• L'escorial 1985

    Les apparitions de Jésus et Marie à L'ESCORIAL
    1985

    1er janvier 1985

    La Très Sainte Vierge : Ma fille, j’ai attendu jusqu’au dernier moment, parce que beaucoup de curieux étaient présents. J’ai déjà dit à une autre occasion : « Dehors les curieux ! » Et en ce moment je répète ces mêmes paroles : « Dehors les curieux ! » Ils ne sont pas dignes de participer à ces mystères si saints. Je vais te révéler un autre mystère, ma fille, du plus profond de mon Cœur. Je veux que tu y participes. Je vais te l’expliquer. 
    Amparo : Voici Marie. Elle est avec l’Enfant. Ils sont toujours dans la Crèche. Voici saint Joseph. Il porte l’Enfant dans ses bras. Saint Joseph est à genoux ; il prie. Il se lève et dit à Marie : « Marie, mon Epouse, nous devons quitter cet endroit. Nous devons aller à Nazareth. Prépare-toi, le chemin est long. Nous ne pouvons plus rester ici, il y a beaucoup d’humidité, il fait trop froid pour l’Enfant. Rassemble tes affaires puis nous partirons, Marie, mon Epouse. »
    Marie le regarde et lui dit : « Joseph, mon Epoux, je suis obéissante et je ferai ce que tu voudras. C’est avec une grande douleur dans le Cœur que je partirai de cet endroit, où tant de mystères ont eu lieu, où est né le Fils Premier-né de Dieu et mon Fils Premier-né. Mais si tu veux, toi, mon Epoux, que nous partions, nous partirons. »

