• L'escorial 1988

    Les apparitions de Jésus et Marie à L'ESCORIAL
    1988


    2 janvier 1988

    En cette matinée du 1er samedi de l’année 1988, Luz Amparo, appelée par la Très Sainte Vierge,
    descend avec quelques personnes au Prado Nuevo, où elles se mettent à réciter le saint Rosaire en
    entier, en commençant par les mystères glorieux, suivis par les mystères joyeux puis les mystères
    douloureux. C’est lors du quatrième mystère douloureux qu’elle entre en extase devant les scènes
    suivantes et ce message qui les accompagne.
     
     

    - La Sainte-Vierge :

    Ma fille, Je vais te révéler tant d’autres mystères cachés à l’humanité. Dis ce que tu vois.

    - Amparo :

    Ah, ah !… Je vois la Très Sainte Vierge dans sa maison. Elle prie. Joseph est là, dans une autre pièce.
    Que d’anges ! Ils l’accompagnent dans la prière. Ils prient tous les deux. Jésus est là ! Quelle beauté !
    Ils sont chacun dans leur chambre. Ils passent la nuit en prière. Les pauvres ! Ils ont froid ! Saint
    Joseph remercie Dieu de lui avoir accordé d’être le père adoptif de Dieu, son Créateur. Il prie tout
    haut et dit :

    - Saint Joseph :

    Dieu, mon Créateur, je vous demande la grâce d’être l’esclave de votre Mère. Je veux mettre tout
    mon amour dans le travail pour vous sustenter, pour vous aider. J’aurais voulu vous recevoir dans un
    endroit mieux que celui-ci.

    - Amparo :

    Comme ses larmes coulent !

    - Saint Joseph :

    Vous méritez d’être dans des lins fins, et non entre les pailles. Dieu mon Créateur, je vous remercie
    d’avoir choisi votre esclave pour père. Ah ! Je veux vous protéger de tout danger et je veux vous
    nourrir par mon travail.

    - Amparo :

    Il met la tête par terre, et, en cette position, il continue à prier. Quel mystère ! Tout frémit ! Un vent
    fort fait bouger les fenêtres. Quel vent ! Quel froid ! Le pauvre ! L’Enfant est là ! Comme il est petit !
    Comme tu es beau ! Madre mia, comme Il est beau, Ton Fils ! La Très Sainte Vierge est là. Elle prie,
    les mains jointes. Elle remercie Dieu et dit tout haut :

    - La Sainte Vierge :

    Dieu mon Créateur, quelle grande grâce avez-vous accordée à cette vile créature. Je ne suis pas digne
    d’être Mère de Dieu, mon Créateur. Vous faites que cette créature créée par vous soit Mère de Dieu
    et, une fois Mère, vous laissez pure et immaculée cette créature : c’est le plus grand mystère de la
    création.

    - Amparo :

    Ah ! Comme elle est belle, ma Mère !… les mains jointes. Elle continue à prier Dieu :

    - La Sainte Vierge :

    Dieu, mon Créateur, aidez-Moi à élever Votre Fils et le Mien, à Le nourrir, à Le soigner, et que ce
    virginal aliment qui sort de mes seins Le fasse grandir en amour et sagesse pour les hommes.

    - Amparo :

    Ah ! Quel mystère ! ma Mère ! Mais pourquoi te mets-tu en cette position pour prier ? La pauvre, je
    vais me mettre comme Toi. (Allongée, les bras en croix, regardant le ciel, le bras gauche ne touche
    pas le sol)

    - La Sainte Vierge :

    Dieu, mon Créateur, voici votre vile esclave, partageant avec Vous la douleur causée par tous les
    péchés du monde. Je serai prosternée sur la Croix, comme ce Fils de mes entrailles. Je suis Votre vile
    esclave. Vous m’avez donné ce Fils et je le remettrai aux hommes pour leur Rédemption et leur Salut.
    Aidez-moi, Dieu, Mon Créateur !

    - Amparo :

    Ma Mère ! Quelle grandeur !

    - La Sainte Vierge :

    Si les hommes prenaient exemple de cette esclave, il existerait dans tous les foyers du monde :
    mansuétude, humilité, pauvreté, chasteté, obéissance. Ici, prosternée, en croix, Dieu mon Créateur, Je
    prie pour toute l’humanité, jusqu’à ce que Je puisse Vous remettre mon Fils pour la rédemption du
    monde. Divine Majesté, faites de moi ce que vous voudrez.

    - Amparo :

    Saint Joseph entre, il pousse légèrement la porte. Il voit Marie en croix et, à nouveau, il se met à
    genoux et remercie Dieu de lui avoir donné pour épouse cette créature si immaculée et si sainte. Il dit
    :

    - Saint Joseph :

    Divine Majesté de Dieu, je veux aussi partager toute cette douleur de mon épouse pour le bien de
    l’humanité.

    - Amparo :

    Il pleure amèrement en voyant la Mère de Dieu. Ah ! Le pauvre, il a une si grande humilité !

    - La Sainte Vierge :

    Ma fille, si les hommes imitaient la science de Dieu, les familles seraient plus unies. Les hommes ont
    oublié l’unité du Sacrement de mariage, c’est pourquoi il y a une haine infernale dans leur cœur. Les
    démons profitent de l’orgueil des âmes pour les introduire dans l’aveuglement, et les foyers sont, -
    c’est horrible ! -, des maisons de haine, de discorde, de rancune, de vengeance. Oui, ma fille, la
    femme doit être soumise à l’époux. Je vous donne mon exemple. L’homme doit se donner à sa femme
    et la femme doit se donner à l’homme en toute humilité et mansuétude.

    Je vous promets, Dieu mon Créateur, de réparer les péchés des hommes, jusqu’à la fin de mes jours.
    Fortifiez-moi, Dieu mon Créateur, pour le moment où je devrai remettre mon Fils à cette cruelle
    humanité. Je sais qu’Il doit répandre jusqu’à la dernière goutte de Son sang. Je m’offre Corédemptrice
    de mon Fils pour le genre humain.

    Savez-vous, mes enfants, pourquoi il n’y a pas de paix dans les foyers ? Parce qu’il n’y a pas de
    sacrifice, ni de prière, ni de pénitence. Les foyers vivent dans la tiédeur. Il n’y a pas d’amour, mais de
    l’orgueil. L’ennemi les fait se sentir gravement offensés par leur conjoint et leur fait sentir l’offense
    plus grande pour que le conjoint n’aille pas vers l’autre. Ma fille, as-tu vu comme mon saint époux
    s’agenouilla devant Moi avec mansuétude et humilité, et comme la Mère de Dieu s’agenouilla devant
    l’époux que Dieu lui donna, avec mansuétude et humilité ? Les époux doivent rester unis, mais leur
    esprit est pris par la rémunération des biens terrestres. L’or les aveugle et ils oublient le Christ.

    Oui, ma fille, je t’ai enseigné comment prier. Se poser sur la croix est la meilleure prière.

    Les hommes manquent de lumière. Je te l’ai dit : si, dans les foyers, les hommes invoquaient
    l’Esprit-Saint, les foyers seraient sanctifiés, mais ils ont oublié cette Troisième Personne, si
    importante en ces temps pour sanctifier le monde. Invoquez l’Esprit-Saint, mes enfants, pour que
    l’aveuglement disparaisse de vos yeux et que vous voyiez la lumière. Avec cette lumière que seul
    l’Esprit-Saint peut vous donner, lorsque l’époux manque à l’épouse et l’épouse manque à l’époux,
    humiliez-vous tous les deux et demandez-vous pardon. BIENHEUREUX CEUX QUI S’HUMILIENT
    : ILS SERONT EXALTES DEVANT DIEU.

    Les foyers sont détruis par le manque d’amour. Demandez tous les jours à la Divine Majesté de Dieu,
    au Divin Consolateur, qu’Il vous maintienne fermes dans votre Foi, dans votre Espérance, dans votre
    Charité. Soyez charitables les uns envers les autres. Mes enfants, s’il n’y a pas de charité, vous ne
    pourrez parvenir au ciel. La Charité est la vertu éternelle, celle de l’Amour. Le Père t’a montré que
    son Cœur débordait d’amour, jusqu’à se partager en Trois. Que chacun a une fonction, mais que les
    Trois ont cet Amour. LE PERE CREE, LE FILS SAUVE, L’ESPRIT-SAINT SANCTIFIE. Mes
    enfants, invoquez l’Esprit-Saint pour la sanctification de vos âmes par la lumière de l’Esprit-Saint.

    - Amparo :

    Ma Mère ! Que tu es grande ! Quel mystère ! Comme tu t’humilies ! Si nous étions capables de nous
    humilier comme Toi, ma Mère !

    - La Sainte Vierge :

    Divine Majesté de Dieu, je prie pour l’humilité de cette vile esclave et vous redis : " Je ne suis pas
    digne de Vous élever et d’être Mère d’une si Divine Majesté. Dieu, Mon Maître, Je veux vous aimer
    et renouvelle mon vœu de chasteté devant Vous. C’est pour Vous que je suis née et je suis pour Vous.

    - Amparo :

    Ah ! Laissez-Le moi un peu ! (La Vierge lui montre l’Enfant qui repose sur son bras gauche. Amparo
    à genoux lui embrasse les pieds). Ah ! Qu’Il est beau ! Ah ! Mon Dieu ! Qu’Il est beau ! Quelle
    beauté ! Ah ! Mon Dieu, je veux aussi Vous être fidèle. Aidez-moi ! Ah ! Quel bel Enfant ! Quelle
    grandeur, ma Mère ! Je Vous vois toujours en prière. Quand Vous reposez-Vous ? Vous ne Vous
    reposez pas !

    - La Sainte Vierge :

    Les hommes perdent trop de temps dans le repos, dans le plaisir. Il faut réparer pour ce repos et ce
    plaisir.

    - Amparo :

    Ma Mère ! Le peu que Tu dors, c’est sur cette planche, rien qu’avec une couverture. Et nous, nous
    cherchons tant de choses.

    - La Sainte Vierge :

    Ma fille, pense que je suis de Dieu et avec Dieu, je dois réparer. Jésus naquit pour réparer les péchés
    des hommes, pour mourir pour eux. Je veux mourir et réparer avec Lui. Pense que nous sommes un
    seul cœur, et si l’un souffre, l’autre souffre, si l’un aime, l’autre aime. Les deux ressentent la même
    chose, les deux Cœurs sont unis en un seul.

    - La Sainte Vierge :

    Ma fille, je t’ai déjà dit qu’en touchant sa petite tête, Il avait déjà les épines entre ses boucles.
    Regarde les épines, ma fille !

    Regarde ses petites mains comme elles ont les plaies ! Tout son petit corps est une plaie à cause des
    péchés des hommes !

    - Amparo :

    Oh, ma Mère ! si petit !

    - La Sainte Vierge :

    Jusqu’à quand l’homme va-t-il s’obstiner dans le péché ? Tournez vos regards vers Dieu et observez
    les commandements. N’abandonnez ni la prière, ni le sacrifice. Le monde est dans cette situation
    parce que les hommes ont oublié le sacrifice, la prière, l’amour. Ils ne pensent qu’aux plaisirs, aux
    caprices du monde. Ils tournent le dos à la Croix, et dans la Croix est la Gloire.

    - Amparo :

    Ma Mère, que tu es belle ! Dois-Tu souffrir autant ? Et dire que les hommes disent que Tu ne souffres
    pas !

    - La Sainte Vierge :

    Est-ce que tu ne souffres pas pour chacun de tes enfants ? Mon cœur souffre comme cela pour
    chacun, car je suis la mère de tous les hommes. Sur la Croix, le Christ me laissa pour leur Mère.

    - Amparo :

    Je te promets de réparer, de t’aider à réparer les péchés des hommes, mais laisse-moi souffrir, car Toi
    Tu n’as pas de péché, Tu n’as pas à réparer ! Tu es si pure et transparente ! Pourquoi paierais-Tu
    pour les autres ? Aide-moi à être forte pour faire des sacrifices pour l’humanité ! Que je sois forte si je
    dois être clouée pour sauver beaucoup d’âmes ! Quels mystères !

    - La Sainte Vierge :

    Oui, mais les hommes ne comprennent rien à ces mystères. Mon Cœur est triste et la Divine Majesté
    de Dieu est gravement offensée par les désunions des foyers, par le manque d’humilité et de prière.
    Soyez humbles. Sans humilité, vous ne parviendrez pas au ciel.

    Ne vous aveuglez pas avec les affaires du monde, aveuglez-vous en Dieu. Que votre regard soit pur et
    resplendissant comme le soleil. Mes enfants, le monde est sur le point de disparaître de la surface de
    la terre à cause des péchés des hommes. Combien souffre mon Cœur lorsque Je vois la désunion dans
    les familles, la mauvaise éducation des enfants, le manque de prière, le manque de sacrifice ! Aimez
    beaucoup nos Cœurs !

    - Amparo :

    Ma Mère, comme éclatante est ta beauté ! Comme brillent tes vêtements ! Ils touchent le sol sans se
    salir ! Comme tu es belle ! Je veux prier avec Toi, apprends-moi à prier comme Toi, à être humble,
    apprends-moi à voir Ton Fils dans la crèche ! Apprends-moi à réparer les péchés des hommes !

    - La Sainte Vierge :

    Si les hommes pensaient au Christ dans la crèche, au Christ sur la Croix, au Christ oublié, ils ne
    s’occuperaient pas autant d’eux-mêmes !

    - Amparo :

    Quelle pauvreté, ma Mère ! Ah, dans quelle pauvreté vivez-vous ici ! Ah, vous n’avez même plus de
    quoi vous nourrir, ah mon Dieu… !

    - La Sainte Vierge :

    Je vous demande, Dieu mon Créateur, d’envoyer par vos anges un peu de nourriture pour vos pauvres
    créatures ! Nous ne voulons rien d’autre que le nécessaire.

    - Amparo :

    Ah, mais vous n’avez rien !

    - La Sainte Vierge :

    Dieu mon Créateur se sert des personnes pour en nourrir d’autres. Malheur à ceux qui mettent toute
    leur confiance dans les richesses ! Il faut mettre de l’amour dans le travail pour nourrir sa famille,
    mais il ne faut pas tant s’attacher aux biens matériels, mes enfants. Je n’ai jamais rien eu à moi, et
    Dieu mon Créateur n’a jamais permis qu’il me manque quelque chose.

    - Amparo :

    Les anges lui apportent des légumes. (Amparo sourit de bonheur.) Ah, ma Mère, quelle grandeur !
    Ces fruits ! Comment cela se fait-il ?

    - La Sainte Vierge :

    Ma fille, si l’homme se consacrait à la prière, Dieu s’occuperait de leur travail et de leurs besoins, leur
    donnerait le travail et la nourriture. Mais les hommes s’étourdissent, je le répète, avec les pensées du
    monde et ils oublient Dieu.

    - Amparo :

    Ah, ma Mère ! Elle va préparer le repas. La Très Sainte Vierge se lève après s’être prosternée jusqu’à
    terre. Ah, elle s’approche de l’Enfant ! Oh, quelle grandeur ! Elle frappe à la porte de la pièce où est
    Joseph.

    - La Sainte Vierge :

    Joseph, mon époux bien-aimé, Dieu, notre Créateur, nous a envoyé des aliments pour nous nourrir,
    rendons-lui grâce.

    - Amparo :

    Ah ! et Joseph dit :

    - Saint Joseph :

    Je te rends grâce, Divine Majesté de Dieu, de te souvenir de ta misérable créature.

    - Amparo :

    Ah, quelle grandeur ! Le repas est déjà prêt. Que tu es habile, ma Mère ! Ils s’agenouillent pour
    rendre grâce à Dieu et bénir les aliments.

    - La Sainte Vierge :

    Je te rends grâce, mon divin Créateur, pour ces aliments que tu nous as envoyés par tes fidèles
    serviteurs pour cette indigne esclave et mon humble époux.

    - Amparo :

    Ah, ma Mère, comme tu manges peu !

    - La Sainte Vierge :

    Il faut dire à l’homme que rien n’est bon en excès et apprendre aux hommes à se nourrir seulement
    pour vivre. L’amour seul doit être en abondance ! Ce qui est du monde est mauvais, ma fille.
    Apprenez à mortifier vos sens par la nourriture.

    - Amparo :

    La Vierge prend l’enfant dans ses bras pendant qu’Elle mange. Ah, Mère, quelle mère est plus noble
    que toi ? Tous deux, la tête baissée, mangent. Elle a donné à saint Joseph une part plus importante
    que la sienne. La Très Sainte Vierge a la pensée, qu’elle ne révèle pas à Joseph, que le Christ va être
    livré sur une croix par les hommes. Ah, elle ne veut pas qu’il souffre. Elle regarde l’Enfant et voit
    toute la Passion. Aahh… ! Elle porte la main sur son cœur, son angoisse est grande. Joseph lui
    demande :

    - Joseph :

    Mon épouse, ma colombe, que vous arrive-t-il ?

    - La Sainte Vierge :

    Rien, mon époux.

    - Amparo :

    Ah, elle ne veut pas le lui révéler parce qu’elle sait qu’il va mourir avant que la Passion n’arrive et
    elle ne veut pas qu’il souffre.

    - La Sainte Vierge :

    Dieu, mon Maître, je garderai ce secret en Moi, pour que mon fidèle et très humble époux ne souffre
    pas. Faites-Moi connaître ces mystères, mais ne les lui révélez pas. Je veux souffrir si telle est Votre
    volonté. Vous me montrerez ce que vous devrez lui faire connaître pour que je souffre à sa place.

    - Amparo :

    Elle voit tout ce qui doit arriver à Jésus et veut être forte pour que Joseph ne s’en rende pas compte.
    Intrigué, Joseph la regarde, mais elle dit :

    - La Sainte Vierge :

    Mon époux, mangez, alimentez-vous. Vous devez vous nourrir pour travailler.

    - Saint Joseph :

    Et Vous, ma reine, ma colombe, mon épouse, vous avez mangé si peu !

    - La Sainte Vierge :

    Ce qui était nécessaire, Mon époux, pour survivre.

    - Amparo :

    L’Enfant les regarde. La Sainte Vierge lui caresse la tête. Ah ! Elle lui demande si elle peut le faire.

    - La Sainte Vierge :

    Fils de mes entrailles, donnez la permission à votre indigne Mère d’embrasser votre pied.

    - Amparo :

    Jésus sourit et fait " oui " de la tête. Elle prend le petit pied et l’embrasse.

    - La Sainte Vierge :

    Merci, mon Dieu, de m’avoir donné ce Fils de mes entrailles et Votre Fils.

    - Amparo :

    Quelle belle famille ! Comme ils se respectent et comme ils s’aiment ! A genoux, ils rendent grâce
    pour leur repas.

    - La Sainte Vierge :

    Merci, mon Dieu, mon Créateur, notre Créateur, pour ces aliments que Tu nous as envoyés, qu’ils
    nous fortifient pour aider les âmes à réparer les péchés de l’humanité.

    - Amparo :

    Joseph relève la Vierge. Il s’en va et lui fait une révérence avec la tête et le genou et il fait une autre
    révérence à l’Enfant.

    - Saint Joseph :

    Mon épouse bien-aimée, je vais gagner le pain pour vous nourrir.

    - La Sainte Vierge :

    Au revoir, Mon époux !

    - Amparo :

    Ah, La Vierge va allaiter l’Enfant. Ah, quel mystère, elle le nourrit et le prie à la fois, aahh… !

    - La Sainte Vierge :

    Soyez humbles, mes enfants. Je vous répète que dans les foyers, il faut l’humilité pour qu’il y ait
    l’union. A toi, ma fille, je continuerai à te révéler d’autres mystères.

    Je veux que tu enseignes aux hommes tous ces mystères et ces grâces, pour que les hommes ouvrent
    leur cœur et s’éloignent du vice et du péché. Invoquez l’Esprit-Saint. Je t’ai déjà dit qu’en ces temps,
    l’Esprit-Saint devra sanctifier les foyers pour qu’ils puissent rester unis.

    Baise le sol, en acte d’humilité !

    Levez tous les objets, mes enfants, tous sont bénis avec des grâces spéciales pour la sanctification des
    âmes.

    Je vous redis : humilité et amour pour l’Eglise, mes enfants. Soyez des enfants fidèles de l’Eglise. Au
    revoir, mes enfants, au revoir !

    table des matières

    MENSAJE DEL DÍA 2 DE ENERO DE 1988, PRIMER SÁBADO DE MES,
    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hija mía, ya estoy aquí para seguirte revelando tantos y tantos misterios, hija mía, ocultos a la Humanidad.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, ay, ay! Veo a la santísima Virgen que está orando en su casa. ¡Ay, en su casa! ¡Ay! José está también ahí, en la otra habitación. ¡Ay! ¡Cuántos ángeles la acompañan a hacer oración! ¡Ay, ay! Los dos están orando. ¡Ay! Ahí está Jesús. ¡Ah! ¡Ay, qué hermosura! Cada uno está en un aposento. (Luz Amparo aclara que ve al Niño Jesús con la Virgen). Los dos se pasan la noche orando. ¡Ay, pobrecitos, qué frío sienten! ¡Ay! ¡Ay! San José da gracias a Dios, su Creador, por haberle concedido ser padre adoptivo de Dios, su Creador. ¡Ay! Reza en voz alta y dice...
     
     

         SAN JOSÉ:

         Dios, mi Creador: os pido gracias para ser esclavo de vuestra Madre y Señora; quiero poner todo mi amor en el trabajo para sustentaros, para ayudaros. Quisiera haberos recibido en otro aposento mejor a éste.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Cómo le caen las lágrimas!
     
     

         SAN JOSÉ:

         Vos os merecéis estar entre linos finos, no estar entre pajas. Os doy gracias, Dios, mi Creador, por haber escogido a este esclavo vuestro para padre... Quiero protegeros de todo mal y quiero ayudaros, con mi trabajo, a sustentaros.
     
     

         LUZ AMPARO:

         Pone la cabeza en el suelo y sigue orando con la cabeza en el suelo. ¡Ay, qué grandeza! ¡Ay, cómo se estremece todo; todo se estremece! Un aire fuerte mueve las ventanas. ¡Qué aire, qué frío, pobrecito! Ahí está el Niño. ¡Ay, qué cosa más pequeña! ¡Ay, qué lindo eres! ¡Ahí está! ¡Ay, Madre mía, qué hermosura de Hijo tienes! Ahí está la santísima Virgen con las manos juntas, dando gracias a Dios. Orando fuerte, dice...
     
     

         LA VIRGEN:

         Dios, mi Creador, ¡qué grandeza habéis concedido a esta vil creatura! No soy digna de ser Madre de Dios, mi Creador. Vos, Creador, hacéis que la creatura creada por Vos sea Madre de Dios; y, después de ser Madre, dejáis pura e inmaculada a esa creatura. Éste es el mayor misterio de toda la Creación.

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, qué belleza tan hermosa tienes, Madre mía! Sigue con las manos juntas pidiendo a Dios...
     
     

         LA VIRGEN:

         Dios, Creador mío, ayudadme a criar a vuestro Hijo y mío, a amamantarle, a cuidarle; y que este alimento virginal que sale de mis pechos, le haga crecer en amor y sabiduría para los hombres.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, qué grandeza! ¡Ay, Madre mía! Pero, ¿cómo te vas a poner a orar? ¡Ay, pobrecita, pues yo quiero ponerme igual!... (Luz Amparo se postra tal como ve a la Virgen: tendida en cruz, mirando al cielo; el brazo izquierdo no toca el suelo).
     
     

         LA VIRGEN:

         Dios, mi Creador, aquí está vuestra vil esclava compartiendo con Vos el dolor de todos los pecados del mundo. Estaré postrada en la Cruz como este Hijo mío de mis entrañas. Soy vuestra vil esclava. Vos me habéis dado este Hijo, y a los hombres lo entregaré para su redención y su salvación. ¡Ayudadme, Dios mi Creador!
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, Madre mía, ay..., qué grandeza, Madre, Tú ahí!...
     
     

         LA VIRGEN:

         Si los hombres tomasen el ejemplo de esta esclava, en todos los hogares del mundo existiría la mansedumbre, la humildad, la pobreza, la castidad, la obediencia.

         (Continúa hablando dentro de la visión contemplada). Aquí postrada en cruz, Dios, mi Creador, os pido por toda la Humanidad hasta que pueda entregaros a mi Hijo para redimir al mundo.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, qué hermosura!...
     
     

         LA VIRGEN:

         Haced de mí lo que queráis, Divina Majestad.
     
     

         LUZ AMPARO:

         Entra san José; abre un poco la puerta, ve a María en cruz y vuelve a postrarse de rodillas, dándole gracias a Dios por haberle dado por esposa a esa creatura tan inmaculada y santa. Y dice...
     
