• L'escorial 1992

    Les apparitions de Jésus et Marie à L'ESCORIAL
    1992

    4 janvier 1992

    La Très Sainte Vierge:
    Ma fille, Je continue à venir avec mon manteau de miséricorde et d'amour; tu vois, ma fille, ce manteau est aussi grand que le monde entier.
    Mes paroles sont des paroles d'amour, mais dans peu de temps, ma fille, elles pourront être de peine, de larmes et de douleur.
    Le message prendra fin, mais mes bénédictions continueront.
    En ces temps-ci Je veux bénir les hommes. Mon Fils M'a envoyée pour vous mettre sur le chemin de l'Evangile. Dieu vous a créés, vous a rachetés et vous a sanctifiés; vos coeurs sont faits pour l'éternité. C'est pourquoi Dieu, mon Créateur, m'a établie comme Porte du Ciel (pause, mots incompréhenribles).
    Venez à Moi, car Je suis Mère d'amour et de miséricorde. J'intercéderai auprès de mon Fils et mon Fils portera mes prières au Père.
    Mettez les Lois de Dieu en pratique, mes enfants, et que personne n'ajoute ou n'enlève un mot de l'Evangile; tant que le ciel et la terre existeront, rien de sera ôté des Lois qui sont écrites.
    Regarde, ma fille, où se trouvent tous ceux qui sont à ma droite. Aussi, ma fille, ne te lasse pas de répéter, à temps et à contretemps, les paroles que Je te communique.
    Mais, mes enfants, malheureux ceux qui se trouvent à ma gauche!
    Hommes de peu de foi! Pourquoi mettez-vous en doute la parole de l'Evangile? C'est parce que vous avez douté et que vous n'avez pas voulu suivre le chemin de l'Evangile que vous vous trouvez dans ce lieu.
    Malheur à ceux qui ne mettent pas la Loi de Dieu en pratique! Mon Coeur est transpercé de douleur en voyant que les hommes s'endurcissent de plus en plus et que leur esprit et leur coeur sont rivés à la terre.
    Amparo: Aide-moi, ma Mère; aide-moi, je n'en peux plus, je n'en peux plus! Aide-moi, ma Mère! Je veux être fidèle, mais je n'ai pas de forces (elle pleure).
    La Très Sainte Vierge:
    Ma fille, c'est dans ta faiblesse que doit résider ta force. Tu as dit "Oui", mais ton chèque est en blanc, ma fille.
    Amparo: Ce n'est qu'avec ton aide, ma Mère, que je pourrai continuer à aller de l'avant (elle ne cesse pas de gémir).
    La Très Sainte Vierge:
    Malheur à vous qui êtes infidèles aux grâces! Malheur à vous qui ne vous laissez pas guider par l'Evangile! Il vaudrait mieux pour vous être morts, mes enfants, avant que n'arrive l'heure suprême de Dieu.
    Mon Coeur vous offre encore son amour; venez, car J'ai un Coeur de Mère, un Coeur très grand, et Je peux vous imprégner de mon amour.
    Lorsque s'achèveront mes messages en ce lieu, n'écoutez pas ceux qui vous diront que les messages continuent à être répétés près d'ici.
    Mon message a été universel, mes enfants, et Je vous ai déjà tout dit. Mettez les Lois (divines) en pratique et vous serez sauvés ; mais ne jouez pas avec mon Nom. Ne vous laissez pas entraîner, mes enfants, par ces faux voyants, par ces faux prophètes, qui s'adorent eux-mêmes au lieu d'adorer Dieu, leur Créateur.
    Mes enfants, Je vous ai dit que mes messages prendront fin, mais ma bénédiction et ma parole d'amour continueront à se trouver en ce lieu.
    Soyez fidèles, mes enfants, soyez des témoins fidèles de l'Evangile; allez partout dans le monde prêcher ces paroles de vérité et de vie.
    Baise le sol, ma fille, en réparation de tant et tant d'offenses que l'on commet dans le monde.
    Venez à Moi, mes enfants, et Je continuerai à répandre des grâces très spéciales pour le salut de vos âmes. Oui, Je répandrai des grâces spéciales sur quiconque viendra en ce lieu.
    Levez tous les objets, mes enfants, ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales pour le salut des moribonds.
    Ils ont tous été bénis pour le salut des âmes. Appliquez ces objets sur les moribonds.
    Et toi, ma fille, sois forte; la force est en Nous; réfugie-toi dans nos Coeurs, et si on te frappe sur une joue, tend l'autre. Je t'ai déjà dit souvent que le disciple n'est pas au-dessus du Maître, et tu sais ce qu'on a fait avec le Maître, ma fille.
    Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.


    MENSAJE DEL DÍA 4 DE ENERO DE 1992, PRIMER SÁBADO DE MES,
    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)

         LA VIRGEN:

         Hija mía, sigo viniendo con mi manto de misericordia y de amor; ya ves, hija mía, este manto es tan grande como todo el Universo. Mis palabras son de amor, pero dentro de poco pueden ser, hija mía, de pena, de lágrimas y de dolor. El mensaje se acabará, pero mis bendiciones seguirán. Quiero en estos tiempos bendecir a los hombres. Mi Hijo me ha mandado para dejaros en el camino, en el camino del Evangelio. Dios os ha creado, os ha redimido y os ha santificado; vuestros corazones están hechos para la eternidad. Por eso, Dios mi Creador, me ha puesto como Puerta del Cielo.

         Venid a mí, que yo soy Madre de amor y misericordia. Y yo intercederé a mi Hijo y mi Hijo llevará al Padre. Cumplid con las leyes, hijos míos, y que nadie añada ni quite una palabra del Evangelio; mientras el Cielo y la Tierra existan nada se quitará de las leyes que están escritas.

         Hija mía, mira dónde están todos a mi derecha. Por eso, sigue repitiendo, hija mía, una y otra vez las palabras que te comunico.

         Pero, ¡pobres de los que están a la izquierda, hijos míos! ¡Hombres de poca fe!, ¿por qué dudáis de la palabra del Evangelio?, porque habéis dudado y no habéis querido seguir el camino del Evangelio, os encontráis en este lugar. ¡Ay de aquéllos que no cumplan la Ley! Mi Corazón está traspasado de dolor viendo que los hombres cada día se endurecen más, y sus mentes y su corazón están en la Tierra.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Madre mía, ayúdame; ayúdame que yo no puedo, no puedo más! ¡Ayúdame, Madre mía! Yo quiero ser fiel, pero no tengo fuerzas.
     
     

         LA VIRGEN:

         Hija mía, en tu debilidad tiene que estar tu fortaleza. Tú dijiste “sí”, y el cheque lo tienes en blanco, hija mía.
     
     

         LUZ AMPARO:

         Con tu ayuda, Madre mía, podré seguir adelante.
     
     

         LA VIRGEN:

         ¡Ay de aquéllos que sois infieles a las gracias y aquéllos que no os dejáis guiar por el Evangelio, más os valiera haber muerto, hijos míos, antes de que llegue la hora suprema de Dios! Todavía os ofrece mi Corazón amor; venid, que yo tengo un corazón grande de Madre y os puedo impregnar de mi amor. Y cuando se acaben los mensajes en este lugar, no hagáis caso cuando os digan que aquí o allí, cerca de estos lugares, se siguen repitiendo los mensajes. Mi mensaje ha sido universal, hijos míos, y ya os lo he dicho todo. Cumplid con las leyes y os salvaréis; pero no juguéis con mi nombre. No os dejéis arrastrar por esos falsos videntes, por esos falsos profetas, hijos míos, que se adoran ellos mismos sin adorar a Dios, su Creador.

         Os he dicho, hijos míos, que mis mensajes se acabarán, pero mi bendición y mi palabra de amor seguirá en este lugar. Sed fieles, hijos míos, fieles testigos del Evangelio; id por todo el mundo a predicar estas palabras de verdad y de vida.

         Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantas y tantas ofensas como se cometen en el mundo...

         Acudid a mí, hijos míos, que yo seguiré derramando gracias muy especiales para la salvación de vuestras almas. A todo el que acuda a este lugar, derramaré gracias especiales sobre él.

         Levantad todos los objetos, hijos míos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales para la salvación de los moribundos... Todos han sido bendecidos para la salvación de las almas. Aplicad estos objetos sobre los moribundos.

         Y tú, hija mía, sé fuerte; la fortaleza está en nosotros; refúgiate en nuestros Corazones, y si te dan en una mejilla, pon la otra. Ya te he dicho muchas veces que el discípulo no es más que el Maestro, y ya sabes lo que hicieron con el Maestro, hija mía.

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

    4 février 1992

    La Très Sainte Vierge: Mes enfants, mon Coeur vient à vous rempli de grâces pour les répandre sur vous tous. Je vous dirai, mes enfants, que Je veux que mon Oeuvre se multiplie comme les étoiles dans le ciel.
    Notre Seigneur: Oui, mes enfants,
    Je répandrai toutes sortes de grâces sur tous ceux qui appartiendront à cette Oeuvre et qui donneront un témoignage de foi et de charité ; et spécialement sur tous ceux qui vivront selon l'esprit, et non selon la chair. Donnez le témoignage de la foi et de la charité, mes enfants.
    Vous tous qui aiderez mon Oeuvre, vous serez récompensés et vous serez plus près de la demeure de mon Père; et Je vous rappellerai les paroles de l'Evangile: "J'ai eu faim et vous m'avez donné à manger, J'ai eu soif et vous m'avez donné à boire, J'étais nu et vous m'avez vêtu, malade et vous m'avez rendu visite"; oui, Je vous rappellerai ces paroles, mes enfants.
    Pour vous tous qui aidez les aînés dans leur vieillesse, Je vous promets une récompense éternelle.
    Baise le sol, ma fille, en réparation de tant de péchés que l'on commet dans le monde.
    La Très Sainte Vierge: Mes paroles ont été brèves mais très bonnes, mes enfants. Quiconque mettra en pratique le Commandement de l'amour aura sa récompense.
    Mon message s'achève, mais mon amour, mes enfants, Je continuerai à le répandre sur vous.
    Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.


    MENSAJE DEL DÍA 1 DE FEBRERO DE 1992, PRIMER SÁBADO DE MES,
    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hijos míos, mi Corazón viene lleno de gracias para derramarlas sobre todos vosotros. Os voy a decir, hijos míos, que quiero que mi Obra se multiplique como las estrellas que hay en el cielo.
     
     

         EL SEÑOR:

         Sí, hijos míos, todo el que pertenezca a esta Obra y dé testimonio de fe y de caridad, derramaré sobre ellos todo género de gracias; y especialmente para todos aquéllos que vivan según el espíritu, no según la carne. Dad testimonio de fe y de caridad, hijos míos. Todos aquéllos que ayudéis a mi Obra seréis recompensados y estaréis muy cerca de la morada de mi Padre, y os recordaré las palabras del Evangelio donde dice: “Tuve hambre y me disteis de comer, sed y me disteis de beber, desnudo y me vestisteis, enfermo y me visitasteis”. Os recordaré aquellas palabras, hijos míos.

         Para todos aquéllos que ayudéis a los mayores en su ancianidad, os prometo una recompensa eterna.

         Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantos pecados como se cometen en el mundo...
     
     

         LA VIRGEN:

         Mis palabras han sido cortas pero muy exquisitas, hijos míos. Todo el que practique el mandamiento del amor será recompensado.

         Mi mensaje se acaba, pero mi amor, hijos míos, seguiré derramándolo sobre vosotros.

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

    7 mars 1992

    La Très Sainte Vierge:
    Mes enfants, seulement quelques mots, mais des mots délicats: gardez votre âme, et orientez vos actions et vos oeuvres vers l'esprit; et Moi, Je protègerai vos âmes, mes enfants.
    Venez en ce lieu: tous ceux qui y viendront recevront des grâces spéciales dans leur vie et à leur mort.
    N'écoutez pas, mes enfants, ceux qui vous disent que Je me manifeste à proximité de ces lieux, car Je vous ai tout dit, mes enfants.
    Mettez la doctrine (du Christ) en pratique.
    Baise le sol, ma fille, en réparation de tant de péchés que l'on commet dans le monde.
    Levez tous les objets, ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales pour les moribonds et pour le Jour des ténèbres.
    Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.


    MENSAJE DEL DÍA 7 DE MARZO DE 1992, PRIMER SÁBADO DE MES,
    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)

         LA VIRGEN:

         Hijos míos, sólo unas palabras, pero exquisitas palabras: guardad vuestra alma, y vuestras acciones y obras encaminadlas hacia el espíritu, y yo protegeré vuestras almas, hijos míos.

         Acudid a este lugar, que todo el que acuda a este lugar recibirá gracias especiales en vida y en muerte.

         No os hagáis caso, hijos míos, si os dicen que cerca de estos lugares me manifiesto, pues todo os lo he dicho, hijos míos. Cumplid la doctrina.

         Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantos pecados como se cometen en el mundo...

         Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales para moribundos y para el día de las tinieblas...