    Marie se lève avec l’Enfant dans les bras ; elle regarde autour d’elle ; elle regarde l’endroit où elle a vécu et met la main sur sa poitrine ; elle lève les yeux au Ciel et elle dit : « Dieu du Ciel, mon Créateur, si c’est ta volonté que j’abandonne ce lieu…, mais tu sais qu’il faut qu’un autre mystère s’accomplisse ici. Je l’ai lu dans les Ecritures et il faut qu’il s’accomplisse ; mais je serai obéissante jusqu’à la mort et j’obéirai à mon Epoux. » 
    Alors on entend un grand bruit. Quelle voix ! et cette voix déclare : « Joseph, chaste Joseph ! et toi, Marie, Pure jeune fille ! Ecoutez, je vais vous communiquer un autre mystère. » 
    Ah ! Il y a trois hommes maintenant ! Ceux qui ont circoncis Jésus ! Ils lèvent les mains ! Eux aussi ont entendu cette voix. Ils s’agenouillent. Ah ! Ils écoutent la voix … Ah ! une lumière apparaît… ! C’est un ange. Ah !… (L’ange parle :)
    « Marie, je suis l’Archange Gabriel - lui dit-il. J’apporte un nom nouveau pour ton Fils Premier-né. Il s’appellera Jésus. » 
    La Sainte Vierge se prosterne jusqu’à terre, elle prend l’enfant qui repose dans la mangeoire et s’exclame : 
    « Dieu Créateur, ô mon Dieu Tout-Puissant, le Fils de mes entrailles, quand il prit chair humaine, m’avait révélé ce Nom, et qu’il s’appellerait Jésus. Mais je Te rends grâce d’avoir entendu ce Nom de ta bouche. »
    Alors Joseph se lève, les mains tendues, regarde le ciel et dit :
    « Mon Epouse, moi aussi je connaissais ce secret ; mais je ne voulais pas le dire avant qu’il ne soit révélé à nous deux. »
    (Amparo poursuit) : 
    Ah ! quelle beauté ! Ah ! comme cela est grand ! Ah ! et que va faire cet homme ? Ah ! Il prend un papier, il se lève, il le prend et écrit avec une plume, comme une plume d’oiseau, et il écrit le nom. Quel est ce nom ? Ah ! C’est le nom de Jésus ! Ces hommes joignent les mains et regardent le ciel ; ils rendent grâce à Dieu en disant : « Le Dieu Sauveur a ressuscité en nous la foi ; la foi et l’amour. Nous serons fidèles, très fidèles, parce que notre âme a tressailli dans notre corps. »
    Ah ! Un autre ange apparaît, et beaucoup d’autres encore ! Ils portent sur leur poitrine un blason suspendu à une cordelière. Ils portent tous ce nom : Jésus, Jésus. Et un autre ange porte une grande feuille de papier sur laquelle est écrit le nom de Jésus. Ah ! quelle beauté ! Comme tu es grande, ma Mère ! Mon Dieu ! quelles choses il y a ici ! Quelles grandes choses !…. Ah ! Ah, ma Mère, quelles lumières ! De ces corps sortent une grande lumière et les rayons se réunissent au-dessus de la Crèche où se trouve le Seigneur… Ah, ils l’appellent par son nom : JESUS, JESUS ! Tous les anges l’entourent et s’agenouillent ; ils adorent Jésus. Quelle beauté ! Quel amour d’Enfant ! Ah, quelle beauté ! 
    La Très Sainte Vierge : Oui, ma fille, la Victime innocente a été circoncise bien qu’elle fût innocente, pour…
    Amparo (elle l’interrompt avec émotion) : Oh : le pauvre ! Le pauvre ! Ah ! son visage… ! Comme tu es beau ! Le pauvre ! Laisse-moi le prendre un instant seulement ! Ah, seulement un instant ! Ah, ah ! comme cela est grand… ! Ah, ah, comme tu es beau ! ah ! quelle beauté ! Ne pleure plus… Ah : Prends-le ! Ah ! Il ne pleure plus… ! C’est bien ! Ah ! quelle grande chose ! Ah ! cet Enfant ! Ah, ah !…
    La Très Sainte Vierge : La Victime innocente a versé son Sang pour donner à l’humanité un exemple d’obéissance, ma fille, car Jésus est né sans tache. Mais il s’est humilié devant les lois en exemple pour les hommes. Il s’est fait l’égal de tous ceux qui se faisaient circoncire. Regarde parmi eux celui que tu connais.
    Amparo : Ah ! Ce petit enfant est là aussi ?… Ah ! C’est l’enfant de cette femme à qui l’ange est apparu. Ah ! C’est le Précurseur ? Ah ! Comme tu es grand ! Et comme ils sont grands, les mystères qui ont lieu ici, n’est-ce pas ? 
    La Très Sainte Vierge : C’est pour cela que je veux que tu participes à mes mystères. Et à tous, tu y vas prendre part, ma fille, tous te seront révélés. 
    Amparo : Ah ! quelle joie ! Tous ? Ah ! Quel bonheur ! Et maintenant, qu’allez-vous faire ? Allez-vous rester ici ? Jusqu’à quand ? 
    La Très Sainte Vierge : Jusqu’à ce que les Rois Mages viennent apporter leurs présents à mon Fils. 
    Amparo : Ah ! Ah ; quelle joie ! Ah !…
    La Très Sainte Vierge : Joseph est content lui aussi que mon Fils reçoive des cadeaux. 
    Amparo : Ah ! Ah !, ma Mère ! Je ne veux plus être ailleurs qu’ici. Je veux rester ici. Je ne veux plus bouger d’ici. Ah ! quel bonheur ! Comme on est bien ici avec tous ces anges ! Ah, ma Mère… ! Oh ! Et cette lumière qui sort d’ici, du centre ! Ah, et bien, dis-moi tout maintenant. Allons, tout … ! Oh ! 
    La Très Sainte Vierge : Ces choses te seront révélées peu à peu, ma fille. 
    Amparo : Ah ! maintenant, encore ! Ah, quelle joie ! Ma Mère, aide-moi à devenir meilleure ! Ah ! Pourquoi suis-je si mauvaise… Mais, comment puis-je être bonne ? Ah ! Toi, aide-nous, Mère, Toi qui est si bonne. Comment as-tu pu dire que tu n’étais qu’un ver, Toi qui est si bonne ?…Ah ! Quel bonheur ! Ah !…
    La Très Sainte Vierge : Voici des jours de bonheur et de joie, ma fille. Je veux que vous participiez à cette joie. C’est pourquoi je vais te faire voir toute la vie et l’enfance de Jésus. 
    Amparo : Ah, comme c’est grand !Ah !…. Et maintenant donne la bénédiction à tous ceux qui sont ici. Ah, et à moi aussi ! Ah ! Tu me diras d’autres choses un autre jour. Mais ces choses sont si grandes, si grandes… Ah, mon Dieu, quelles choses…! 
    Ah ! Je ne suis ni en haut ni en bas. Alors, où suis-je ? 
    La Très Sainte Vierge : Par l’humilité, tu parviendras en haut.
    Amparo : Aujourd’hui ? ou alors, quand ?….
    La Très Sainte Vierge : Je vais vous donner ma sainte bénédiction. Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par l’intermédiaire du Fils et avec le Saint-Esprit. Au revoir, mes enfants, au revoir !