     

         SAN JOSÉ:

         Divina Majestad de Dios, quiero también participar en todo este dolor de mi esposa para el bien de la Humanidad.
     
     

         LUZ AMPARO:

         Llora amargamente viendo que la Madre de Dios... —¡ay, pobrecito!— tiene esa humildad tan grande.
     
     

         LA VIRGEN:

         (Lo siguiente parece una enseñanza actual de la misma Virgen).

         Si los hombres imitasen la ciencia de Dios, las familias seguirían unidas. Los hombres han olvidado la unidad del sacramento del Matrimonio. Por eso en sus corazones existe el odio infernal. Se aprovechan los demonios de la soberbia de las almas para introducirlos en la ceguera; y los hogares son... (palabra ininteligible) casa de odio, de discordia, de rencillas, de odios, de rencores, de venganzas. Sí, hija mía, la mujer tiene que ser sumisa al esposo. Yo os doy mi ejemplo. El hombre tiene que entregarse a su mujer, y la mujer tiene que darse al hombre en humildad, mansedumbre...

         (Sigue hablando en la visión de la casa).

         Os prometo, Dios mi Creador, hasta el fin de mis días, reparar los pecados de los hombres. Dadme fortaleza, Dios mi Creador, para cuando llegue el momento de entregar a mi Hijo a esta Humanidad cruel. Sé que tiene que derramar hasta la última gota de su Sangre. Me ofrezco corredentora de mi Hijo por el género humano...

         (A continuación, la Virgen hace un comentario relacionado con la escena que Luz Amparo acaba de contemplar).

         ¿Sabéis, hijos míos, por qué en los hogares no hay paz? Por la falta de sacrificio, por la falta de oración, por la falta de penitencia. Los hogares están tibios con esa falta de amor. Los hombres se ensoberbecen con el enemigo: les hace ver que son ofendidos gravemente por su pareja; y les hace ver todavía la ofensa más grande, para que el cónyuge no se “arrastre”[1] a la pareja. ¿Has visto, hija mía, cómo mi santo esposo, se arrodilló ante mí, con mansedumbre y humildad, y cómo la Madre de Dios se arrodilla ante el esposo que Dios le ha dado, con mansedumbre y humildad? Los esposos tienen que permanecer unidos, pero sus mentes están ocupadas en remunerar bienes materiales; les ciega el oro y se olvidan de Cristo.

         Sí, hija mía, te he enseñado de qué forma puedes orar. La mejor oración es posarse en la cruz.

         Los hombres están faltos de luz, ya te lo he dicho: si en los hogares, hija mía, invocaran los hombres al Espíritu Santo, los hogares estarían santificados, pero se han olvidado de esa Tercer Persona, tan importante en estos tiempos para santificar el mundo. Invocad al Espíritu Santo, hijos míos, para que vuestra ceguera desaparezca de vuestros ojos y veáis con luz; con esa luz que sólo el Espíritu Santo os puede dar. Y cuando el esposo falte a la esposa y la esposa falte al esposo, humillaos los dos, hijos míos, y pedíos perdón. Bienaventurados aquéllos que se humillan, que serán ensalzados ante Dios. Los hogares se destruyen por falta de amor.

         Pedid todos los días a la Divina Majestad de Dios, al Divino Consolador, que os mantenga firmes en vuestra fe, en vuestra esperanza y en vuestra caridad. Tened caridad unos con otros. Si no hay caridad, hijos míos, no podréis conseguir el Cielo. La caridad es la virtud eterna, ¡la del amor! ¡Como te enseñó el Padre, que su pecho rebosaba de amor hasta que se parte en tres! Y cada uno tiene su función, hija mía, pero los Tres tienen ese amor. El Padre crea, el Hijo redime y el Espíritu Santo santifica. Invocad al Espíritu Santo, hijos míos, para que estén vuestras almas santificadas por la luz del Espíritu Santo...
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, Madre mía, qué grande eres, qué grandeza más grande! ¡Cómo te humillas! Si fuésemos capaces de humillarnos nosotros como Tú, Madre mía... ¡Ay!...
     
     

         LA VIRGEN:

         (Continúa hablando en la escena contemplada por Luz Amparo).

         Divina Majestad de Dios, os pido, por la humildad de esta vil esclava, y os repito: no soy digna de amamantaros y de ser Madre de tan Divina Majestad...

         Dios, dueño mío, deseo amaros y renuevo mi voto de castidad ante Vos. Para Vos nací y para Vos soy.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay! ¡Ay, dejádmelo un poquito! (Luz Amparo —según explicación suya posterior— recibe de manos de la Virgen al Niño Jesús). ¡Ay, qué hermosura! ¡Ay, qué grandeza! ¡Ay, Dios mío! ¡Ay, qué cosa más bonita! ¡Ay, qué hermosura!... ¡Ay, Dios mío! Yo quiero ser fiel a Vos también, ayudadme. ¡Ay!... ¡Ay!... ¡Ah, qué hermosura de Niño! ¡Qué grandeza, Madre mía! ¡Ayyy!... Y siempre os veo orando, Madre mía. ¿Cuándo descansáis Vos? ¡Ay, pero qué poco descansáis!
     
     

         LA VIRGEN:

         Los hombres pierden la mayoría del tiempo, hija mía, en el descanso, en el placer. Hay que reparar ese descanso y ese placer.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, y en esa tarima tan dura, sólo con una manta duermes Tú ahí, lo poquito que duermes! ¡Ay, Madre mía! ¡Y que nosotros busquemos tantas cosas! ¡Ay!
     
     

         LA VIRGEN:

         Piensa, hija mía, que soy de Dios, y con Dios tengo que reparar. Jesús nació para reparar los pecados de los hombres, para morir por ellos. Yo quiero morir y reparar con Él. Piensa que somos un solo Corazón, y si uno sufre, el otro sufre; si ama, ama. Los dos sienten lo mismo, hija mía. Los dos Corazones en uno se han unido.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, Madre mía!
     
     

         LA VIRGEN:

         Y ya te dije que tocando esta cabecita, hija mía, ya tiene las espinas en ella, entre estos rizos dorados, mira las espinas, hija mía.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, Madre mía, ay, tan pequeño, ya!...
     
     

         LA VIRGEN:

         Y mira sus manitas, cómo tienen las llagas.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Pero bueno, Dios mío! ¡Ay, ay!...
     
     

         LA VIRGEN:

         Todo su cuerpecito está llagado por los pecados de los hombres, hija mía...

         (Luz Amparo interrumpe con sollozos).

         ¿Hasta cuándo los hombres van a seguir obstinados en el pecado? Volved vuestra mirada a Dios, hijos míos, y cumplid con los mandamientos. Pero no olvidéis la oración, hijos míos, ni el sacrificio. El mundo se encuentra en esta situación porque los hombres han olvidado el sacrificio, la oración, el amor. Sólo piensan en los gustos, en los caprichos mundanos. La cruz la dan de lado, hija mía. Y en la cruz está la gloria.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, Madre mía! ¡Ay, pero qué hermosa eres! ¡Ay! Pero, Madre mía, ¿Tú también tienes que sufrir tanto? ¡Y que dicen los hombres que Tú no sufres!
     
     

         LA VIRGEN:

         ¿Tú no sufres, hija mía, por cada uno de tus hijos? Así sufre mi Corazón por cada uno del ser humano, porque soy Madre del ser humano. Cristo me dejó en la Cruz por Madre.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay!, yo te prometo reparar, ayudarte a reparar los pecados de los hombres, pero déjame a mí, no Tú, que Tú no tienes pecado. ¡Ay, Tú no tienes que reparar, Madre mía! ¡Si Tú eres más blanca!... ¿Por qué vas a pagar Tú lo de los demás? ¡Ay, Madre mía, ayúdame a tener fortaleza, para poder hacer tantas cosas por la Humanidad! ¡Ay! Y si tengo que estar clavada, ¡ay, que sea fuerte, para poder salvar muchas almas! ¡Ay, Madre mía, qué grandezas! ¡Ayyy, ay!
     
     

         LA VIRGEN:

         Sí, hija mía, pero ¡qué poco entienden los hombres estos misterios! Mi Corazón está triste y la Divina Majestad de Dios está ofendida gravemente por todos esos hogares que están desunidos, hija mía, por falta de humildad, por falta de oración... Sed humildes; sin humildad no conseguiréis el Cielo. Y no os ceguéis con las cosas terrenas. “Cegaos”[2] en Dios. Que vuestra mirada sea limpia y resplandeciente como el Sol. ¡Ay, hijos míos! El mundo está a punto de desaparecer de la faz de la Tierra por el pecado de los hombres. ¡Cuánto sufre mi Corazón viendo la desunión en los matrimonios, la mala educación a los hijos, hija mía, la falta de oración y la falta de sacrificio! Amad mucho nuestros Corazones.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, Madre mía, qué limpieza tienes más grande, hasta tu ropa tiene un brillo!... ¡Ay, Madre, pero si tu ropa ni... Te arrastras y no se mancha siquiera, Madre mía! ¡Ay, qué hermosura tienes! ¡Ay..., ay, quiero orar contigo! ¡Ay, Madre, enséñame a orar como Tú, enséñame a ser humilde, enséñame a ver a tu Hijo en el Pesebre! ¡Ay, Madre, enséñame a reparar los pecados de los hombres!
     
     

         LA VIRGEN:

         Si los hombres pensasen en Cristo en el Pesebre, en Cristo en la Cruz, Cristo olvidado, no se ocuparían tanto de ellos mismos.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Qué pobreza, Madre mía! ¡Ay, qué pobreza tenéis ahí! Y no os acordáis ni de alimentaros. ¡Ay! Pero tampoco tenéis sustento para alimentaros. ¡Ay, pero Dios mío, ayyy!...
     
     

         LA VIRGEN:

         (Habla en la escena contemplada).

         Os pido, Dios mi Creador, que mandéis a vuestros ángeles. ¡Un poco de alimento para estas pobres creaturas tuyas! No queremos tener nada más que lo justo.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, pero no tenéis nada!
     
     

         LA VIRGEN:

         Dios mi Creador se vale de otras personas para sustentar a otras. ¡Ay de aquéllos que ponen toda su confianza en la riqueza! Hay que poner amor al trabajo para sustentar a la familia, pero no apegarse tanto a los bienes materiales, hijos míos. Yo nunca tuve nada, y nunca permitió Dios, mi Creador, que me faltase nada.
     
     

         LUZ AMPARO:

         Los ángeles le llevan verdura. ¡Ay, Madre mía, qué grandeza! ¡Frutas, qué frutas! ¡Ay! Pero, ¿y cómo pueden hacer eso?
     
     

         LA VIRGEN:

         Hija mía, si el hombre se dedicase a orar, Dios se ocuparía de su trabajo y de su sustento, de darle trabajo y alimento. Pero los hombres se entretienen, repito, con el pensamiento en lo mundano y olvidan a Dios.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, Madre mía! ¡Ay! Va a hacer la comida. La santísima Virgen se levanta después de estar con la cabeza en el suelo. ¡Ay! Se acerca a ver al Niño. ¡Huy, qué grandezas! Toca en el aposento de José...
     
     

         LA VIRGEN:

         José, esposo mío, amado mío: Dios, nuestro Creador, nos ha mandado sustento para alimentarnos; démosle gracias.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay! Y José dice...
     
     

         SAN JOSÉ:

         Gracias, Divina Majestad de Dios, por acordarte de esta vil criatura tuya.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, qué grandeza! ¡Ay, ya está haciendo la comida! ¡Qué manos tienes, Madre mía! Se arrodillan a dar gracias a Dios y a bendecir los alimentos.
     
     

         LA VIRGEN:

         Gracias, mi Divino Creador, por estos alimentos que has mandado, con tus fieles vasallos, a esta indigna esclava y a mi humilde esposo.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, qué poquito comes, Madre mía!
     
     

         LA VIRGEN:

         Hay que enseñar a los hombres, hija mía, que nada en cantidad es bueno. Sólo hay que enseñarles que tienen que sustentarse para vivir. Todo en cantidad —he dicho—, no siendo el amor, todo lo del mundo es malo, hija mía. Aprended a mortificar vuestros sentidos en los alimentos.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, va a coger al Niño! Mientras come está con Él en brazos. ¡Ay, Madre, qué Madre eres más grande! Los dos con la cabeza baja están comiendo. A san José le ha hecho un guiso con más cantidad que Ella. La santísima Virgen tiene un pensamiento, que no le revela a José, de que Cristo va a ser entregado a los hombres en una cruz. ¡Ay, no quiere que sufra! Mira al Niño y ve toda la Pasión. ¡Huyyy!... ¡Ay! Se pone la mano en el corazón; su angustia es grande. ¡Ay! José le pregunta:
     
     

         SAN JOSÉ:

         Esposa y paloma mía, ¿qué os pasa?
     
     

         LA VIRGEN:

         Nada, esposo mío.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay! No quiere revelárselo, porque sabe que va a morir antes que esto suceda, y no quiere que participe de ese dolor.
     
     

         LA VIRGEN:

         Dios, dueño mío, guardaré este secreto dentro de mí, para que mi fiel esposo y humildísimo esposo, no sufra. Dadme a mí los misterios, que los vea, pero no se los reveléis a él. Quiero sufrir, si es del agrado de Vos. Lo que podáis mostrarle a él, me lo mostráis a mí para sufrir por él.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, ay, ay! ¡Cómo ve todo lo que va a pasar Jesús! Quiere fortalecerse para que no lo note José. ¡Pobrecita! José la mira y se da cuenta que algo pasa; pero Ella disimula.
     
     

         LA VIRGEN:

         Comed, esposo mío, alimentaos, que necesitáis alimento para trabajar.
     
     

         SAN JOSÉ:

         Y Vos, dueña mía, paloma mía, esposa mía, ¡qué poquito alimento habéis comido!
     
     

         LA VIRGEN:

         El necesario, esposo mío, para poder sobrevivir.
     
     

         LUZ AMPARO:

         El Niño los mira. ¡Ay, cómo acaricia la Virgen su cabeza! ¡Ay, le pide permiso!
     
     

         LA VIRGEN:

         Vos, Hijo de mis entrañas, ¿dais permiso a vuestra indigna Madre para poderos dar un beso en el pie?
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay! El Niño sonríe y con su cabeza le dice que sí. Coge su pie y se lo besa.
     
     

         LA VIRGEN:

         Gracias, Dios mío, por haberme dado este Hijo de mis entrañas e Hijo vuestro.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, ay qué familia! ¡Cómo se respetan y cómo se aman! Los dos dan gracias por los alimentos, de rodillas.
     
     

         LA VIRGEN:

         Gracias, Dios, mi Creador, Creador nuestro, por este sustento que nos has traído; que nos sirva de fortaleza para ayudar a las almas a reparar los pecados de la Humanidad.
     
     

         LUZ AMPARO:

         Levanta san José a la Virgen. ¡Ay, él se marcha haciéndole una reverencia con la cabeza y la rodilla, y al Niño le hace otra reverencia!
     
     

         SAN JOSÉ:

         Esposa mía, amada mía: me voy a ganar el sustento para alimentaros.
     
     

         LA VIRGEN:

         ¡Adiós, esposo mío!
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, ay! La Virgen va a amamantar al Niño. ¡Ay, cómo le da su alimento! ¡Ay, qué grandeza! ¡Ay, le está alimentando y rezando, ayyy!...
     
     

         LA VIRGEN:

         Sed humildes, hijos míos, os repito; en los hogares tiene que haber humildad, para haber unidad. A ti, hija mía, te seguiré revelando tantos misterios...

         Quiero que adoctrines a los hombres con todos estos misterios y estas gracias, para que los hombres abran sus corazones y se aparten del vicio, del pecado. Invocad al Espíritu Santo. Ya te lo he dicho, hija mía: en estos tiempos, el Espíritu Santo tendrá que santificar los hogares, para que puedan estar unidos.

         Besa el suelo, hija mía, en acto de humildad...

         Levantad todos los objetos, hijos míos; todos serán bendecidos... Todos han sido bendecidos con gracias especiales para la santificación de las almas.

         Os repito: humildad y amor a la Iglesia, hijos míos. Sed hijos fieles de la Iglesia.

         Adiós, hijos míos. ¡Adiós!

    [1] “... para que el cónyuge no se «arrastre»”; es decir, para que no se humille y otorgue el perdón, buscando la reconciliación.

    [2] “Cegaos”, o sea: “Dejaos deslumbrar por Dios e iluminar por su luz cegadora”.

    6 février 1988

    - La Sainte Vierge :

    Mes enfants, voici votre Mère qui vient vous révéler un autre grand mystère que le Christ (langue
    étrangère) voulut laisser en témoignage pour son Eglise. Dieu voulut accomplir tous ces mystères
    dans sa créature pour les laisser un jour en témoignage pour les hommes. Tu vas expliquer aux
    hommes comment on présente un sacrifice à Dieu. Mon cœur ressentit tant de douleur lorsque Mon
    Fils disparut au Temple… Tu vas être témoin de ce mystère, ma fille, explique-le aux hommes.

    - Amparo :

    Comme ils sont nombreux à descendre par ce chemin. Où vont-ils tous ? Les femmes d’un côté, les
    hommes de l’autre ainsi que les enfants de 13 ans et plus, les plus jeunes restant avec les femmes. Ils
    chantent des cantiques en marchant. La Vierge est avec les femmes, Jésus aussi. Joseph est avec les
    hommes. Beaucoup d’anges accompagnent la Vierge. Beaucoup de caravanes un peu plus loin. Des
    ânes, des chameaux. Tout le monde prie ensemble. Ils s’arrêtent en chemin. Les femmes, les maris et
    les enfants se retrouvent. Tous s’arrêtent pour manger. Certains s’agenouillent pour prier, comme les
    anges, Marie et Jésus… Mais beaucoup ne s’agenouillent pas. Ils bénissent la nourriture, ils s’assoient
    par terre pour manger. Jésus est là. Joseph partage la nourriture et la lui donne. Marie le couvre pour
    qu’il ne prenne pas froid et pose par terre un manteau pour qu’il s’assoit. Ils mangent. Puis ils se
    lèvent pour rendre grâce à Dieu pour la nourriture qu’il leur a donné pour refaire leurs forces et lui
    rendre gloire et louange. Ils reprennent la route. Quelle longue route ! A nouveau les hommes sont
    d’un côté, les femmes avec les enfants, d’un autre. Que de monde ! Marie demande à Jésus qu’Il
    guide ses pas et éclaire son intelligence pour trouver où s’arrêter pour la nuit. Ils sont dans un champ.
    Les hommes et les femmes se réunissent à nouveau pour la nuit. Les anges protègent Jésus, Marie et
    Joseph en formant un cercle autour d’eux. Avant le jour, tous se lèvent et reprennent la route. On voit
    un panneau : Jérusalem. Tous y arrivent ensemble. Oohh, ce Temple ! Tous y vont. Que de monde !
    Tous lèvent les bras en priant et offrent des sacrifices à Dieu le Père. Saint Joseph, la Sainte Vierge et
    Jésus prient ensemble. Jésus demande à Dieu la grâce de pouvoir transmettre à l’humanité le don de
    la Sagesse et Marie, celui de l’Humilité, et Joseph ajoute ceux de la Chasteté et de l’Obéissance. Tous
    ensemble prient en levant les mains. Jésus s’en va. Une voix proclame : " Que tous se rassemblent
    pour le retour."

    Mais que fait Jésus ? Il s’éloigne, se cache derrière les colonnes du Temple, et la Vierge et Saint
    Joseph repartent. Tous ont repris le chemin du retour. Mais les anges sont restés ici avec Lui. Resté
    seul, Jésus parcourt les rues de Jérusalem, pensant qu’un jour, Il y mourra pour le salut du monde…

    A la halte pour le repas, Joseph regarde de tous côtés, s’approche de Marie. Elle met sa main sur son
    cœur :

    - La Sainte Vierge :

    Joseph, mon époux, où est mon Fils ?

    - Saint Joseph :

    - Mon épouse et ma colombe, je croyais qu'il était avec vous !

    - Amparo :

    La Sainte Vierge défaille, elle va tomber.

    - La Sainte Vierge :

    Lumière de mes yeux, où es-tu ? Lumière de mon âme, seigneur de ma vie.

    - Amparo :

    La pauvre ! Quelle angoisse est la sienne ! Aussitôt après elle se reprend et dit à Joseph :

    - La Sainte Vierge :

    Joseph, mon époux, tranquillisez-vous. C'est moi qui suis coupable de n'avoir pas veillé sur Lui.

    - Saint Joseph :

    Non, mon épouse, ma colombe, c'est moi le coupable, je croyais qu'il était avec Vous et je ne m'en
    suis pas assuré.

    - La Sainte Vierge :

    Mon cœur se rompt de douleur, mon époux. Je ne peux pas continuer. Retournons sur nos pas. Mon
    Cœur n'aura pas de repos tant qu'il ne retrouvera pas la lumière de mes yeux et le Roi de ma vie.

    - Amparo :

    Ils font demi-tour, et demandent à chacun :

    - La Sainte Vierge :

    Avez-vous vu mon Fils ? Avez-vu mon Fils ?

    - Amparo :

    Tous répondent que non. Comme elle est angoissée ! Joseph veut réconforter la Vierge.

    - Saint Joseph :

    Mon épouse, que la douleur ne vous submerge pas, ou mon cœur aussi sera submergé. Je suis le
    coupable.

    - Amparo :

    Ah, le pauvre ! La Vierge regarde le ciel et dit :

    - La Sainte Vierge :

    Dieu, mon Créateur, vous avez si vite fait disparaître la lumière de mes yeux ! Je savais que je devais
    vous Le remettre, cependant, je ne pensais pas que le moment était venu. Je vous remercie de m'avoir
    donné ces riches années de son enfance et son enseignement. Mon Cœur est transpercé de douleur,
    plus que je ne pourrais dire ! Où êtes-vous, lumière de mon âme ? Et vous, fidèles serviteurs de votre
    Dieu, ne pouvez-vous pas me dire où est mon Fils?

    - Amparo :

    Les anges ne répondent pas. Ah, la pauvre ! Dites-lui où il est, pour la réconforter !

    - Les anges :

    Notre-Dame, Reine du Ciel, soyez rassurée. Dieu veut agir en Vous par ce dessein.

    - Amparo :

    Comme la Vierge est angoissée, la pauvre ! Comme elle pleure, ses larmes coulent ! Saint Joseph
    pleure aussi.

    - La Sainte Vierge :

    Plus vite, mon époux.

    - Amparo :

    La Vierge regarde le ciel et dit :

    - La Sainte Vierge :

    Dieu, mon Créateur, ne voulez-Vous pas me dire où est mon Fils ? Je pense à Archélaüs... Et s'il avait
    pris mon Fils et l'avait mis en prison..., et si on lui avait fait du mal... Lumière de mon âme, feu de
    mon Cœur, est-ce que je vous ai maltraité ? Ai-je été indigne d'être votre Mère ? Mais pour ces
    années où vous avez permis que je sois votre Mère, accordez-moi de savoir où vous êtes... Et s'il était
    parti au désert retrouver Jean... Fils de ma vie ! Vous désiriez à ce point souffrir pour les hommes
    alors que votre temps n'était pas encore venu ? Joseph, nous irons dans le désert pour voir s'il n'est pas
    allé retrouver Jean-Baptiste.

    - Amparo :

    Les anges s'approchent et lui disent :

    - Les anges :

    Notre-Dame, Reine du Ciel et de la terre, votre Fils n'est pas loin, il est près d'ici.

    - Amparo :

    Elle va par les rues en demandant :

    - La Sainte Vierge :

    Femmes de Jérusalem, avez-vous vu un Enfant d'environ douze ans, blond comme l'or, la peau et
    l'âme blanches comme du lait et les mains rouges comme du sang ?

    - Amparo :

    Une femme demande: " Comment est-il? "

    - La Sainte Vierge :

    Il est blond, il a douze ans, il est d'une beauté incomparable telle que personne n'est comme lui.

    - Une autre femme:

    Cet enfant était ici hier. Je lui ai donné l'aumône, je l'ai fait entrer chez moi et je l'ai fait manger.
    C'était un enfant différent de tous les autres et depuis hier, je sens en moi une paix que je ne
    connaissais pas.

    - Amparo :

    Trois autres femmes disent de même. Ah, la pauvre ! Où est-il ?

    - La Sainte Vierge :

    Où dois-je vous chercher, lumière de mon Cœur, fils de mes entrailles ? Je sais, j'irai dans les
    hôpitaux, dans les asiles de pauvres. Il pourrait y être. Joseph mon époux, allons dans les hôpitaux et
    les asiles demander si quelqu'un a vu un enfant.

    - Amparo :

    Marie se prosterne jusqu'à terre, Joseph aussi.