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

    4 avril 1992

    Notre Seigneur:
    Ma fille, Je viens seulement te demander de m'aimer, de me glorifier et de me faire aimer par les âmes; sauve des âmes, ma fille.
    Les hommes ne cessent pas d'offenser Dieu, et il y a longtemps que Satan a déchaîné son mal et l'a propagé dans le monde entier.
    C'est pourquoi Je demande aux hommes, à tous ceux qui le pourront, de se retirer du monde et de vivre en communauté: ce n'est pas facile de se sauver dans le monde, parce que celui gui est dans le monde vit du monde. Vous tous qui le pouvez, mes enfants, retirez-vous avec votre famille et vivez en communauté. Je marquerai vos noms avec un Sceau spécial, si vous vous consacrez à la gloire de Dieu, mes enfants.
    Les hommes vivent dans les ténèbres. Cherchez la lumière, mes enfants, aimez Dieu et glorifiez-Le.
    Le Saint Père souffre beaucoup, ma fille, parce que beaucoup de ses pasteurs et beaucoup de fidèles de l'Eglise s'écartent du chemin de l'Evangile; et cette souffrance l'épuise et abrège peu à peu ses jours sur la terre, car de nombreux prêtres ne font pas cas du Pasteur qui occupe la chaire de Pierre. Obéissez au Représentant du Christ, mes enfants, car beaucoup d'entre vous se sont égarés.
    Aimez l'Eglise; vous appartenez à ce Corps mystique, mais vous ne vous nourrissez pas de sa sève.
    Je demande à tous les laïcs qui voudront suivre le chemin de l'Evangile, de vivre en communautés comme les premiers chrétiens.
    Moi, en tant que Fils du Dieu vivant, J'ai le pouvoir de maîtriser l’eclair dans mes mains et de faire que mes chars de feu prennent tous mes élus et les transportent dans ce lieu, ma fille. Regarde mes chars, ma fille, et décris-les.
    Amparo:
    Je vois de grands chars, avec de grandes roues; à l'intérieur il y a des hommes vêtus comme des lions et des aigles avec de grandes ailes, et qui regardent toujours en avant; les ailes se réunissent les unes aux autres; ils descendent. Il y a des millions et des millions d'yeux autour d'eux. Des bras d'hommes sortent pour prendre les créatures; ils se posent sur la terre avec des griffes de lion, ils portent sur leurs têtes des scaphandres de saphir et sur leurs corps des pierres de jaspe; ces roues se dirigent vers les quatre points cardinaux. Ils sont enveloppés dans un nuage de lumière, des millions et des millions se posent sur la terre, ouvrent leurs yeux, sortent leurs bras et choisissent toutes ces créatures. (Amparo exprime une joie irrépressible). Oh, mon Dieu, oh...! Ils sont tous à l'intérieur, ils ferment les yeux et sortent leurs griffes, et leurs roues se dirigent vers le même lieu (Amparo ne cesse pas d'exprimer sa joie). Ils vont ensemble les uns contre les autres - on ne voit que leurs ailes - ils arrivent dans un autre monde, un autre monde différent; il n'y a que splendeur et beauté... Oh! Oh! Oh!... Ils s'arrêtent tous, ils ouvrent de nouveau les yeux, ils commencent à sortir tous. Oh, combien sont-ils, combien, combien...! Oh! quelle beauté en ce lieu! Il y resteront jusqu'au jugement final. Il y a un grand autel; cet autel est très grand, haut, très haut. Ils portent tous des livres à la main. Au milieu de l'autel il y a un homme avec un corps de lion et une tête d'aigle. Il prend un grand livre, il l'ouvre et il explique l'Evangile tel qu'il est écrit. Oh! quelle beauté! Oh! quelle beauté! Oh!... Ils sont tous transportés, tous ces chars. On entendra des sons comme du tonnerre et des trompettes de gloire. Oh! quelle grandeur! Oh! quelle grandeur!

    Notre Seigneur:
    C'est pourquoi Je vous le demande, mes enfants: vivez l'Evangile, car la plus grande partie de l'humanité ne vit pas l'Evangile; et ils ne pourront pas être transportés dans la terre de l'Eden. Et combien...! Les uns seront pris, les autres seront laissés; parmi pères et fils, les uns resteront et les autres seront enlevés .
    C'est pourquoi Je vous demande, mes enfants, d'abandonner le monde et de vous occuper de votre esprit et de votre âme. Mettez en pratique le Premier Commandement de la Loi de Dieu qui est l'Amour.
    Si les hommes ne s'aiment pas, ils ne pourront pas arriver dans la terre de l'Eden: ici il n'y a qu'amour, il n'y a que paix et union.
    Vous qui viendrez dans ce lieu, vous serez tous marqués, et vous serez protégés des pièges de l'ennemi.
    La Très Sainte Vierge:
    Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.
    Levez tous les objets, ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales, pour le Jour des ténèbres.


    MENSAJE DEL DÍA 4 DE ABRIL DE 1992, PRIMER SÁBADO DE MES,
    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         EL SEÑOR:

         Hija mía, sólo vengo a pedirte que me ames y me glorifiques y me hagas amar por las almas; salva almas, hija mía. Los hombres no paran de ofender a Dios, y Satanás hace tiempo que ha desencadenado su mal y lo ha extendido por todo el mundo. Por eso pido a los hombres que todo el que pueda se retire del mundo y viva en comunidad, pues no es fácil salvarse en el mundo, porque el que está en el mundo vive del mundo. Retiraos todos los que podáis con vuestra familia y vivid en comunidad, hijos míos. Yo sellaré con un sello especial vuestros nombres, si os entregáis a la gloria de Dios, hijos míos.

         Los hombres viven en la tiniebla. Buscad la luz, hijos míos, y amad a Dios y glorificadle.

         El Santo Padre sufre mucho, hija mía, porque muchos de sus pastores y muchos fieles de la Iglesia se desvían del camino del Evangelio; y ese sufrimiento le va agotando y acortando sus días en la Tierra; porque muchos de los sacerdotes no hacen caso al Pastor que hay en la Cátedra de Pedro. Obedeced al representante de Cristo, hijos míos, que muchos de vosotros os habéis desviado. Amad a la Iglesia; pertenecéis a ese Cuerpo Místico y no os alimentáis de su savia.

         Pido a todos los seglares, que quieran seguir el camino del Evangelio, que vivan en comunidades como los primeros cristianos, que yo, como Hijo de Dios vivo, tengo poder para sujetar el relámpago en mis manos y hacer que mis carros de fuego cojan a todos mis escogidos y los transporten a este lugar, hija mía. Mira mis carros, hija mía, y cuenta cómo son.
     
     

         LUZ AMPARO:

         Veo grandes carros con grandes ruedas; van dentro de ellos hombres vestidos de león y de águila con grandes alas, mirando siempre hacia adelante; se juntan unas alas con otras; bajan. Hay millones y millones de ojos alrededor de ellos. Salen brazos de hombres para coger a las criaturas; se posan en la Tierra con pezuña de león. Llevan sobre sus cabezas escafandras de zafiro y sobre su cuerpo piedras de jaspe; esas ruedas se dirigen hacia los cuatro puntos cardinales... (Dice algunas palabras en voz muy baja). Vienen envueltos en una nube de luz... ¡Ay! Billones y billones se posan en la Tierra. ¡Ay, ay...! Abren sus ojos y salen sus brazos y escogen a todas esas criaturas. ¡Ay, Dios mío, ay...! Todos están dentro, cierran sus ojos y meten sus pezuñas, y sus ruedas se dirigen hacia el mismo lugar. ¡Ay! ¡Ay! Van juntos unos contra otros... ¡Ay! Sólo se ven las alas, que llevan hasta otro mundo, otro mundo distinto... ¡Ay! Hay resplandor y belleza. ¡Ay, ay, ay...! Se paran todos, se vuelven a abrir los ojos, empiezan a salir todos. ¡Huy, cuántos, y cuántos y cuántos! ¡Ay, qué belleza hay en ese lugar! Ahí estarán hasta el día del Juicio Final. ¡Ay..., uf! Hay un gran altar; ese gran altar es muy grande, alto, muy alto. Todos llevan libros en la mano. En medio del altar hay un hombre con cuerpo de león y cabeza de águila. Coge un gran libro, lo abre y explica el Evangelio tal y como está escrito. ¡Ay! ¡Ay, qué belleza! ¡Ay, qué belleza! ¡Ay! Todos son transportados, todos estos carros. Se oirán silbidos como de truenos... ¡Ay!, y trompetas de gloria. ¡Ay, qué grandeza! ¡Ay, qué grandeza, ay!
     
     

         EL SEÑOR:

         Por eso os pido, hijos míos, vivid el Evangelio, que la mayoría de la Humanidad no vive el Evangelio; y no podrán ser transportados a la Tierra del Edén. ¡Ay...! ¡Y cuántos..., unos serán tomados y otros serán dejados! Entre padres e hijos, unos quedarán y otros serán arrebatados.

         Por eso os pido, hijos míos, que dejéis el mundo y os dediquéis a vuestro espíritu y a vuestra alma. Cumplid el primer mandamiento de la Ley de Dios, que es el amor. Si los hombres no se aman no podrán llegar a la Tierra del Edén. Aquí sólo hay amor, sólo paz y unidad. Todos seréis marcados, los que acudáis a este lugar, y protegidos de las asechanzas del enemigo.
     
     

         LA VIRGEN:

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

         Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales para el día de las tinieblas...

    2 mai 1992

    Notre Seigneur:
    Mes enfants, Je lance un appel pour toute l'humanité: vous tous qui pouvez vivre en communauté, mes enfants, faites-le. Réunissez-vous en une seule famille et vivez selon mon esprit.
    Je fais avec vous tous un pacte de fidélité et d'amour, avec vous qui voudrez vivre selon l'Evangile en une grande famille. Je vous demande, mes enfants, d'être un seul coeur et de vivre comme des frères; soyez un, mes enfants, comme le Père et Moi sommes Un; ainsi Je vous demande, mes enfants, de vivre tous unis.
    Il est difficile, mes enfants, Je vous le répète, que vous puissiez vous sauvez dans le monde parce que dans le monde vous vivez selon vos plaisirs et pour vous-mêmes. Et n'oubliez pas, mes enfants, que vous avez été créés dans un seul but, mettre en pratique le premier Commandement: Tu aimeras le Seigneur ton Dieu et le prochain comme toi-même. Mais pour vous, mes enfants, le prochain n'existe pas; vous ne pensez qu'à vous-mêmes.
    Je veux que vous viviez une vie liturgique, et pour vivre cette vie liturgique, mes enfants, vous n'avez qu'une chose à faire: RETIREZ-VOUS DU MONDE ET VIVEZ COMME LES PREMIERS CHRETIENS EN VOUS AIMANT LES UNS LES AUTRES, SANS PENSER A VOUS-MEMES .
    C'est l'heure, mes enfants, d'ouvrir vos oreilles; ne vous préparez pas à écouter le jour de votre jugement: "Allez, maudits, au feu éternel qui a été préparé pour Satan et pour ses anges... parce que J'ai eu faim et vous ne m'avez pas donné à manger, J'ai eu soif et vous ne m'avez pas donné à boire, J'étais nu et vous ne m'avez pas vêtu, malade et vous ne m'avez pas rendu visite" . A ce moment-là, mes enfants, Je n'écouterai pas les pleurs, ni les grincements de dents. Vivez selon l'Evangile pour entendre ces mots: "Venez, les bénis de mon Père, venez tous jouir de ce que mon Père a préparé pour tous ceux qui ont fait sa volonté" .
    Mes enfants, il est l'heure pour vous de vivre l'Evangile tel qu'il est écrit; et non d'en choisir une partie seulement selon votre convenance, mes enfants. Je vous aime, et c'est pourquoi Je vous avertis.
    Je répandrai beaucoup de grâces sur vous, mes enfants.
    Vous tous qui viendrez en ce lieu, vous serez bénis avec des bénédictions spéciales.
    Levez tous les objets; ils seront tous bénis, mes enfants. Ces objets, mes enfants, ont été bénis avec des bénédictions spéciales pour le Jour des ténèbres.
    Je le répète, mes enfants, VOUS TOUS QUI LE POURREZ, VIVEZ EN GRANDES COMMUNAUTES ET VIVEZ LITURGIQUEMENT.
    La paix soit avec vous, mes enfants.


    MENSAJE DEL DÍA 2 DE MAYO DE 1992, PRIMER SÁBADO DE MES,
    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         EL SEÑOR:

         Hijos míos, hago un llamamiento para toda la Humanidad: todos aquéllos que podáis vivir en comunidad, hijos míos, hacedlo. Reuníos en una sola familia y vivid según mi espíritu. Yo hago un pacto con todos vosotros de fidelidad y de amor, para todos aquéllos que queráis vivir según el Evangelio en una gran familia. Os pido, hijos míos, que seáis unos mismos y viváis como hermanos; todos seáis unos, hijos míos, como el Padre y yo somos uno; así os pido, hijos míos, que viváis todos unidos.

         Es difícil, hijos míos, os repito, que podáis salvaros en el mundo, porque en el mundo vivís según vuestros gustos y para vosotros mismos, sin olvidar, hijos míos, que habéis sido creados con un solo fin. Cumplid el primer mandamiento: amarás al Señor, tu Dios, y al prójimo como a ti mismo. Y para vosotros, hijos míos, el prójimo no existe; sois vosotros mismos los que pensáis en sí mismos.

         Quiero que viváis una vida litúrgica, y para vivir esta vida litúrgica, hijos míos, sólo tenéis que hacer una cosa: retiraos del mundo y vivir como aquellos primeros cristianos, amándoos unos a otros, sin pensar en vosotros mismos.

         Es hora, hijos míos, que abráis vuestros oídos; no queráis escuchar el día de vuestro juicio: “Id, malditos, al fuego eterno que está preparado para Satanás y sus ángeles..., porque tuve hambre y no me disteis de comer, sediento y no me disteis de beber, desnudo y no me vestisteis, enfermo y no me visitasteis”. En ese momento, hijos míos, no escucharé los llantos, ni el rechinar de dientes. Vivid según el Evangelio, para que oigáis las palabras de “venid, benditos de mi Padre a gozar todos de lo que mi Padre tiene preparado para todos aquéllos que han hecho su voluntad”. Hijos míos, ya es hora que viváis el Evangelio según está escrito; no que cojáis la parte del Evangelio según os conviene a vosotros, hijos míos. Yo os amo y por eso os aviso.

         Derramaré muchas gracias sobre vosotros, hijos míos. Todos aquéllos que acudáis a este lugar, seréis bendecidos con bendiciones especiales.

         Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos, hijos míos... Estos objetos, hijos míos, han sido bendecidos con bendiciones especiales para el día de las tinieblas.

         Repito, hijos míos, que todos los que podáis, viváis en grandes comunidades y viváis litúrgicamente.

         La paz sea con vosotros, hijos míos.

    6 juin 1992

    La Très Sainte Vierge:
    Ma fille, aujourd'hui je viens avec le manteau rempli de gloire.
    Je répandrai beaucoup de grâces sur tous ceux qui ont été fidèles et qui sont venus en ce lieu.
    Beaucoup, ma fille, ont bien commencé mais ont mal terminé; mais regarde tout ce que J'ai préparé pour ceux qui ont été fidèles à ce lieu où mes pieds se sont posés.
    Ma fille, je te l'ai souvent dit: il n'est pas bon de bien commencer et de mal finir; mais (il faut) commencer, ma fille, et être fidèle jusqu'à la fin.
    J'ai dit que tous ceux qui viendraient en ce lieu seraient bénis et marqués d'une Croix sur le front, mais (Je l'ai dit) pour tous ceux qui ont été fidèles et constants, ma fille.
    J'ai dit que ceux qui sont fidèles formeraient une chapelle priante, mais ils ne cherchent qu'une prière tiède, sans vouloir passer aux actes.
    Je veux des chapelles vivantes, des chapelles qui mettent tout en oeuvre pour arriver à être des chapelles priantes.
    Je te l'ai souvent répété, ma fille: qu'est-ce que la parole sans les oeuvres?
    Aujourd'hui, ma fille, Je répandrai beaucoup de grâces sur tous ceux qui viennent en ce lieu, sur leurs âmes.
    Et surtout Je répandrai des torrents de grâces sur tous ceux qui sont fidèles à mon Oeuvre d'amour et d'unité.