    table des matières

    MENSAJE DEL DÍA 1 DE ENERO DE 1985, SANTA MARÍA MADRE DE DIOS,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hija mía, he esperado hasta el último momento porque hay presentes muchos curiosos; y dije en una ocasión: “¡Fuera los curiosos!”. Pues en estos momentos repito las mismas palabras: “¡Fuera los curiosos!”. No son dignos de participar en estos misterios tan santos. Te voy a revelar otro misterio, hija mía, de lo más profundo de mi Corazón; quiero que participes en él. Sigue viendo y explicando.
     
     

         LUZ AMPARO:

         Sigo viendo a María. Está con el Niño. Siguen en la cueva. Está san José. Tiene el Niño en brazos. San José está de rodillas; está orando. Se levanta; le dice a María: “María, esposa mía, tenemos que marchar de este lugar; tenemos que ir a Nazaret. Prepara tus cosas, que es largo el camino. No podemos seguir en este lugar, hay mucha humedad; hace mucho frío para el Niño. Arregla tu ropa y coge tus cosas y nos iremos, María, esposa mía”.

         María se queda mirándole y le dice: “José, esposo mío, soy obediente y haré lo que tú quieras. Con mucho dolor de mi Corazón dejaré este lugar donde han sucedido tantos misterios, donde ha nacido el Primogénito de Dios y el Primogénito mío; pero si tú, esposo mío, quieres que marchemos, marcharemos”.

         María se levanta con el Niño en brazos; mira por toda la casa; mira en las habitaciones y se pone la mano en el pecho; levanta la vista al cielo y dice: “Dios celestial, mi Creador, si es tu voluntad que abandone este lugar..., pero sabes que hay otro misterio que se tiene que cumplir en este lugar. Yo lo he leído en las Escrituras y esto tiene que cumplirse; pero soy obediente hasta la muerte y obedeceré a mi esposo”.

         En este momento se oye un gran ruido. ¡Qué voz! Esa voz le dice: “José, casto José; María, pura doncella; sentaos, que voy a comunicaros otro misterio”.

         ¡Ay, están esos tres hombres ahí!, los que han circuncidado a Jesús. ¡Ay, se ponen la mano para arriba! Ellos también han oído esa voz. Se arrodillan. ¡Huy!, oyen la voz... ¡Huy, aparece ahí una luz...! Es un ángel. ¡Ay!

         “María, soy el ángel san Gabriel —le dice—. Traigo un nuevo nombre para tu Hijo primogénito. Se llamará Jesús”.

         La Virgen se agacha con la cabeza en el suelo, pone el Niño recostado en el pesebre y exclama: “Dios Creador, mi Dios omnipotente, mi Hijo, en mis entrañas, cuando tomó carne humanizada, me reveló este nombre, que se llamaría Jesús; pero he querido escuchar de tus labios este mismo nombre”.

         Entonces, José se levanta con las manos al cielo y, mirando, dice: “Esposa mía, yo también sabía este secreto; pero no quería revelarlo hasta que no fuésemos revelados ante los dos este secreto[1]”.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, qué hermosura! ¡Ay, ay, qué grande es esto! ¡Ay! Entonces, ¿qué hace ese señor? ¡Ay!, coge un papel, se levanta, coge y escribe con una pluma, como si fuese una pluma de un ave, y escribe el nombre. ¿Qué pone ahí en ese nombre? ¡Ay, el nombre de Jesús! Estos hombres juntan las manos y miran al cielo y dan gracias a Dios y dicen: “Dios Salvador ha resucitado en nosotros la fe, la fe, el amor. Seremos fieles, muy fieles, porque se ha movido nuestra alma dentro de nuestro cuerpo”.