    - La Sainte Vierge :

    Dieu, mon Créateur, illuminez-moi, pour savoir où est mon Fils bien-aimé. Il est parti, le soleil qui
    m'éclairait, le feu qui me réchauffait. Mon corps est assoiffé pour l'amour de mon Fils. Mon âme ne
    peut vivre sans Lui. Dieu, Créateur et Majesté divine, voici votre esclave pour que vous enfonciez
    dans mon Cœur toutes les épines de douleur que vous voudrez. Mais que je revois la lumière qui m'a
    été ôtée.

    - Amparo :

    Ah, ah la pauvre ! Elle arrive dans les hôpitaux. Il y a des malades.

    - La Sainte Vierge :

    Fils de Jérusalem, répondez à cette Mère brisée de douleur : avez-vous vu un Enfant de douze ans,
    blanc comme un agneau ?

    - Amparo :

    Tous se rapprochent.

    - Un malade :

    C’est l'Enfant qui est venu nous visiter hier. Il nous a apporté de la nourriture et un enseignement.
    Comme il parlait bien ! Il a guérit beaucoup de paralytiques, il a rendu la vue à beaucoup d'aveugles.
    D'où est cet Enfant ?

    - La Sainte Vierge :

    Plus tard vous saurez d'où il est. L'heure n'est pas encore venue.

    - Un autre malade :

    Il est aussi allé dans les asiles apporter de la nourriture aux pauvres. Il a fait de grands prodiges dans
    les âmes.

    - La Sainte Vierge :

    Je savais bien que vous ne pouviez pas être ailleurs. Mais le moment n'est pas encore venu, mon Fils.
    Mon Cœur est transi de douleur. Joseph, il ne peut être que dans le seul lieu où nous ne sommes pas
    retournés : le Temple.

    - Amparo :

    Jésus est là ! Avec des hommes qui portent la barbe. Ils ont sur la tête des bonnets à pompons et sont
    habillés en rouge. Ce sont les Docteurs de la Loi. Ils forment cercle et discutent sur la venue attendue
    du Messie.

    - Un docteur :

    Des commentaires nous parviennent comme quoi le Messie est déjà parmi nous. Ils disent que le
    Baptiste accomplit beaucoup de miracles…

    - Un autre docteur :

    Comment le Messie serait-il parmi nous ? Alors qu’il doit venir avec grand pouvoir, pour libérer son
    peuple, faire la guerre et donner la mort à tous ses ennemis !

    - Un autre docteur :

    Je crois que vous vous trompez. Je pense que le Messie est dans l’humanité, qu’il est né à Bethléem.
    On a vu une lumière avec une étoile…

    - Un autre docteur :

    Pas du tout, ce ne sont que des racontars !

    - Un autre docteur :

    Le Messie viendra temporellement, il rachètera le monde temporellement et le mettra en ordre
    temporellement.

    - Amparo :

    Jésus écoute. Il se lève et se place au milieu. Tous le regardent.

    - Un docteur :

    Quel est cet enfant d’une si extraordinaire beauté ?

    - Amparo :

    Jésus dit :

    - Jésus :

    J’ai écouté vos commentaires. Quel enseignement pouvez-vous donner alors que vous avez tant de
    doutes ? D’accord, le Messie viendra tel que vous le dites, avec pouvoir et majesté et donnera la mort
    à ses ennemis, mais vous oubliez qu’il s’agit de sa deuxième venue. Lors de sa première venue, le
    Messie sera fait opprobre, il sera moqué, méprisé, humilié, crucifié. C’est comme cela qu’il rachètera
    son peuple. Et ce ne sera pas une gloire temporaire comme vous le dites, mais une gloire éternelle,
    qu’il viendra enseigner aux hommes, une doctrine avec une Eglise et des Sacrements, pour que les
    hommes puissent se sauver. Aveugles que vous êtes !

    - Amparo :

    Tous se mettent à dire : Ah, voyez comment il parle : comme parlaient les anciens !

    - Un docteur :

    Mais quel est cet enfant ? Une telle sagesse !

    - Jésus :

    Vous ne saurez pas qui Je suis tant que le moment ne sera pas venu, mais sachez que le Messie
    viendra d’abord racheter le monde avec une gloire éternelle. Ensuite, il viendra juger et mettre le feu
    sur la terre contre tous ses ennemis. Il s’agit de la deuxième venue, mais vous avez oublié la première.

    - Amparo :

    Saint Joseph et la Vierge arrivent. Marie met les mains sur son cœur rempli de joie. Ils s’assoient et
    écoutent.

    - Jésus :

    Oui, Je vais former Mon Eglise où il n’y aura qu’un seul troupeau.

    - Amparo :

    Mais ils ne l’entendent pas. Une voix dit :

    - Une voix :

    Le temps n’est pas encore venu d’expliquer clairement cet enseignement.

    - Amparo :

    Mais la Vierge comprend toutes ces paroles et elle voit l’Eglise, elle voit l’Eucharistie. Oh ! Elle voit
    les prêtres. Elle voit comment il va instituer la Communion ! Oh, elle pressent tout ! Et elle est
    remplie de joie ! Elle voit tout, tout : l’Eglise telle qu’est, les prêtres qui donnent la Communion, le
    Tabernacle… Elle lève les yeux au ciel et elle dit :

    - La Sainte Vierge :

    Dieu, mon Créateur, Majesté Divine, je vous rends grâce pour m’avoir remplie de tous ces mystères.
    Je ne suis pas digne de toutes ces grâces.

    - Amparo :

    Jésus regarde gravement sa Mère. Et la Vierge ressent une sagesse intérieure. Oh, oh, ah, quelle
    grandeur ! Ah !…

    - Jésus :

    Nous en avons fini, Messieurs les Docteurs. Observez la Loi, pas les lois faites à votre goût !

    - Amparo :

    Tous se regardent et ils s’en vont en chuchotant :

    - Les docteurs :

    Cet enfant nous a donné une leçon de sagesse. Nous n’avons pas pu savoir qui il est, mais il a une
    science… !

    - Amparo :

    Joseph et Marie s’approchent. Ils baisent les pieds de Jésus et la Vierge lui dit :

    - La Très Vierge :

    Mon Fils ! Pourquoi nous avoir fait cela, mon Fils ? Votre père et moi nous vous cherchions partout !

    - Jésus :

    Pourquoi me cherchiez-vous ? Ne savez-vous pas que je dois être aux affaires de mon Père des cieux
    ? Ne savez-vous pas que Je dois enseigner la Doctrine pour que les hommes réparent le péché d’Eve ?

    - La Sainte Vierge :

    Si, Mon Fils, pardonnez-moi. Je pensais avoir manqué à mes devoirs de Mère. J’étais préoccupée par
    votre absence, c’est pourquoi la lumière de mes yeux avait disparu. Pardonnez-moi.

    - Joseph :

    Et moi aussi, pardonnez-moi. J’étais moi aussi préoccupé par votre absence.

    - Amparo :

    Jésus bénit Joseph et Marie, les relève, les embrasse et tous les trois sortent du Temple. Ah, mon
    Dieu, quelle joie !

    - La Sainte Vierge :

    Je continuerai à te révéler d’autres mystères. Soyez fermes, mes enfants, soyez forts. Pensez que la
    fermeté ne blesse pas la charité, malheur à ceux qui seraient cause de ce que Mon œuvre ne se
    réaliserait pas ! Travaillez, mes enfants. Faites de l’apostolat. Soyez humbles. Hors de toute oisiveté
    et toute paresse ! Vous mettez les affaires du monde avant Dieu. Vos âmes me donnent tant de peine.
    Je vous demande humilité et diligence pour l’œuvre. Ne mesurez pas ce que vous faites pour le
    Seigneur. Récitez tous les jours le Saint Rosaire. Beaucoup d’entre vous ne le font pas. Vous savez
    que J’aime cette prière et vous répondez si mal à mon amour.

    Aimez l’Eglise, mes enfants. Si vous aimez le Christ, vous devez aimer aussi l’Eglise.

    Levez tous les objets. Je les bénis. Je vous bénis comme le Père vous bénit par le Fils et avec le
    Saint-Esprit. Venez en ce lieu, vous le fréquentez si peu. Ma fille, sois humble. Au revoir.

    table des matières

    MENSAJE DEL DÍA 6 DE FEBRERO DE 1988, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hijos míos, aquí está vuestra Madre para revelaros otro gran misterio de los que Cristo... (palabras en idioma extraño). Quiso dejar para su Iglesia este gran testimonio. Dios quiso hacer todos estos misterios en su creatura para un día dejar testimonio a los hombres: el testimonio de presentar a Dios el sacrificio. Mi Corazón sintió tanto dolor cuando mi Hijo desapareció de mi Corazón en el Templo... Vas a ver todo este misterio, hija mía; explícaselo a los hombres...
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Cuántas gentes! Hay muchos hombres y mujeres y niños. ¡Ay! Todos bajan por ese camino. ¡Cuántos van! ¡Muchos! ¡Huy! ¿A dónde irán todos juntos? Ahora hay uno que dice: “Las mujeres a un lado; los hombres a otro. Y los niños que vayan con las mujeres. Los mayores de trece años que vayan con los hombres y los menores con las mujeres”.

         Todos van por ese camino. Hacen cánticos. ¡Ay! La Virgen va también con todas ellas. Y Jesús va también. ¡Ay! José se va con los hombres. ¡Ay, cuántos ángeles van ahí al lado de la Virgen! ¡Ay, cuántos, muchos ángeles! ¡Ay, qué hermosura! ¡Ay, van por ese camino andando! ¡Ay, más allá hay muchas caravanas! ¡Ay, con ca... (ininteligible), ay, huy! ¿Eso son mulas o qué es eso? También hay camellos. ¡Huy, todos van para allá! Todos hacen oración juntos. ¡Ay, cómo pasan, cómo pasan!... Paran en el camino. Las mujeres se juntan con sus maridos y sus hijos. Todos se paran a comer. Todos arrodillados hacen oración. Los ángeles y María y Jesús... Pero muchos no se arrodillan. ¡Ay, bendicen el alimento, se sientan en el suelo! ¡Ay, sacan alimento y comen! Jesús está ahí. José le parte el alimento y se lo da. María le tapa para que no tenga frío y le pone en el suelo un trozo de manta para que se siente. Comen. Vuelven a levantarse a dar gracias a Dios por el alimento que les manda para sustentar su cuerpo, para darle gloria y alabanza. Siguen el camino, ¡qué camino más largo, ayyy! Vuelven otra vez los hombres con los hombres; las mujeres y los niños juntos; siguen el camino. ¡Ay, cuánta gente! ¡Ay, ay! María le dice a Jesús que Él guíe sus pasos y alumbre los entendimientos para ver dónde pueden refugiarse esa noche.

         Todos están en un campo. ¡Ay! Los hombres y las mujeres se vuelven a juntar y a reunirse para pasar la noche. Los ángeles protegen a Jesús, María y José. Forman un corro y dentro de ese corro están los tres protegidos. No es todavía de día; se levantan todos, dan la orden de seguir el camino. Hay un letrero: “Jerusalén”. Todos van juntos, llegan a Jerusalén. ¡Qué Templo! ¡Huyyy! Ése es el mismo. ¿Y a qué vienen otra vez aquí? ¡Ay! Ahí se presentan todos. ¡Cuánta gente! Levantan los brazos en alto y ofrecen sacrificios a Dios Padre todos. San José, la Virgen y Jesús están juntos orando y pidiendo a Dios gracias para poder transmitir a la Humanidad... “El don de la sabiduría”, dice Jesús; la Virgen pide el don de la humildad; san José la humildad, la castidad, la obediencia. ¡Ah, todos juntos están orando con las manos en alto! Jesús se va de ahí. Uno lee un papel y dice: “Que todos los hombres y mujeres se reúnan en la plaza del pueblo para volver otra vez a sus hogares”.

         ¡Ah! Jesús se va, se esconde; con la cabeza la pone en el suelo. ¡Ay! ¿Qué haces? Se mete detrás de las columnas. Mira por entre las columnas. ¿A quién vigila? Se esconde. ¡Ay, se va para allá y se esconde! ¡Ah! La Virgen y san José se marchan. Pero ahí se queda Jesús. ¡Huy, todos se han ido! Están reunidos todos en la plaza. Vuelven a emprender el camino todos. ¡Ay! ¿Dónde se queda Jesús? ¡Ay, ay! Pero se quedan ángeles también ahí con Él. ¡Ay, su Madre se va! ¡Ay, te quedas tú solo! ¡Huy, sale del Templo! Va por las calles Jesús mirando todas las calles y recordando, ¡ay!, que un día tendrá que morir para salvar al mundo. ¡Ay, pobrecito, lo ve todo, pobrecito! ¡Anda..., qué frío! Vas a tener frío tú solo. ¡Ay, pobrecito! ¡Ay, se queda ahí!...; y su Madre, ¿dónde está? ¡Ay! Su Madre, ¿dónde está? ¡Con todos! Pero, ¡qué lejos ya! Se reúnen todos a comer. Viene José; mira por todas las partes. María mira a José buscando. Se pone la mano en el pecho.
     
     

         LA VIRGEN:

         José, esposo mío, ¿dónde está mi Hijo?
     
     

         SAN JOSÉ:

         Señora y paloma mía, creí que estaba con Vos.
     
     

         LUZ AMPARO:

         La Virgen se desmaya; se va a caer.
     
     

         LA VIRGEN:

         Lumbre de mis ojos, ¿dónde estás? Luz de mi alma, dueño de mi vida.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Qué angustia, qué cara, pobrecita! ¡Ah! Enseguida se reanima y le dice a José...
     
     

         LA VIRGEN:

         José, esposo mío, tranquilizaos; fui culpable por no tener cuidado de Él.
     
     

         SAN JOSÉ:

         No, esposa mía, paloma mía, el culpable fui yo, que creí que estaba con Vos y no miré.
     
     

         LA VIRGEN:

         Mi Corazón se parte de dolor, esposo mío. No puedo proseguir el viaje; volvámonos, que mi Corazón no encontrará sosiego hasta que no encuentre a la lumbre de mis ojos, al Rey de mi vida.
     
     

         LUZ AMPARO:

         Se vuelven; van preguntando a todos...
     
     

         LA VIRGEN:

         ¿Habéis visto a mi Hijo? ¿Habéis visto a mi Hijo?
     
     

         LUZ AMPARO:

         Responden que no, que en todo el camino no lo han visto. ¡Cómo se angustia, pobrecita! ¡Ay! José quiere animar a la Virgen.
     
     

         SAN JOSÉ:

         Esposa mía, no desfallezcáis de dolor, que mi corazón también desfallece. Me creo culpable.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, pobrecito! Mira al cielo y dice la Virgen...
     
     

         LA VIRGEN:

         Dios, mi Creador, ¡qué pronto habéis hecho desaparecer la luz de mis ojos!
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, pobrecita!
     
     

         LA VIRGEN:

         Yo sabía que tenía que entregarle, pero pensé que todavía no era el tiempo. Pero, gracias, Dios mío, por haberme dado estos años de riqueza con su niñez y esta doctrina. Luz de mi alma, mi Corazón se traspasa de dolor, casi mi garganta no puede hablar; ¿dónde estáis luz de mi alma? Y vosotros, compañeros y vasallos de vuestro Dios, ¿no me podéis revelar dónde está mi Hijo?
     
     

         LUZ AMPARO:

         Los ángeles no responden. ¡Ay, pobrecita, decidle dónde está! La consuelan. ¡Ay, pobrecita!
     
     

         LOS ÁNGELES:

         Señora y Reina del Cielo, consolaos; Dios quiere obrar en Vos estos misterios.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Cómo se angustia la Virgen, pobrecita! ¡Cómo llora, cómo le caen las lágrimas! ¡Ay, pobrecita! San José llora también.
     
     

         LA VIRGEN:

         Apresuraos, esposo mío.
     
     

         LUZ AMPARO:

         Mira la Virgen al cielo y dice...
     
     

         LA VIRGEN:

         Dios, mi Creador, ¿no me queréis revelar dónde está mi Hijo? Pienso que Arquelao... si habrá cogido a mi Hijo y lo habrá metido en prisión y estará recibiendo malos tratos...
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, ay, pobrecita, cómo llora, cómo pregunta, pobrecita, ay!
     
     

         LA VIRGEN:

         Lumbre de mi alma, fuego de mi Corazón, ¿os he tratado mal? ¿He sido indigna de ser vuestra Madre? Pero por estos años que habéis permitido que sea vuestra Madre real, concededme ver dónde estáis. Mi pensamiento es: ¿se habrá ido al desierto a hacer compañía a Juan? ¡Hijo de mi vida! ¿Estáis deseoso de sufrir por los hombres aún sin haber llegado vuestro tiempo? José, preparaos; iremos al desierto a ver si lo encontramos con Juan el Bautista.
     
     

         LUZ AMPARO:

         Se acercan los ángeles y le dicen: “Señora, Reina de Cielos y Tierra, vuestro Hijo está cerca, no está tan lejos”.

         Va por las calles preguntando.
     
     

         LA VIRGEN:

         Mujeres de Jerusalén, ¿habéis visto a un Niño de unos doce años, rubio, con los cabellos como el oro, su cara blanca, su alma como la leche y sus manos coloradas de sangre?
     
     

         LUZ AMPARO:

         “¿Cómo es el Niño?”, dice esa mujer que viene.
     
     

         LA VIRGEN:

         Es rubio, de doce años, con una belleza incomparable y una hermosura en su rostro que ningún ser humano puede tener.
     
     

         UNA MUJER:

         ¡Ah! Ese Niño estaba ayer por aquí; vino a mi casa a pedir limosna; le di limosna y le metí en mi casa a comer. Era un Niño distinto a los demás niños. Dentro de mí se obró algo que desde ayer mi alma siente una paz que nunca ha tenido.
     
     

         LUZ AMPARO:

         Vienen otras tres mujeres y dicen lo mismo. ¡Ay, ay, pobrecita! ¿Dónde estará? ¡Ay!
     
     

         LA VIRGEN:

         ¿Dónde os puedo buscar, lumbre de mi Corazón, Hijo de mis entrañas? ¡Ya sé: iré a los hospitales, a los asilos, adonde los pobres; allí es donde podéis estar! José, esposo mío, vamos a los hospitales, a los asilos, a preguntar si ha pasado algún niño por ese lugar.
     
     

         LUZ AMPARO:

         La Virgen pone la cabeza en el suelo, José también.
     
     

         LA VIRGEN:

         Dios, mi Creador, iluminadme, para ver dónde está mi amado Hijo. Se me ha ido el sol que me alumbraba, la lumbre que me calentaba. Mi cuerpo está sediento del amor de mi Hijo. Mi alma no puede vivir sin Él. Dios, Creador y Majestad Divina, aquí está vuestra esclava, para que clavéis sobre su Corazón todas las espadas de dolor que Vos queráis. Pero que me alumbre la luz que se me ha ido.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, ay, pobrecita! Llega a los hospitales. Hay enfermos ahí.
     
     

         LA VIRGEN:

         Hijos de Jerusalén, contestad a esta Madre dolorida: ¿habéis visto a un Niño de doce años blanco como una paloma?
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay! Todos se acercan.
     
     

         ENFERMO:

         El Niño que vino ayer estuvo visitándonos, nos trajo alimentos y doctrina. ¡Cómo hablaba! Curó a muchos paralíticos, hizo ver a muchos ciegos. ¿De dónde es ese Niño?
     
     

         LA VIRGEN:

         Algún día sabréis de dónde es. Todavía no ha llegado la hora.
     
     

         ENFERMO:

         También estuvo en los asilos llevando alimento a los pobres. Hizo grandes prodigios en las almas.
     
     

         LA VIRGEN:

         Ya sabía yo que no podíais estar en otro lugar. Pero todavía no ha llegado el momento, Hijo mío. No pienses, Hijo mío,... (ininteligible). Es que mi Corazón está transido de dolor. José, sólo puede estar en el único lugar que falta; vayamos al Templo.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ahí está Jesús! ¡Huy, con todos ésos de barbas! ¿Y qué son? ¿Qué tienen en la cabeza: esos gorros con esas bolas, vestidos de colorado? ¡Oy!, ¿quién son? ¿Cuántos hay ahí? Están ahí en un corro todos. ¡Huy, Jesús se sienta ahí! ¡Ay! Explican ésos...
     
     

         DOCTOR DE LA LEY:

         Vamos a ver, aquí hay muchas dudas de muchas habladurías que se van diciendo por ahí. Dicen que el Mesías ya ha venido al mundo. Se han obrado muchos milagros —dice la gente— con el Bautista, y que el Mesías está entre nosotros; que el Mesías ya ha venido.
     
     

         LUZ AMPARO:

         Empiezan a hablar; se ríen, y unos dicen...
     
     

         DOCTOR DE LA LEY:

         ¿Cómo va a venir el Mesías, si el Mesías tiene que venir con un gran poder para liberar a su pueblo y dar muerte con guerra a todos los enemigos?
     
     

         LUZ AMPARO:

         Unos dicen...
     
     

         DOCTOR DE LA LEY:

         Creo que estáis equivocado, el Mesías creo que está en la Humanidad, que nació en Belén, que se vio una luz con una estrella.
     
     

         DOCTOR DE LA LEY:

         ¡Nada de palabras ni habladurías!
     
     

         LUZ AMPARO:

         Dicen los otros: “El Mesías vendrá temporalmente y redimirá al mundo temporalmente y pondrá orden temporalmente”.

         Jesús está oyendo, se levanta, se presenta en medio, y todos se miran.
     
     

         DOCTOR DE LA LEY:

         ¿Quién es este Niño con esa belleza extraordinaria?
     
     

         LUZ AMPARO:

         Jesús dice: “Os estoy oyendo cómo disputáis, cómo dudáis. ¿Qué doctrina podéis enseñar? De acuerdo, vendrá el Mesías como vosotros decís, lleno de poder y majestad y dará muerte a sus enemigos; pero os olvidáis de que ésa es la segunda venida. En la primera venida vendrá el Mesías; será hecho oprobio, escarnio; será crucificado; será despreciado; será humillado. Así es cómo redimirá a su pueblo. Y no será, como vos decís, una gloria temporal, será una Gloria eterna, lo que vendrá a enseñar a los hombres; una doctrina con una Iglesia y unos sacramentos, para que los hombres puedan salvarse. ¡Ay, ciegos!”.

         Todos decían... ¡Ay, mirad cómo dicen como decían antes!: “¿Quién es este Niño, esta sabiduría a esta edad?”.
     
     

         JESÚS:

         No sabréis quién soy hasta que llegue el tiempo; pero pensad que el Mesías vendrá primero a redimir el mundo con la Gloria eterna, y después vendrá a juzgar y vendrá a prender fuego a la Tierra contra sus enemigos. Ésta será la segunda venida; pero la primera os habéis olvidado de ella.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, cómo llegan ahora! Se sientan san José y la Virgen. La Virgen se coge el corazón de alegría. Está escuchando a su Hijo...

         “Sí —dice a todos esos hombres—, formaré una Iglesia, y en mi Iglesia habrá un solo rebaño”. Pero los hombres no lo oyen.

         Oye una voz: “No ha llegado el tiempo de explicar tan claramente esta doctrina”.

         Pero la Virgen entiende todo, estas palabras, y ve la Iglesia, ve la Eucaristía —¡huy!—. Ve los sacerdotes, míralo. ¡Cómo va a existir la Comunión! ¡Ay, ay, ay..., todo lo siente! ¡Ay, cómo se llena de gozo la Virgen! Ve todo, todo: cómo la Iglesia está ahí; cómo el sacerdote da la Comunión; el Sagrario... Levanta los ojos al cielo y dice: “Dios, mi Creador, Divina Majestad, gracias por haberme llenado de todos estos misterios. No soy digna de todas estas gracias”.

         Jesús mira a su Madre muy serio; y la Virgen, que siente dentro una sabiduría. ¡Ay, ay! ¡Huy, qué grandeza! ¡Ay, lo que...! ¡Ay! ¡Huy, huy, huy, qué grandeza, ay!
     
     

         JESÚS:

         Ya hemos acabado, doctores. Cumplid con las Leyes, pero no las leyes que vosotros queráis poner a vuestro antojo.
     
     

         LUZ AMPARO:

         Todos se miran y todos se van cuchicheando: “¡Nos ha dado una sabiduría este muchacho! No podemos alcanzar a ver quién es, pero, ¡tiene una sabiduría!...”.

         Se acercan José y María.
     
     

         LA VIRGEN:

         ¡¡Hijo mío!!
     
     

         LUZ AMPARO:

         Se acerca, le besa los pies. ¡Ay, qué grande eres! Le besan los pies a Jesús y le dice la Virgen: “Hijo mío, ¿por qué nos has hecho esto, Hijo mío? Tu padre y yo te estamos buscando por todas partes”.

         Jesús se pone muy serio. ¡Huy, pobrecita!
     