    Notre Seigneur:
    Oui, ma fille, tous ceux qui viendront en ce lieu recevront des grâces spéciales. Je les nourrirai comme une mère allaite ses enfants; Je les ferai asseoir sur mes genoux et ils béniront mon Nom; Je leur apprendrai la sagesse, et jamais ils ne l'oublieront, ceux qui seront fidèles et qui vivront selon l'Evangile, car beaucoup disent vivre l'Evangile mais ils ne le vivent qu'à moitié, ma fille. Pour vivre l'Evangile, ils doivent suivre mes traces, et mes traces sont: détachement, humilité, obéissance, charité.
    J'ai dit que dans le premier et le deuxième Commandements sont contenues toutes les Lois, ma fille, et celui qui met ces deux premiers en pratique, accomplit les huit autres.
    Détachez-vous du monde et de ses attraits afin que vos coeurs puissent trouver la paix, mes enfants.
    Je vous demande, à vous tous qui le pourrez, de vivre en communauté;
    détachez-vous de votre héritage et mettez-le en commun comme les premiers chrétiens, mes enfants; mais ne faites pas ce que firent Ananie et Saphire (Ac 5, 1-12) . Servez le Seigneur des Seigneurs, et Lui seul.
    Je veux que vos coeurs reverdissent comme l'herbe et que vos fruits soient dignes, mes enfants, et pour cela, vous devez renoncer aux attraits du monde.
    Beaucoup disent mettre en pratique la doctrine du Christ mais ils ne vivent que pour leurs propres intérêts. C'est pourquoi, un jour pas très éloigné, beaucoup seront appelés mais il y aura peu d'élus , parce que peu d'hommes vivent selon l'Evangile. Vivez comme les premiers chrétiens, mes enfants; et pour ne pas être attachés par les choses du monde, vous devez vous retirer du monde et faire en sorte que ce qui est à tous appartienne à chacun et que ce qui est à chacun soit à tous.
    Louez et glorifiez Dieu, mes enfants. Ne vous glorifiez pas vous-mêmes. Louez mon Nom.

    Amparo: (elle étend les bras comme fait le prêtre dans les prières de la messe) Saint, Saint, Dieu des armées, le Ciel et la terre sont remplis de ta gloire. Hosanna dans le Ciel! Béni soit Celui qui vient au nom du Seigneur! Saint est le Nom de Dieu! Saint est le Nom de Dieu! (Ici Amparo s'incline en avant dans une attitude de prière et de soumission et son visage frôle le sol sans le toucher... Elle se redresse). Béni, béni, béni soit Dieu! Les anges chantent la louange de Dieu!

    Notre Seigneur: Comme cette louange plaît à mon Père, mes enfants! Louez-Le et glorifiez-Le. Travaillez avec joie et donnez avec joie pour que Je puisse vous aimer, mes enfants. Pendant tout ce mois, Je répandrai des grâces très spéciales pour le salut des âmes et la protection des familles.

    La Très Sainte Vierge: Je demande l'humilité, et que la devise de votre Oeuvre soit: Union, Amour et Paix. Et Je veux qu'elle s'étende dans toutes les parties du monde. La paix, l'amour entre les hommes et l'unité sont très importants, ma fille.
    Levez tous les objets, ils seront tous bénis avec des bénédictions très spéciales pour les moribonds.
    Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint. La paix soit avec vous, mes enfants.


    MENSAJE DEL DÍA 6 DE JUNIO DE 1992, PRIMER SÁBADO DE MES,
    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hija mía, hoy vengo con el manto lleno de gloria. Derramaré muchas gracias sobre todos los que han sido fieles y han acudido a este lugar. Muchos, hija mía, empezaron bien y terminaron mal... Pero mira todo lo que tengo preparado para los que han sido fieles a este lugar, donde mis plantas se han posado, hija mía. Te digo muchas veces que no es bueno empezar bien y terminar mal; sino empezar, hija mía, y ser fiel hasta el final. Yo dije que todos los que acudiesen a este lugar serían bendecidos y marcados con una cruz en la frente, pero para todos aquéllos que han sido fieles y constantes, hija mía. Dije que la capilla orante saldría si ellos eran fieles, pero buscan la mala oración sin querer hacer la acción. Quiero capillas vivas, capillas obrantes para llegar a las orantes. Eso te lo he repetido muchas veces, hija mía: ¿qué es la palabra sin obras? Hoy derramaré todas estas gracias sobre todos los que acudan a este lugar, sobre sus almas, hija mía. Y, sobre todo, derramaré torrentes de gracias para todos aquéllos que son fieles a mi Obra de amor y de unidad.
     
     

         EL SEÑOR:

         Sí, hija mía, todos los que acudan a este lugar recibirán gracias especiales; los amamantaré como una madre amamanta a sus hijos; los sentaré sobre mis rodillas y bendecirán mi Nombre; les enseñaré la sabiduría y nunca jamás se les olvidará, para todos los que sean fieles y vivan según el Evangelio, que muchos dicen vivir el Evangelio y lo viven a medias, hija mía. Para vivir el Evangelio tienen que seguir mis huellas, y mis huellas son de desprendimiento, de humildad, de obediencia, de caridad. Dije que el primer mandamiento y segundo, en él están todas las leyes, hija mía; el que cumple esos dos primeros, cumple los ocho siguientes.

         Desprendeos del mundo y de los apegos del mundo, para que vuestros corazones puedan sentir paz, hijos míos. Os pido que todos los que podáis viváis en comunidad; desprendeos de vuestra herencia y ponedla como los primeros cristianos, hijos míos; pero no hagáis lo que Ananías y Safira. Servid a un solo Señor de señores. Quiero que vuestros corazones reverdezcan como la hierba y vuestros frutos sean dignos, hijos míos; y para esto tenéis que dejar los apegos mundanos.

         Muchos dicen cumplir la doctrina de Cristo y sólo viven para sus intereses propios. Por eso, un día no muy lejano, muchos serán los llamados y pocos los escogidos, porque pocos viven según el Evangelio. Vivid como los primeros cristianos, hijos míos; y para no tener apegos mundanos, tenéis que retiraros del mundo y que lo de todos sea de uno y lo de uno sea de todos.

         Alabad y glorificad a Dios, hijos míos. No os glorifiquéis a vosotros mismos. Alabad mi Nombre.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Santo, Santo, Dios de los ejércitos, lleno está el Cielo y la Tierra de tu gloria! ¡Hosanna en el Cielo! ¡Bendito el que viene en el nombre del Señor! ¡Santo es el Nombre de Dios!... ¡Santo es el Nombre de Dios!...

         Bendito, bendito, bendito sea Dios, los ángeles cantan y alaban a Dios.
     
     

         EL SEÑOR:

         ¡Cuánto le gusta a mi Padre esta alabanza, hijos míos! Alabadle y glorificadle. Trabajad con alegría y dad con alegría, para que yo pueda amaros, hijos míos. Todo este mes derramaré gracias muy especiales para la salvación de las almas y la protección de las familias.
     
     

         LA VIRGEN:

         Humildad pido, y que vuestra Obra sea el nombre de “unión, amor y paz”. Y quiero que se extienda por todas las partes del mundo. La paz, el amor entre los hombres y la unidad es muy importante, hija mía.

         Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con unas bendiciones muy especiales para los moribundos...

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

         La paz sea con vosotros, hijos míos.

    4 juillet 1992

    La Très Sainte Vierge:
    Mes enfants, Je viens aujourd'hui avec mon manteau d'amour, mon manteau de miséricorde, pour vous enseigner à donner un refuge dans votre coeur à tous ceux qui sont dans le besoin.
    Regarde, ma fille, comme ils y sont protégés. (Amparo voit beaucoup de personnes sous le manteau de la Vierge en leur disant successivement).
    Je veux vous enseigner l'amour, ce Commandement si important dans ces temps si graves.

    Notre Seigneur:
    Mes enfants, Je vous tiens tous dans mes mains pour que vous soyez en sûreté et Je vous ai attachés avec la chaîne de l'amour, pour que vous ne puissiez pas vous séparer de Moi, mes enfants. C'est pourquoi Je vous demande de rompre avec tous les obstacles qu'il y a sur la terre, de vous détacher des biens matériels, afin que vous puissiez être près de Moi, mes enfants.
    Perfectionnez vos vies pour votre profit, mes enfants.
    Je vous demande d'être de fidèles témoins de l'Evangile, pour votre salut, mes enfants.
    Je ne vous demande rien pour Moi, Je n'ai besoin de rien de la part de l'homme, Je possède tout par Moi-même et Je me suffis à Moi-même.
    Mais si J'ai tant d'amour pour l'homme, c'est parce que Je l'ai créé à l'image et à la ressemblance de Dieu et Je veux que l'homme aime avec cette ressemblance.
    Aimez-vous les uns les autres, mes enfants, comme Je vous ai aimés.
    Faites de bonnes oeuvres, mes enfants, afin que vous puissiez accéder au royaume des vivants.
    Vous tous qui vous employez à consoler les affligés, à donner à manger à celui qui a faim, à boire à celui qui a soif, à vêtir celui qui est nu, Je vous ferai tous sortir, mes enfants, de cette terre stérile et desséchée et Je vous conduirai vers la terre nouvelle où vous serez arrosés de sources vives et où vous vous conserverez robustes et frais, mes enfants.
    C'est pourquoi Je vous demande, mes enfants, de suivre l'Evangile, afin que vous puissiez parvenir à la terre nouvelle où coule le lait et le miel, où se trouvent la beauté et la splendeur.
    Mais si vous ne mettez pas en pratique le Commandement de l'Amour, mes enfants, en ces temps si graves, Je ne pourrai pas vous conduire à la terre promise.
    Et toi, ma fille, instrument choisi par mes mains, va de l'avant avec mon Oeuvre.
    Que rien ni personne ne puisse te préoccuper, car Je placerai des anges sur la terre, ma fille, pour qu'ils apportent de la nourriture à tes nécessiteux.
    Je toucherai les coeurs, un par un, ma fille.
    Mais que rien ni personne ne puisse te rendre anxieuse.
    Sois un fidèle instrument pour mon Oeuvre, ma fille.
    Je veux qu'elle se multiplie comme les étoiles dans le ciel.
    Il y a aussi de bons anges sur la terre, et Moi Je les conduirai pour que mon Oeuvre grandisse, ma fille.
    Je toucherai leurs coeurs (et ils Me verront) en celui qui a soif, qui a faim, qui est nu, qui est malade, et Je les attendrirai pour soigner mes blessures comme un baume suave, ma fille, car tous ceux qui feront une petite oeuvre pour l'un de ces enfants de la terre le feront pour Moi.
    C'est pourquoi Je vous le demande, mes enfants: aimez-vous les uns les autres et mettez en pratique le Commandement de l'Amour.
    Si vous m'aimez, mes enfants, comment oublierai-Je votre Oeuvre et la mienne?
    Mais on ne parvient à arriver ici que si l'on est détaché des biens matériels, mes enfants;
    or, la plupart des êtres humains ont leur coenr attaché au monde et aux choses du monde.
    Aimez-vous, mes enfants: c'est le Commandement le plus important, le Commandement de l'Amour. Aimez Dieu votre Créateur, et le prochain comme vous-mêmes, mes enfants.

    Sois ferme et forte, ma fille, il y a beaucoup d'âmes qui sont dans le besoin, et ce n'est qu'avec la force et l'amour qu'on peut arriver jusqu'à elles, ma fille.
    Préoccupe-toi de mes affaires, ma fille, et Moi Je m'occuperai des tiennes.

    La Très Sainte Vierge: Levez tous les objets, ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales pour les âmes des moribonds, mes enfants.
    Ils ont tous été bénis avec des bénédictions spéciales pour le salut des âmes.
    Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.
    Je vous laisse la paix, mes enfants.


    MENSAJE DEL DÍA 4 DE JULIO DE 1992, PRIMER SÁBADO DE MES,
    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hijos míos, hoy vengo con mi manto de amor, mi manto de misericordia, para enseñaros a refugiar a todos los necesitados dentro de vuestros corazones. Mira, hija mía, cómo están dentro de él protegidos...

         Os quiero enseñar el amor, ese mandamiento tan importante en estos tiempos tan graves.
     
     

         EL SEÑOR:

         Hijos míos, os tengo a todos en mis manos para que estéis seguros, y os tengo atados con la cadena del amor, para que no podáis separaros de mí, hijos míos; por eso pido que rompáis con todos los obstáculos que hay en la Tierra, que os desprendáis de la materia, para que podáis estar junto a mí, hijos míos. Perfeccionad vuestras vidas para vuestro provecho, hijos míos. Os pido que seáis fieles testigos del Evangelio, para vuestra salvación, hijos míos. No os pido nada para mí; yo no necesito nada del hombre, lo tengo todo por mí mismo y me valgo por mí mismo; pero amo tanto al hombre, porque lo hice a imagen y semejanza de Dios, y quiero que el hombre ame con esa semejanza.

         Amaos los unos a los otros, hijos míos, como yo os he amado. Haced buenas obras, hijos míos, para que podáis ir a la Región de los vivos. Todos aquéllos que os dediquéis a consolar a los afligidos, a dar de comer al hambriento, de beber al sediento, de vestir al desnudo, a todos, hijos míos, aquéllos os sacaré de esta Tierra estéril y seca y os conduciré a la Nueva Tierra donde seréis regados con fuentes vivas y os conservaréis lozanos y frescos, hijos míos. Por eso os pido, hijos míos, que sigáis el Evangelio, para que podáis ir a la Nueva Tierra, a donde mana leche y miel, donde está la hermosura y la belleza. Pero si no practicáis el mandamiento del amor, hijos míos, en estos tiempos tan graves, no podré conduciros a la Tierra Prometida.

         Y tú, hija mía, instrumento cogido por mis manos, sigue adelante con mi Obra, que nada ni nadie te angustie, pues yo pondré ángeles en la Tierra, hija mía, para que traigan alimento a tus necesitados. Yo iré tocando los corazones, uno por uno, hija mía, pero que nada ni nadie te angustie. Sé fiel instrumento a mi Obra, hija mía. Quiero que se multiplique como las estrellas que hay en el cielo. También hay ángeles buenos en la Tierra, que yo los conduciré para que crezca mi Obra, hija mía. Tocaré a sus corazones como sediento, como hambriento, como desnudo, como enfermo, y los ablandaré para curar mis heridas como bálsamo suave, hija mía, porque todos aquéllos que hagan una pequeña obra con alguno de estos hijos de la Tierra, lo harán por mí. Por eso os pido, hijos míos: amaos los unos a los otros y practicad el mandamiento del amor. Si me amáis, hijos míos, ¿cómo yo voy a olvidar vuestra Obra y mía?