         ¡Ay! Aparece otro ángel y otros muchos. Llevan un escudo en el centro del pecho, con un cordón colgado. Pone en todos los nombres: “Jesús, Jesús”. Y otro ángel lleva un gran pliego de papel y lo enseña, con el nombre de Jesús. ¡Ay, qué hermosura! ¡Qué grande eres, Madre mía! ¡Dios mío, qué cosas hay ahí! ¡Cuántas cosas...! ¡Ay, ay, Madre, qué luces! En esos cuerpos sale mucha luz, y los rayos forman encima de la cueva donde está el Señor... ¡Ay, “Jesús”, “Jesús” pone! Todos los ángeles se ponen alrededor y se arrodillan adorando a Jesús. ¡Qué hermosura! ¡Qué hermosura de Niño! ¡Ay, qué hermosura!
     
     

         LA VIRGEN:

         Sí, hija mía, la Víctima inocente ha sido circuncidada siendo inocente, para...
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, pobrecito! ¡Pobrecito! ¡Ay, qué cara tiene! ¡Ay, qué lindo eres! ¡Pobrecito! ¡Ay, ay, qué lindo eres! ¡Ay, pobrecito! Tráelo un poquito sólo. ¡Ay, sólo un poquito! ¡Ay, ay, qué grande! ¡Ay, ay, qué lindo eres! ¡Ay, qué hermosura! ¿Ya no lloras? ¡Ay, tómalo! ¡Ay, ay, ya no llora! Ya está bueno, ¿eh? ¡Ay, qué cosa más grande! ¡Ay, qué Niño! ¡Ay, ay!
     
     

         LA VIRGEN:

         La Víctima inocente ha derramado su Sangre para dar ejemplo a la Humanidad en obediencia, hija mía, porque Jesús nació sin mancha; pero se humilló a las leyes para dar ejemplo al ser humano. Se igualó a todos aquéllos que iban a circuncidarse. Entre ellos mira cuál conoces.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay! ¿También ha ido ese niño...? ¡Ay!, ése es el de esa señora que fue el Ángel. ¡Ay! ¿El Precursor? ¡Ay, qué grandes sois! ¡Cuántos misterios tenéis ahí, ¿eh?
     
     

         LA VIRGEN:

         Por eso quiero que participes en mis misterios. Y los vas a participar todos, hija mía, todos te serán revelados.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, qué alegría: todos! ¡Ay, qué alegría! Y ahora, ¿qué hacéis ahí? ¿Vais a estar ahí? ¿Hasta cuándo?
     
     

         LA VIRGEN:

         Hasta que vengan los Magos de Oriente a traer presentes a mi Hijo.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay! ¡Ay, qué alegría! ¡Ay...!
     
     

         LA VIRGEN:

         También le gustó a José que mi Hijo tuviese regalos.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay! ¡Ay, Madre mía! Yo quiero ya no estar en la otra parte. Quiero estar en ésta. Yo no quiero ir al otro lado más. ¡Ay, qué alegría! ¡Qué bien se está aquí con tantos ángeles! ¡Madre mía, qué cosas!, ¿eh? ¡Ay, cuántos! ¡Qué luz sale de ahí, del centro! ¡Ay, pues dime hoy todo! ¡Anda, hoy todo! ¡Ay!
     
     

         LA VIRGEN:

         Se te serán revelados poco a poco, hija mía.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay!, ¿ahora otra vez así? ¡Ay, qué alegría! ¡Madre mía, ayúdame Tú a ser mejor!, ¿eh? Porque soy más mala... ¡Ay! Pero ¿cómo se puede ser buena? ¡Ay, ayúdanos Tú, Tú, Madre mía, Tú que eras tan buena! ¿Y cómo has dicho que eras una vil gusano, si Tú eres muy buena? ¡Ay, qué alegría! ¡Ay...!
     