     

         JESÚS:

         ¿Por qué me buscáis? ¿No sabéis que tengo que ocuparme de las cosas de mi Padre Celestial? ¿No sabéis que tengo que enseñar las doctrinas, para que los hombres reparen el pecado de Eva?
     
     

         LA VIRGEN:

         Sí, Hijo, perdonadme.
     
     

         LUZ AMPARO:

         Dice la Virgen...
     
     

         LA VIRGEN:

         Me creí no ser digna de ser vuestra Madre. Creí haber faltado a mis cuidados de Madre, y por eso había desaparecido la luz de mis ojos. ¡Perdonadme, Hijo mío!
     
     

         SAN JOSÉ:

         Y a mí también perdonadme. Yo también estaba preocupado por vuestra ausencia.
     
     

         LUZ AMPARO:

         Jesús bendice a José y María. Los coge del brazo, los levanta y los tres salen del Templo. ¡Ay, qué alegría! ¡Ay, Dios mío!...
     
     

         LA VIRGEN:

         Así, hija mía, seguiré haciéndote ver otros misterios.

         Sed firmes, hijos míos, con fortaleza; pensad que la fortaleza no daña a la caridad y ¡ay de los hombres que por causa de ellos no llegue a realizarse mi Obra!...

         Trabajad, hijos míos. Haced apostolado. Sed humildes. Y ¡fuera el ocio y la pereza! Anteponéis las cosas del mundo a vuestro Dios, hijos míos. ¡Qué pena me dan vuestras almas! Humildad os pido y diligencia, hijos míos, para obrar. No pongáis tasa a Dios para vuestras obras. Rezad todos los días el santo Rosario, que muchos de vosotros no lo rezáis, hijos míos. Sabéis que me agrada esa plegaria, y ¡qué poco correspondéis a mi amor!

         Levantad todos los objetos, hijos míos; todos serán bendecidos...

         Amad a la Iglesia, hijos míos. Si amáis a Cristo, tenéis que amar a la Iglesia.

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

         Frecuentad este lugar, que es poco frecuentado por vosotros, hijos míos.

         Humildad te pido, hija mía.

         ¡Adiós!

    5 mars 1988

    Au Prado Nuevo, El Escorial (Madrid). Au petit matin de ce jour, Luz Amparo et ceux qui
    l’accompagnent prient les quinze mystères du saint Rosaire. A la fin des mystères joyeux, Amparo
    entre en extase et transmet le message suivant :
     
     

    - La Sainte Vierge :

    Le message d’aujourd’hui est très court. Rien que quelques paroles : Dieu pleure pour l’humanité.
    Les hommes font la sourde oreille et n’écoutent pas les messages célestes. Ni les larmes de Marie, ni
    la Croix de Jésus ne convertissent l’humanité. Si les hommes ne changent pas et ne deviennent pas
    meilleurs, le globe terrestre tremblera dans peu de temps.

    Mes enfants, prière et sacrifice, seulement cela peut sauver l’humanité.

    Baise le sol, ma fille, en réparation de tous ces péchés qui se commettent dans le monde.

    Priez, mes enfants, pour que les bons soient vraiment bons, et pour que les mauvais se convertissent
    et s’éloignent de leurs péchés.

    Vois, ma fille, dans quel état sera la terre.

    (La Vierge exprime une grande tristesse et Amparo sanglote lorsqu’elle voit le monde désert et
    comme inondé d’une lave incandescente.)

    Mes enfants, seuls vos sacrifices, vos pénitences, pourront sauver les plus mauvais. (Amparo pleure)
    Même vous, les bons n’aimez pas Dieu, votre Créateur, comme vous devriez L’aimer. Vous mourrez
    tous ensemble.

    Baise à nouveau le sol, ma fille, en réparation de toutes les offenses commises. Je demande aussi à ce
    petit nombre d’âmes consacrées, - si petit -, d’être fort et de continuer à aimer nos Cœurs. Ils sont le
    baume que mon Fils présente à mon Cœur pour soulager ces plaies. (Elle parle des plaies de Son
    Cœur Immaculé causées par les épines. Amparo contemple et pleure longuement. )

    Dieu pleure, ma fille. Il pleure à cause de ses consacrés. Il pleure pour son Eglise. Elle est en agonie
    au Jardin de Gethsémani. Il faut que les hommes prient, car Dieu épuise sa justice et sa miséricorde
    est presque épuisée. Les temps sont graves et les hommes ne veulent pas changer. Mon Fils m’a mise
    comme planche de salut pour sauver l’humanité.

    Et vous, âmes consacrées, qui êtes encore capables de suivre l’Evangile tel qu’il est, et de vivre
    cachées du monde, dans le sacrifice et la pénitence, soyez forts. Venez à votre Mère. Je vous
    protégerai avec mon manteau comme la poule protège ses petits sous ses ailes. Je répandrai des
    grâces sur vous. Louez Dieu, votre Créateur, les hommes ont oublié qu’ils ont été créés pour aimer et
    glorifier Dieu.

    Et vous, qui vous appelez bons, sans sacrifice, sans prière, sans une vie austère, pourrez-vous aller au
    Ciel ? Il est nécessaire que vous soyez prêts chaque jour. Il ne manque que quelques secondes pour
    que la terre tremble, et que les bons et les mauvais meurent ensemble. Les bons ne sont pas assez
    bons et les mauvais continuent à être mauvais.

    Ecoutez votre Mère, mes enfants !

    Ma fille, sois humble, très humble, sans humilité nul ne parvient au ciel.

    Levez tous les objets, ils seront bénis avec des bénédictions spéciales pour le salut des âmes. Je vous
    bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit par le Fils et avec le Saint-Esprit. Au revoir, mes
    enfants !

    table des matières

    MENSAJE DEL DÍA 5 DE MARZO DE 1988, PRIMER SÁBADO DE MES,
    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hija mía, hoy el mensaje va a ser muy corto; sólo voy a decir unas palabras: Dios llora por la Humanidad. La Humanidad se hace la sorda; no hace caso a los mensajes celestiales. Ni las lágrimas de María, ni la Cruz de Jesús convierten a los hombres. Si los hombres no son mejores, dentro de breves momentos el globo terrestre temblará.

         ¡Oración, hijos míos, y sacrificio! Sólo esto puede salvar a la Humanidad.

         Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantos pecados como se cometen en el mundo... Rezad, hijos míos, para que los buenos seáis verdaderamente buenos y para que los malos se conviertan de sus pecados.

         Así quedará la Tierra... (Luz Amparo llora desconsoladamente viendo la Tierra desierta y como anegada en lava candente).

         Sólo vuestro sacrificio, hijos míos, y vuestra penitencia podrán salvar a los más malos. Ni los buenos amáis a Dios, vuestro Creador, tal y como tenéis que amarle. Y moriréis todos juntos.

         Vuelve a besar el suelo, hija mía, en reparación de tantas y tantas ofensas como se cometen en la Humanidad...

         También pido a ese pequeño número de almas consagradas, tan reducido, que sean fuertes y sigan amando nuestros Corazones. Son el bálsamo que mi Hijo presenta a mi Corazón para suavizar estas heridas. (Se refiere a las heridas de las espinas de su Inmaculado Corazón, que Luz Amparo contempla, y llora en larga pausa).

         Dios llora, hija mía, llora por sus almas consagradas; llora por su Iglesia. Está agonizando en el huerto de Getsemaní, hijos míos.

         Es necesario que los hombres oren, porque Dios está agotando su justicia; y su misericordia ya está casi agotada[1].

         Son tiempos graves, hija mía, y los hombres no quieren enmendarse. Mi Hijo me ha puesto como tabla de salvación para salvar a la Humanidad.

         Y vosotros, almas consagradas, aquéllos que todavía sois capaces de seguir el Evangelio, tal como es, y vivís escondidos del mundo en sacrificio y penitencia: ¡sed fuertes, hijos míos! Venid a vuestra Madre, que yo os protegeré con mi manto como la gallina protege a sus polluelos bajo sus alas, y derramaré gracias sobre vosotros.

         Alabad a Dios, vuestro Creador. Los hombres han olvidado que han sido creados sólo para amar y glorificar a Dios. Y vosotros, que os llamáis buenos: sin sacrificio, ni penitencia, ni oración, ni una vida austera, podréis conseguir el Cielo. Es necesario que estéis preparados día a día. Faltan segundos para que la Tierra tiemble y buenos y malos mueran juntos. Porque los buenos no son tan buenos y los malos siguen siendo malos.

         ¡Haced caso, hijos míos, a vuestra Madre!

         Tú, hija mía, sé humilde, muy humilde. Sin humildad no se consigue el Cielo.

         Levantad los objetos, que serán bendecidos con bendiciones especiales para la salvación de las almas...

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

         Adiós, hijos míos.

    [1] O lo que es lo mismo: Dios va a aplicar su justicia, pues la misericordia que la sostiene no puede dilatarse más, porque los tiempos son “graves (...) y los hombres no quieren enmendarse”, según las palabras siguientes del mensaje.

    2 avril 1988

    Ayant prié au Prado Nuevo de l’Escorial les quinze mystères du saint Rosaire, Luz Amparo, à la fin
    du cinquième mystère douloureux, contemple la Vierge des Douleurs et transmet le message suivant.
     
     

    - La Sainte Vierge :

    Ma fille, la situation du monde est grave. Les autorités de l’Eglise tardent beaucoup à dire aux âmes
    le grand danger qui menace le monde. Il est nécessaire, ma fille, qu’un appel urgent à la pénitence et
    à la prière soit fait à toute l’humanité. Le monde deviendra comme cela, ma fille. (Pause pendant
    laquelle elle voit le monde recouvert d’eau et d’une lave incandescente.)

    Commence par embrasser le sol, ma fille, en réparation de tant de péchés commis dans l’humanité.
    Les hommes ne se rendent pas compte du danger qui guette cette humanité sans Dieu. Il y a de
    mauvaises impulsions dans les âmes, ma fille. On va à l’Eglise pour occuper les premières places et
    pour se faire admirer par les hommes, mais ils n'accomplissent pas les lois de l'Eglise telles que le
    Christ les a instituées. Regarde, ma fille, comment mon Fils prend les péchés des hommes.

    (Pause et pleurs d’Amparo qui voit Jésus blessé et défiguré par le péché)

    Embrasse encore le sol en réparation des offenses qu’on fait au Cœur Immaculé de Marie.

    Et vous, les âmes consacrées, consacrez-vous à votre ministère et oubliez les concupiscences de la
    chair. Vous êtes choisies par Dieu ; soyez des pierres vivantes et expliquez l’Evangile dans sa nature
    profonde, tel qu’il est.

    Et vous, les laïcs, aidez les pasteurs et soyez tous unis pour enseigner la richesse qu’il y a dans
    l’Eglise. Expliquez qu’il y a des sources divines pour nourrir les hommes. Que tous viennent à ces
    sources intarissables. Et tous ensemble, mes enfants, venez à la pierre angulaire, à cette pierre
    précieuse que le Christ a mis en terre pour sauver l’humanité. Et tous unis, mes enfants, formez un
    seul troupeau avec un seul pasteur. On ne peut diviser le troupeau du Christ, mes enfants. Aimez
    beaucoup l’Eglise. Et vous tous qui êtes assoiffés, venez à cette source intarissable. Personne
    n’épuisera cette source, qui est alimentée par le Père, le fils et l’Esprit-Saint. Venez tous, mes enfants,
    et apprenez de Jésus. Accomplissez les lois qu’Il a instituées pour le salut des hommes. Tous ceux qui
    viendront et mangeront le Pain céleste et boiront à cette source auront la vie éternelle, mes enfants, et
    participeront un jour au banquet du ciel avec les bienheureux, les anges, les archanges, les chérubins
    et les séraphins.

    Mais, malheur aux pharisiens hypocrites qui occupent les premières places pour qu’on les voie ! Il
    aurait mieux fallu qu’ils ne soient pas nés, mes enfants, car regarde ce que Dieu leur a réservé. (Elle
    gémit de peur en voyant un nuage très dense et obscur dans la profondeur d’un tunnel sans fin.)

    Veillez et priez, mes enfants, pour ne pas tomber en tentation. Au jour du Jugement mes enfants,
    beaucoup viendront mais ils ne seront pas élus.

    Ma fille, l’Ange de la Justice divine marque les fronts des élus. Et l’ange de la méchanceté et du
    mensonge lui aussi marque les fronts et les mains.

    Prenez garde, mes enfants ! Ceux qui n’ont pas reçu le sceau vont le recevoir. (Pause) Faites honneur
    à ce sceau, mes enfants ! Ce sceau sur vos fronts est très important ; répondez-y par la prière et le
    sacrifice. Aimez nos Cœurs.

    Les temps sont graves, ma fille. L’apostasie est très grande dans le monde. Les chrétiens sont
    chrétiens en apparence, mais ne pratiquent pas les lois de Dieu.

    Aimez-vous les uns les autres, mes enfants, et apportez l’Evangile à toute la terre.

    Et toi, ma fille, sois humble, très humble. C’est avec l’humilité qu’on obtient le ciel.

    Priez tous les jours le saint Rosaire avec dévotion, mes enfants. L’heure de Marie est venue. Marie
    régnera sur toute l’humanité, mes enfants. Telle est la volonté de Dieu : que règne mon Cœur
    Immaculé. Mais faites attention, mes enfants, au prince du mensonge. Il veut gagner la bataille et
    croit qu’il est sur le point de la gagner. Ne vous laissez pas tromper par le prince de méchanceté et de
    perversité.

    Venez en ce lieu, mes enfants. Tous ceux qui viendront en ce lieu recevront des grâces spéciales et
    beaucoup seront marqués d’un sceau spécial, le sceau des élus. (Pendant une longue pause, Amparo
    contemple tristement s’écrouler une grande partie de la ville de Rome)

    Regarde, ma fille, comme c’est proche. (Elle voit disparaître de diverses manières des personnages de
    notre temps.) C’est pourquoi je te répète : sois une victime de réparation pour tous les pécheurs du
    monde.

    Et vous, qui êtes appelés par Dieu, laissez le monde et consacrez-vous aux âmes. Mes enfants
    bien-aimés, que vous aimez peu nos Cœurs ! Oubliez le monde, mes enfants, et occupez-vous de vos
    ministères. Il y a si peu de foi dans les âmes, mes enfants. Travaillez, priez, faites pénitence ; vous
    verrez comme vous serez solides sur le chemin de l’Evangile.

    Baise à nouveau le sol ma fille, en réparation des offenses qui sont faites à nos Cœurs. Il faut souffrir,
    ma fille, pour conquérir des âmes pour le troupeau du Christ.

    Levez tous les objets, tous seront bénis. (pause)

    Tous ont été bénits avec des bénédictions spéciales pour le salut de vos âmes. Je vous bénis, mes
    enfants. Je vous laisse la paix. Au revoir.

    table des matières

    MENSAJE DEL DÍA 2 DE ABRIL DE 1988, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hija mía... La situación del mundo es grave, hija mía. Los altos puestos de la Iglesia están demorando mucho decir a las almas el gran peligro que encierra el mundo. Es necesario, hija mía, que se haga una llamada urgente a toda la Humanidad a penitencia y oración. Así quedará el mundo, hija mía... (Pausa durante la cual ve al mundo anegado en lava incandescente y agua).

         Vas a empezar besando el suelo, hija mía, en reparación de tantos pecados como hay en la Humanidad. No avisan a los hombres el peligro que acecha a esta Humanidad sin Dios. Hay un falso movimiento en las almas, hija mía. Van a la iglesia para ocupar los primeros puestos y para que sean admiradas por los hombres, pero no cumplen con la Iglesia como Cristo instituyó sus leyes. Mira, hija mía, cómo ponen a mi Hijo los pecados de los hombres... (Pausa y llanto de Luz Amparo al ver a Jesús llagado y desfigurado por el pecado).

         Vuelve a besar el suelo en reparación de las ofensas que se hacen al Inmaculado Corazón de María...

         Y vosotros, almas consagradas, dedicaos a vuestro ministerio y olvidaos de las concupiscencias de la carne. Sois escogidos por Dios; sed piedras vivas y explicad el Evangelio en su esencia, tal como es.

         Y vosotros, laicos, ayudad a los pastores y enseñad todos unidos la riqueza que hay en la Iglesia. Explicad que hay manantiales divinos para alimentar a los hombres. Que todos vengan a estas fuentes inagotables. Y uníos todos, hijos míos, a la piedra angular; a esa piedra preciosa que Cristo puso en la Tierra para salvar a la Humanidad; y todos unidos, hijos míos, formad un solo rebaño con un solo pastor. El rebaño de Cristo no puede estar dividido, hijos míos. Amad mucho a la Iglesia y todos aquéllos que estéis sedientos acudid a este manantial inagotable. Nunca se agotará este manantial; son tres bocas las que sustentan a este manantial: el Padre, el Hijo y el Espíritu Santo. Acudid todos, hijos míos, y aprended de Jesús. Cumplid con las leyes que Él ha instituido para la salvación de los hombres. Todo el que venga y coma el Pan Celestial y beba de este manantial tendrá vida eterna, hijos míos, y participará un día en este banquete celestial con los bienaventurados, ángeles y arcángeles, querubines y serafines.

         Pero ¡ay de aquellos hipócritas fariseos que ocupan los primeros puestos para que los vean!; más les valiera no haber nacido, hija mía, porque mira lo que tiene reservado Dios para ellos... (Gime asustada viendo una niebla muy densa y oscura en la profundidad de un túnel sin salida).

         Velad y orad, hijos míos, para no caer en tentación. Muchos, el Día del Juicio, hijos míos, muchos vendrán, pero no serán escogidos.

         El Ángel, hija mía, de la justicia divina está sellando las frentes de los escogidos. Y el Ángel de la maldad, de la mentira, también sella las frentes y las manos. ¡Cuidado, hijos míos!, vais a ser sellados aquéllos que no habéis sido...

         ¡Haced honor a este sello, hijos míos! Es muy importante este sello en vuestras frentes; corresponded a él con oración y sacrificio. Amad nuestros Corazones.

         Los tiempos son graves, hija mía, la apostasía es muy grande en el mundo. Los cristianos son cristianos de apariencia, pero no son practicantes a las leyes de Dios.

         Amaos unos a otros, hijos míos, y llevad el Evangelio por todos los rincones de la Tierra.

         Y tú, hija mía, sé humilde, muy humilde; con humildad se conseguirá el Cielo.

         Rezad todos los días el santo Rosario con devoción, hijos míos. Es la hora de María. María reinará sobre toda la Humanidad, hijos míos. Así lo quiere Dios, que mi Inmaculado Corazón reine. Pero cuidado, hijos míos, el Rey de la mentira quiere ganar la batalla y cree que está a punto de ganarla. No os dejéis engañar, hijos míos, por ese rey de maldad y de perversidad.

         Acudid a este lugar, hijos míos. Todos los que acudáis a este lugar recibiréis gracias especiales y muchos seréis sellados con este sello especial, el sello de los escogidos...

         Mira, hija mía, si está próximo... Por eso te pido: sé víctima de reparación por todos los pecadores del mundo.

         Y vosotros, aquéllos que os llamáis de Dios, dejad el mundo y dedicaos a las almas. Mis hijos queridos: ¡qué poco amáis nuestros Corazones! Olvidaos del mundo, hijos míos, y ocupaos de vuestros ministerios. En las almas hay mucha falta de fe, hijos míos. Trabajad, orad, haced penitencia; veréis cómo estaréis firmes en el camino del Evangelio.

         Vuelve a besar el suelo, hija mía, en reparación de las ofensas que se hacen a nuestros Corazones.

         Es preciso sufrir, hija mía, para conquistar almas para el rebaño de Cristo.

         Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos... Todos han sido bendecidos con bendiciones especiales para la salvación de sus almas.

         Os bendigo, hijos míos.

         La paz os dejo, hijos míos.

         Adiós.

    7 mai 1988

    - La Sainte Vierge :

    Je vais commencer par le Calice des Douleurs. Bois quelques gouttes, ma fille. Il se finit.

    (Pause, angoisse, toux d’Amparo. On l’entend boire.)

    Il faut finir le Calice des Douleurs pour la purification des âmes. Les temps sont graves.
    L’Esprit-Saint doit être invoqué non seulement avec des fêtes, mais avec amour, sacrifice, respect et
    pénitence. Regarde comment l’Esprit-Saint, quand Il vint sur les apôtres, donna des grâces spéciales à
    chacun pour qu’ils puissent porter l’Evangile par toute la terre. Regarde les grâces qu’Il accorda à
    Pierre pour gouverner l’Eglise, à Jean pour être mon fils et mon protecteur, et à moi-même pour être
    Mère de l’Eglise. Il me donna l’entendement sur tout ce qui allait se passer dans le monde. Le
    moment est grave, très grave pour mon Eglise. Baise le sol en réparation de tant de péchés qui se
    commettent contre Elle. Les âmes ont oublié Dieu.

    Agenouillez-vous et récitez cette prière :

    O Père Céleste, à genoux, nous implorons l’Esprit-Saint pour qu’Il vienne sur nous et nous accorde
    les dons dont nous avons besoin pour survivre sur terre : le don de la Sagesse, le don de
    l’Entendement, le don de la Force, le don de la Prudence, le don du Conseil, le don de la Pitié, le
    don…, mes enfants, ce don est très important : le don de l’Humilité. Le don de la Crainte est aussi
    très important, celui qui ne craint pas Dieu n’entrera pas dans le Royaume des cieux.

    Mes enfants, demandez à votre Père éternel que le Saint-Esprit vienne sur vous, dirige votre vie,
    guide vos pas. Qu’Il soit votre Consolateur dans vos peines et afflictions. Vous serez persécutés. Dans
    le monde, l’Antéchrist, accompagné de ses partisans, est en train de séparer ceux du Christ, les
    chrétiens, des siens pour les persécuter et les châtier. Il agit avec beaucoup d’astuce. Les hommes se
    laissent prendre par les paroles. Leurs yeux sont éblouis par tant et tant de promesses qui leur sont
    faites. Ils tombent comme le lapereau dans le piège.

    Mes enfants, ne vous laissez pas entraîner. Vous serez marqués par l’Esprit-Saint. Les ténèbres ne
    pourront jamais donner lumière à la lumière, c’est la lumière qui éclairera les ténèbres. La terre vit
    dans le désordre, dans le crime, dans la haine. N’oubliez pas de prier. Aimez-vous les uns les autres,
    et qu’on vous reconnaisse à la croix, à l’amour, à l’humilité, à l’unité, comme les premiers chrétiens
    qui furent persécutés. Que paroles et promesses ne vous éblouissent pas. Je serai avec vous dans tous
    les moments de votre vie. Lorsque l’ennemi, pendant les derniers temps, voudra s’approprier vos
    âmes, cette marque reluira sur vos fronts, et rien ni personne ne pourra vous l’enlever. Soyez
    humbles, très humbles.

    Ma fille, regarde comme l’Esprit-Saint vint sur les Apôtres réunis au Cénacle. (Pause pendant laquelle
    Amparo se plie en arrière jusqu’à ce que sa tête touche presque le sol par la force d’une clarté
    éblouissante.)

    - Notre-Seigneur :

    Regarde tous ceux qui ont participé à la mort du Christ, regarde comme ils furent gravement châtiés,
    les bourreaux qui meurent foudroyés et ceux qui me giflaient ! Regarde les pauvres femmes qui ont
    pleuré amèrement ma Passion, comme elles sont remplies et revêtues de grâce ! Vois comme les
    démons tremblent dans les profondeurs de l’enfer, aboyant et criant leur perversité. Vois tous ceux
    qui criaient : " Crucifiez-le ! Crucifiez-le ! " Leurs maux et perversités se sont répandus sur toute la
    terre où leurs maux atroces continuent d’augmenter. Le monde en est envahi, c’est son châtiment et
    son tourment. Des millions et des millions d’âmes ont été entraînées en enfer par leurs péchés.

    - La Sainte Vierge :

    Ma fille, regarde aussi comme se réjouissent les bienheureux, tous ceux qui ont médité la Passion du
    Christ, qui l’ont vécue dans leur chair, vois leur gloire et celle de tous ceux qui ont aimé l’Eglise telle
    qu’elle doit être aimée. Les hommes doivent aujourd’hui enseigner l’Evangile tel qu’il est écrit, pour
    se retrouver avec les bienheureux. Ils défigurent l’Evangile, mes Lois, celles que mon Fils me laissa
    cachées dans mon Cœur, les Tables de la Loi sont si mal observées ! " Tu aimeras le Seigneur ton
    Dieu de toutes tes forces, de toute ton intelligence et toute ta volonté. Tu ne jureras en vain sur le
    Nom de Dieu, mais sanctifiera Son Nom. Tu honoreras ton père et ta mère. Tu ne tueras pas. Tu ne
    commettras pas d’impuretés. Tu ne proféreras pas de faux témoignages, ni de mensonges. Tu
    honoreras la femme de ton frère et tu n’envieras pas les biens de ton frère. Ce sont ces Tables de la
    Loi que les hommes ont oubliées.