         Pero sólo se consigue llegar aquí desprendidos de la materia, hijos míos, y la mayor parte de los seres humanos, su corazón lo tienen apegado al mundo y a las cosas del mundo. Amaos, hijos míos; ése es el mandamiento más importante: el mandamiento del amor. Amad a Dios vuestro Creador y al prójimo como a vosotros mismos, hijos míos.

         Sé firme y fuerte, hija mía, hay muchas almas necesitadas y sólo con fortaleza y con amor se puede llegar a ellas, hija mía. Preocúpate por mis cosas, que yo me ocuparé de las tuyas, hija mía.
     
     

         LA VIRGEN:

         Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales para las almas de los moribundos, hijos míos... Todos han sido bendecidos con bendiciones especiales para la salvación de las almas.

         Yo os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

         La paz os dejo, hijos míos.

    1er août 1992

    La Très Sainte Vierge:
    Ma fille, voici votre Mère. Regarde ce que Je porte à la main, ma fille:
    les Tables du salut; sans elles, ma fille, l'homme ne se sauvera pas.
    Mes paroles seront brèves, ma fille. J'ai les Tables à la main.
    Mon Fils m'a laissée comme Porte de salut, avec ces Tables, les Tables de la Loi (divine).
    Oui, mes enfants, ces Tables sont les Tables de l'amour; ceci est la Loi de Dieu ; sans cette Loi, l'homme ne se sauvera pas.

    Notre Seigneur:
    Je veux qu'on me reconnaisse comme le Créateur du genre humain.
    L'homme ne me reconnaît pas; Je suis un inconnu pour lui.
    Cela ne vous fait-il pas de la peine, mes enfants, que les animaux sans raison reconnaissent leurs maîtres, alors que vous, créatures raisonnables, créées à l'image et à la ressemblance de Dieu, vous ne reconnaissez pas votre maître absolu?
    L'homme a été créé dans le seul but de l'amour. Il s'est séparé de Dieu par le péché et il est mort à la grâce. Or la divinité de Dieu s'est unie à l'humanité de l'homme, lui donnant une nouvelle greffe avec son amour, comme au moment de sa création; mais l'homme n'en a même pas été touché. Le Verbe a dû venir (sur la terre), devenir homme et répandre son sang pour opérer en l'homme une greffe d'amour (Amparo fait une longue pause) , afin que l'homme puisse revenir vers Lui.
    Amparo: Oh...!
    Notre Seigneur:
    Regarde, ma fille, comme tous sont tombés à cause du péché, et comme la plus grande partie des hommes sont relevés avec le sang de Dieu fait homme.
    Mais beaucoup d'entre eux, ma fille, refusent d'être sauvés, même avec le sang du Fils de Dieu fait homme...
    Que peut donc donner de plus un Dieu qui, après avoir été offensé et outragé, a donné son propre Fils pour sauver l'humanité ?...
    Dieu aime l'homme; c'est l'homme qui se détache de Dieu par son péché.
    Le péché, c'est la mort, et Dieu est le Dieu des vivants.
    Celui qui est mort à la grâce est séparé de Dieu.
    Aussi Je vous le demande, mes enfants: mettez bien en pratique la loi de l'Amour, qui est la loi du salut, mon unique loi.
    Ne soyez pas des coeurs stériles. Dieu n'aime pas que l'homme ne vive que de paroles, sans agir.
    Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de toutes tes forces, de tout ton coeur, de toute ton intelligence, et le prochain comme toi-même. Voilà la loi.
    L'homme s'endurcit de plus en plus, et il est pire que les bêtes féroces, car celles-ci protègent leurs petits alors que l'homme détruit ses propres enfants.
    Mettez les commandements en pratique, mes enfants; ne vous contentez pas d'un   mouvement des lèvres.
    Les temps sont graves et sans amour   l'homme ne se sauvera pas.
    Que puis Je dire de plus aux hommes?
    Venez en ce lieu et vous serez bénis et protégés.
    J'ai établi ma Mère comme la Porte du salut.
    Ne vous laissez pas   tromper par les faux prophètes, mes enfants.
    Beaucoup d'entre vous, vous vous laissez entraîner par le fanatisme.
    Aimez l'Eglise, aimez le Vicaire du Christ. Regarde, ma   fille...
    Amparo: Oh... !
    Notre Seigneur:
    ... tous les anges qui entourent ce lieu.
    Mes enfants, laissez vos anges gardiens marquer vos fronts de mon Sceau.
    Tous ceux qui viendront en ce lieu seront marqués de ce Sceau et bénis.
    Mais écartez-vous des lieux où l'on n'apprend pas à aimer l'Eglise et à suivre la doctrine du Christ.
    Les temps sont graves, ma fille, et l'homme persiste dans son obstination à ne pas reconnaître son unique Maître et Seigneur.
    Laissez-vous greffer avec mon amour, mes enfants.
    Je suis le Chemin, la Vérité et la Vie.
    Mangez mon Corps et buvez mon Sang; mais faites-le en état de grâce pour pouvoir avoir la vie éternelle et le bonheur infini.
    Mais, malheur à ceux qui mangent mon Corps et qui boivent mon Sang alors qu'il sont morts par le péché! Ils sèment eux-mêmes leur propre condamnation.

    La Très Sainte Vierge:
    Levez tous les objets, ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales pour les moribonds.
    La paix soit avec vous, mes enfants.
    Je vous bénis comme le Père vous bénit par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.


    MENSAJE DEL DÍA 1 DE AGOSTO DE 1992, PRIMER SÁBADO DE MES,
    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hija mía, aquí está vuestra Madre. Mira lo que traigo en la mano, hija mía: las Tablas de la salvación; sin estas tablas, el hombre no se salvará, hija mía. Mis palabras van a ser cortas, hija mía. Yo tengo las Tablas en mis manos. Mi Hijo me ha dejado como Puerta de salvación con estas tablas, las Tablas de la Ley. Sí, hijos míos, esas tablas son las Tablas del amor; ésa es la Ley de Dios; sin esa Ley, el hombre no se salvará.
     
     

         EL SEÑOR:

         Quiero que se me reconozca como el Creador del género humano. El hombre no me reconoce, soy un desconocido para ellos. ¿No os da pena, hijos míos, que las bestias irracionales reconozcan a sus dueños y vosotros, creaturas racionales, creadas a imagen y semejanza de Dios, no reconozcáis a vuestro Dueño absoluto? El hombre fue creado con el único fin del amor. El hombre se desconectó de Dios por el pecado y quedó muerto a la gracia; y la deidad de todo un Dios se juntó a la humanidad del hombre y lo injertó con su amor, lo mismo que cuando lo había creado; pero ni eso le afectó al hombre. Tuvo que venir el Verbo y hacerse hombre y derramar su sangre, para injertar al hombre del amor y para que hubiera vuelto el hombre.

         Mira, hija mía, cómo todos son caídos por el pecado, y cómo, la mayoría de los hombres, son levantados con la Sangre del Dios hecho hombre. Pero, muchos de ellos, ni con la Sangre del Hijo de Dios hecho hombre quieren salvarse, hija mía. ¿Qué más puede dar todo un Dios que, después de ser ofendido y ultrajado, dio a su propio Hijo para salvar a la Humanidad? Dios ama al hombre; es el hombre el que se desconecta de Dios por su pecado. El pecado es muerte y Dios es Dios de vivos. El que está muerto a la gracia está desconectado de Dios. Por eso os pido, hijos míos: aplicad bien la ley del amor, que es la ley de la salvación; es mi única Ley.

         No seáis corazones estériles. A Dios no le gusta que el hombre viva de la palabra, sino de la obra. Amarás al Señor tu Dios con todas tus fuerzas, con todo tu corazón, con todo tu entendimiento, y al prójimo como a ti mismo; ahí está la ley.

         El hombre, cada día, se endurece más, y es peor que las fieras; porque las fieras protegen a sus cachorros y el hombre destruye hasta a sus propios hijos. Cumplid con los mandamientos, hijos míos; no os quedéis sólo en el movimiento de labios. Son tiempos graves y, sin amor, el hombre no se salvará. ¿Qué más quiere el hombre que le diga? Acudid a este lugar y seréis bendecidos y protegidos. He puesto a mi Madre como Puerta de salvación. No os dejéis engañar por falsos profetas, hijos míos. Muchos de vosotros os dejáis arrastrar por el fanatismo.

         Amad a la Iglesia, amad al Vicario de Cristo.

         Mira, hija mía, todos los ángeles que rodean este lugar. Dejaos, hijos míos, sellar vuestras frentes por vuestros ángeles custodios. Todos los que acudan a este lugar serán sellados y bendecidos; pero apartaos de aquellos lugares que no os enseñan a amar a la Iglesia y a cumplir con la doctrina de Cristo.

         Los tiempos son graves, hija mía, y el hombre sigue obstinado en no reconocer a su único Dueño y Señor. Dejaos injertar de mi amor, hijos míos; yo soy el Camino, la Verdad y la Vida. Comed mi Cuerpo y bebed mi Sangre; pero comedlo y bebedlo en gracia, para que podáis tener vida eterna y gozo infinito. Pero, ¡ay de aquéllos que comen mi Cuerpo y mi Sangre y están muertos por el pecado!, ellos mismos siembran su condenación.
     
     

         LA VIRGEN:

         Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales para los moribundos...

         La paz sea con vosotros, hijos míos.

         Os bendigo como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

    5 septembre 1992

    La Très Sainte Vierge:
    Mes enfants, voici votre Mère, Mère de l'amour.
    Mes messages sont des messages d'amour car les temps sont graves, mes enfants, et il faut que les hommes s'aiment pour pouvoir se sauver.
    Je veux mettre un Sceau  sur votre coeur, un Sceau d'amour;
    aussi Je viens remplie d'amour et de miséricorde, pour les répandre sur toutes les âmes, mes enfants.
    Ma fille, celui qui aime est vivant, celui qui n'aime pas est mort.
    C'est pourquoi Je demande à tous de former des communautés et de vivre comme des frères, car
    la majorité des mortels vivent sans mettre en pratique la doctrine du Christ.
    Chacun, ma fille, vit pour soi-même et ne se préoccupe que de ses biens.
    Quand il voit un frère qui a faim ou qui est nu, il lui dit: "Dieu te protège, mon frère!".
    Les hommes vivent de paroles, ma fille, et non d'actes, mais celui qui ne vit que de paroles ne peut pas avoir Dieu (avec lui).. Celui qui ouvre ses entrailles aux pauvres et qui leur tend la main, celui-là vit de Dieu. Mais hélas, mes enfants, combien d'entre vous arriverez à la porte du ciel et serez repoussés parce qu'il n'y aura eu dans votre coeur que des intérêts propres!
    Je veux qu'on forme des communautés, et que leur racine soit la charité. Je veux que les branches de cet arbre de la charité s'étendent dans toutes les parties du monde.
    Mes enfants, Je veux que vous donniez vos vies et vos biens et que vous viviez dans la pauvreté, en remettant votre richesse aux pauvres.
    Qu'il y en a peu à vouloir vivre dans la pauvreté, mes enfants!
    C'est pourquoi il y aura beaucoup d'appelés et peu d'élus.
    Quand vous arriverez ici, mes enfants, il vous sera répondu: "Mes enfants, vous avez eu quelqu'un qui vous a dit: tu as l'Evangile, le Christ vous l'a laissé par écrit".
    Quand vous renoncerez à tout et que vous vivrez comme les premiers chrétiens, vous vivrez dans la vérité, mes enfants. Alors vraiment on pourra vous dire que vous êtes des imitateurs du Christ et que vous vivez selon l'Evangile.
    Mais malheur à ceux qui n'ouvrent pas leurs entrailles à leurs frères et qui vivent dans l'abondance comme le riche avare, tandis qu'à leur frère qui leur demande de l'aide ils ne répondent que par ces mots: "Dieu te bénisse!". La parole sans les oeuvres est lettre morte.
    Ce sont les temps de l'amour. Pratiquez ce premier commandement, mes enfants, Je vous le répète constamment comme Mère d'amour et de miséricorde.
    Je vous avertis comme cette bonne mère qui avertit son fils, parce qu'elle veut pour lui ce qu'il y a de meilleur; c'est ainsi, mes enfants, qu'est votre Mère du Ciel: Elle veut votre salut.
    Vivez selon l'Evangile, car nombreux parmi vous, mes enfants, se frappent beaucoup la poitrine, mais oublient les oeuvres de miséricorde.
    Je veux, mes enfants, qu'on construise en ce lieu une oeuvre de bienfaisance pour les pauvres: c'est ma réponse à ta question, ma fille. Je veux qu'on y fasse la chapelle et Je veux qu'on fonde une maison d'amour et de miséricorde. Je veux que les pauvres soient près de l'endroit où votre Mère du Ciel a posé ses pieds virginaux. Voilà la meilleure oeuvre, ma fille: aider le déshérité et le nécessiteux. Mais les hommes mettent leur coeur dans les trésors de la terre que sont pour eux l'or et l'argent, et les richesses.
    Vous autres, mes filles, et vous tous qui appartenez à cette oeuvre, mettez votre coeur dans le plus grand trésor, qui est l'Eglise: c'est là que se trouve le Christ. Aimez-La de tout votre coeur et faites qu'Elle soit aimée de tous les hommes.
    Mes enfants, donnez l'exemple de l'humilité et de la force, et que rien ne vous fasse peur.
    Baise le sol, ma fille, en réparation pour tant et tant d'offenses que l'on commet envers la Sainte Eucharistie.
    Ma fille, Je veux que tu enseignes à aimer mon Fils, et qu'Il soit adoré jour et nuit en ce lieu, quand on aura construit la chapelle.
    Et Moi Je marquerai aujourd'hui tous les coeurs du Sceau de l'amour, pour que les hommes s'aiment les uns les autres et pour que la paix règne dans le monde.
    Levez tous les objets, ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales.
    Ils ont tous été bénis avec des bénédictions spéciales pour la conversion des pauvres pécheurs.
    Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.


    MENSAJE DEL DÍA 5 DE SEPTIEMBRE DE 1992, PRIMER SÁBADO DE MES,
    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hijos míos, aquí está vuestra Madre, Madre del Amor. Mis mensajes son de amor porque los tiempos son graves, hijos míos, y es necesario que el hombre se ame para poderse salvar. Quiero poneros un sello, en vuestro corazón, de amor; por eso vengo llena de amor y de misericordia, para derramarla sobre todas las almas, hijos míos.