     

         LA VIRGEN:

         Son unos días de alegría y de gozo, hija mía. Quiero que participéis en ese gozo. Por eso te hago ver toda la vida de infancia de Jesús.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, qué grande! ¡Ay...! Bueno, pues ahora nos das la bendición a todos los que hay ahí abajo. ¡Ay, a mí también! ¡Ay! Otro día me dices más cosas, ¿eh? Pero muy largas, muy largas. ¡Ay qué cosas, Dios mío...! ¡Ay!, ni estoy abajo, ni estoy arriba. Pues entonces, ¿dónde estoy? ¡Ay...!
     
     

         LA VIRGEN:

         Con humildad conseguirás estar arriba, hija mía.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Oy!, pues ¿cuando será...?
     
     

         LA VIRGEN:

         Voy a dar mi santa bendición: os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

         Adiós, hijos míos. ¡Adiós!

    [1] Construcción gramatical extraña; quiere decir: “...hasta que nos fuese revelado ante los dos este secreto”.

    5 janvier 1985

    Message du 5 janvier 1985, premier samedi du mois au Pré neuf de l'Escorial

    LA SAINTE VIERGE :
    Ma fille, je t’ai dit que tu continuerais à voir le mystère des Rois, ces Mages d’Orient. Raconte ce que tu vois.

    LUZ AMPARO :
    Je continue de le voir. . . L’Enfant est dans la grotte ; il y est encore. Saint Joseph dit à la Sainte Vierge qu’ils vont partir en ce moment. La Sainte Vierge Marie lui répond en regardant partout autour d’elle. Saint Joseph va vers elle et lui dit : “ Mon épouse, reprends tout, car ce lieu ne convient plus pour continuer à y vivre ”.

    Pauvre enfant ! L’enfant est là. Le pauvre ! Ah ! Ah, qu’il est petit ! Ah, il est si pauvre ! Ah ! Où vont-ils aller ? . . . Joseph prend l’Enfant. Ah, qu’il est petit ! Ah, il est si petit le pauvre ! Il le prend dans les bras et la Sainte Vierge se met à genoux. Ils entendent une voix qui leur dit : “ Pure jeune fille et Joseph, chaste Joseph : que vous ne partiez pas avant que les Mages d’Orient ne soient arrivés ”.

    Ah ! La Sainte Vierge est à genoux avec les mains jointes. Elle regarde le ciel. Ah ! Que dit-elle ? : “Dieu éternel, je t’ai dit que je ne voulais pas abandonner ce lieu. J’y ai beaucoup de souvenirs. Ici se sont produits beaucoup de mystères. C’est un très grand souvenir que celui que j’ai de ce lieu. Merci, Père Eternel, mon Dieu aimé, mon Dieu créateur. Je te rends grâces de m’avoir fait mère, moi mère indigne, de cet Enfant, Roi du Ciel et de la Terre ; mon Créateur ”.

    Ah, quelle très belle chose ! Ah ! Saint Joseph a l’Enfant. Il continue à le tenir dans les bras. Ah ! La Sainte Vierge commence à tout placer et dit à saint Joseph : “ Joseph, pendant que tu as l’Enfant, je vais préparer un peu cette crèche et cette pauvre grotte, pour recevoir ces Mages qui viennent lui apporter des présents, à ton Fils et à mon fils naturel, ton fils adoptif et mon fils naturel ”.

    Ah, quelle beauté ! Ah, ce qu’il y a ici ! Quels rayons entrent ! Ah ! Ah, quelles grandes choses ! Ah ! D’où viennent-ils ? Ah ! Quels rayons vont là-bas ! Ah ! Il y en a un, un roi qui est dans son lit. Il se lève parce qu’il voit un rayon de lumière et il entend un ange qui lui dit : “ Lève-toi, va-t’en à Bethléem adorer Jésus qui est né, Roi des juifs. ”.

    Ah ! Ah, quelles belles choses ! Il y a un autre Roi avec un autre ange qui dit à nouveau : “ Lève-toi. Lève-toi ! Va-t’en à Bethléem adorer le Roi du Ciel et de la Terre qui est déjà né ”.

    Ailleurs, un autre ange dit de même au dernier : “ Lève-toi. Tu dois beaucoup voyager, et va-t’en à Bethléem, où est né le Messie, et va l’adorer ”.