    C’est pourquoi je vous dis de prier le Dieu Eternel pour que vienne Son Divin Esprit sur vous, et que
    vous puissiez subsister parmi le grand mal qui existe dans l’humanité. Je continuerai à répandre des
    grâces sur toutes les âmes qui viendront en ce lieu. Les hommes ont oublié mes paroles : J’ai demandé
    une chapelle en ce lieu, en l’honneur de mon Nom, et que l’on y vienne prier du monde entier. Tous
    ceux qui viendront ici seront bénis et marqués d’une croix sur le front. Je promets maintenant que
    tous ceux qui viendront ici seront marqués pour que l’ennemi ne puisse emporter leur âme.

    Mes enfants, attention ! Les lois des hommes sont contraires aux lois de Dieu. C’est pourquoi ils font
    disparaître tout principe religieux sur terre. Par leurs lois, vous serez montrés du doigt pour être
    persécutés. Courage et force ! En ces temps, la force est très importante ! Aimez-vous les uns les
    autres ! Unissez-vous comme les premiers chrétiens. Restez unis, ne vous séparez pas et
    protégez-vous par la prière, le jeûne et le sacrifice. Que les lois destructives ne vous entraînent pas,
    elles peuvent contaminer votre âme. Les hommes font la sourde oreille, malheur à ceux qui ne
    tiennent pas compte de mes paroles. Des maux, de grands maux tomberont sur eux, tomberont sur le
    corps de beaucoup d’entre eux, car ils n’écoutent pas l’appel de Dieu.

    Ames consacrées, dites aux hommes le grand danger qui guette l’humanité. Ne restez ni sourds, ni
    muets, ne vous lavez pas les mains comme le fit Pilate.

    Ma fille, sois humble, très humble. Aime l’Eglise de tout ton cœur et observe les lois que Dieu
    institua.

    Et vous, mes enfants, partagez-vous par dix, allez dans les villages parler de l’Evangile. Que rien ni
    personne ne vous effraie. Le monde a grand besoin d’âmes qui parlent de l’Evangile tel qu’il est.
    Criez aux hommes que les temps sont graves, dispersez-vous dans le monde, sans vous inquiéter des
    difficultés, ni des persécutions, ni des calomnies.

    Beaucoup disent qu’ils sont avec Moi, mais ils sont contre Moi.

    Mes enfants, allez et proclamez l’Esprit qui vit dans l’Eglise. Que tous viennent à Ses sources pour
    que l’ennemi n’entraîne pas tant d’âmes.

    Levez tous les objets, ils seront bénis avec des bénédictions spéciales. Je vous bénis, mes enfants, et
    vous laisse la Paix.

    MENSAJE DEL DÍA 7 DE MAYO DE 1988, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Voy a empezar, hija mía, por el cáliz de la amargura. Bebe unas gotas, hija mía. Se está apurando...

         Es necesario, hija mía, apurar el cáliz del dolor para purificar a las almas. En estos tiempos, hija mía, graves hay que invocar al Espíritu Santo, no con fiestas, hija mía, sino con amor, con sacrificio y respeto y penitencia.

         Mira, hija mía, cuando el Espíritu Santo viene sobre los Apóstoles, a cada uno le otorga gracias especiales para poder llevar el Evangelio por todas las partes del mundo. Mira a Pedro, las gracias que le otorga para poder regir su Iglesia. A Juan, como hijo y protector mío; y a María, hija mía (se dirige a Luz Amparo), como Madre de la Iglesia, le da todo el entendimiento de lo que iba a suceder en la Tierra.

         Este momento es grave, hija mía, grave, muy grave para mi Iglesia. Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantos pecados como se cometen a mi Iglesia...

         Dios sigue olvidado en las almas, hija mía. Arrodillaos y rezad esta oración, hijos míos:

         Oh Padre Celestial, arrodillados delante de vuestras divinas plantas, imploro que venga el Espíritu Santo sobre nosotros y nos otorgue los dones que necesitamos para poder sobrevivir en la Tierra: el don de la sabiduría, el don del entendimiento, el don de la fortaleza, el don de la prudencia, el don del consejo, el don de la piedad, el don, hijos míos..., ese don es muy importante, hijos míos, el don de la humildad. También es importante, hijos míos, el don del temor. El que no teme a Dios no entrará en el Reino del Cielo.

         Decidle, hijos míos, a vuestro Padre Eterno que venga el Espíritu Santo sobre vosotros y rija vuestras vidas y guíe vuestros pasos y sea vuestro Consolador en vuestras penas y aflicciones. Seréis perseguidos, hijos míos. El Anticristo con sus secuaces en la Tierra está apartando a los de Cristo, que son los cristianos, de los suyos, para perseguirlos y castigarlos. Lo hace muy astutamente, hijos míos. Los hombres se dejan llevar por las palabras y las promesas, y sus ojos se vislumbran, hijos míos, ante tantas y tantas promesas como hacen, y caen como el gazapo en la trampa.

         No os dejéis arrastrar, hijos míos. Seréis sellados por el Espíritu Santo. La tiniebla no puede dar nunca luz a la luz. La luz a la tiniebla es la que alumbrará, hijos míos. La Tierra se ha convertido en desorden, en crimen, en odio... No olvidéis de orar, hijos míos. Amaos unos a otros, y que se os conozca por la cruz, por el amor, por la humildad, por la unidad, como aquellos primeros cristianos que fueron perseguidos. Que no os vislumbren las palabras ni las promesas, hijos míos. Yo estaré con vosotros en todos los momentos de vuestra vida, hijos míos. Cuando en los últimos tiempos el enemigo quiera apoderarse de vuestras almas, este sello relucirá sobre vuestra frente y nada ni nadie podrá quitaros este sello, hijos míos. Sed humildes, muy humildes.

         Mira, hija mía, cómo vino el Espíritu Santo sobre los Apóstoles en el Cenáculo... (Pausa larga en la que Luz Amparo, arrodillada, se echa hacia atrás hasta casi tocar con la cabeza en el suelo, a impulso, según ella, de vivísima luz).
     
     

         EL SEÑOR:

         Mira a todos aquéllos que participaron en la muerte de Cristo, hijos míos. Mira cómo fueron gravemente castigados. Éstos son los sayones; mueren fulminantemente. Mira aquéllos que me dieron las bofetadas; también son castigados gravemente. Mira, hija mía, aquellas pobres mujeres que lloraron amargamente mi Pasión, cómo son llenas y revestidas de gracias. Mira los demonios, cómo se estremecen en lo más profundo de los Infiernos aullando, hija mía, y gritando su perversidad. Y mira todos aquéllos que gritaban: “¡Crucifícale, crucifícale!”. Sus males y sus perversidades se han extendido en la Tierra y siguen, siguen aumentando los males atroces. El mundo está invadido, hija mía, de todos esos males. Ése es su castigo, ése es su tormento, hija mía. Ahí siguen multiplicándose en la Tierra. Millones y millones de almas han sido arrastradas por sus pecados al Infierno.
     
     

         LA VIRGEN:

         Pero mira, hija mía, cómo gozan todos los bienaventurados; todos aquéllos que han meditado la Pasión de Cristo, la han vivido en sus propias carnes, hija mía; mira su gloria. Todos aquéllos que han amado a la Iglesia tal como la tienen que amar. Tienen que enseñar el Evangelio los hombres de hoy, tal como está escrito, hija mía, para encontrarse con los bienaventurados.

         Están desfigurando el Evangelio, mis Leyes, que me las dejó mi Hijo; dentro del pecho están escondidas, hija mía, las Tablas de la Ley, y ¡qué mal aprovechadas han sido!: amarás al Señor, tu Dios, con todas tus fuerzas, con todo tu entendimiento y con toda tu voluntad; no jurarás el Nombre de Dios en vano; santificarás el Nombre de Dios; honrarás a tu padre y a tu madre; no matarás; no cometerás actos impuros; no levantarás falsos testimonios ni mentirás; honrarás a la mujer de tu hermano; no codiciarás los bienes de tu hermano. Ésas son las Tablas de la Ley que los hombres han olvidado, hija mía.

         Por eso os digo que pidáis a Dios eterno que venga su Divino Espíritu sobre vosotros, para poder subsistir entre tanto mal como hay en la Humanidad, hijos míos.

         Yo seguiré derramando gracias sobre todas las almas que acudan a este lugar.

         Los hombres han olvidado mis palabras, hijos míos; pedí que en este lugar se hiciese una capilla en honor a mi nombre y que viniesen a rezar de todas las partes del mundo, que todo el que acuda a este lugar será bendecido y marcado con una cruz en la frente. Y ahora prometo que todo el que acuda a este lugar será sellado para que el enemigo no pueda arrebatar su alma.

         ¡Cuidado con los hombres, hijos míos! Que las leyes de los hombres son contrarias a las leyes de Dios. Por eso hacen desaparecer todo principio religioso en la Tierra y os señalarán con sus leyes para ser perseguidos, hijos míos. ¡Ánimo y fortaleza! La fortaleza es muy importante en estos tiempos, hijos míos. Amaos unos a otros. Uníos, hijos míos, como los primeros cristianos; no os separéis y protegeos con la oración, con el ayuno y con el sacrificio. ¡Que no os arrastren a esas leyes destructoras, hijos míos, que puedan mancillar vuestra alma! Los hombres se hacen los sordos y ¡ay aquéllos que no hacen caso a mis palabras! Males, grandes males caerán sobre ellos. A muchos de ellos caerán males sobre su cuerpo porque se hacen sordos a la llamada de Dios.

         Vosotros, almas consagradas, avisad a los hombres el gran peligro que acecha a la Humanidad; no os quedéis mudos ni sordos. No os lavéis las manos como Pilatos.

         Tú, hija mía, sé humilde, muy humilde. Ama a la Iglesia con todo tu corazón y cumple las Leyes que Dios instituyó.

         Y vosotros, hijos míos, repartíos de diez en diez; id por los pueblos y que nada os acobarde ni nadie; hablad del Evangelio. El mundo está necesitado de almas que hablen del Evangelio tal como es, hijos míos. Gritad a los hombres que los tiempos son graves y repartíos por el mundo sin importaros las penalidades del mundo, ni las persecuciones, ni las calumnias. Hay muchos que dicen que están conmigo y están contra mí. Vosotros, hijos míos, id gritando la esencia que hay en la Iglesia. Y que todos vengan a esas fuentes para que los enemigos no arrastren a tantas almas.

         Levantad todos los objetos, hijos míos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales...

         Os bendigo a todos, hijos míos, y la paz os dejo.

    4 juin 1988

    Comme tous les premiers samedis du mois, Luz Amparo, appelée par la Très Sainte Vierge, vient au
    Prado Nuevo de très bonne heure accompagnée de ses enfants et de quelques autres personnes de
    confiance. Ils récitent le chapelet et au quatorzième mystère (quatrième mystère glorieux), Luz
    Amparo, à genoux, regarde le ciel avec une expression de joie, et reste en extase durant la présence
    de la Sainte Vierge, qui par son intermédiaire transmet le message suivant.
     
     

    Ma fille, Marie est là, pleine de grâces et bénie entre toutes les femmes.

    Je vais expliquer aux hommes pourquoi Marie est pleine de grâces et bénie entre toutes les femmes :
    la Divine Majesté de Dieu veut que cela soit expliqué.

    Avant que naisse Mon Fils, la Divine Majesté de Dieu m’éleva au Ciel et me fit voir la gloire préparée
    pour tous les hommes et la descendance de mon lignage depuis Adam et Eve. Je pus connaître
    comment j’étais conçue sans tache. Je vis aussi les péchés de l’humanité et comment l’homme avait
    perdu le paradis et comment il était nécessaire qu’une autre Femme et un autre Homme réparent les
    péchés de l’humanité.

    Baise le sol, ma fille, en réparation de tant de péchés commis dans le monde. (Amparo baise le sol.)

    Vois comment Dieu m’éleva au Ciel devant sa Divinité, comment Il me partagea sa Grâce et sa
    Sagesse. Il m’accorda de grands dons, m’attribua aussi de Ses grands attributs pour régner sur
    l’humanité. Il me fit Mère de l’Amour et de la Miséricorde, et m’accorda des grâces comme Il n’en
    avait jamais accordées à aucun être humain pour que Je les distribue sur les mortels. Il ordonna aux
    étoiles, au soleil, à la lune et à tous de m’obéir. Il appela par leurs noms tous les poissons, oiseaux,
    reptiles, et leur dit de M’obéir. Il me nomma Mère de l’humanité. Il me donna aussi le titre de Reine
    des Etoiles et de Maîtresse de toute la création. C’est pourquoi Marie est tant haïe, c’est pourquoi
    l’ennemi veut faire disparaître le nom de Marie.

    Dieu, mon Créateur, voulut que Marie apportât Jésus au monde pour le salut de l’humanité et que
    tous les hommes Le connaissent. Maintenant, la Divine Majesté de Dieu veut que Marie prépare le
    chemin pour que son Fils règne. C’est pourquoi je suis Reine et Mère de Miséricorde, Consolatrice
    des pécheurs et des affligés.

    Ma fille, aujourd’hui vont apparaître dix chœurs d’Anges chargés de marquer au front tous ceux qui
    viendront ici. Tous ceux qui seront marqués recevront grâces, amour et Ma protection. Tous
    recevront le sceau pendant le quatrième mystère glorieux. Les uns verront la marque sur le front des
    autres. Que tous viennent ici, tous seront bénis et auront le front marqué. L’heure approche de plus
    en plus et les hommes ne cessent d’offenser Dieu. Priez, priez pour que toute l’humanité se sauve.

    Baise le sol, ma fille, en réparation des offenses que les âmes consacrées commettent contre Dieu.
    Ames consacrées, réveillez-vous de l’éclipse dans laquelle vous vous trouvez. Invoquez l’Esprit-Saint
    pour que la Lumière revienne en vos âmes. Ne déviez pas du chemin du salut et de la pénitence. Mes
    enfants, vous êtes froids par le manque de prière. Récitez le Rosaire tous les jours. Avec le Rosaire,
    beaucoup de problèmes se régleront : spirituels, moraux, nationaux, internationaux. Cependant mes
    enfants, la Sainte Messe est la meilleure des prières, allez tous les jours recevoir le Christ. Il institua
    l’Eucharistie et Il a dit que celui qui mangerait Son Corps et boirait Son Sang vivrait éternellement.

    (Amparo pousse une joyeuse exclamation, et son visage reflète une joie indescriptible pendant qu’elle
    dit avec force : " Ah ! Quelle joie ressent l’âme lorsqu’elle reçoit le Christ ! ")

    - La Sainte Vierge :

    Et vous, jeunes, ne rentrez pas tard dans vos foyers. Le châtiment peut venir pendant l’obscurité de la
    nuit. Restez unis dans vos foyers et récitez le Rosaire. Venez à notre Cœur. Notre Cœur vous
    protégera.

    Tu vas boire quelques gouttes du calice des douleurs, ma fille. Il se finit. (Amparo prend quelque
    chose entre ses mains, le porte à sa bouche, et on l’entend boire)

    Lorsque le calice sera fini, ce sera terrible, mes enfants. Priez pour ne pas entrer en tentation. Des
    fronts seront marqués. (Amparo se lève, regarde autour d’elle et s’agenouille.)

    Levez tous les objets. Tous seront bénis avec des grâces spéciales pour le salut des âmes. Je vous
    laisse la paix, mes enfants. Au revoir !

    MENSAJE DEL DÍA 4 DE JUNIO DE 1988, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hija mía, ya está aquí María, la llena de gracia, la bendita entre todas las mujeres, hija mía.

         Voy a explicar a los hombres el porqué María es llena de gracia y bendita entre todas las mujeres, porque así la Divina Majestad de Dios quiere que lo explique.

         Antes de nacer mi Hijo, la Divina Majestad de Dios me elevó al Cielo y me hizo ver toda la gloria que tenía preparada para todos los hombres. Me hizo ver también la descendencia cómo venía del linaje de Adán y Eva; pero también me hizo ver que era concebida sin mancha, me hizo ver los pecados de la Humanidad, cómo el hombre había perdido el Paraíso y cómo era necesario que otra Mujer y otro Hombre reparasen los pecados de la Humanidad.

         Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantos pecados como se cometen en el mundo...

         Mira, hija mía, Dios me elevó al Cielo, ante su divinidad, y me hizo participar de su gracia y de su sabiduría, y me otorgó grandes dones, y me atribuyó también grandes atributos de sus atributos, para que reinara sobre la Humanidad. Me concedió ser Madre de amor y de misericordia y me dio gracias como a ningún ser humano le otorgó, para que yo estas gracias pudiera distribuirlas sobre los mortales. Mandó a las estrellas, al Sol y la Luna, que todos me obedeciesen, a todos los llamó por su nombre: a los peces, a las aves, a los reptiles, a todos les dijo que me obedeciesen y me nombró como Madre de toda la Humanidad. También me dio el título de Reina de las estrellas y Señora de todo lo creado. Por eso María es tan odiada, hijos míos, por eso el enemigo hace que desaparezca el nombre de María.

         Dios mi Creador quiso que María trajese a Jesús al mundo para redimir a la Humanidad, y que todos los hombres le conociesen; y ahora pide la Divina Majestad de Dios que María sea la que prepare el camino para que reine su Hijo. Por eso soy Reina y Madre de misericordia, consuelo de los pecadores y de los afligidos.

         Hoy, hija mía, van a aparecer diez coros de ángeles y sellarán frentes de todos los que acudan a este lugar. Todos aquéllos que estéis sellados recibiréis gracias, amor y protección mía. Todos serán sellados en el cuarto misterio de gloria. Y unos a otros verán sus frentes selladas. Que acudan todos a este lugar, que todos serán bendecidos y sellados en sus frentes. La hora se aproxima más y más y los hombres no dejan de ofender a Dios, hija mía. Orad, orad y haced oración para que toda la Humanidad se salve, hija mía.

         Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantas almas consagradas como ofenden a Dios...

         Vosotros, almas consagradas, despertad de ese eclipse que tenéis, invocad al Espíritu Santo, para que vuestra luz vuelva a vuestra alma y no os desviéis del camino de la salvación y de la penitencia. Estáis fríos por falta de oración, hijos míos.

         Rezad el santo Rosario todos los días. Con el santo Rosario, hijos míos, se arreglarán muchos problemas espirituales y morales; nacionales e internacionales. Pero la mejor oración, hijos míos, es la Santa Misa. Acudid todos los días a recibir a Cristo; Él instituyó la Eucaristía y dijo que el que comiera su Cuerpo y bebiera su Sangre viviría eternamente.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay!... ¡El gozo que siente el alma cuando se recibe a Cristo!...
     
     

         LA VIRGEN:

         Y vosotros, jóvenes, acudid a vuestros hogares a una hora temprana. El Castigo puede suceder en la oscuridad de la noche. Uníos en vuestros hogares y rezad el santo Rosario. Venid a nuestro Corazón, que nuestro Corazón os protegerá, hijos míos.

         Vas a beber unas gotas del cáliz del dolor, hija mía; está casi acabando... Cuando el cáliz se acabe será terrible, hijos míos.

         Orad, hijos míos, para no caer en tentación.

         Frentes serán selladas...

         Levantad todos los objetos, hijos míos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales para la salvación de las almas...

         La paz os dejo, hijos míos.

         Adiós.

    2 juillet 1988

    Mon Cœur est aujourd’hui plein de douleur parce que mon Eglise s’est divisée. Savez-vous pourquoi
    l’ennemi a pu diviser mon Eglise ? Par le manque de prières et de sacrifices. Je veux que vous
    renouveliez et mûrissiez votre esprit dans la prière et le sacrifice. Là où sont prières et sacrifices,
    Satan ne peut régner. Comme Mère de l’Eglise, mon Cœur est si douloureux !

    J’aime une prière bien faite et non routinière. Une prière bien faite, c’est dialoguer avec Dieu,
    converser et apprendre de Dieu comment être heureux. Le bonheur vient de Dieu. Les hommes disent
    que toutes les œuvres sont bonnes, elles ne peuvent l’être si elles ne viennent pas de Dieu. Les
    hommes ont oublié Dieu et ils se font eux-mêmes dieux. Beaucoup se disant conducteurs du peuple
    de Dieu ne le sont qu’en apparence, leur désir n’est pas que le Christ règne dans les cœurs. Soyez
    constants dans la prière et dans la fidélité au Vicaire du Christ. Consolez-le. Tout ce que Je réalise
    dépend de vous, tout ce qui se fait pour la Gloire de Dieu.

    Je te l’ai déjà dit, le manque d’amour envers Dieu démolit l’Eglise, car l’homme a oublié qu’il a été
    créé uniquement pour aimer Dieu et Le glorifier. Baise le sol, ma fille, en réparation pour tant de
    péchés qui se commettent dans le monde.

    Priez beaucoup pour l’Eglise : elle est à Gethsémani. Je vous avais dit que le moment viendrait où des
    évêques seraient contre des évêques, des prêtres contre des prêtres. Ce moment est grave, très grave.

    Accourez en ce lieu et récitez avec dévotion le Rosaire. Priez votre Mère comme Mère de l’Eglise,
    pour qu’elle protège les hommes du mal qui les guette. Les hommes n’attachent pas assez
    d’importance à la prière. Regardez autour de vous et vous verrez la situation du monde : crimes,
    haines, jalousies, rancunes. Et on dit que la prière n’est pas nécessaire ! Mes enfants, aimez l’Eglise et
    toutes ses exigences. Une désobéissance a mis le monde en état de péché. Les hommes continuent de
    désobéir à Dieu et ils se créent des dieux pour leurs fins. Ne cessez pas vos prières et vos sacrifices et
    vous verrez que Satan ne régnera pas dans mon Œuvre.

    Je veux que vous alliez de village en village pour jeter la semence. Formez-y des cénacles pour qu’on
    n’oublie pas la prière. C’est au Cénacle que le Christ est apparu à ses disciples et à moi-même,
    lorsque nous étions en prière et que nous pratiquions la pénitence. Je vous demande de laisser de bons
    fruits là où vous passerez.

    Même si les messages se terminent, je ne laisserai pas ce lieu sans bénédiction. Soyez tranquilles, mes
    enfants, mon pied virginal n’abandonnera pas ce lieu. Et toi, ma fille, n’abandonne ni la prière, ni le
    sacrifice, nous sommes avec toi et Dieu est au-dessus des hommes.

    Si vous m’aimez, et obéissez aux Commandements et aux Lois que Dieu a institués, Mon Fils se
    manifestera en vous et Il vous donnera la vie éternelle.

    Bien que Je sois remplie de douleur, J’ai aussi de la joie, car dans le ciel, il y a presque tous les jours
    fête pour les âmes qui se convertissent en ce lieu. Aujourd’hui même, c’est grande fête pour cette
    personne morte hier, et qui, après tant d’années vécues loin du Christ, est revenue à la Vie.

    Bien que les hommes aient perdu la raison et vivent comme des fous, seulement occupés des choses
    matérielles et des plaisirs du corps, Je répands mes grâces sur eux et mon Cœur de Mère les protège
    du signe de Satan. Je vous ai dit que tous les fronts seraient marqués et Je vous redis que Je
    continuerai à les marquer. Tous vous serez marqués et vous le verrez les uns les autres le jour du
    châtiment. Ma fille, regarde la grande multitude de ceux qui ont le signe. Vois aussi combien se
    précipitent en enfer, et que des non-chrétiens travaillent mieux que ceux qui se disent chrétiens. C’est
    que des chrétiens nient l’existence de l’enfer, et de ce fait, ils nient l’existence de Dieu. Il est écrit : "
    L’enfer est préparé pour Satan et ses suppôts. " Priez, aimez, mes enfants, pour ne pas succomber à la
    tentation.

    Je vous demande d’être humbles, mes enfants, car beaucoup de ceux qui se disent miens sont pleins
    d’orgueil. Ils veulent par eux-mêmes percer les mystères du Très-Haut. Ils ne peuvent connaître les
    secrets de Dieu, et leur aveuglement ne leur fera pas trouver la Vérité.

    Approchez-vous de l’Eucharistie, aimez l’Eglise, aimez le Pape. En ce lieu, Je répands des grâces
    spéciales, bien que certains reçoivent la Croix. La Croix est le chemin du ciel, mais beaucoup d’entre
    vous s’occupent seulement des biens matériels. Vous éduquez vos fils pour le monde et vous oubliez
    Dieu. Vous le mettez le dernier. Ne soyez pas hypocrites, on ne peut pas tromper Dieu ! Ne vous
    relâchez pas en croyant qu’il reste beaucoup de temps pour votre salut. Ce temps-là est plus court que
    vous ne pensez.