         El que ama, hija mía, está en la vida; el que no ama está muerto. Por eso pido que se formen comunidades y que vivan todos como hermanos, porque la mayoría de los mortales viven sin practicar la doctrina de Cristo. Cada uno, hija mía, vive para sí mismo y se preocupa de su hacienda, y cuando ve a su hermano que tiene hambre o está desnudo le dice: “¡Dios te ampare, hermano!”. Viven de palabra, hija mía, pero no viven de obra, y el que vive de palabra no puede tener a Dios. Aquél que abre sus entrañas a los pobres y les tiende su mano, aquél vive de Dios. Pero, ¡ay, hijos míos, cuántos llegaréis a la puerta del Cielo y seréis rechazados, porque en vuestro corazón no ha habido nada más que intereses propios! Quiero que se formen comunidades y que la raíz sea ésta, y las ramas se extiendan por todas las partes del mundo de este árbol de la caridad.

         Quiero, hijos míos, que deis vuestras vidas y vuestra hacienda y viváis en pobreza, entregándosela a los pobres. ¡Qué pocos quieren vivir en pobreza, hijos míos!, por eso muchos serán los llamados y pocos los escogidos. Cuando lleguéis aquí, hijos míos, os responderán: “Ya tuvisteis quien os lo dijera, hijos míos, ahí estaba el Evangelio, ahí os lo dejó escrito Cristo”. Cuando renunciéis a todo y viváis como aquellos primeros cristianos, viviréis en la verdad, hijos míos. Entonces sí que os podrán decir que sois imitadores de Cristo y que vivís según el Evangelio. Pero, ¡ay de aquéllos que no abren las entrañas a sus hermanos y viven como el rico avariento en la abundancia!, mientras su hermano le pide ayuda y sólo le contestan de palabra: “¡Dios te bendiga!”. La palabra está muerta sin la obra.

         Son tiempos de amor. Practicad este primer mandamiento, hijos míos; os lo estoy repitiendo constantemente como Madre de amor y de misericordia. Os aviso como aquella madre buena que avisa al hijo, porque quiere lo mejor para él; así, hijos míos, es vuestra Madre del Cielo: quiere vuestra salvación. Vivid según el Evangelio, que muchos os dais muchos golpes de pecho, hijos míos, pero os olvidáis de las obras de misericordia.

         Quiero que en este lugar se construya una obra benéfica de pobres, hijos míos. Esta es mi respuesta a tu pregunta, hija mía. Quiero que se haga la Capilla y quiero que se funde una casa de amor y misericordia. Quiero que los pobres estén cerca de donde vuestra Madre del Cielo ha puesto sus plantas virginales. Ésta es la mejor obra: ayudar al desvalido, hija mía, ayudar al necesitado; pues los hombres tienen el corazón puesto donde está el tesoro de la Tierra, que para ellos es el dinero, el oro y las riquezas.

         Vosotras, hijas mías, y todo aquél que pertenezca a esta Obra, poned el corazón en el mayor tesoro, que es la Iglesia; allí está Cristo; amadla con todo vuestro corazón y haced que los hombres la amen.

         Dad ejemplo, hijos míos, de humildad y fortaleza, no os acobardéis por nada.

         Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantas y tantas ofensas como se cometen en la Sagrada Eucaristía, hija mía...

         Quiero, hija mía, que enseñes a amar a mi Hijo, y que mi Hijo sea adorado día y noche en este lugar, cuando se construya la Capilla.

         Yo hoy sellaré todos los corazones con el sello del amor, para que los hombres se amen unos a otros y en el mundo haya paz.

         Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales... Todos han sido bendecidos con bendiciones especiales para la conversión de los pobres pecadores.

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

    15 septembre 1992

    MESSAGE DU 15 SEPTEMBRE 1992, NOTRE DAME DES DOULEURS, 
    AU PRADO NUEVO DE L’ESCORIAL (MADRID) 
      
      
         LA SAINTE VIERGE : 
         Ma fille, je viens aujourd’hui avec le manteau d’or. Je veux réjouir tous les cœurs. Regarde comment je protège les âmes ; mon manteau n’a pas de fin. Je les y mets en-dessous pour les protéger du danger. 
         C’est un jour très important pour que votre Mère ne se manifeste pas, mes fils, pour remercier tous ceux qui collaborent à mon Œuvre. Vous êtes tous sous ce manteau si vous êtes fidèles à toutes mes paroles. 
      
      
         LE SEIGNEUR : 
         Oui, mes fils, le Fils du Dieu vivant vous demande que vous vénériez votre Mère. Je viens aussi aujourd’hui vêtu d’un manteau d’or. 
      
      
         LUZ AMPARO : 
         Ah, ah, ah ! Ah, quelle beauté ! Quelle beauté ! Ah, mais que tu es beau, mon Dieu ! Ah ! 
      
      
         LE SEIGNEUR : 
         Ma fille, même devant cette beauté les âmes ne sont pas amoureuses de moi, et le peu qui le sont, leur cœur est divisé entre le monde et cette beauté. Un grand nombre d’âmes, qui étaient amoureuses de cette beauté, m’abandonnèrent, ma fille, et le peu qu’il en reste ne cesse d’être profondément amoureux de moi. 
      
      
         LUZ AMPARO : 
         Ah ! Il n’y a pas d’autre beauté dans le monde, en aucun endroit, mon Dieu. Ah, ah ! 
      
      
         LE SEIGNEUR : 
         Je veux que tous les hommes aiment leur Dieu. 
      
      
         LUZ AMPARO : 
         Ah, mon Dieu ! 
      
      
         LE SEIGNEUR : 
         Qu’on ne m’aime pas à moitié. Ah, la jeunesse ! Pauvre jeunesse ! Elle ne pense à rien d’autre qu’aux beautés mondaines, si elle voyait ce qu’elles sont réellement ! Regarde toutes les beautés dans ce qu’il en reste, ma fille. 
      
      
         LUZ AMPARO : 
         Ah, quelle horreur ! Ah, ah ! 
      
      
         LE SEIGNEUR : 
         Comme l’ennemi trompe la jeunesse ! 
      
      
         LUZ AMPARO : 
         Ah, mon Dieu ! Oh, ah ! 
      
      
         LE SEIGNEUR : 
         Ainsi, ils sont trompés par les beautés du monde et par les choses que le démon met devant leurs yeux. 
         Vénérez le saint nom de Marie, car en beaucoup de lieux il est oublié, mes fils ; car Elle intercède constamment devant moi pour vous, et son Cœur doux et plein de charité prie continuellement pour l’Humanité. 
         Ma fille, j’écoute la prière de ma Mère, et devant ce Cœur qui se fond d’amour, beaucoup d’âmes sont accueillies. 
         Regarde maintenant le grand nombre d’âmes qui vont être inscrites dans le Livre de Vie. Cent âmes vont y être inscrites grâce à leur charité et à leur amour de mon Œuvre, ma fille. 
         Fais un cercle sur le Livre de Vie. . .; mets trois symboles parmi ceux que tu as vu ici à l’intérieur de ce cercle. . . Ferme-le, ma fille. . . Ici sont les quarante-deux noms ; regarde-les et lis-les. . . Note à cet endroit ce qu’il manque pour faire cent noms. Fais un autre symbole, ma fille. Fais un symbole carré. . . Mets ce que tu vois ici. . . Ferme-le. 
         Ici se trouvent les cents noms, ma fille. Ceux de droite sont plus proches parce que leur charité a été plus profonde. Ceux de gauche seront un peu plus loin parce que leur charité est plus faible, mais ils sont tous écrits dans ce Livre. 
      
      
         LUZ AMPARO : 
         Ah ! Ah ! Ah, Seigneur, quelle grandeur ! Ah ! 
      
      
         LE SEIGNEUR : 
         Vois-tu comment je récompense la charité, ma fille ? L’amour et la charité ne se voient pas sur la Terre, mais un jour, tous ensemble, vous pourrez la voir, mes fils. 
      
      
         LUZ AMPARO : 
         Ah ! Ah ! Ah, mon Dieu ! 
      
      
         LE SEIGNEUR : 
         Lis les noms, ma fille. . . Ces noms ne s’effaceront jamais. 
      
      
         LUZ AMPARO : 
         Ah ! Ah, merci ! Mon Dieu, merci ! Merci, mon Dieu ! Ah ! Merci, merci, mon Dieu ! Merci, mon Dieu ! Merci, mon Dieu ! Merci, mon Dieu, merci mon Dieu ! Merci, mon Dieu ! Merci, merci ! Merci ! Je te rends grâces, mon Dieu pour toutes les âmes. Je te remercie si elles savent les recevoir. Si elles ne sont pas capables de le faire, je te remercie quand même, Seigneur. Merci, Seigneur ! Merci pour toutes ces âmes ; protège-les, Seigneur. Ah, quelle grandeur, Seigneur ! Ah, quelle grandeur ! Ah ! 
      
      
         LE SEIGNEUR : 
         C’est la grandeur de mon amour, ma fille : c’est pour cela que je t’ai appris à aimer et je veux que tu en fasses de même avec les hommes parce que l’amour est le prix du salut. 
      
      
         LUZ AMPARO : 
         Ah ! Ah, mon Seigneur et mon Dieu ! 
      
      
         LE SEIGNEUR : 
         Tous ceux qui viennent en ce lieu recevront des grâces spéciales, et je veux aussi que ces grâces soient publiées, mes fils, pour que les cœurs se laissent attendrir. 
         Il y a eu beaucoup de guérisons ici qui n’ont pas été publiées, et beaucoup de conversions qu’on a cachées et qu’on veut dissimuler. 
         Je veux que les grâces que je répands en ce lieu sortent à la lumière, pour que les hommes vénèrent ma Sainte et Pure Mère. Le nom de Marie doit être vénéré et respecté. 
         Comment pouvez-vous penser, mes fils, que le Fils de Marie peut être heureux et content si on ne respecte pas le nom de sa Mère ? 
         Pour moi le temps n’a pas cours, mes fils, et c’est pourquoi je vous le dis de la félicité, parce que je vois le temps du Christ sur la Terre. Ma félicité est éternelle, je n’ai pas besoin que l’homme me rende heureux car je le suis déjà. Je n’ai besoin de personne, car je suis le Verbe et pour le Verbe la félicité de l’homme ne sert à rien. 
         Mais, mes fils, je vous rappelle ma vie sur la Terre, car pour moi le passé n’existe pas, c’est le présent qui me préoccupe, le présent des âmes. 
         Tous ceux qui viennent en ce lieu recevront des grâces spéciales, physiques et spirituelles. 
         Je vous bénis, mes fils, comme le Père vous bénit au moyen du Fils et avec le Saint-Esprit. 
         Levez tous los objets ; aujourd’hui ils seront bénis en l’honneur de ma Mère et avec des bénédictions spéciales pour les vivants et les morts. Ne vous séparez jamais de ces objets, mes fils ; avec eux vous serez protégés. 
         Je vous laisse la paix. 


    MENSAJE DEL DÍA 15 DE SEPTIEMBRE DE 1992, NTRA. SRA. DE LOS DOLORES,
    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hoy vengo, hija mía, con el manto de oro. Quiero alegrar a todos los corazones. Mira, hija mía, cómo protejo a las almas; mi manto no tiene fin. Los meto debajo del manto, los protejo del peligro.

         Es un día muy importante para que vuestra Madre no se manifestase, hijos míos, para daros gracias a todos aquéllos, hijos míos, que colaboráis a mi Obra. Todos estaréis bajo este manto, si sois fieles, hijos míos, a todas mis palabras.
     
     

         EL SEÑOR:

         Sí, hijos míos, el Hijo de Dios vivo os pide que veneréis a vuestra Madre. Yo también hoy vengo con un manto de oro.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, ay, ay! ¡Ay, qué belleza!, ¡qué belleza! ¡Ay, pero qué belleza tienes, Dios mío! ¡Ay!
     
     

         EL SEÑOR:

         Pues, hija mía, aun ante esta belleza las almas no se enamoran de mí, y aquellas pocas que están enamoradas, su corazón está partido en el mundo y en esta belleza, hija mía. Gran número de almas, que estaban enamoradas de esta belleza, me abandonaron, hija mía, y las pocas que quedan, no se terminan de enamorar profundamente de mí.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay!, si no hay otra belleza en el mundo, ni en ningún sitio, Dios mío. ¡Ay, ay!
     
     

         EL SEÑOR:

         Quiero que todos los hombres se enamoren de su Dios.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, Dios mío!
     
     

         EL SEÑOR:

         Que no me amen a medias. ¡Ay, juventud!, ¡pobre juventud! No piensan nada más que en las bellezas mundanas, ¡que si las vieran realmente cómo son! Mira todas las bellezas en lo que quedan, hija mía.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, qué horror! ¡Ay, ay!
     
     

         EL SEÑOR:

         ¡Cómo el enemigo engaña a la juventud!
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, Dios mío! ¡Huy, ay!
     
     

         EL SEÑOR:

         Así son engañados: las bellezas del mundo y las cosas que el demonio pone ante sus ojos.

         Venerad el santo nombre de María, que en muchos lugares está olvidado, hijos míos; que Ella intercede constantemente ante mí por vosotros, y su Corazón dulce y lleno de caridad está constantemente pidiendo por la Humanidad.

         Yo, hija mía, escucho el ruego de mi Madre, y ante ese Corazón que se derrite de amor, son acogidas muchas almas.

         Mira, hija mía, hoy el gran número de almas que van a ser apuntadas en el Libro de la Vida. Cien almas van a ser apuntadas en el Libro de la Vida por su caridad y su amor a mi Obra, hija mía.

         Haz un círculo redondo en el Libro de la Vida, hija mía...; pon tres símbolos de los que ves aquí dentro de ese círculo... Firma, hija mía... Ahí están los cuarenta y dos nombres; míralos, hija mía, y léelos... Apunta en este lugar los que faltan a los cien. Haz otro símbolo, hija mía. Haz un símbolo cuadrado... Pon lo que ves aquí, hija mía... Firma.

         Ahí están los cien, hija mía. Los de la derecha estarán más cerca porque su caridad ha sido más profunda. Los de la izquierda, hija mía, estarán un poco más lejos porque su caridad es más débil, pero todos están escritos en este Libro.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay! ¡Ay! ¡Ay, Señor, qué grandeza! ¡Ay!
     