    Ah ! Ils se lèvent. Ah ! Les trois sont au même endroit. Ah ! Un par un chemin, un autre par un autre, le dernier par son chemin, ils arrivent au même endroit. Les trois se rassemblent, s’agenouillent et se disent : Je vais adorer le Messie qui est né à Bethléem. Un Roi, le Roi des juifs ”.

    Tous les trois disent de même. Bien, qu’est-ce qu’ils emportent ? Ah, quel animal ! Ah, c’est un chameau ! Ah ! Ils montent sur lui. Ils vont par un chemin. Un rayon de lumière apparaît. Il forme une lettre qui est un “V”, et un huit inversé. Comme ils continuent à marcher ! Ah ! Celui-ci marchant devant. Les deux autres le suivant derrière. Ah, ils partent déjà ! Ah, ma Mère ! Il y a un écriteau qui met : “Jérusalem ”. Ils entrent à Jérusalem. Ils demandent à trois hommes, vêtus d’habits de romains, s’il est né ici un Roi. Ils disent qu’ils vont à Bethléem et demandent où se trouve Bethléem ; par quel chemin on y va. Alors ils leur disent qu’ici il n’est né aucun roi. L’un dit à l’autre : “ Demande où est Bethléem ”. “ J’entends,. . .” (Mots dans une langue inconnue). Ils ne veulent pas le renseigner. Ils partent en courant et disent à tous que ces Rois sont en train de demander s’il est né un Roi et que c’est le Roi des juifs.

    Alors, arrive un autre roi [Hérode]. Oh, qu’il est mauvais ! Oh, quel visage il a ! Et il leur demande : “ Où allez-vous ?”.
    Les trois répondent : “ Nous allons adorer un Roi ”.
    “ Où est ce roi ?”.
    “ Chemin de Bethléem ”, répondent-ils.
    “ Allez, cherchez-le et, quand vous l’aurez rencontré, prévenez-moi. Je veux adorer ce Roi moi aussi. J’en ai entendu parler et je veux l’adorer ”.

    Quand ils se furent éloignés, il dit aux autres : “ Celui-ci est le Roi que j’espérais. Nous devons le chercher. Va-t’en et préviens partout qu’il est né un Roi, qu’il faut sortir le chercher, parce qu’ici il n’y a pas d’autre roi que moi. Il n’y a pas d’autre roi ! dit-il à tous ”.

    Ah, ah, qu’il est mauvais !

    Ils arrivent. Ah, ils entrent déjà ! Ah, comment ils entrent ! Une lumière entre. Ah, comme si ce fut un rayon ! Ils entrent à l’intérieur. Ils s’agenouillent à la porte. La Sainte Vierge va les chercher et leur dit : “ Nous étions en train d’attendre votre visite ”.

    Le Roi — Ah ! –, ce Roi-là, il s’agenouille et il prend la main de la Sainte Vierge, la baise et lui dit : “ Madame, dame aimée, Mère de David, Mère de David ”.

    Ah ! Mais Il n’est pas David. Quelle confusion il y a là ! Ah !

    “ Etoile de David ”.

    Ah !, mais comment peut-elle être la Mère de cet Enfant ? Comment peut-elle être la Mère de David ? Ah, Reine, Mère. . ., quelle confusion il y a ici ! Il l’explique d’un autre endroit, il marche ; d’autre forme.

    “ Etoile et Mère de. . . de toutes les tribus de David ”.

    Mais quelle confusion ! Ah !

    “ Mère du Sauveur”.

    Ça oui.

    “ Et Reine et Dame ”.

    Ah, ils entrent à l’intérieur ! Ah ! Saint Joseph a l’Enfant. Ils s’agenouillent. Ah, avec la tête contre le sol.  Ah, comment ils l’adorent. . . ! Ils disent alors à la Sainte Vierge : “ Madame, quelle pauvreté il y a en ce lieu. L’Enfant, l’Enfant va y prendre froid ”.

    La Sainte Vierge lui montre les environs. Elle lui montre la maison. Ah, la petite maison ! Oui, c’est une grotte ! Ah, quelle lumière ! Il y a une lumière. Quelle lumière ! Ah ! Les Rois baisent le sol et saluent saint Joseph et la Sainte Vierge, et leur disent. . . : “ Nous allons chercher domicile en un autre lieu. Nous y allons, Madame, qu’il ne sorte pas. Il y a un fort vent ”.