    Le démon rôde en ce lieu et beaucoup de faux-voyants jouent avec la doctrine de mon Fils. Ils
    sèment leur condamnation. Que d’âmes se laissent entraîner par eux. Quelle peine ! Baise le sol, ma
    fille, en réparation pour tous les pécheurs du monde.

    - Amparo :

    Comme tu pleures, ma Mère !

    - La Sainte Vierge :

    Je pleure à cause de la situation du monde et Je me réjouis lorsque des âmes se sauvent.

    - Amparo :

    Fais voir tes larmes, ma mère.

    - La Sainte Vierge :

    Touchez mes larmes, mes enfants. (Amparo recueille les larmes une par une comme elle fit le 15
    septembre 1983 devant une multitude de pèlerins. Les six personnes qui accompagnent Amparo
    touchent ses mains baignées des larmes de la Vierge.) Rien ne peut contenir tant et tant de larmes que
    Je verse pour l’humanité ! Mes enfants, aimez-vous les uns les autres et respectez-vous. Ma fille, Je
    t’ai dit le peu d’importance que les hommes donnent à Dieu. Il envoya Son Fils pour apporter la Vie à
    ce monde, et les hommes Le mirent à mort. Maintenant, Il veut que le nom de Dieu soit connu. Les
    hommes cependant oublient Dieu et se croient eux-mêmes des dieux. Ma fille, Je te demande d’être
    humble pour le salut des âmes. Je vais vous donner une bénédiction spéciale pour vous protéger et
    vous fortifier, et pour tous ceux qui accourent en ce lieu pour le salut de leurs âmes. Tous les objets
    sont bénis spécialement pour la conversion des pauvres pécheurs. La paix soit avec vous. Au revoir,
    mes enfants.

    MENSAJE DEL DÍA 2 DE JULIO DE 1988, PRIMER SÁBADO MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hija mía, hoy mi Corazón viene lleno de dolor porque mi Iglesia se ha dividido. ¿Sabéis por qué, hijos míos, ha podido el enemigo dividir mi Iglesia? ¡Por la falta de oración y de sacrificio!

         Quiero que renovéis vuestro espíritu y maduréis en el sacrificio y en la oración, hijos míos. Donde hay oración y sacrificio bien hecho, Satanás no puede reinar. Como Madre de la Iglesia, hijos míos, mi Corazón está dolorido.

         Me gusta la oración bien hecha. No me gusta la oración rutinaria, hijos míos. La oración bien hecha, hijos míos, es dialogar con Dios, es comunicarse con Dios, es aprender de Dios, aprender a ser feliz, porque la felicidad viene de Dios, hijos míos. Por eso cuando los hombres dicen que todas las obras son buenas, si no están llenas de Dios, no pueden ser buenas las obras. La felicidad la da Dios, hijos míos. Los hombres han olvidado al Dios de los hombres y convierten a los hombres en dioses. Muchos, hijos míos, que se llaman conductores de Dios sólo son conductores de manos, pero su deseo no es que Cristo entre dentro de su corazón. Quiero que no dejéis de orar, hijos míos, y estad en constante comunicación con el Vicario de Cristo. Pedid, rezad, consoladle. Todo esto que yo he realizado, de vosotros depende, hijos míos, todo lo que se ejercite para la gloria de Dios.

         Te lo dije, hija mía: la Iglesia se está demoliendo por falta de amor a Dios. Porque el hombre ha olvidado que es creado sólo para amar a Dios y glorificarle.

         Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantos pecados como se cometen en el mundo...

         Pedid mucho por la Iglesia, hijos míos. La Iglesia está en Getsemaní. Os dije que llegaría este momento de obispos contra obispos, sacerdotes contra sacerdotes. Estos momentos son graves, hijos míos, muy graves.

         Acudid a este lugar y rezad el santo Rosario con devoción y pedid a vuestra Madre, como Madre de la Iglesia, que proteja a los hombres de este mal que les acecha. Los hombres no le dan importancia a la oración, hijos míos. Mirad a vuestro alrededor y veréis la situación del mundo: crímenes, odios, envidias, rencores... ¡Y dicen que no hace falta orar, hijos míos! Amad a la Iglesia con todas sus consecuencias, hijos míos. Por una desobediencia el mundo está en pecado; y los hombres siguen desobedeciendo a Dios y se crean dioses para sus fines, hijos míos. No dejéis de orar y haced sacrificios, veréis cómo Satanás no reina en mi Obra.

         Quiero que vayáis de pueblo en pueblo y dejéis la semilla echada. Que se formen cenáculos en los pueblos donde vayáis, para que no quede en el olvido la oración. En el Cenáculo se apareció Cristo a los discípulos, hija mía. En el Cenáculo se me apareció a mí, haciendo oración y penitencia. Por eso os pido que allí donde vayáis, dejéis buen fruto, hijos míos.

         No dejaré de bendeciros en este lugar, aunque los mensajes se acaben, hijos míos. Pero mis plantas virginales no dejarán de frecuentar este lugar. Estad tranquilos, hijos míos.

         Y tú, hija mía, no te abandones en la oración ni en el sacrificio. Nosotros estamos contigo, y Dios está por encima de los hombres.

         Si me amáis, hijos míos, y abrazáis los mandamientos de la Ley de Dios y las Leyes que Dios ha instituido, mi Hijo se manifestará en vosotros y os dará la vida eterna.

         Aunque estoy llena de dolor, hija mía, también tengo gozo, porque en el Cielo casi todos los días hay fiesta de almas que se convierten en este lugar. Hoy hay fiesta en el Cielo por ese alma que murió ayer, hijos míos; ¡tantos años separado de Cristo y cómo ha vuelto a la vida!

         Aunque los hombres han perdido la razón y viven como locos, hijos míos, ocupados sólo de lo material, de los goces del cuerpo. Pero yo derramo gracias sobre los hombres y mi Corazón de Madre los protege de la señal de Satanás.

         Dije que todas las frentes serían selladas y os repito, hijos míos: seguiré sellando frentes y os las veréis unos a otros el día del Castigo. Todos seréis señalados y os veréis unos a otros la frente.

         Mira, qué gran multitud hay señalados, hija mía.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, Madre, cuántos!
     
     

         LA VIRGEN:

         Pero mira cuántos, hija mía, se precipitan en el Infierno, aunque los no cristianos, hija mía, trabajan mejor que los que se llaman cristianos. Porque los cristianos niegan la existencia del Infierno, y al negar la existencia del Infierno niegan la existencia de Dios. Está escrito: el Infierno está preparado para Satanás y sus secuaces.

         Orad, amad, hijos míos, para que no caigáis en tentación.

         Humildad os pido, hijos míos, porque muchos de aquéllos que se llaman míos, se engríen y piensan en ellos mismos y quieren averiguar los misterios del Altísimo. No pueden averiguar los secretos de Dios, porque están ciegos y su ceguera no les llevará a descubrir la verdad.

         Acercaos a la Eucaristía, hijos míos, amad a la Iglesia, amad al Papa, hijos míos.

         Sobre este lugar derramo gracias especiales, aunque muchos recibáis la cruz, hijos míos. La cruz es el camino del Cielo y muchos de vosotros os ocupáis sólo de los bienes materiales, de educar a vuestros hijos para el mundo, hijos míos, y os olvidáis de Dios; Dios es el último. ¡No seáis hipócritas, hijos míos! A Dios no se le puede engañar. ¡No os confiéis que falta mucho tiempo para vuestra salvación! Puede estar más cerca de lo que vosotros os pensáis, hijos míos.

         El demonio ronda todo este lugar; y muchos falsos videntes están jugando con la doctrina de mi Hijo, hijos míos. Están sembrando su condenación. ¡Qué pena de almas! Ellos y los que se dejan arrastrar por ellos, hijos míos.

         Vuelve a besar el suelo, hija mía, en reparación de todos los pecadores del mundo.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Cómo lloras, Madre mía!
     
     

         LA VIRGEN:

         Lloro por la situación del mundo. Y gozo cuando se salvan las almas.
     
     

         LUZ AMPARO:

         A ver, Madre, las lágrimas... ¡Ay!
     
     

         LA VIRGEN:

         Tocad las lágrimas, hijos míos, uno por uno tocad mis lágrimas... (Luz Amparo realiza esta operación; los que la acompañan son también invitados a tocar sus manos, que aparecen humedecidas). Las lágrimas de vuestra Madre que, como dije, hija mía, no hay ninguna profundidad donde meterlas, de tantas y tantas lágrimas como derramo por la Humanidad.

         Hijos míos, amaos unos a otros, y respetaos.

         Hija mía —lo he dicho—, ¡qué poca importancia le dan los hombres a Dios! Manda su Hijo para traer la Vida en aquel tiempo, y los hombres lo entregan a la muerte. En este tiempo quiere que se conozca el Nombre de Dios, y los hombres olvidan a Dios y se convierten en dioses.

         Hija mía, humildad te pido, para la salvación de las almas.

         Adiós, hijos míos.

         Voy a daros una bendición muy especial, para vuestra protección y vuestra fortaleza, y para todos los que acudan a este lugar para la salvación de sus almas.

         Levantad todos los objetos, hijos míos... Todos han sido bendecidos con bendiciones especiales para la conversión de los pobres pecadores.

         La paz sea con vosotros, hijos míos.

         Adiós.

    6 août 1988

    - La Sainte Vierge :

    Commence, ma fille, par embrasser le sol, en réparation de tant et tant de péchés qui sont commis
    dans le monde.

    Ma fille, aujourd’hui ce message s’adresse plus particulièrement aux gardiens de mes lois, ces maîtres
    qui n’entrent pas au Ciel et ne veulent pas que les autres y entrent. Ceux qui ont scandalisé tant et
    tant de cœurs, ils ne donnent pas de fruit et ne veulent pas que les âmes donnent des fruits par
    eux-mêmes. Ils ne veulent pas qu’on travaille pour le salut des âmes : eux n’y travaillent pas et n’y
    laissent pas travailler, mes enfants.

    Beaucoup de cœurs vous ont admiré, docteurs de la Loi, mais vous en avez scandalisé beaucoup.
    Vous étiez admirés comme vrais imitateurs du Christ, vrais porteurs de l’Evangile, mais vous avez
    changé votre vie par le confort, par l’argent, par les honneurs, et vous avez fait entrer beaucoup
    d’âmes dans l’abîme. Vous ne laissez pas mes porte-parole parler de mes messages. Vous riez d’eux,
    vous les diffamez, les calomniez et par cela vous vous manifestez par votre manque d’amour pour
    l’Eglise, par votre manque de respect envers le Vicaire du Christ, par votre manque de soumission,
    par votre orgueil qui vous rend aveugles et vous empêche de voir la situation du monde.

    Regarde, ma fille, je vais te montrer quatre calices, deux calices divins et deux calices infernaux, les
    calices divins débordent de justice et de miséricorde, et quant aux calices infernaux… tu verras le
    dragon depuis son repaire répandre l’iniquité que ces calices contiennent. Regarde où se cache le
    dragon, ma fille, et raconte-le.

    - Amparo :

    Je vois un grand animal, très grand, avec des pattes comme celles du crocodile, des yeux comme ceux
    des serpents, oh ! une tête large et aplatie, très large, avec des dents de crocodile. Ah ! il a pris un des
    calices et le répand sur toute l’humanité : c’est la haine, l’envie, la luxure. Ah ! … Cette tête de
    serpent tellement énorme bouge de tous les côtés pour attraper au vol les âmes et les avaler… ah !…
    son ventre ! … cette large gueule ! … Ah, comme il les attrape ! Quelle rapidité ! … Maintenant il a
    entièrement renversé le calice, et les âmes tombées ont le sceau 666 sur leur front. Des milliers et des
    milliers d’âmes sont englouties. Ah ! … ah ! De l’autre côté je vois Marie avec Jésus, chacun porte un
    calice qui déborde de miséricorde et d’amour. Là se trouve aussi l’ange de justice, il est très sévère,
    les âmes tombent aussi de ce côté…

    Combien d’âmes ont reçu le sceau ! mon Dieu ! La Vierge a un Cœur qui attire les âmes ! Combien y
    viennent ! Ah, ma Mère, ne laisse pas ce dragon infernal en attraper davantage. Ah ! Ici se trouvent le
    bien et le mal, ah ! tant de mal ! …

    - La Sainte Vierge :

    Ma fille, il faut que tu baises le sol à nouveau, en réparation de tant de péchés commis dans
    l’humanité. Ma fille, les fronts de ceux qui n’ont pas eu le sceau vont le recevoir en ce lieu. Mes
    enfants, le fils d’iniquité veut se nourrir de la majeure partie de l’humanité. Soyez fidèles à l’Evangile,
    mes enfants, soyez des imitateurs du Christ.

    Et vous, maîtres de la Loi, allez dans le monde et soyez des christs qui enseignent ; annoncez
    l’Evangile tel qu’il est écrit, mes enfants. Retirez-vous des commodités, des plaisirs, des honneurs, et
    livrez-vous au sacrifice, à la pénitence et à la prière. C’est seulement par la prière et le sacrifice que
    vous pourrez sauver vos âmes, mes enfants. Aimez-vous les uns les autres comme le Christ vous a
    appris à vous aimer.

    Et vous, guides du peuple, ne vous interposez pas sur la route de mes porte-parole, et laissez-les faire
    ce que vous ne faites pas. Le Christ prend des âmes misérables, pauvres et incultes car il sait que de
    leur nature humaine peut sortir de grandes vertus à transmettre aux hommes.

    Oui, ma fille, mon Fils t’a choisi dans ta misère humaine, mais toi, tu t’es abandonnée entre ses mains,
    tu l’es laissée façonner, et tu as obtenu la vertu de l’humilité, de l’obéissance, ce qui est le plus
    important, ma fille. Pense que mon Fils t’a choisie comme victime de réparation. Je te l’ai dit
    tellement souvent : ta mission est de souffrir, ma fille. Aide nos Cœurs à sauver l’humanité corrompue
    par le péché de la chair, et par tant et tant de vices. Les hommes sont devenus matérialistes, à cause
    de l’argent et de la chair et ils oublient les Lois de Dieu, mes enfants.

    N’hébergez pas la haine dans vos cœurs, aimez, pratiquez ce premier commandement que le Christ
    vous a enseigné : " AIMEZ-VOUS LES UNS LES AUTRES COMME MOI JE VOUS AI AIMES ".

    Tous ceux qui viennent en ce lieu recevront sur leur front un sceau indélébile pour que l’ennemi,
    depuis son repaire, ne puisse les attaquer.

    Mon Fils envoie ses porte-parole enseigner aux hommes à aimer l’Eglise, à aimer son Vicaire. Vous,
    les guides du peuple, faites de même. Ne soyez pas orgueilleux : qui êtes-vous pour dire à qui je dois
    me manifester ? Aimez mon Cœur et vous serez dans la clarté ; vous avez oublié que Marie est la
    Mère de Dieu. Ce n’est pas une hérésie de dire que Marie est Mère de la Divinité de Jésus car Dieu
    m’a octroyé tous les dons et grâces à répandre en cette fin des temps. Convertissez-vous, mes
    enfants, repentez-vous, priez pour ne pas succomber dans la tentation.

    Ne vous moquez pas de mes messages, mes enfants. Vous serez traités de la même manière que vous
    aurez traité mes porte-parole. Humiliez-vous et reconnaissez que vous êtes orgueilleux.

    Je vous ai tout dit, mes enfants, mais je ne cesserai pas de me manifester en ce lieu jusqu’à ce que
    j’obtienne ce que j’ai demandé, bien que les hommes fassent la sourde oreille. Votre Mère des
    Douleurs se manifestera aux hommes en ce lieu. Toi, ma fille, sois humble, et abandonne-toi entre les
    mains de mon Fils. Tu auras des épreuves très dures, ma fille, mais personne ne pourra tuer ton âme,
    même si les hommes tentent de tuer ton corps. Je te demande l’humilité, ma fille.

    Aujourd’hui il y a une bénédiction très spéciale pour tous ceux accourent en ce lieu et tous, quels que
    soient leur âge, leur couleur, les grands, les petits, les riches, les pauvres, tous auront sur leur front un
    sceau spécial, mes enfants.

    Continuez à venir en ce lieu ; je vous ai dit un jour que par vous, cette œuvre réussira. Ne me décevez
    pas, mes enfants. Réfugiez-vous dans mon Cœur Immaculé, parce que mon Cœur Immaculé
    triomphera sur toute l’humanité.

    Les hommes sont aveugles et ils ne voient pas la situation du monde. Je le répète : le monde est
    malade d’une maladie mortelle, dont il ne pourra guérir que par le Christ et par Marie.

    Aimez l’Eglise, mes enfants, fréquentez les Sacrements, aimez le Vicaire du Christ, récitez tous les
    jours le saint Rosaire. Le Rosaire, ma fille, est une prière extraordinaire et liturgique. Aimez votre
    Mère, mes enfants, pour rassembler le troupeau qui est dispersé par toute la terre. Beaucoup d’âmes
    de mon troupeau sont tombées ; bien que je sois triste pour celles qui se laissent marquer par
    l’ennemi, mon Cœur a beaucoup de joie parce que beaucoup d’âmes se sauvent, et beaucoup ont été
    marquées du signe des élus.

    Mes enfants, ne vous laissez pas entraîner par ces faux prophètes qui trahissent la doctrine et
    cherchent les honneurs terrestres.

    Ici, en ce lieu, viennent beaucoup de faux prophètes, mes enfants. Priez pour que vous sachiez
    percevoir où est la vérité.

    Et vous, guides du peuple de Dieu, qui filtrez le moucheron et avalez le chameau, il est écrit : veillez,
    par leurs fruits vous les reconnaîtrez, celui qui n’est pas avec moi est contre moi. Ne diffamez pas, ne
    manquez pas à la charité pour mes porte-parole, mes enfants, et ne vous moquez pas de ces maîtres,
    qui bien que peu nombreux, continuent à présenter l’Evangile tel qu’il est dans sa nature profonde,
    qui est la vie et la mort du Christ.

    Ne vous moquez pas car malheur à vous quand vous vous présenterez devant le Christ ! Il y aura des
    grincements de dents et des pleurs, et il n’y aura pas de compassion pour vous. Je vous aime tous,
    mes enfants, il est encore temps, convertissez-vous et repentez-vous, venez à Marie car Marie est le
    chemin droit et sûr pour aller à Jésus.

    Dieu le Père m’a placée comme chemin de salut, comme porte du Ciel, pour vous faire tous aller à
    Jésus.

    Levez tous les objets, mes enfants, tous seront bénis avec des bénédictions spéciales pour les
    malades.

    Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit par l’intermédiaire du Fils et avec l’Esprit
    Saint. Je vous laisse la Paix, mes enfants. Au revoir.

    MENSAJE DEL DÍA 6 DE AGOSTO DE 1988, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Vas a empezar, hija mía, besando el suelo, en reparación de tantos y tantos pecados como se cometen en el mundo...

         Hoy, hija mía, este mensaje va a ir más dirigido a los conductores de mis Leyes, aquellos maestros que no entran en el Cielo ni quieren que los demás entren, hija mía. Aquéllos que han escandalizado tantos y tantos corazones, y ellos no dan fruto y no quieren que las almas den frutos por ellos. Ni quieren que trabajen por la salvación de las almas; ni ellos trabajan ni dejan trabajar, hijos míos.

         Muchos corazones os han admirado, doctores de la Ley, pero habéis escandalizado a muchos corazones. Os admiraban como verdaderos imitadores de Cristo, y verdaderos portadores del Evangelio, pero habéis cambiado, hijos míos, vuestra vida por comodidad, por dinero, por honores y habéis introducido a muchas almas en el abismo; y no dejáis, hijos míos, a mis portavoces que hablen de mi mensaje. Os reís de ellos, los difamáis, los calumniáis, y sabéis, hijos míos, que la mayoría de estas manifestaciones son provocadas por vosotros, por vuestra falta de amor a la Iglesia, por vuestra falta de respeto al Vicario, por vuestra falta de entrega, hijos míos. Pero vuestra soberbia os deja ciegos, y no os deja ver la situación del mundo, hijos míos.

         Mira, hija mía, voy a enseñarte cuatro cálices, dos divinos y dos infernales. Los divinos están rebosando de justicia y de misericordia, y los infernales: verás el Dragón, desde su guarida, cómo derrama la iniquidad que estos cálices contienen. Mira dónde está el Dragón escondido, hija mía, y explica...
     
     

         LUZ AMPARO:

         Veo un animal grande, muy grande, con unas pezuñas como del cocodrilo, unos ojos como de serpiente, ¡oy!..., una cabeza aplastada larga, muy larga, con dientes de cocodrilo, ¡ay!...; con las pezuñas ha cogido uno de los cálices y lo está derramando sobre toda la Humanidad: es odio, envidia, lujuria, ¡ay!... Con esa cabeza de serpiente tan larga, la mueve a un lado y a otro y coge al vuelo a las almas, y las introduce dentro... ¡Ay, qué tripa tiene!..., ¡ay!, con esa gran boca; ¡ay, cómo las coge!..., ¡ay..., qué movimientos más rápidos! Ha derramado ya el cáliz entero, y las almas caen selladas por el 666 en sus frentes; miles y miles de almas se han introducido dentro de su estómago, ¡ay!... ¡Ay!, al otro lado veo a María con Jesús, cada uno con un cáliz, rebosa su misericordia y su amor, ¡ay!; pero ahí también está el Ángel de la justicia muy severo, también caen almas a esta parte, porque donde cae lo que hay dentro de ese cáliz... ¡Ay..., cuántas almas hay selladas!, ¡ay, Dios mío!, ¡ay, la Virgen tiene un Corazón que atrae a las almas!, ¡cuántas van!, ¡ay, Madre mía, no dejes a ese Dragón infernal que coja más! ¡Ay!, ahí está el bien y el mal..., ¡ay..., cuánto mal!...
     
     

         LA VIRGEN:

         Es necesario, hija mía, que vuelvas a besar el suelo, en reparación de tantos pecados como se cometen en la Humanidad...

         Van a ser selladas las frentes que quedan en este lugar que sellar...

         Hijos míos, el hijo de la iniquidad quiere aprovecharse de la mayor parte de la Humanidad. Sed fieles al Evangelio, hijos míos, sed imitadores de Cristo.

         Y vosotros, maestros de las Leyes, salíos del mundo y sed esos Cristos docentes; predicad el Evangelio tal como está escrito, hijos míos. Retiraos de las comodidades, de los placeres, de los honores, y entregaos al sacrificio, a la penitencia y a la oración. Sólo desde la oración y desde el sacrificio podréis salvar vuestras almas, hijos míos. Amaos unos a otros como Cristo os enseñó a amaros.

         Y vosotros, guías del pueblo: no os interpongáis en el camino de mis portavoces, y dejad que hagan lo que vosotros no hacéis.

         Cristo coge a las almas miserables, pobres e incultas, porque sabe que de su naturaleza humana puede sacar grandes virtudes para comunicárselas a los hombres.

         Sí, hija mía, mi Hijo te ha escogido como miseria humana, pero tú te has dejado en sus manos, te has dejado labrar, hija mía, y has conseguido la virtud de la humildad, de la obediencia, que es lo más importante, hija mía. Piensa, hija mía, que mi Hijo te escogió víctima de reparación, y te repito tantas veces: tu misión es sufrir, hija mía; ayuda a nuestros Corazones a salvar a la Humanidad corrompida por el pecado de la carne, de tantos y tantos vicios. Los hombres están materializados en el dinero, en la carne, y olvidan las leyes de Dios, hijos míos.

         No alberguéis odio en vuestro corazón, amaos, practicad ese mandamiento primero que Cristo os enseñó: “Amaos unos a otros como yo os he amado”.

         Todas las frentes que acudan a este lugar, serán selladas con un fuerte sello, para que el enemigo, desde su guarida, no pueda atacarlos.

         Mi Hijo manda sus portavoces para enseñar a los hombres a amar a la Iglesia, a amar al Vicario; vosotros, guías del pueblo y conductores de Cristo, amad a vuestro Vicario, amad a la Iglesia. No seáis soberbios, hijos míos, ¿quién sois vosotros para decir a quién tengo que manifestarme? Amad mi Corazón y veréis con claridad, hijos míos. Habéis olvidado que María es la Madre de Dios, y no es ninguna herejía decir que es Madre de la divinidad de Jesús, y que Dios me otorgó todos los dones y me dio gracias para derramarlas en este final de los tiempos, hijos míos. Convertíos, hijos míos, arrepentíos; orad, orad, para no caer en tentación.

         No os riáis de mis mensajes, hijos míos. Según tratéis a mis portavoces, seréis tratados. Humillaos y reconoced vuestra soberbia. Todo lo tengo dicho, hijos míos, pero no dejaré de manifestarme en este lugar hasta que consiga lo que he pedido, hija mía, aunque los hombres se hagan los sordos. Vuestra Madre Dolorosa se manifestará en este lugar a los hombres.

