. Tú, comunica todo mi mensaje y no te angusties, hija mía, que cada uno lo entienda a razón de su inteligencia. Mi tiempo no es el tiempo de la Tierra y mis palabras están impregnadas de gracia y de vida eterna. Hay almas en el Purgatorio, lo repito, siglos de mi tiempo, no del vuestro, hijos míos.

         Y sobre el Santo Padre, hijos míos, os lo repito: un varón santo en la Tierra, mártir por la Humanidad, que une a los pueblos y a naciones enteras. Ése es un santo varón. Y repito: después de Pedro, el santo más santo de todos los papas.

         Pero, hijos míos, si el que está en gracia sabe discernir todo. Amad mucho a las almas, y pedid mucho por la Iglesia y por los que la componen, hijos míos; por el Vicario de Cristo. Orad, hijos míos, orad. No os abandonéis en la oración, el mundo está en esta situación porque los hombres no elevan su mirada a Dios, y los hogares están sin Dios, y los hombres anteponen todo a Dios. Y mi Corazón está triste por mis almas queridas.

         Repito otra vez, hijos míos: no seáis funcionarios, sed pastores de mi Iglesia; reunid los rebaños que están esparramados, hijos míos, y enseñadles las verdades del Evangelio; y, sobre todo, os pido, hijos míos, la caridad; emplead vuestra caridad con el prójimo. El amor es lo más importante. ¿Cómo, hijos míos, podéis tener vuestra alma tranquila persiguiendo a las almas que intentan seguir el Evangelio? Y enseñad a los hombres que soy Juez, y que los juzgaré según sus obras, y que Dios no es catastrófico, pero Dios es Juez y juzgará a cada uno según su comportamiento. Y vendré a la Tierra y traeré la guerra, y la madre irá contra el hijo, el hijo contra la madre, la suegra contra la nuera, la nuera contra la suegra, hermanos contra hermanos, para todos aquéllos que hayan rechazado mi palabra y que pisotean el Evangelio y que ponen y ponen lo que a ellos les gusta. ¡Ay de aquéllos que no creen en mi justicia!, cuando la emplee sobre ellos, hijos míos, ¡qué horrible será!

         Orad, haced sacrificios y ayunos, hijos míos. Pedid por los pobres pecadores. Amaos unos a otros, estad unidos todos, hijos míos, para que todos caminéis juntos y nadie os derribe. Vuestro silencio es importante, hijos míos, aunque el enemigo no aprende de vuestros silencios. Pedid por mis almas, por mis pastores, y cambiad vuestras vidas, hijos míos. Amad nuestros Corazones. Venid contritos y arrepentidos. Dad testimonio de vida, hijos míos, con vuestro ejemplo, aunque el malvado no querrá ver, porque el que tiene la gracia es el que ve, pero el que está en tinieblas nunca verá. Penitencia y sacrificio, hijos míos.
     
     

         LA VIRGEN:

         Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales para los pobres pecadores. Acudid a este lugar, que recibiréis gracias corporales y espirituales, hijos míos.

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.


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