     Ils s’en vont par le chemin. Ils arrivent à une boutique, ils y achètent un vêtement, des couvertures et des jouets. Ah, ah, ils envoient celui-ci ! Ah ! Celui-là doit venir avec eux. Ah ! Ils lui donnent tout et lui disent qu’il aille porter tous ces présents à un Enfant très pauvre qui est né à Bethléem. Ah, quelle joie il va apporter ! Mère, les couvertures ! Ah ! Ils arrivent et lui donnent le vêtement. Ils le donnent à la Sainte Vierge ainsi que les jouets.

    Ah, quelles grandes choses ! Le pauvre ! Le pauvre, quelles. . . belles choses ! Il n’avait rien. Ah, qu’il est joli ! Ah ! La Sainte Vierge prend l’Enfant, lui donne un baiser et lui dit : “ Mon bien-aimé, Dieu mon Créateur, me donnez-vous la permission de vous reposer ? ”.

    Comment lui répond l’enfant ! Il lui dit : “ Mon aimée, Mère Immaculée, ma Mère ; merci de m’avoir donné chair humaine ”.

    La Sainte Vierge lui répond : “ Fils de mes entrailles, je n’en suis pas digne, je ne suis qu’un ver. Je ne suis pas digne de t’avoir donné chair humaine, ah, Dieu, mon Créateur, Tout-Puissant, Roi du Ciel et de la Terre ! Mon étoile brillante, dors et repose-toi ”.

    Ah, quelle beauté ! Ah, que tu es grand ! Ah, quelle grandeur ! Ah ! Ah, le pauvre !

    Maintenant ils viennent une autre fois. Une autre fois ? Ah ! Mais où vont-ils maintenant ? Ils passent tous les trois une autre fois à la grotte. Ils ont déjà porté les présents. Ils portent une boîte et la découvrent en entrant. Elle contient un collier et une bague de diamants ; et un roi dit à la Sainte Vierge : “ Madame, jeune fille, Mère du Messie, je veux aussi vous offrir quelque chose. Recevez cette. . . ”. Oh, que c’est beau ! C’est un bijou. Ah ! La Sainte Vierge baisse la tête et lui dit qu’Elle ne veut pas de bijoux, qu’elle a reçu les présents pour son Fils ; mais qu’Elle ne veut pas de bijoux pour elle. Que jamais, elle n’en a mis, jamais. Et que maintenant, encore moins. Le plus grand bijou que Dieu lui ait donné a été d’être Mère de Dieu, son Créateur. Mère de cet Enfant fait homme pour mourir pour l’Humanité. Ah, la pauvre ! Ah, la pauvre !

    (La Sainte Vierge continue). “ Je ne veux pas. Vous pouvez faire quelques présents aux pauvres, car en ce jour il y a beaucoup de pauvres qui n’ont rien pour se vêtir ni pour manger. Je vous remercie mais je ne l’accepte pas ”. 

    Il le met une autre fois dans la boîte et l’emporte. Alors ils demandent à la très sainte Vierge. Ah ! Que disent-ils ? Qu’elle leur donne conseil pour gouverner leur pays, parce qu’ils veulent gouverner avec les lois que Dieu a données. Ah ! La Sainte Vierge s’approche du coin de la crèche et dit à l’Enfant qu’il réponde à sa place. Ah ! Que leur dit-il ? Qu’ils respectent les lois, les lois qui sont écrites, que sans ces lois il n’y aura point de salut. Ah, comme ils sont contents ! Ah ! Ils baisent la main de la Sainte Vierge, s’agenouillent, baissent à nouveau la tête au sol, baisent le sol, se lèvent et s’en vont. Ah, qu’ils sont heureux ! Ils se frottent les mains et se disent l’un à l’autre : “ Voici un présent que nous avons reçu du Ciel ! C’est le plus grand présent que nous ayons pu recevoir ”.