     

         EL SEÑOR:

         ¿Ves cómo yo premio la caridad, hija mía? El amor y la caridad no se ven en la Tierra, pero un día, todos juntos, podréis verla, hijos míos.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay! ¡Ay! ¡Ay, Dios mío!
     
     

         EL SEÑOR:

         Lee los nombres, hija mía... Jamás se borrarán estos nombres, hija mía.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay! ¡Ay, gracias! ¡Dios mío, gracias! ¡Gracias, Dios mío!, ¡ay!, ¡gracias, gracias, Dios mío! ¡Gracias, Dios mío, gracias!, ¡gracias, Dios mío, gracias!, ¡gracias, Dios mío, gracias!, ¡gracias, Dios mío, gracias!, ¡gracias, gracias!, ¡gracias! Te doy gracias, Dios mío, por todas las almas. Te doy las gracias, si saben recibirlas. Si ellas no son capaces de recibirlas, yo te doy las gracias, mi Señor. ¡Gracias, mi Señor!, ¡gracias, mi Señor! Gracias por todas esas almas; protégelas, Señor. ¡Ay, qué grandeza, Señor! ¡Ay, qué grandeza! ¡Ay!
     
     

         EL SEÑOR:

         Ésta es la grandeza del amor, hija mía; por eso te he ensañado a amar y quiero que enseñes a amar a los hombres, hija mía, porque el amor es el precio de la salvación.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay! ¡Ay, Señor mío y Dios mío!
     
     

         EL SEÑOR:

         Todos los que acudan a este lugar recibirán gracias especiales, y quiero también que esas gracias sean publicadas, hijos míos, para que los corazones se ablanden.

         Ha habido muchas curaciones en este lugar que no han sido publicadas, y muchas conversiones que se ocultan y quieren ocultarlas.

         Quiero que las gracias que yo derramo en este lugar salgan a la luz, para que los hombres veneren a mi Santa y Pura Madre. El nombre de María tiene que ser venerado y respetado.

         ¿Cómo podéis pensar, hijos míos, que el Hijo de María puede ser feliz y estar contento si no se respeta el nombre de su Madre?

         Para mí no pasa el tiempo, hijos míos, y por eso os digo lo de la felicidad, porque yo miro el tiempo de Cristo en la Tierra. Mi felicidad es eterna, no necesito que el hombre me haga feliz, porque yo era feliz. No necesité nunca, pues era el Verbo y el Verbo no necesitaba felicidad del hombre.

         Pero, hijos míos, os estoy recordando mi vida en la Tierra, pues para mí el pasado no existe, es el presente el que me preocupa, el presente de las almas.

         Todos los que acudan a este lugar recibirán gracias especiales, físicas y espirituales.

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

         Levantad todos los objetos; hoy serán bendecidos en honor a mi Madre, y con bendiciones especiales para vivos y moribundos. No os separéis nunca de estos objetos, hijos míos; con ellos seréis protegidos.

         La paz os dejo.

    3 octobre 1992
     

    La Très Sainte Vierge: Ma fille, mon Coeur est rempli de douleur parce que les hommes veulent exploiter ce lieu sacré.
    Ils reçoivent des dons de Dieu, mais quand Dieu les leur redemande, ma fille, ils les Lui refusent et ne cherchent que leurs intérêts.
    Malheur à ces gens qui se prétendent catholiques! En voilà une manière de mettre la doctrine en pratique! Je pleure, ma fille: les hommes sont si cruels qu'ils ne sont pas capables d'accepter les grâces que Dieu répand sur eux.
    Ce lieu est sacré, ma fille, car mes pieds virginaux s'y sont posés.
    Ne permettez pas, mes enfants, que ce lieu soit exploité.
    Je vous ai dit, mes enfants, qu'ils voulaient faire disparaître mon Nom de ce lieu.
    Maintenant c'est le moment d'agir.
    Je vous ai dit aussi, mes enfants, que c'est vous qui devriez faire avancer cette Oeuvre.
    En avant, mes enfants! Luttez pour que mes demandes se réalisent.
    Je veux en ce lieu des oeuvres d'amour et de miséricorde et une chapelle en l'honneur de mon Nom.
    Je veux qu'on y vienne de tous les points du monde pour prier et recevoir des grâces.
    Soyez courageux, mes enfants!
    Et ne permettez pas que mon Nom disparaisse de ce lieu.
    Et vous, pasteurs de l'Eglise, faites croître mon Eglise.
    Il y a ici des grâces, et une semence: laissez-la croître et se développer.
    Tirez parti de ces fruits, mes enfants: ce sont des trésors que Je dépose pour le bénéfice de mon Eglise.
    Ne vous trompez pas vous-mêmes, mes enfants, ne repoussez pas vos frères, acceptez-les et réjouissez-vous tous ensemble du don de Dieu.
    Il y a ici des grâces, mes enfants, provenant de toute cette semence, que vous pouvez recueillir pour faire grandir mon Eglise et la rendre majestueuse.
    Vous avez ici de vrais adeptes de l'Evangile.
    Moi, J'ai planté un arbre en ce lieu: regardez donc ses fruits, mes enfants.
    Ne les gaspillez pas: ils font tant de bien à mon Eglise!
    Ne soyez pas aveugles, mes enfants.
    Les hommes veulent faire disparaître le Nom du Christ, et le Christ met entre vos mains des trésors de grâces, mais vous les rejetez...
    Pasteurs saints, réunissez tout ce troupeau, guidez-le et dirigez-le vers l'Eglise.
    Le Christ ne veut pas que disparaisse le plan de son Eglise, qu'Il a laissé imprimé en Elle.
    Et voilà pourquoi, mes enfants, il y a à l'intérieur de l'Eglise un arbitre saint qui la dirige avec sainteté et justice: il est le Représentant du Christ, mes enfants, obéissez-lui.
    Et vous, pasteurs de mon Eglise, renouvelez votre esprit et remplissez-le de l'Esprit Saint pour savoir discerner les bons fruits des mauvais.
    Le fruit de la charité, mes enfants, est le premier que Dieu a répandu sur les hommes, et Il veut que tous les hommes répandent ce fruit sur leurs frères.
    Sachez distinguer les signes de Dieu.
    Un autre signe de Dieu, mes enfants, c'est le signe de l'obéissance.
    Etes-vous aveugles, mes enfants?
    Ne laissez pas gaspiller tant et tant de fruits accumulés ici.
    Réveillez ceux qui sont endormis.
    Et vous, vous tous qui venez en ce lieu, un rude labeur vous revient, mes enfants; mais J'ai répandu suffisamment de grâces pour que vous soyez en mesure d'y répondre, mes enfants.
    C'est maintenant votre heure.

    Notre Seigneur:
    Regarde, ma fille, tous ceux qui n'ont pensé qu'à leurs intérêts sans s'occuper de Dieu.
    Les hommes se croient éternels et luttent pour leurs intérêts en oubliant Dieu.
    Je répète, en tant que Fils du Dieu vivant, les paroles de ma Mère: Je veux que ce lieu soit un lieu de prière et un refuge pour les nécessiteux.
    Toi, ma fille, prie et souffre.
    On peut tout avec la prière, mes enfants.
    Ne vous laissez pas tromper, mes enfants, par des paroles pleines de ruse.
    On veut faire disparaître mon Nom de ce lieu.

    Amparo (elle pleure): Ma mère, Toi qui peux tout, ma Mère, ne permets pas que ce lieu devienne un lieu de plaisir et de péché! Les hommes sont capables de tout, ma Mère.

    La Très Sainte Vierge:
    Vous devez travailler, mes enfants.
    Dieu ne veut pas autant de maux dans l'humanité, et ce sont les hommes qui les provoquent, ma fille. Ils ne pensent pas aux biens célestes; ils ne sont attachés qu'aux biens matériels, ma fille.
    Priez et faites des sacrifices, mes enfants.
    Je continuerai à déverser des grâces sur ce lieu; nous verrons si les hommes sont capables de faire fondre leur coeur de glace, ma fille.
    Baise le sol, en réparation de tant et tant de péchés que l'on commet dans le monde, ma fille.
    Prie pour les pasteurs de mon Eglise, pour qu'ils soient forts, pour qu'ils soient d'autres Christs sur la terre.
    Lève-toi, ma fille, et marque les fronts du Sceau.
    (Amparo en extase se lève et se dirige vers quatre des personnes présentes en leur disant successivement):
    - Ma fille, sois forte et accepte les grâces que Dieu répand sur toi.
    - Et toi, mon fils, depuis ta tendre enfance J'ai répandu des grâces sur toi, sois fort. Saint Augustin aussi a été un grand pécheur et c'est un grand saint, mon fils. Accepte avec joie, mon fils, les croix que le Christ met sur ton chemin. En échange de ta charité, voici la croix, mon fils.
    - Et toi, sois fidèle, et que ton coeur ne se laisse pas envahir par les vices du monde. Travaille pour cette Oeuvre, mon fils, et tu recevras ta récompense.
    (Amparo revient à l'endroit qu'elle occupait).
    J'ai marqué vos fronts du Sceau, mes enfants: mais vous, soyez de fidèles témoins du Christ.
    Aujourd'hui Je répandrai beaucoup de grâces sur ce lieu pour tous ceux qui y viendront.
    Ils recevront la force, car l'homme est faible et pauvre dans les choses de Dieu.
    Aimez-vous les uns les autres, mes enfants : c'est là le signe du chrétien.
    Levez tous les objets, ils seront tous bénis avec des bénédictions spéciales.
    Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec l'Esprit Saint.
    Je vous laisse la paix.


     MENSAJE DEL DÍA 3 DE OCTUBRE DE 1992, PRIMER SÁBADO DE MES,
    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hija mía, mi Corazón viene lleno de dolor porque los hombres quieren explotar este lugar sagrado, hija mía. Los dones que reciben de Dios, cuando Dios se los pide, hija mía, se los rechazan y sólo buscan intereses. ¡Ay de éstos que se llaman católicos; qué manera de practicar la doctrina, hija mía! Lloro, hija mía, porque los hombres son tan crueles que no son capaces de aceptar las gracias que Dios derrama sobre ellos. Este lugar, hija mía, es sagrado porque mis plantas virginales han posado sus pies.

         ¡No permitáis, hijos míos, de que este lugar sea explotado! Os dije, hijos míos, que querían hacer desaparecer mi nombre de este lugar. Ahora es el momento de trabajar. También os dije, hijos míos, que vosotros seréis los que tendríais que sacar esta Obra adelante. ¡Adelante, hijos míos!, luchad para que se haga lo que yo digo. Quiero obras de amor y misericordia en este lugar y una capilla en honor a mi nombre; que se venga de todos los puntos del mundo a rezar y a recibir gracias. ¡Sed valientes, hijos míos!, y no permitáis que desaparezca mi nombre de este lugar.

         Y vosotros, pastores de la Iglesia, haced crecer mi Iglesia. Aquí hay gracias y semilla para que la dejéis crecer y desarrollarse. Aprovechad estos frutos, hijos míos, son tesoros que os pongo para beneficio de mi Iglesia. No os engañéis vosotros mismos, hijos míos, no rechacéis a vuestros hermanos, aceptadlos y gozad todos del don de Dios. Aquí hay gracias, hijos míos, de toda esta semilla que podéis recoger para engrandecer mi Iglesia y hacerla majestuosa. Aquí tenéis verdaderos seguidores del Evangelio. Yo planté un árbol en este lugar; mirad los frutos, hijos míos. No los desaprovechéis, ¡hacen tanto bien a mi Iglesia! No seáis ciegos, hijos míos. Los hombres quieren hacer desaparecer el Nombre de Cristo, y Cristo os pone en vuestras manos tesoros de gracias y los rechazáis. Pastores santos: reunid todo este rebaño y encaminarlo y dirigirlo a la Iglesia. Cristo no quiere que desaparezca el diseño de su Iglesia que dejó imprimido en ella; y por eso dentro de la Iglesia, hijos míos, hay un árbitro santo que dirige con santidad y justicia; es el representante de Cristo, hijos míos; obedecedle. Y vosotros, pastores de mi Iglesia, renovad vuestro espíritu y llenadlo del Espíritu Santo para saber discernir los frutos buenos de los malos. El fruto de la caridad, hijos míos, es el primero que Dios vertió sobre los hombres y que quiere que todos los hombres viertan ese fruto sobre sus hermanos. Sabed distinguir los signos de Dios. Otro signo de Dios, hijos míos, es el signo de la obediencia; ¿estáis ciegos, hijos míos?

         No dejéis desaprovechar tantos y tantos frutos aquí acumulados. Despertad los que estáis dormidos.

         Y vosotros, todos los que acudís a este lugar, os toca un duro trabajo, hijos míos; pero he derramado gracias suficientes para que correspondáis a ellas, hijos míos. Ahora es vuestra hora.
     
     

         EL SEÑOR:

         Mira, hija mía, todos aquéllos que sólo han pensado en intereses sin ocuparse de Dios. Los hombres se creen que son eternos y luchan por los intereses olvidándose de Dios.

         Repito, como Hijo de Dios vivo, las palabras de mi Madre: quiero que este lugar sea sitio de oración y refugio de necesitados. Tú, hija mía, ora y sufre. Con la oración todo se puede, hijos míos.

         No os dejéis engañar, hijos míos, con palabras astutas. Quieren hacer desaparecer mi Nombre de este lugar.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Madre mía, Tú que lo puedes todo, Madre mía, no permitas que este lugar sea de recreo y de pecado! Los hombres son capaces de todo, Madre mía.
     
     

         LA VIRGEN:

         Vosotros tenéis que trabajar, hijos míos. Dios no quiere tantos males en la Humanidad, y los hombres los provocan, hija mía. No piensan en los bienes celestiales; sólo están apegados a los bienes materiales, hija mía.

         Haced oración y sacrificios, hijos míos. Yo seguiré derramando gracias sobre este lugar; a ver si los hombres son capaces de derretir su corazón helado, hija mía.

         Besa el suelo en reparación de tantos y tantos pecados como se cometen en el mundo, hija mía. Pide por los pastores de mi Iglesia, para que sean fuertes, para que sean otros cristos en la Tierra... Levántate, hija mía, sella la frente... (Luz Amparo se levanta y se dirige a cuatro de las personas presentes).

         Hija mía, sé fuerte y acepta las gracias que Dios derrama sobre ti.

         Y tú, hijo mío, desde muy niño derramé gracias sobre ti; sé fuerte; san Agustín también fue un gran pecador y es un gran santo, hija mía.

         Acepta con alegría, hijo mío, las cruces que Cristo te pone en el camino; ése es el cambio de tu caridad: la cruz, hijo mío.