         Tú, hija mía, sé humilde y abandónate en las manos de mi Hijo. Tendrás pruebas muy duras, hija mía, pero nadie podrá matar tu alma, aunque los hombres intenten matar tu cuerpo. Humildad te pido, hija mía.

         Hoy hay una bendición muy especial para todos los que acudan a este lugar y todas las frentes, no importa edades, ni colores, ni altos, ni bajos, ni ricos, ni pobres; todos serán sellados con este sello especial, hijos míos.

         Seguid acudiendo a este lugar; os dije un día que por vosotros saldrá esta Obra adelante; no me defraudéis, hijos míos. Refugiaos en mi Inmaculado Corazón, porque mi Inmaculado Corazón triunfará sobre toda la Humanidad.

         Los hombres están ciegos, y no ven la situación del mundo y, repito, el mundo está enfermo, con una enfermedad mortal que sólo por Cristo y María podrá salvarse.

         Amad a la Iglesia, hijos míos, frecuentad los sacramentos, amad al Vicario de Cristo, rezad todos los días el santo Rosario. El Rosario, hija mía, es un rezo exquisito, litúrgico. Amad a vuestra Madre, hijos míos, y amaos unos a otros.

         Yo me manifiesto en muchos lugares, para recoger el rebaño que está disperso por todos los rincones de la Tierra, y muchas almas, hija mía, han caído en mi rebaño; aunque estoy triste por los que se dejan sellar por el enemigo, mi Corazón tiene mucha alegría porque se salvan muchas almas, y muchos han sido sellados con la señal de los escogidos.

         No os dejéis, hijos míos, arrastrar por esos profetas falsos que confunden la doctrina y buscan los honores terrenos. Aquí, a este lugar, están acudiendo muchos profetas falsos, hijos míos. Orad, para que sepáis distinguir dónde está la verdad.

         Y vosotros, guías del pueblo, que os estáis tragando... el mosquito y estáis dejando el camello; está escrito: vigilad, que por los frutos los conoceréis, y aquéllos que no están conmigo van en contra mía. No difaméis, no faltéis a la caridad a mis portavoces, hijos míos, y no os riáis de aquellos maestros, que aunque pocos, todavía quedan, que llevan el Evangelio tal como es, con esa esencia de la vida y la muerte de Cristo. No os riáis, porque ¡ay de vosotros cuando os presentéis ante Cristo! Allí será el rechinar de dientes y allí serán los llantos, y no habrá compasión para vosotros. Yo os amo a todos, hijos míos; todavía estáis a tiempo: convertíos y arrepentíos, venid a María, que María es el camino recto y seguro para ir a Jesús. Dios Padre me ha puesto como camino de salvación, como puerta del Cielo, para que todos entréis por mí para ir a Jesús.

         Levantad todos los objetos, hijos míos; todos serán bendecidos con bendiciones especiales para los enfermos...

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

         La paz os dejo, hijos míos.

         ¡Adiós!... 

    3 septembre 1988

    Comme tous les premiers samedis du mois, Luz Amparo Cuevas, appelée par la Très Sainte Vierge,
    descend au Prado Nuevo aux premières heures de la matinée, accompagnée par quelques personnes
    de confiance. Ils récitent les trois parties du Rosaire, et pendant le quatrième mystère de la troisième
    partie, Luz Amparo, avec une joie indescriptible et en regardant le ciel, à genoux, entre en extase
    devant la présence de la Très Sainte Vierge, qui par son intermédiaire, transmet le message suivant.
     
     

    Ma fille, mon message sera court, j’ai déjà tout dit et tout se réalisera du début jusqu’à la fin. Je
    continuerai à me manifester à mes porte-parole pour qu’ils aillent communiquer mes messages aux
    peuples, c’est à travers eux que les âmes iront vers Dieu.

    Il est nécessaire mes enfants, qu’en ces temps, les hommes se réconcilient avec Dieu. Dieu est
    gravement offensé et les hommes ne changent pas de comportement. Les péchés de l’humanité
    affligent tellement notre Cœur ! Mais ce qui afflige le plus nos Cœurs, ce sont les péchés des âmes
    consacrées. Mon Fils a mis des rivières de grâces dans son Eglise pour faire boire les hommes à ces
    sources vives. Elles sont nécessaires pour sauver l’humanité mais les ministres de l’Eglise utilisent
    mal ces rivières, laissant échapper des filets d’eau divine et l’employant mal pour le bien des âmes. Ils
    restent aveugles, sourds et muets, ma fille, envers la grâce et les chaires des prédicateurs deviennent
    froides, obscures, comme des tombes silencieuses.

    Il est nécessaire de réparer pour les péchés de l’humanité. Nous voulons qu’au moins le tiers soit
    sauvé.

    Soyez fermes dans la prière, tous ceux qui demeurent dans les paroles du Verbe auront la vie. Car
    celui qui demeure dans le Verbe demeure dans le Père et dans l’Esprit-Saint. Car l’Esprit-Saint est en
    relation avec le Père et tous deux ont envoyé le Christ à la terre, pour racheter l’humanité.

    Aimez beaucoup l’Eglise, mes enfants. Les hommes ont oublié le Christ et se sont livrés au péché.

    Embrasse le sol, ma fille, en réparation de tant et tant de péchés qui sont commis dans le monde.

    Ceux qui administrent les sacrements oublient la doctrine de Jésus-Christ : ils appliquent celle qui leur
    convient. Ils transmettent aux hommes des cellules cancéreuses et le démon en profite. En cette fin
    des temps, la prière et le sacrifice sont nécessaires : la jeunesse est corrompue par le péché, par le
    vice ; elle a une maladie qui n’a pas de remède : seule Marie Corédemptrice peut aider au salut des
    âmes en ces temps.

    Baise à nouveau le sol pour les âmes consacrées, ma fille.

    Demandez, mes enfants, que ce troupeau éparpillé dans le monde se rassemble dans le troupeau du
    Christ. Les temps sont graves, très graves, et les âmes s’obstinent dans le péché. Le monde fait perdre
    la raison aux jeunes, et chaque jour des milliers et des milliers se précipitent en enfer, ma fille. Ils
    perdent l’éternité pour la jouissance et le plaisir des sens.

    Aimez l’Eglise, aimez le Pape, mes enfants. Continuez à aller de village en village, en apportant
    l’Evangile qui est le sel de la terre, conquerrez les âmes pour le troupeau du Christ. Aimez-vous les
    uns les autres, mes enfants comme mon Fils vous a enseigné à vous aimer. L’homme a déformé
    l’amour et l’a changé en plaisir. Les hommes ont été créés pour aimer et glorifier Dieu leur Créateur,
    et pour s’aimer les uns les autres comme eux-mêmes, mais combien ils ont déformé l’amour… !

    Priez le saint Rosaire, mes enfants. Avec le saint Rosaire vous parviendrez au salut. Fréquentez les
    Sacrements. Celui qui mange le Corps du Christ et bois son Sang aura la vie éternelle, mes enfants.

    Comme je te l’ai enseigné, ma fille, on ne peut aller au Père sans passer par le Fils ; le Fils c’est
    l’Eglise.

    Venez tous en ce lieu, tous ceux qui viennent en ce lieu recevront des grâces particulières, mes
    enfants. En ces temps, l’ennemi marque les fronts pour pouvoir s’emparer de la plus grande partie des
    hommes.

    Soyez humbles, mes enfants. L’humilité est importante pour le salut. Priez, ne dormez pas, l’ennemi
    est à l’affût de vos âmes et avec la prière il ne pourra pas s’en emparer.

    Aujourd’hui je vous donne une bénédiction spéciale avec des grâces particulières. Levez tous les
    objets, mes enfants, tous seront bénis.

    Mais auparavant, ma fille, je veux que tu saches que le sacrifice et la pénitence ont de l’importance.
    Regarde mon Cœur, comme il est entouré d’épines. Tu vas arracher trois épines qui sont parvenues à
    se purifier par le sacrifice et la pénitence. Arrache trois épines de mon Cœur, ma fille. (Amparo fait le
    geste d’arracher quelque chose avec une profonde expression de douleur.) Elles ont été purifiées
    grâce au sacrifice et à la prière. Vois-tu la valeur de la souffrance, ma fille ?

    Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit par l’intermédiaire du Fils et avec le
    Saint-Esprit. Je te laisse la paix, ma fille.

    MENSAJE DEL DÍA 3 DE SEPTIEMBRE DE 1988, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hija mía, mi mensaje va a ser corto, pues todo lo tengo dicho, y todo se cumplirá desde el principio hasta el final.

         Seguiré manifestándome a mis altavoces, para que se lo comuniquen a los pueblos, porque por medio de estos portavoces las almas irán a Dios.

         Es necesario, hijos míos, que en estos tiempos haya una reconciliación del hombre a Dios. Dios está gravemente ofendido y los hombres no cambian. Aflige tanto nuestro Corazón los pecados de la Humanidad, pero lo que más aflige nuestro Corazón es los pecados de las almas consagradas. Mi Hijo ha puesto riachuelos de gracias en su Iglesia, para que los hombres beban de estas fuentes vivas. Para salvar a la Humanidad es necesario estas fuentes, pero los ministros de la Iglesia, hijos míos, administran mal estos riachuelos; dejan escapar hilos de agua divina y la desaprovechan para el bien de las almas. Se quedan ciegos, sordos y mudos, hija mía, a la gracia, y convierten los púlpitos, fríos, oscuros, en sepulcros silenciosos.

         Es necesario reparar los pecados de la Humanidad; por lo menos, queremos que se salve la tercera parte de ella.

         Sed firmes en la oración; orad, que todo aquél que permanezca en la palabra del Verbo, tendrá vida; porque el que permanece en el Verbo, permanece en el Padre, y permanece en el Espíritu Santo; pues el Espíritu Santo se puso en comunicación con el Padre, y los dos mandaron a Cristo a la Tierra, para redimir a la Humanidad.

         Amad mucho a la Iglesia, hijos míos. Los hombres se han olvidado de Cristo y se han introducido en el pecado.

         Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados como se cometen en el mundo.

         Los administradores de los sacramentos olvidan la doctrina de Cristo, y ellos aplican la doctrina que a ellos les conviene; y transmiten a los hombres células cancerosas que el demonio aprovecha para aprovecharse de la Humanidad.

         Es necesario, en estos finales de los tiempos, la oración y el sacrificio, hijos míos. La juventud está corrompida por el pecado, por el vicio; está enferma, pero con una enfermedad que no tiene remedio, hija mía; sólo María, que es Corredentora de la Humanidad, puede ayudar a las almas a salvarse en estos tiempos.

         Vuelve a besar el suelo por las almas consagradas, hija mía...

         Pedid, hijos míos, que ese rebaño que está esparcido por el mundo, se encauce en el rebaño de Cristo. Los tiempos son graves, muy graves, y las almas siguen obstinadas en pecar y pecar, hijos míos. Los jóvenes... los enloquece el mundo, y se precipitan en el Infierno miles y miles de almas al día, hija mía. Se pierden la eternidad por el gozo, por el placer corporal.

         Amad a la Iglesia, amad al Papa, hijos míos. Seguid yendo de pueblo en pueblo, llevando el Evangelio, que es la sal de la Tierra. Conquistad almas para el rebaño de Cristo; amaos los unos a los otros, hijos míos, como mi Hijo os enseña a amaros. El hombre ha deformado el amor y lo ha convertido en placer. Los hombres fueron creados para amar y glorificar a Dios su Creador, y para amarse unos a otros como a ellos mismos, pero ¡qué deformación han hecho del amor!...

         Rezad el santo Rosario, hijos míos; con el santo Rosario podréis alcanzar la salvación. Frecuentad los sacramentos. El que come el Cuerpo de Cristo y bebe su Sangre, tendrá vida eterna, hijos míos.

         Como te he enseñado a ti, hija mía, no se puede ir al Padre sin pasar por el Hijo; el Hijo es la Iglesia.

         Acudid todos a este lugar, que todos los que acudáis a este lugar, recibiréis gracias especiales, hijos míos. En estos tiempos, el enemigo está sellando frentes para poder apoderarse de la mayor parte de los hombres.

         Sed humildes, hijos míos, la humildad es importante para la salvación. Orad, no os durmáis, hijos míos, el enemigo está al acecho de vuestras almas, y con la oración no podrá apoderarse de ellas.

         Hoy voy a dar una bendición especial con gracias muy especiales.

         Levantad los objetos, hijos míos; todos serán bendecidos.

         Pero antes quiero, hija mía, que también sepas que tiene valor el sacrificio y la penitencia, y que mira mi Corazón cómo está rodeado de espinas, pero, por el sacrificio y por la penitencia, vas a arrancar tres espinas que han llegado a purificarse. Arranca tres espinas de mi Corazón, hija mía... Han sido purificadas gracias al sacrificio y a la oración; ¿ves cómo tiene valor el dolor, hija mía?

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

         La paz te dejo, hija mía.

    1er octobre 1988

    Appelée par la Très Sainte Vierge, Luz Amparo descend au Prado Nuevo accompagnée de quelques
    proches. Alors qu’elle termine la récitation du quinzième mystère du saint Rosaire, elle entre en
    extase en contemplant Jésus et Marie. Elle transmet le dialogue suivant.

    - La Sainte Vierge :

    Je suis ici, ma fille, pour dire à l’humanité que les hommes ne savent pas prier. Priez, mes enfants,
    c’est à la mesure que vous prierez que vous recevrez des grâces. Les hommes ont oublié la prière, et
    où il n’y a pas de prière, il n’y a pas d’amour.

    Commence par embrasser le sol, ma fille, à cause du manque d’amour dans l’humanité. (Amparo
    s’incline et embrasse le sol.)

    Les hommes ont oublié que tous les membres du Corps doivent s’exercer à l’amour. (longue pause) Si
    un membre ne sert pas, c’est comme s’il était mort, mes enfants ; ainsi en est-il de votre cœur. Faute
    de l’entraîner à aimer, il se meurt. Et comment voudriez-vous transmettre la vie si vous êtes morts,
    mes enfants ?

    Je répète que l’homme a été créé pour aimer. Deux choses sont nécessaires à l’homme : l’amour et la
    souffrance, mes enfants ; l’amour pour ne pas commettre le mal, et la souffrance pour réparer le mal.
    Mais vous, mes enfants, vous vous exercez au mal et vous oubliez le bien.

    Ces temps sont graves, ma fille, le monde est ainsi faute d’amour les uns pour les autres. L’amour
    souffre, ne se lasse pas d’attendre et souffre pour l’aimé. Mais l’homme l’a changé en haine, intérêt,
    plaisir. Les affaires du monde ne s’arrangeront que si l’homme est capable d’aimer et de donner
    comme le Christ jusqu’au dernier atome de son amour. Ainsi est l’amour, ma fille : il ne se lasse pas
    de l’aimé, il se soucie de l’aimé, il s’abandonne à l’aimé. En ces temps, il est plus que jamais
    nécessaire que les hommes parlent d’amour aux autres hommes, ma fille. Que pourrez-vous donner si
    vous n’avez dans le cœur que haine, intérêt, envie ?

    L’amour ne s’obtient que par la prière ; l’âme qui ne prie pas ne peut aimer car l’âme qui prie est en
    communication avec l’Aimé. Vois comme est réduit le nombre des élus ; aussi je te dis : celui qui
    aime souffre. Le Christ aima ainsi tous les hommes et se livra pour eux à la souffrance. Les hommes
    veulent aimer sans souffrir ; dans l’amour il y a la douleur. Je demande que vous récitiez tous les jours
    le chapelet mais beaucoup ne le font pas et peinent ainsi mon Cœur Immaculé.

    - Amparo :

    Seigneur, je veux t’aimer de tout mon cœur et je veux que tu m’apprennes à aimer. Je t’aime de toute
    mon âme ! Fais de moi ce que tu voudras.

    - Le Seigneur :

    Ma Luz bien-aimée, ton agonie est mon agonie. Et ton agonie est plus facile à supporter que ma
    mienne. La tienne est un lit de roses, ma fille, et la mienne fut et continue d’être une route escarpée
    que je parcours avec une poutre sur les épaules, en tombant et en me relevant. Et ensuite, je fus
    suspendu sur une Croix, au soleil ; mes blessures me brûlaient et mes veines éclataient ; ma gorge en
    feu me rendait chaque instant la respiration plus pénible, ma fille. Ton agonie est plus douce que la
    mienne. Persévère, ma Luz bien-aimée ! Tu sais bien que la victime doit continuer à agoniser peu à
    peu pour sauver l’humanité.

    - Amparo :

    Avec ton aide, Seigneur…, mais souvent je ne peux plus… Laisse-moi boire un peu au calice, pour
    me rendre plus forte, mon Seigneur… (Elle fait le geste de prendre entre ses mains un calice qu’elle
    porte à ses lèvres. On la voit et on l’entend boire.) Je sais qu’il est amer, mon Seigneur, mais si cela
    peut servir à la rédemption, me voici, Seigneur.

    - La Sainte Vierge :

    Je ne peux plus parler aux hommes, j’ai déjà tout dit, ma fille, et ils ne tiennent pas compte de mes
    messages. Toi, ma fille, ne perds pas l’humilité. L’humilité te permettra de supporter la souffrance.

    ET JE PROMETS A TOUS CEUX QUI VIENDRONT EN CE LIEU DE LES ASSISTER A
    L’HEURE DE LA MORT ET DE LEUR DONNER DES GRACES PARTICULIERES EN CETTE
    VIE.

    Venez, mes enfants, pour que votre Mère répande des grâces sur vous. Mais, malheur à ceux qui
    n’exercent pas leur cœur à aimer. Tous ceux qui aiment recevront la vie éternelle. Sans l’amour, il n’y
    a pas de paradis, ma fille. L’homme utilise son savoir pour le mal et il est ignorant du bien.

    Aimez-vous les uns les autres comme le Christ vous aime, mes enfants.

    Baise à nouveau le sol, ma fille, en réparation pour tant et tant de péchés et tant de manque d’amour
    qui sont commis dans le monde. (A nouveau elle baise le sol. Dans la célébration de l’après-midi la
    foule également baise le sol en geste d’humilité.)

    Et n’oublie pas que mon Fils veut que tu arrives au Golgotha pour mourir avec Lui. Ton trajet sur la
    terre ne sera pas très long. Mais je te demande la conversion de beaucoup d’âmes. Il faut que tu
    travailles beaucoup et ton temps ne va pas se prolonger très longtemps, ma fille.

    Levez tous les objets, tous seront bénis.

    Tous ont été bénis avec des bénédictions particulières. Venez en ce lieu, mes enfants, car votre Mère
    vous promet de répandre de nombreuses grâces dans vos foyers et dans vos âmes. Et toi, ma fille, ne
    cesse pas en ton cœur de t’exercer à l’amour. Les cœurs qui n’aiment pas sont morts, ma fille.
    Garde-le vivant avec ton amour, ma fille. Aime beaucoup et souffre beaucoup pour les âmes. Il n’y a
    pas de ciel sans souffrance…, ni de récompense sans amour.

    Au revoir, mes enfants, au revoir.

    MENSAJE DEL DÍA 1 DE OCTUBRE DE 1988, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Aquí estoy, hija mía, para decir a la Humanidad que los hombres no saben orar. Orad, hijos míos, que a la medida que oréis recibiréis vuestras gracias. Los hombres se han olvidado de orar; y donde no hay oración no hay amor.

         Vas a empezar besando el suelo, hija mía, por la falta de amor que hay en la Humanidad.

         Los hombres han olvidado que todos los miembros de su cuerpo tienen que ejercitarlos en el amor... Si uno de estos miembros no lo ejercitan queda muerto, hijos míos; así está vuestro corazón; por falta de ejercitarlo en el amor, está muerto; ¿y queréis transmitir vida vosotros que estáis muertos, hijos míos? Repito que el hombre ha sido creado para amar. Dos cosas son necesarias en el hombre: el amor y el dolor, hijos míos. El amor, para no cometer el mal, y el dolor, para reparar el mal. Pero vosotros, hijos míos, ejercitáis el mal y olvidáis el bien.

         Estos tiempos son graves, hija mía, el mundo está en estas condiciones por falta de amor unos a otros. El amor, hija mía, sufre; el amor no se cansa de esperar al que ama; el amor sufre por el amado. Así es el amor, pero el hombre lo ha convertido en odio, interés, placer. Sólo se arreglaría el mundo si el hombre fuese capaz de amar y dar como Cristo hasta el último átomo de su amor. Así es el amor, hija mía: no cansarse del amado, pedir por el amado, entregarse al amado.

         Estos tiempos son muy necesarios que los hombres hablen a los otros hombres del amor, hija mía. ¿Qué vais a dar vosotros, que no sentís en vuestro corazón nada más que odios, intereses, envidias? Sólo se consigue el amor orando; el alma que no ora no puede amar, porque el alma que ora está en comunicación con el Amado. Por eso el mundo está en estas condiciones, hija mía. Mira qué reducido es el número de los escogidos... Por eso te digo, hija mía: el que ama sufre. Así amó Cristo a todos los hombres y se entregó al sufrimiento por ellos. Los hombres quieren amar sin sufrir; y en el amor existe el dolor, hija mía. Sólo pido que recéis todos los días el santo Rosario, que muchos de vosotros no rezáis ni un solo Rosario, hijos míos... ¿No os da pena de mi Inmaculado Corazón?
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Señor!, yo quiero amarte con todo mi corazón y quiero que me enseñes a amar. ¡Yo te amo con toda mi alma! Tú dame lo que quieras después.
     
     

         EL SEÑOR:

         Mi Luz querida: tu agonía es mi agonía; y tu agonía es más fácil que la mía. Porque tu agonía es en un lecho blando, hija mía, y la mía fue y sigue siendo en una calle empinada con un madero sobre mis hombros, cayendo y levantándome. Y luego, hija mía, fui suspendido en una Cruz, al Sol; que mis heridas se achicharraban y mis venas estallaban. Con una fiebre tremenda en mi garganta que me hacía cada vez más penosa la respiración, hija mía. Tu agonía es más cómoda que la mía. ¡Sigue adelante, mi Luz querida! Ya sabes que la víctima tiene que ir agonizando poco a poco para salvar a la Humanidad.
     
     

         LUZ AMPARO:

         Con tu ayuda, Señor..., pero a veces no puedo... Dame un poquito a beber del cáliz, para fortalecerme, mi Señor... Sé que es amargo, mi Señor, pero, si sirve para la redención, aquí me tienes, Señor.
     
     

         LA VIRGEN:

         No puedo ya más hablar a los humanos, lo tengo todo dicho, hija mía; y no hacen caso de mis mensajes. Tú, hija mía, no pierdas la humildad; la humildad te sostendrá para poder soportar el sufrimiento.

         Y prometo a todo el que acuda a este lugar asistirle en la hora de la muerte y darle gracias especiales en la vida.

         Venid, hijos míos, que vuestra Madre derramará gracias sobre vosotros. Pero, ¡ay de aquéllos que no ejercitan su corazón en amar! Todo el que ama recibirá vida eterna. Sin amor no hay Gloria, hija mía. El hombre emplea su sabiduría para el mal y es ignorante para el bien.

         Amaos los unos a los otros como Cristo os ama, hijos míos.

         Vuelve a besar el suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados y tantas faltas de amor como se cometen en el mundo, hija mía...

         Y no olvides que mi Hijo quiere que llegues al Gólgota, hija mía, para morir con Él. No va a ser muy largo tu trayecto en la Tierra; pero, hija mía, te pido que conquistes muchas almas para el rebaño de Cristo. Tienes que trabajar mucho y tu tiempo no es muy largo, hija mía.

         Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos... Todos han sido bendecidos con bendiciones especiales.

         Acudid a este lugar, hijos míos, que os promete vuestra Madre derramar muchas gracias sobre vuestros hogares y vuestras almas.

         Y tú, hija mía, no dejes en tu corazón de ejercitar ese amor. Los corazones que no aman están muertos, hija mía. Mantenlo vivo con tu amor, hija mía; ama mucho y sufre mucho por las almas. No hay Cielo sin dolor..., ni recompensa sin amor.

         Adiós, hijos míos. Adiós.

    5 novembre 1988

    Aux premières heures de la matinée, Luz Amparo comme les autres fois est appelée par la Très Sainte
    Vierge. Accompagnée de quelques proches, elle descend au Prado Nuevo pour réciter les quinze
    mystères du saint Rosaire, en commençant par les mystères glorieux. Au quatrième mystère
    douloureux, Luz Amparo entre en extase en contemplant le Seigneur et la Sainte Vierge qui lui dictent
    ce message, qu’elle a transmis comme suit.
     