         Y tú, sé fiel, y que tu corazón no lo invadan los vicios del mundo. Trabaja para esta Obra, hijo mío, y recibirás tu recompensa.

         He sellado vuestras frentes, hijos míos; sed fieles testigos de Cristo.

         Hoy derramaré muchas gracias sobre este lugar a todos los que acudan; recibirán fortaleza, pues el hombre es débil y pobre en las cosas de Dios. Amaos unos a otros, hijos míos, ése es el signo del cristiano.

         Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales...

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

         La paz os dejo.

    7 novembre 1992

    (Amparo porte les mains à son coeur et se plaint douloureusement)
    Notre Seigneur:
    Le feu de mon amour, ma fille, a transpercé ton coeur.

    La Très Sainte Vierge:
    Me voici, mes enfants, comme Mère des Douleurs, mais Je viens aussi remplie d'amour.
    Merci, mes enfants, à tous ceux qui ont répondu (à mon appel) pour cette grande Oeuvre.
    Je vous ai dit il y a quelque temps, mes enfants, qu'on voulait faire disparaître mon Nom de ce lieu.
    Ne le permettez pas, mes enfants.
    Priez et luttez pour que mon oeuvre aille de l'avant.

    Notre Seigneur:
    Je suis le Fils du Dieu Vivant, mes enfants et Je viens répéter aux hommes: comment peuvent-ils se disputer un lieu sacré?
    Les uns pour en tirer un bénéfice, les autres pour faire disparaître mon Nom et celui de ma sainte et pure Mère.
    Je me suis manifesté en ce lieu, et J'ai fait en sorte que ma Mère s'y manifeste, comme Maîtresse et Corédemptrice, car là où se trouve le Fils, là est la Mère.
    Elle est Corédemptrice avec Moi et Moi Je suis le Rédempteur.
    Tout m'appartient, car tout a été créé par mes mains.
    Comment êtes-vous capables, mes enfants, de négocier si souvent ce lieu sacré?
    Ah! Vous, mes enfants, qui vous dites catholiques pratiquants et qui n'êtes pas capables de donner un petit morceau de votre propriété pour les fins que Je demande !
    Ne savez-vous pas que je suis le maître de vos vies et de vos biens?
    Et que Je peux vous enlever votre vie et vos biens? Ah! Comme vous correspondez peu à toutes les grâces que Je vous ai données, mes enfants!
    Il ne vous manque rien, et votre coeur tend à accroitre et accroitre encore votre fortune sur la terre.
    Et vous, apostats qui avez renié votre foi et n'avez pas voulu mettre les Lois de Dieu en pratique, comment serez-vous capables de bien respecter les lois de la terre?
    Pour beaucoup d'entre vous, avec le mensonge et la tromperie, mes enfants!
    Vous avez reçu des grâces suffisantes pour suivre mon chemin mais vous avez renié la foi en Jésus-Christ.
    Je ne souffrirai pas de vos malheurs, et Je n'écouterai pas vos cris, mes enfants!
    Je suis venu vers vous et vous ne m'avez pas payé de retour.
    Ah! peuple ingrat, lorsque vous vous présenterez devant Moi, Je vous crierai: Sortez d'ici, vous n'êtes pas de ma famille!
    Vous ne pensez qu'aux choses matérielles et corrompues, et vous avez abandonné ce qui est sans corruption!
    Ah! malheureux serez-vous quand vous vous présenterez devant mon regard divin!
    Vous serez rejetés parce que Je vous ai beaucoup donné et que vous avez si mal correspondu à cet amour!
    J'ai demandé à quelques-uns d'entre vous de me donner leur coeur, et vous, vous avez transformé vos coeurs en blocs de glace et en destruction.
    Il n'y aura pas d'excuses lorsque vous vous présenterez devant Moi, car vous avez reçu un bon enseignement.
    Vous ne vous êtes pas laissés diriger par Dieu, votre Créateur, et vous vous laissez conduire par des créatures aveugles!
    Où peuvent donc vous conduire ces créatures?
    Un aveugle ne peut jamais guider un autre aveugle vers la lumière , car ils sont tous deux dépourvus de cette lumière.
    Malheur à vous, dictateurs de vos propres familles, qui n'aimez pas Dieu et qui ne leur permettez pas de L'aimer!
    N'avez-vous pas de peine, mes enfants, d'apprendre à vos propres enfants à renier Dieu?
    Moi, J'ai donné la liberté à l'homme, pourquoi la lui enlevez-vous?
    Vivez ma vraie vie et suivez mes pas.
    Ecoutez ma douce voix depuis la crèche de Bethléem: Moi, le Fils de Dieu, le Roi des rois,
    Je suis né dans la pauvreté pour montrer aux hommes que les richesses ne sont pas bonnes pour l'âme.
    Beaucoup d'entre vous prétendent que leur idéal est d'aider les pauvres.
    Pharisiens hypocrites, vous ne vivez que pour vous-mêmes et vous vous construisez de grandes maisons sans penser aux nécessiteux ni à celui qui a faim et qui vous demande de l'aide.
    Malheur à vous, menteurs!
    Ce lieu, c'est à Moi qu'il appartient, comme toute la terre, et Moi, Je choisis le lieu que Je veux.
    Qui êtes-vous, vous, pour me dire si (je dois aller) ici ou là, alors que c'est Moi le Créateur de tout?
    Vous êtes comme le peuple d'Israël, mes enfants, et vous serez punis comme le peuple d'Israël.
    Je n'aurai pas pitié de vous et Je n'écouterai pas vos lamentations, si vous n'êtes pas capables de vous humilier devant votre Créateur.
    Celui qui prétend vivre ma vie et qui ne met pas les Commandements en pratique mène une vie fausse.
    Et vous, propriétaires de ce domaine, vous devriez être en train de remercier Dieu d'avoir envoyé sa Mère se poser sur ce lieu et, alors que l'un ou l'autre d'entre vous pouvait être la proie des vers, d'avoir reçu des grâces suffisantes pour revenir à la vie.
    Et encore votre orgueil et votre avarice!
    Ne le comprenez-vous pas, mes enfants, alors que vous avez reçu suffisamment de grâces pour dire merci?
    Ne discutez pas davantage et donnez à Dieu, votre Créateur, ce qu'Il vous demande.
    Vous vivez dans l'abondance et vous ne vous souvenez pas du riche Epulon.[nom du mauvais riche de la parabole de l'Evangile]
    Regarde, ma fille, où se trouve le riche Epulon.
    A quoi lui ont servi tant de richesses et tant de domestiques, alors que son coeur était endurci et qu'il ne donnait même pas les miettes au pauvre Lazare?
    Et regarde, ma fille, le pauvre Lazare, aujourd'hui c'est le riche Lazare, et le riche Epulon est aujourd'hui le pauvre Epulon.
    Ne soyez pas aussi avides et ne pensez pas autant à l'argent, mes enfants.
    Je vous demande votre coeur pour y déverser le feu de l'amour et pour que vous viviez l'Evangile tel qu'il est écrit, mes enfants.
    Réfléchissez, mes enfants, il en est encore temps.
    Et vous, apostats, il est très grave d'apostasier sa foi.
    Ne soyez pas des dictateurs, et laissez librement vos enfants se faire baptiser et vivre le chemin de l'Evangile.
    Comment pouvez-vous renier Dieu alors que vous êtes des créatures du Créateur?
    Réveillez-vous, mes enfants, Je suis venu à vous et vous ne m'avez pas écouté.
    N'enseignez pas à vos enfants le chemin de la destruction et du mensonge.
    Laissez-les vivre comme de bons chrétiens.
    Et vous tous qui venez en ce lieu, mes enfants, vivez l'Evangile, aidez vos frères, aimez l'Eglise, car l'Eglise est au Christ.
    Ne regardez pas tant les fautes commises par les guides du peuple.
    Priez pour eux, mes enfants, et regardez vos propres fautes, aidez l'Eglise du Christ, aimez beaucoup le Vicaire du Christ.
    Les forces lui manquent pour poursuivre la lutte et pour continuer à avancer.
    Priez pour lui, mes enfants.
    Faites des sacrifices et des pénitences, et aimez-vous les uns les autres comme Je vous ai aimés: c'est le commandement principal de la Loi de Dieu.
    Celui qui aime ne fera de mal à personne.
    Il ne sera attaché ni aux intérêts d'autrui ni à ses propres intérêts, il partagera avec les autres ce qu'il a reçu.
    Toi, ma fille, crie et répands le message sur tout ce peuple, crie qu'il est comme le peuple d'Israël et que comme le peuple d'Israël il sera puni, parce que J'ai répandu des grâces suffisantes et il s'est bouché les oreilles.
    Jusqu'à quand l'homme veut-il que le Dieu Créateur s'humilie devant la créature?
    Levez tous les objets, il seront tous bénis avec des bénédictions spéciales pour les pauvres pécheurs.
    Ils ont tous été bénis, mes enfants. Et Je bénis avec des bénédictions spéciales tous ceux qui viennent en ce lieu.
    Humilie-toi devant Dieu ton Créateur, ma fille. (Amparo, debout, fait une inclination profonde). L'humilité est un don très spécial pour l'âme. Je vous laisse la paix.


    MENSAJE DEL DÍA 7 DE NOVIEMBRE DE 1992, PRIMER SÁBADO DE MES,
    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         EL SEÑOR:

         El fuego de mi amor, hija mía, ha traspasado tu corazón...
     
     

         LA VIRGEN:

         Aquí estoy, hijos míos, como Madre de dolor, pero también vengo llena de amor. Gracias, hijos míos, a todos los que habéis correspondido a esta gran Obra. Os dije hace tiempo, hijos míos, que querían hacer desaparecer mi nombre de este lugar. No lo permitáis, hijos míos. Orad y luchad para sacar mi Obra adelante.
     
     

         EL SEÑOR:

         Yo soy el Hijo de Dios vivo, hijos míos. Y vengo a repetir a los hombres cómo se disputan un lugar sagrado. Unos para beneficio, otros para hacer desaparecer mi Nombre y el nombre de mi santa y pura Madre. Yo me manifesté en este lugar e hice manifestarse a mi Madre. Como Dueño y Corredentora, porque donde está el Hijo, está la Madre; Ella es Corredentora conmigo y yo soy el Redentor. Todo me pertenece porque todo fue creado por mis manos. ¿Cómo sois capaces, hijos míos, de negociar tantas veces con este lugar sagrado? ¡Ay, aquéllos que os llamáis católicos practicantes y no sois capaces de dar un pequeño trozo de vuestra hacienda para los fines que pido, hijos míos! ¿No sabéis que soy dueño de vuestras vidas y de vuestra hacienda, y que os puedo dejar sin vida y sin hacienda? ¡Ay, qué poco correspondido soy a tantas gracias como os he dado, hijos míos! No os falta de nada, y vuestro corazón está pendiente de atesorar y atesorar en la Tierra.

         Y vosotros, apóstatas, que habéis renegado a vuestra fe y no habéis querido cumplir las leyes de Dios, ¿cómo vais a ser capaces de cumplir bien las leyes de la Tierra?, con engaño y con mentira, hijos míos. También a muchos de vosotros habéis recibido gracias suficientes para seguir mi camino y habéis apostatado de la fe de Cristo. No sentiré dolor por vuestros males ni oiré vuestros gritos, hijos míos; he venido a vosotros y vosotros no me habéis correspondido. ¡Ay, pueblo ingrato, cuando os presentéis ante mí os gritaré!: “¡Fuera de aquí, que no sois de mi estirpe!”. ¡No pensáis nada más que en materiales corruptos, y habéis abandonado lo incorrupto! ¡Ay, pobres de vosotros cuando os presentéis ante mi divina mirada! Seréis rechazados, porque os he dado mucho, y ¡qué mal habéis correspondido a ese amor! Yo pedí el corazón de algunos de vosotros y vosotros habéis convertido vuestros corazones en bloques de hielo y en destrucción. No habrá excusas cuando os presentéis ante mí, porque habéis tenido una buena enseñanza. ¡No os habéis dejado dirigir por Dios, vuestro Creador, y os dejáis dirigir por criaturas ciegas! Que ¿dónde os pueden guiar esas criaturas? Si un ciego nunca puede guiar a otro ciego a la luz, porque los dos carecen de esa luz.

         ¡Ay, dictadores de vuestras propias familias, que ni amáis a Dios ni dejáis que ellas lo amen! ¿No os da pena, hijos míos, de enseñar a vuestros propios hijos a renegar de Dios? Yo di una libertad al hombre, ¿por qué vosotros se la quitáis? Vivid mi verdadera vida y seguid mis pasos y escuchad mi dulce voz desde la cuna de Belén, que siendo el Hijo de Dios, Rey de reyes, nació pobremente para enseñar a los hombres que las riquezas no son buenas para el alma.

         Muchos de vosotros decís que vuestro ideal es ayudar al pobre. Hipócritas fariseos, vivís para vosotros mismos y construís vuestras grandes casas sin pensar en el necesitado ni en aquél que tiene hambre y os pide ayuda. ¡Ay de vosotros engañadores!

         Este lugar me pertenece a mí, como toda la Tierra, y yo escojo el lugar que quiero. ¿Quién sois vosotros para decir si aquí o allí, si yo lo he creado todo? Sois como el pueblo de Israel, hijos míos, y seréis castigados como el pueblo de Israel. No me compadeceré de vosotros ni oiré vuestros lamentos, si vosotros no sois capaces de humillaros ante vuestro Creador. Todo el que dice vivir mi vida y no practica los mandamientos, vive una vida falsa. Y vosotros, dueños de esta hacienda, teníais que estar dando gracias de que el mismo Dios mandó a su Madre a posarse en este lugar, y que alguno de vosotros podíais estar siendo pasto de gusanos y habéis recibido gracias suficientes haciendo volver a la vida; y todavía vuestra soberbia y vuestra avaricia... ¿No lo entendéis, hijos míos, que habéis recibido gracias suficientes para dar gracias? No discutáis más y dad a Dios vuestro Creador lo que os pide. Vivís en la abundancia y no os acordáis del rico Epulón. Mira dónde se encuentra el rico Epulón, hija mía; ¿de qué le sirvieron tantas riquezas y tanta servidumbre si su corazón estaba endurecido y no daba ni las migajas al pobre Lázaro? Pero mira, hija mía, el pobre Lázaro hoy es el rico Lázaro, y el rico Epulón hoy es el pobre Epulón. No estéis tan afanosos y penséis tanto en el dinero, hijos míos. Yo pido vuestro corazón para poner en él fuego de amor y para que viváis el Evangelio según está escrito, hijos míos. Recapacitad, hijos míos, todavía estáis a tiempo.

         Y vosotros, apóstatas, es grave apostatar de vuestra fe. No seáis dictadores y dejad a vuestros hijos libremente que sean bautizados y vivan el camino del Evangelio. ¿Cómo renegáis de Dios si sois criaturas del Creador? Despertad, hijos míos, yo he venido a vosotros y vosotros no me habéis oído. No enseñéis a vuestros hijos el camino de la destrucción y del engaño. Dejadlos vivir como buenos cristianos.

         Y vosotros, todos los que acudís a este lugar, hijos míos, vivid el Evangelio, ayudad a vuestros hermanos, amad a la Iglesia, que la Iglesia es de Cristo. No os fijéis tanto en las faltas que los guías del Pueblo cometen. Pedid por ellos, hijos míos, y mirad vuestras propias faltas; ayudad a la Iglesia de Cristo, amad mucho al Vicario de Cristo; no tiene fuerzas para seguir luchando y caminando. Pedid por él, hijos míos.

         Haced sacrificios y penitencias, y amaos unos a otros como yo os he amado; éste es el mandamiento principal de la Ley de Dios. El que ama no hará daño a nadie, ni querrá intereses ajenos ni los suyos propios; repartirá con los demás lo que ha recibido.

         Tú, hija mía, grita y extiende el mensaje por todo este pueblo y grita que es como el pueblo de Israel, y como el pueblo de Israel será castigado porque he derramado gracias suficientes y han cerrado los oídos. ¿Hasta cuándo quiere el hombre que Dios Creador se humille a la criatura?

         Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales para los pobres pecadores... Todos han sido bendecidos, hijos míos. Y bendigo a todos los que acuden a este lugar con bendiciones muy especiales...

         Humíllate ante Dios tu Creador, hija mía... La humildad es un don muy especial para el alma.
         La paz os dejo.

    5 décembre 1992

    La Très Sainte Vierge:
    Baise le sol, en réparation pour ces âmes infidèles qui ne savent pas apprécier le sacrifice de la douleur et de la souffrance pour leur salut.

    Notre Seigneur:
    Et vous, peuples et hommes de peu de foi, qui vivez en tournant le dos à l'Evangile, comme vous comprenez peu l'Evangile, mes enfants!
    Comment pouvez-vous penser que le Créateur n'est pas attentif à ses créatures?
    Tout père n'est-il pas attentif à ses enfants?
    Comme vous comprenez peu l'Evangile!
    Si même les cheveux de votre tête sont comptés, comment pouvez-vous croire que le Dieu Créateur ne peut pas penser à chacun de vous?
    Je l'ai dit souvent, mes enfants: J'aime chaque homme comme s'il était unique, comme ce père qui n'a qu'un fils et qui reporte toute son affection sur lui.
    C'est ainsi que J'aime les créatures, une par une, individuellement, comme si elles étaient un fils unique.
    Si Je vous avertis, mes enfants, c'est parce que Je vous aime et Je veux que vous compreniez l'Evangile. Qui êtes-vous, créatures, pour dire qu'un Dieu ne peut être attentif à une créature?
    Et vous, dirigeants des peuples, qui êtes en train de semer de la mauvaise semence, en trompant les hommes, pour qu'elle fasse... (Amparo qui interrompt: Ah! Ah! mon Dieu! Ah! ce pau-vre homme...! Ah! que va-t-il advenir de ce pauvre homme! Ah, Ah...!)

    Notre Seigneur:
    Je te l'ai dit souvent, ma fille: Je ne suis pas triste à cause de celui qui ne me connaît pas, mais à cause de celui qui me connaît et qui me méprise; à cause de celui qui, ayant la foi, renonce à sa foi et devient apostat.

    Amparo: Mais je te prie pour eux, pardonne-leur, Seigneur! Envoie-moi la souffrance que Tu voudras, mais pardonne-leur.

    Notre Seigneur:
    Comment pouvez-vous guider les hommes sans Dieu, mes enfants, alors que l'homme n'est rien sans Dieu?
    L'homme a besoin de Dieu pour gouverner et pour vivre.
    Comment pouvez-vous gouverner un peuple si vous êtes dans la sècheresse et les ténèbres?
    Pour croître, une plante a besoin de lumière et d'eau.
    Quelle semence allez-vous récolter dans cette obscurité où vous vivez?
    Malheur à vous qui entraînez des milliers et des milliers d'âmes par vos mensonges et vos tromperies, mes enfants! Il n'y a que vous, vous qui n'avez pas la foi, vous qui abandonnez le Christ, qui puissiez avoir des mots aussi cruels contre ce même Christ.
    J'ai déjà dit, ma fille, il y a quelque temps, qu'on parlerait contre le Christ en des termes si horribles que même ceux qui se disent croyants en viendraient à douter de la vérité.
    Comment les hommes osent-ils outrager la Divinité et la pureté d'un si grand Dieu?
    Voilà jusqu'où va la cruauté des hommes, ma fille: en échange de son Sang, le Christ reçoit des outrages.
    Changez d'attitude, mes enfants, et gouvernez avec Dieu.
    Et à partir de là votre peuple croîtra, il grandira et un jour il aura part au Paradis.
    Mais ne le trompez pas par des mensonges, en disant que vous allez aider les pauvres et les nécessiteux. Comment pouvez-vous parler de la sorte, mes enfants?
    S'il n'y a que méchanceté dans vos coeurs, il ne peut y avoir ni charité ni amour.
    Vous vous aimez vous-mêmes et vous vous enrichissez, mais vous ne faites pas de bien aux nécessiteux, mes enfants.
    Il est encore temps! Tournez-vous vers Dieu, votre Créateur, mes enfants.
    Et vous, prêtres et âmes consacrées qui foulez aux pieds les Lois de Dieu, venez à Moi, mes enfants, car Je vous accueille-rai et Je vous comblerai de grâces pour que vous puissiez exercer votre ministère comme de vrais pasteurs d'âmes.
    Tournez votre regard vers Dieu, mes enfants.
    Et vous tous qui vous dites catholiques, apostoliques, pratiquants, aidez-vous les uns les autres et défendez votre Eglise, mes enfants.
    Les hommes qui sont remplis de ténèbres veulent faire disparaître le Nom de Dieu et tout ce qui est religieux.
    Unissez-vous tous, mes enfants, et défendez l'Eglise.
    Et défendez tous ses membres, parce que la force...
    Amparo: Ah! mon Dieu...!
    Notre Seigneur: ... la force est en Dieu. Regarde, ma fille, ceux qui se fortifient avec la grâce et ceux qui vivent dans les ténèbres. (Amparo: Oh! oh! oh...! oh...!)
    Notre Seigneur: Pauvres âmes!
    Je lance un appel à tous les peuples, en tant que Dieu d'amour et de miséricorde, pour qu'ils se convertissent et vivent l'Evangile.
    Vivez selon l'Evangile, mes enfants.
    Regardez le Christ qui s'est dépouillé de son rang 33 et qui s`est fait pauvre pour aider les pauvres.
    Aimez les nécessiteux et secourez-les, mes enfants.
    Et que votre main s'étende sur toutes les parties du monde pour venir en aide à tous ceux qui auront besoin de vous.
    C'est cela l'amour, c'est le fruit qui jaillit du côté du Christ: la charité.
    Beaucoup d'entre vous, vous vous dites catholiques pratiquants, mais vous n'êtes pas capables de partager avec le pauvre.
    Comme vous méprisez le pauvre et le déshérité!
    Vous êtes de mauvais enfants de Dieu si vous ne tendez pas la main à celui qui a besoin de vous.
    Car Je le dis dans mon Evangile: Ce n'est pas celui qui dit: Seigneur, Seigneur, qui entrera dans le Royaume des Cieux.
    Que sont les paroles sans les oeuvres ? Elles sont mortes.
    Aimez-vous les uns les autres, mes enfants, et luttez tous pour que mon Oeuvre aille de l'avant.
    Et Je répète que Je veux en ce lieu une maison d'amour et de miséricorde, et une chapelle en l'honneur du Nom de la Mère des Douleurs.
    Elle a été Corédemptrice avec le Christ pour sauver l'humanité.
    Vénérez-La, mes enfants, ne La méprisez pas.
    Celui qui méprise la Mère méprise le Fils.
    Vous serez tous bénis avec des bénédictions spéciales pour votre pauvre âme.
    Et tous ceux qui mettront en pratique la Loi de mon Evangile auront la vie éternelle.

    La Très Sainte Vierge:
    Levez tous les objets, ils seront tous bénis avec des bénédictions très spéciales pour le Jour des ténèbres.
    Ils ont tous été bénis, mes enfants.


    MENSAJE DEL DÍA 5 DE DICIEMBRE DE 1992, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Besa el suelo, en reparación de esas almas infieles que no saben apreciar el sacrificio del dolor y del sufrimiento por su salvación...
     
     

         EL SEÑOR:

         Y vosotros, pueblos y hombres de poca fe, que vivís dando la espalda al Evangelio, ¡qué poco entendéis de Evangelio, hijos míos! ¿Cómo podéis pensar que el Creador no está pendiente de sus criaturas? Todo el que es padre, ¿no está pendiente de sus hijos? ¡Qué poco entendéis el Evangelio, hijos míos!, ¡si hasta los cabellos de vuestra cabeza están contados! ¿Cómo podéis pensar que Dios Creador no puede pensar en cada uno de vosotros? Lo he dicho muchas veces, hijos míos: amo a cada hombre como si fuera un solo hombre, como aquel padre que sólo tiene un solo hijo y se vuelca todo su cariño sobre él; así amo yo a las criaturas, a una por una, individualmente, como si fuese un solo hijo. Por eso os aviso, hijos míos, porque os amo y quiero que entendáis el Evangelio. ¿Quién sois las criaturas para decir que un Dios no puede estar pendiente de una criatura?

         Y vosotros, gobernantes de los pueblos, que estáis sembrando mala semilla, engañando a los hombres, para que haga...
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay! ¡Ay, Dios mío! ¡Ay, ese pobre hombre! ¡Ay!, ¿qué va a ser de ese pobre hombre? ¡Ay, ay!
     
     

         EL SEÑOR:

         Te he dicho muchas veces que no estoy triste, hija mía, por el que no me conoce, sino por aquél que me conoce y me desprecia; por aquél que, teniendo fe, renuncia a su fe haciéndose apóstata.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay!, pero yo te pido por ellos, ¡perdónalos, Señor! Mándame a mí el sufrimiento que quieras, pero perdónalos.
     
     

         EL SEÑOR:

         ¿Cómo podéis guiar a los hombres sin Dios, hijos míos, si el hombre no es nada sin Dios? El hombre necesita a Dios para gobernar y para vivir, ¿cómo podéis gobernar un pueblo si estáis secos y en tinieblas? Una planta para que crezca necesita luz y agua. ¿Qué semilla vais a recoger vosotros en esa oscuridad que vivís? Y ¡ay de vosotros que arrastráis a miles y miles de almas con vuestras mentiras y engaños, hijos míos! Sólo vosotros, aquéllos que no tenéis fe, aquéllos que renunciáis de Cristo, podéis hablar palabras tan crudas contra el mismo Cristo. Ya lo dije, hija mía, hace tiempo: que hablarían contra Cristo cosas tan horribles que hasta los mismos que se llaman creyentes dudarían de la verdad. ¿Cómo se atreven los hombres a ultrajar la divinidad y la pureza de todo un Dios? Así son los hombres de crueles, hija mía, a cambio de la Sangre de Cristo, recibe ultrajes.

         Cambiad vuestra actitud, hijos míos, y gobernad con Dios, y de ahí vuestro pueblo crecerá, se agrandará y participará un día del Paraíso. Pero no engañéis con mentiras, diciendo que vais a ayudar a los pobres y necesitados. ¿Cómo podéis hablar de esta forma, hijos míos? Si en vuestros corazones existe la maldad, no puede existir la caridad y el amor. Os amáis a vosotros mismos y os lucráis vosotros mismos, pero no beneficiáis a los necesitados, hijos míos. Todavía estáis a tiempo: mirad a Dios vuestro Creador, hijos míos.

         Y vosotros, aquellos sacerdotes y almas consagradas que pisoteáis las leyes de Dios: venid a mí, hijos míos, que yo os recibiré y os llenaré de gracias para que podáis ejercer vuestro ministerio como pastores de almas. Volved vuestra mirada a Dios, hijos míos.

         Y todos los que os llamáis católicos, apostólicos, practicantes, ayudaos unos a otros y defended vuestra Iglesia, hijos míos. Los hombres que están llenos de tinieblas quieren hacer desaparecer el Nombre de Dios y todo lo que es religioso. Uniros todos, hijos míos, y defended la Iglesia, y defended a todos los componentes de ella, porque la fuer...
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, Dios mío!
     
     

         EL SEÑOR:

         La fuerza está en Dios. Mira, hija mía, los que se fortalecen con la gracia y los que viven en la tiniebla... (Luz Amparo expresa admiración).
     
     

         LA VIRGEN:

         ¡Pobres almas!
     
     

         EL SEÑOR:

         Yo hago una llamada a todos los pueblos, como Dios de amor y misericordia, para que se conviertan y vivan el Evangelio.

         Vivid según el Evangelio, hijos míos. Fijaos en Cristo que se despojó de su rango y se hizo pobre para ayudar al pobre. Amad a los necesitados y favorecedlos, hijos míos, y que se extienda por todas las partes del mundo vuestra mano para ayudar a todo aquél que os necesite. Ése es el amor, ése es el fruto que sale del costado de Cristo: la caridad. Muchos os llamáis católicos practicantes, pero no sois capaces de compartir con el pobre; ¡cómo despreciáis al pobre y al desvalido! ¡Malos hijos de Dios sois, hijos míos, si no extendéis la mano a aquél que os necesita!, porque ya lo digo en mi Evangelio: “No todo el que dice: «Señor, Señor», entrará en el Reino de los Cielos”. Y ¿qué es la palabra sin la obra?; está muerta. Amaos unos a otros, hijos míos, y luchad todos para que mi Obra salga adelante. Y repito que quiero en este lugar una casa de amor y misericordia y una capilla en honor al nombre de la Madre Dolorosa; Ella fue Corredentora con Cristo para salvar a la Humanidad. Veneradla, hijos míos, no la despreciéis; el que desprecia a la Madre desprecia al Hijo.

         Todos seréis bendecidos con bendiciones especiales para vuestra pobre alma. Y todo el que cumpla con la ley de mi Evangelio tendrá vida eterna.
     
     

         LA VIRGEN:

         Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con bendiciones muy especiales para el día de las tinieblas... Todos han sido bendecidos, hijos míos.

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