     

    - La Sainte Vierge :

    Ma fille, je t’ai dit depuis longtemps que mes messages deviendraient de plus en plus courts.
    Aujourd’hui je fais appel aux âmes consacrées ; vivez du Christ, nourrissez-vous des dons de l’Esprit.
    Vous pourrez ainsi les transmettre aux hommes. Que l’Eglise soit votre Amour fou ! Enseignez aux
    hommes la véritable Justice et le véritable Amour. Nourrissez-vous de la Sagesse du Christ et
    enseignez Son message, l’Evangile.

    Et toi, n’aie peur de rien ni de personne, mon amour te soutient et te guide. Ta générosité sauvera
    cette âme et beaucoup d’autres. La générosité est le fruit de l’amour.

    - Le Seigneur :

    Nourris-toi de mon Côté. Imprègne-toi de mon Sang. J’ai imposé aux hommes la Loi de l’amour et ils
    l’ont détruite. A toi, j’impose cette Loi, ne refuse rien à ton Jésus et ton Jésus ne te refusera rien. Seul
    celui qui est imprégné du Sang du Christ peut comprendre et faire fructifier l’amour.

    Je te redis : bois à la plaie de mon Côté. Si tu es fidèle à la grâce, jamais Je ne t’enlèverai ce que Je
    t’ai donné. Aime beaucoup ton Jésus et ton Jésus t’aimera.

    - La Sainte Vierge :

    Mes enfants, récitez chaque jour le chapelet avec dévotion. Venez à l’Eucharistie.

    Ma fille, sois humble, très humble, Mon Fils aime ta candeur. Mon Fils vint au monde condamner le
    mensonge, l’hypocrisie. Sois pure de cœur et suis la Loi de mon Fils : L’aimer de tout cœur et aimer le
    prochain comme toi-même. Les âmes ne se sauveront que par le sacrifice et la pénitence. Aime nos
    Cœurs et nos Cœurs t’aimeront. Ils t’ont toujours aimée, toute petite, tu étais déjà protégée par eux.
    Mon Fils te donnera de quoi survivre sur cette terre et tu auras ensuite la vie éternelle. Baise le sol en
    réparation des péchés si nombreux que commettent les âmes. Aime de tout ton cœur, l’âme qui aime
    ne sera jamais châtiée. L’amour fut la première Loi que Dieu imposa aux hommes.

    Tous ceux qui viendront en ce lieu seront bénis et leurs fronts seront marqués pour les protéger du
    sceau de l’ennemi. Levez tous les objets.

    Tous ont été bénis. Je vous laisse la paix, mes enfants. Au revoir.

    MENSAJE DEL DÍA 5 DE NOVIEMBRE DE 1988, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hoy mi mensaje, hija mía, va a ser corto. Hace tiempo que te dije que los mensajes se irían acortando.

         Hoy voy a dar una llamada a las almas consagradas.

         Tú, alma consagrada, vive de Cristo y vive y aliméntate con los dones del Espíritu Santo, para que puedas transmitírselo a los hombres. Enloquece por la Iglesia y enseña a los hombres la verdadera justicia y el verdadero amor. Aliméntate de la sabiduría de Cristo y enseña a las almas su mensaje, el mensaje del Evangelio.

         Y tú, hija mía, no tengas miedo a nada ni a nadie; mi amor te sostiene; mi amor te guía. Por tu generosidad, hija mía, ese alma se salvará y otras muchas almas. La generosidad, hija mía, es fruto del amor.
     
     

         EL SEÑOR:

         Aliméntate de mi costado e imprégnate de mi Sangre, hija mía. La ley que impuse a los hombres fue la Ley del amor, pero los hombres han destruido esa Ley, hija mía. Yo te impongo a ti esa Ley, la Ley de mi amor. No niegues nada a tu Jesús, hija mía, y tu Jesús no te negará nada a ti.

         Sólo el que está impregnado de la Sangre de Cristo puede comprender y puede hacer fructificar el amor, hija mía.
     
     

         LA VIRGEN:

         Yo, a todo el mundo que acuda a este lugar, derramaré gracias especiales para las almas y llevaré la paz a sus hogares.
     
     

         EL SEÑOR:

         Vuelvo a repetirte, hija mía: aliméntate del caño de mi costado. Si tú eres fiel a mi gracia, hija mía, yo nunca te quitaré lo que te he dado. Ama mucho a tu Jesús, hija mía, y tu Jesús te amará a ti.
     
     

         LA VIRGEN:

         Rezad todos los días el santo Rosario con devoción, hijos míos. Acercaos a la Eucaristía.

         Tú, hija mía, sé humilde, muy humilde. A mi Hijo le gusta tu candidez. Mi Hijo vino a condenar al mundo la mentira, la hipocresía. ¡Sé limpia de corazón, hija mía!, y sigue la Ley que te impuso mi Hijo de amarle con todo tu corazón y amar al prójimo como a ti misma. Sólo con el sacrificio y la penitencia, hija mía, se salvarán las almas. ¡Ama nuestros Corazones y nuestros Corazones te amarán a ti, hija mía! Siempre te han amado; desde muy niña fuiste protegida por Ellos, hija mía, y mi Hijo te dará lo necesario para poder sobrevivir en la Tierra y luego, hija mía, ¡la vida eterna!

         Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados que cometen las almas, hija mía... Y ama con todo tu corazón, hija mía. ¡Nunca será castigada el alma que ame! La Ley que Dios impuso al hombre, la primera ley fue el amor, hija mía.

         Y vosotros, hijos míos, todos los que acudáis a este lugar, seréis bendecidos y vuestras frentes serán selladas, para que el enemigo no pueda sellarlas, hijos míos.

         Levantad todos los objetos... Todos han sido bendecidos, hija mía.

         La paz os dejo, hijos míos.

         Adiós. 

    3 décembre 1988

    - La Sainte Vierge :

    Ma fille, aujourd’hui, je vais faire un appel à toutes les victimes priantes et souffrantes, à ces petits
    crucifiés que mon Fils choisit comme porte-parole de l’humanité. Mes enfants, continuez la prière et
    la pénitence pour vos frères, pour ces âmes qui par leurs péchés ont transpercé la voûte des cieux. Le
    ciel a rougi de honte pour tant et tant de péchés commis par la luxure, l’orgueil, l’hypocrisie,
    l’attachement à ce qui est matériel… Continuez de prier, mes petits porte-parole, pour que ces
    pauvres âmes puissent se sauver. Mais malheur à ceux qui chargent leur faute sur les épaules de leurs
    frères ! Leur souffrance sera terrible ! Beaucoup parmi vous voulez être absous de vos fautes, sans
    douleur, sans réparation. Votre orgueil continue de vous introduire dans le mal, le péché, l’envie,
    l’orgueil, l’hypocrisie, le manque de charité. Malheur à vous qui n’écoutez pas mes porte-parole :
    votre douleur sera terrible.

    Voudriez-vous arriver là-haut sans douleur ? Si, à l’immolation de la Victime innocente, son Père a
    fermé les cieux pour qu’il ne manque rien à sa douleur et qu’il aille jusqu’au sacrifice de la Croix,
    comment vous, pécheurs endurcis, seriez-vous capable d’atteindre le Ciel sans le repentir de vos
    péchés ? Ne tentez pas la Justice de Dieu par vos péchés et votre orgueil. Humiliez-vous : celui qui
    s’abaisse sera élevé.

    Mon Fils a versé son sang en de multiples endroits de cette terre pour que ces lieux soient sanctifiés.
    Il l’a versé devant les juges, dans le Temple, devant les soldats qui l’ont flagellé, devant les docteurs
    afin qu’ils appliquent la science en se tournant vers le divin et non l’humain, car si la science était
    appliquée selon l’entendement humain, on ne dirait pas la vérité.

    Toutes les rues de la ville furent tachées de sang pour qu’elles soient purifiées pour tous ceux qui
    commettraient des crimes atroces et de très graves péchés contre Dieu leur Créateur. Il a versé son
    sang devant les soldats pour leur donner l’exemple de l’humilité, pour que leur haine se convertisse
    en amour. Il a versé son Sang dans le Temple pour que les grands prêtres observent ses Lois. Il a
    versé son Sang devant les gouvernants afin qu’ils exercent leur pouvoir avec justice et amour. Il a
    versé son Sang devant les rois, rois temporels, afin qu’ils enseignent les hommes en appliquant leur
    pouvoir selon la Loi de Dieu, pour leur éviter de s’enorgueillir car un jour mon Fils, le Roi des Rois,
    leur enlèvera leur couronne et châtiera ceux qui n’agissent pas selon les Lois écrites. Il a versé son
    Sang pour toute l’humanité, encore qu’Il savait que pour beaucoup, ce Sang versé servirait à leur
    condamnation.

    Oui, ma fille, de même qu’à mon Fils il n’est pas resté une goutte de Sang car il fut l’agneau égorgé,
    de même il faut des victimes immolées en réparation pour sauver l’humanité. Il a versé son Sang aussi
    sur la Croix afin que les hommes acceptent cette Croix avec amour et humilité. Mais les hommes se
    sont moqués de cette douleur ! Et si, pour le Fils du Dieu vivant, les cieux furent fermés à sa mort
    jusqu’à ce qu’il y entre le jour de sa Résurrection, comment pouvez-vous penser, ingrats que vous
    êtes, que vous pourrez accéder au Ciel sans souffrance ?

    Moi, Je fus victime en même temps que mon Fils car je fus Corédemptrice avec Lui du genre humain.
    Repentez-vous, faites pénitence et priez.

    Bientôt le Fils de l’Homme viendra et demandera compte à chacun selon ses œuvres. Il viendra avec
    une grande puissance et une grande majesté. Beaucoup d’entre vous demeureront abasourdis en sa
    présence mais même à ce moment là, vous n’aurez pas honte de vos fautes. Ne provoquez plus la
    Justice divine par vos péchés. Vous vous attachez aux choses matérielles et oubliez les choses divines.

    Baise le sol, ma fille, en réparation pour tant et tant de péchés qui sont commis dans le monde. Et
    continue d’être ce petit crucifix qui verse son sang pour le salut des âmes, ma fille. Aime de tout ton
    cœur ! Que personne ne t’afflige et que rien ne te trouble.

    Venez en ce lieu qu’a foulé mon pied virginal.

    Il n’y a que l’ingratitude des hommes qui puisse offenser Dieu à ce point. Si à n’importe quel animal,
    Dieu eût donné la raison, il louerait Dieu du matin au soir, et vous, créatures qui avez tout reçu,
    jusqu’au Sang de l’Agneau immolé, vous ne cessez d’offenser Dieu gravement ! Jusqu’où ira votre
    orgueil, mes enfants, jusqu’où ira votre hypocrisie ?

    Mais mon Fils savait bien qu’en versant son Sang, beaucoup se condamneraient. Il l’a versé pour ces
    âmes saintes et justes qui aujourd’hui sont au ciel des témoins de sa mort. Vois, ma fille, comme ils
    sont nombreux, les témoins de la mort du Rédempteur. Mais vois aussi ceux qui restèrent dehors et se
    condamnèrent à l’abîme par leur manque d’humilité, par leur manque d’amour. Ils se laissèrent tenter
    par l’ennemi comme Eve, au lieu de demander conseil à Dieu avant de parler et d’engager la
    conversation avec Satan. Son péché la conduisit vers l’ennemi et discuter avec lui parce que son
    orgueil ne lui permettait pas (à voix très basse elle dit quelques mots dans une langue inconnue) de
    voir clairement que Dieu seul pouvait régner, au lieu de quoi son orgueil lui fit voir qu’ils seraient des
    dieux comme Dieu, et elle se mit à discuter avec l’ennemi. Elle vit alors sa luxure et son orgueil, mais
    elle ne demanda même pas le pardon de Dieu à ce moment, et ne le questionna pas non plus sur
    l’origine de cette voix. Mais elle se réjouit et elle appela Adam pour le provoquer et le faire chuter. Et
    au lieu de s’humilier quand il entendit la voix de Dieu, Adam s’excusa devant Dieu en accusant Eve
    et Eve s’excusa en accusant l’ennemi. Ils ne virent pas leur orgueil.

    La même chose se passe avec vous, mes enfants, parce qu’au lieu de repousser l’ennemi, vous
    conversez avec lui et vous vous laissez entraîner par lui. Mon Fils fut tenté, mais dans sa tentation il
    ne chercha pas à discuter avec l’ennemi et il leva les cieux au ciel pour prier, prier et communiquer
    avec le Père pour ne pas tomber en tentation. Mais vous, mes enfants, au lieu de prier quand vous
    vient une tentation, vous tombez et vous vous réjouissez de votre faute. Pauvres de vous ! Vous
    cherchez à excuser vos fautes et vous chargez vos péchés sur les épaules de vos frères pour qu’eux
    les expient. Vous voulez éviter la croix et la douleur. La croix est salut, mes enfants. Ni le Christ, ni
    moi, n’avons fui la douleur. Que par votre sacrifice et votre pénitence, vos péchés deviennent blancs
    comme la neige. Mais ne vous enorgueillissez pas. Pensez à Pierre, quand il eut péché, il ne releva son
    visage creusé par la douleur et les larmes que pour demander pardon au Père. Comment pouvez-vous
    relever la tête sans repentir, alors que vous faites honte aux anges et faites rougir les Cieux ?
    Humiliez-vous, mes enfants, et demandez pardon à Dieu pour vos fautes.

    Et toi, petit crucifix, continue de t’immoler pour le salut des âmes. Les victimes doivent être priantes
    et immolées. Aime les êtres humains de tout ton cœur et écarte-toi de ceux qui te sont hostiles. Je te
    protégerai, mon Cœur Immaculé veillera sur toi. L’homme pense aux marques d’affection terrestres
    et fait peu de cas de la tendresse divine.

    Embrasse encore le sol, ma fille, en réparation de tant de péchés qui offensent nos Cœurs. Les âmes
    ne seront sauvées qu’avec la pénitence et la prière. Les hommes ont oublié cela. Sans douleur il n’y a
    pas de rédemption.

    Continuez de venir en ce lieu car mon Cœur y répandra beaucoup de grâces pour le salut des âmes.
    Réveillez-vous, mon Fils fait couler des fontaines de grâces sur vous. Ne les gaspillez pas, mes
    enfants. Aimez-vous les uns les autres comme mon Fils vous a aimés. Et toi, ma fille, continue de
    réparer pour les péchés des autres ; tu es une victime et la victime doit s’immoler.

    Récitez le saint Rosaire tous les jours, approchez-vous de l’Eucharistie mais auparavant lavez votre
    conscience, car beaucoup d’entre vous n’accordent pas d’importance au péché. Le péché vous
    effraie mais pas l’offense. Vous ne voyez pas le péché tel qu’il est, vous considérez que ce n’est pas
    grave, mes enfants, mais lorsque vous vous réjouissez par votre péché, vous ne vous effrayez pas
    d’offenser Dieu gravement.

    Levez tous les objets, tous seront bénis avec des grâces particulières, pour que beaucoup d’entre vous
    se fixent en Dieu, que vous avez complètement oublié. Votre cœur est sec d’amour pour Dieu. Et
    celui qui n’aime pas Dieu, son amour pour les hommes n’est pas pur. Si tu aimes Dieu de tout ton
    cœur, de toutes tes forces et avec tes cinq sens, alors tu aimeras l’homme de tout ton cœur. Toi, ma
    fille, sois humble, très humble ; agis avec force, avec énergie. Je vous donne la paix, mes enfants.

    MENSAJE DEL DÍA 3 DE DICIEMBRE DE 1988, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)

         LA VIRGEN:

         Hija mía, hoy voy a hacer un llamamiento a todas las víctimas orantes y dolientes; a aquellos pequeños crucifijos que mi Hijo escoge para portavoces de la Humanidad:

         Hijos míos, seguid haciendo oración y penitencia por vuestros hermanos, por aquellas almas que han traspasado la bóveda del cielo por sus pecados. Que el Cielo se ha enrojecido de vergüenza por tantos y tantos pecados que han cometido de lujuria, de soberbia, de hipocresía, de apego a lo material... Seguid orando, pequeños portavoces, para que estas pobres almas puedan salvarse; pero, ¡ay de aquéllos que cargan su culpa sobre las espaldas de sus hermanos!, su sufrimiento será terrible, porque muchos de vosotros, hijos míos, queréis quedar exentos de vuestra culpa, sin dolor, sin reparación. Vuestra soberbia os sigue introduciendo en el mal, en el pecado, en la envidia, en la soberbia, en la hipocresía, en la falta de caridad. ¡Ay de vosotros, que no escucháis a mis portavoces!, vuestro dolor será terrible.

         ¿Queréis, hijos míos, llegar a la cumbre sin dolor? Y si la Víctima inmolada inocente, su Padre cerró los Cielos, para que no se viese (palabra ininteligible) nada de su dolor, para que se consumase hasta el sacrificio de la Cruz, ¿cómo vosotros, pecadores empedernidos, sois capaces de alzar la vista al Cielo sin arrepentiros de vuestros pecados? No tentéis a la justicia divina de Dios por vuestros pecados, por vuestra soberbia. Humillaos, hijos míos; está escrito: “El que se humilla será ensalzado”.

         Mi Hijo derramó su Sangre por muchas partes de la Tierra para dejar santificados muchos lugares. La derramó ante los jueces; la derramó en el Templo; la derramó ante los soldados flagelantes; la derramó ante los hombres de la ciencia, para que aplicasen la ciencia fijándose en lo divino, no en lo humano; porque si se aplicaba la ciencia según el entendimiento humano, no dirían la verdad.

         Todas las calles de la ciudad fueron manchadas de sangre para purificarlas, aun pensando que muchos de los hombres cometerían crímenes atroces y pecados gravísimos contra Dios, su Creador. Derramó su Sangre delante de los soldados, para darles ejemplo de humildad, para que su odio fuese convertido en amor; derramó su Sangre en el Templo, para que acatasen sus Leyes los sumos sacerdotes; derramó su Sangre ante los gobernantes, para que gobernasen con justicia y con amor; derramó su Sangre ante los reyes —reyes temporales—, para que enseñasen a los hombres y aplicasen su monarquía según a la Ley de Dios. Pero para que no se envaneciesen, porque un día vendría mi Hijo a quitarles su corona y a hacerse Él Rey de reyes y a castigar a todos aquéllos que no lo aplicasen según las Leyes escritas. Derramó su Sangre por toda la Humanidad, aun sabiendo que para muchos de los que había derramado su Sangre iba a servir para su condenación este derramamiento de sangre.

         Sí, hija mía, como a mi Hijo no le quedó ni gota de Sangre, porque fue el Cordero degollado, víctimas inmoladas sois de reparación para salvar a la Humanidad, hijos míos.

         También derramó su Sangre en la Cruz, para que los hombres la aceptasen con amor y con humildad. ¡Y los hombres han hecho mofa de todo este dolor! Y, si para el Hijo de Dios vivo fueron cerrados los Cielos hasta después de su muerte, que se rasgaron, para que entrase el día de su Resurrección, ¿cómo para vosotros, ingratos, pensáis que sin dolor podéis alcanzar el Cielo?

         Yo fui víctima, al mismo tiempo que mi Hijo, porque era Corredentora con Él del género humano.

         Arrepentíos, haced penitencia, haced oración.

         Pronto llegará el Hijo del hombre y pedirá cuenta a cada uno según sus obras. Y llegará con un gran poder y una gran majestad. Y muchos de vosotros quedaréis atónitos ante su presencia, y ni aun en ese momento os avergonzaréis de vuestra culpa, hijos míos. No provoquéis más a la Justicia divina con vuestro pecado. Os apegáis a las cosas materiales y olvidáis las divinas, hijos míos.

         Besa el suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados como se cometen en el mundo... Y sigue siendo ese pequeño crucifijo, derramando tu sangre para la salvación de las almas, hija mía. ¡Ama con todo tu corazón! Y que nadie te aflija, hija mía, y nada te turbe.

         Seguid acudiendo a este lugar pisado por mi planta virginal.

         Sólo la ingratitud de los hombres es capaz de ofender a Dios gravemente. Si a cualquiera de los animales Dios le hubiese puesto una razón, estaría alabando a Dios desde la mañana a la noche, ¡y vosotros creaturas, que lo habéis recibido todo, hasta la Sangre del Cordero degollado, no dejáis de ofender gravemente a Dios! ¡Hasta dónde llega vuestra soberbia, hijos míos, hasta dónde vuestra hipocresía!

         Pero mi Hijo, aun sabiendo que derramando su Sangre muchos se iban a condenar, la derramó por aquéllos, por aquellas almas santas y justas que hoy se encuentran en el Cielo testigos de su muerte. Mira qué gran número, hija mía, fue testigo de la muerte del Redentor. Pero mira, hija mía, los que quedaron y se condenaron en el abismo por su falta de humildad, por su falta de amor. Se dejan tentar, como Eva, por el enemigo, en vez de pedir a Dios consejo antes de hablar y entablar la conversación con Satanás. Su malicia ya fue dando los pasos hacia el enemigo y entabló su conversación, porque su soberbia no le hizo... (en voz muy baja dice unas palabras en idioma desconocido) ver con verdad que sólo Dios podía reinar, sino su soberbia les hizo ver que serían dioses como Dios, y se fue a entablar conversación con el enemigo. Entonces se vio su lujuria, su soberbia; pero ni aun pidió a Dios perdón en ese momento ni llamó para preguntar quién era y de dónde venía aquella voz, sino que ella se regocijaba; y no contenta con regocijarse ella llamó a Adán y le provocó para que cayese. Y en vez de humillarse, cuando oyó la voz de Dios, Adán se excusaba diciendo que había sido Eva, y Eva se excusaba diciendo que había sido el enemigo. No vio su soberbia.

         Eso os pasa a vosotros, hijos míos, que, en vez de rechazar al enemigo, conversáis con él y os dejáis arrastrar por él. Mi Hijo fue tentado, pero en su tentación no quiso conversación con el enemigo y alzó su vista al Cielo orando, orando y comunicándose con el Padre para no caer en tentación. Pero vosotros, hijos míos, en vez de orar cuando os viene una tentación, caéis y os regocijáis en ella. ¡Pobres de vosotros! Repito que queréis quedar exentos de vuestras culpas y cargáis vuestros pecados en la espalda de vuestros hermanos, para que ellos los reparen. Huís de la cruz y del dolor. La cruz es salvación, hijos míos. Ni yo huí del dolor, ni Cristo tampoco, hijos míos. Que vuestros pecados queden limpios como la nieve por vuestro sacrificio y vuestra penitencia. Pero no os ensoberbezcáis engriéndoos. Pensad en Pedro, que cuando pecó no levantó la vista del suelo; sólo la levantaba para pedir al Padre perdón de sus pecados. Su vista quedó pegada al suelo y sus mejillas quedaron hundidas por el dolor y las lágrimas. ¿Cómo sois capaces, hijos míos, después de enrojecer los cielos y avergonzar a los ángeles, levantar vuestras cabezas sin dolor ni arrepentimiento? Humillaos, hijos míos, y pedid perdón a Dios de vuestras culpas.

         Y tú, pequeño crucifijo, sigue inmolándote por la salvación de las almas. Las víctimas tienen que ser orantes e inmoladas. Ama con todo tu corazón a los seres humanos y retírate de aquello que te daña, hija mía; yo te protegeré, mi Inmaculado Corazón velará por ti. El hombre piensa sólo en los cariños terrenos y se ocupa poco de los divinos.

         Vuelve a besar el suelo, hija mía, en reparación de tantos y tantos pecados como ofenden nuestros Corazones...

         Sólo con penitencia y oración se salvarán las almas. Esto lo han olvidado los hombres. Sin dolor no hay redención.

         Seguid acudiendo a este lugar, que derramará mi Corazón muchas gracias para la salvación de las almas.

         Y vosotros, despertad, que mi Hijo está derramando fuentes de gracias sobre vosotros. ¡Cómo las desaprovecháis, hijos míos! Amaos los unos a los otros, como mi Hijo os ha amado. Y tú, hija mía, sigue reparando los pecados de los demás; piensa que eres víctima, y la víctima tiene que inmolarse.

         Rezad el santo Rosario todos los días; acercaos a la Eucaristía, pero antes lavad vuestra conciencia, que muchos de vosotros no le dais importancia al pecado. Os asusta el pecado y no os asusta la ofensa... Os asusta el pecado porque no lo veis, no lo queréis ver grave, hijos míos, pero cuando gozáis del pecado no os asusta ofender gravemente a Dios.

         Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos con gracias especiales, para que muchos de vosotros os fijéis en lo divino, que lo tenéis completamente olvidado, hijos míos. Vuestro corazón está seco de amor a Dios. Y el que no ama a Dios, su amor hacia los hombres no es limpio. Si amas a Dios con todo tu corazón, con todas tus fuerzas y con tus cinco sentidos, amarás al hombre con todo tu corazón.

         Tú, hija mía, sé humilde, muy humilde y compórtate con fortaleza, con energía.

         La paz os dejo, hijos míos.


     


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