    Ah, qu’ils sont contents ! Ah, le pauvre ! Ils se retrouvent seuls une autre fois. Ah, quelle forte bouffée d’air ! Ah ! Comme il pleut ! Comme l’eau tombe ! Quel vent violent ! Il frappe aux fenêtres de la grotte. Il fait très froid. La Sainte Vierge met une couverture sur la crèche pour que l’Enfant n’ait pas froid. Quel vent ! La Sainte Vierge sort à la porte de la grotte. Elle joint les mains et regarde le ciel et dit aux nuages : “ Nuages sombres, ne déchargez pas votre colère sur un innocent, sur Dieu votre Créateur, ne le maltraitez pas, ne lui faites pas de mal, il est innocent. Faites-moi tout le mal que vous pouvez faire, mais ne touchez pas à l’Enfant, il est innocent. Que vous a-t-il fait, Lui ? Le pauvre ! Le pauvre ! Vous déchargez votre colère à cause du péché, mais ne la déchargez pas sur cet innocent qui est sans tache ; sur votre esclave et sur tout ce qui est, mais pas sur lui, le pauvre ! Le pauvre ! Ah, il est si petit ! ”. Ah ! Ah, le Soleil apparaît ! Ah, quel Soleil ! Ah, quel Soleil et quelle chaleur ! Ah ! La Sainte Vierge sort de nouveau et dit : “ Merci, mon Père, de m’avoir donné tout ce que je t’ai demandé ; je ne te l’ai pas demandé pour moi, mais pour ton Fils et le mien. Merci, mon Père ! ”.

    Ah, que tu es bonne ! Laissez-moi un petit peu plus ici. Ah ! Parce que oui je ne veux pas partir d’ici. Ah ! Ah, quel bien il y a ici ! Ne me dites pas que je m’en aille. Ah ! Je ne veux pas partir d’ici. Ah ! Ah ! Raconte-moi plus de choses, raconte-les moi ! Ah, que tu es grande ! Ah !

    LA SAINTE VIERGE : 
    Oui, ma fille, je veux donner un exemple d’humilité et de pauvreté. Mon fils en a donné un, ma fille. C’est pourquoi je veux que le plus grand présent que vous puissiez offrir à mon Fils soit de vous approcher du sacrement de l’Eucharistie et du sacrement de Réconciliation. C’est le plus grand présent, mes fils. Aussi je te demande, ma fille, que ton plus grand présent soit celui de l’humilité. Je veux que tu sois humble, très humble, pour pouvoir atteindre tout ceci [c'est à dire pour pouvoir aller au Paradis après sa mort].

    LUZ AMPARO: 
    Ah !, je ne veux pas partir une autre fois de là ; non, je veux être ici. Tu sais quelle douleur j’ai quand je me vois une autre fois dans cet autre lieu ? Ah, laisse-moi que je reste ici !

    LA SAINTE VIERGE : 
    Tu ne t’es pas purifiée, ma fille. Tu n’es pas encore pure.

    LUZ AMPARO: 
    Ah !

    LA SAINTE VIERGE : 
    Fais-toi petite, petite, pour que tu deviennes rapidement grande, très grande. Je continuerai à te révéler mes secrets et mes mystères, comme ils ont été révélés à d’autres âmes. Il y a [Dans la bande de la cassette disponible se produit ici une coupure. Il manque le fragment souligné en italique ; il est pris du o. c., nº 5, pp. 10-11] beaucoup d’âmes, ma fille, à qui ce même secret a été révélé. C’est pourquoi je veux que tout être humain participe à ma joie et à mes secrets. Mais, comment peut-on participer ? Avec l’humilité, mes fils, avec le sacrifice et avec la charité. Aimez beaucoup vos prochains, pour que mon Fils  puisse vous aimer.

    Baise le sol, ma fille, en guise de réparation. . . Cet acte d’humilité sert, ma fille, à réparer les péchés de ces âmes ingrates qui ne veulent pas tenir compte de mes avertissements et qui s’en moquent, ma fille. Pauvres âmes ! Il y en a beaucoup de présentes ici, ma fille. Je pourrais te les signaler avec le doigt : toi, et toi, et toi. 
    Vous êtes ingrats, mes fils, ingrats ! Ne vous révoltez pas contre mes affaires, mes fils. Quelle peine vous me donnez, mes âmes ! Je ne veux pas que vous vous damniez. Il est encore temps, mes fils. Vous êtes arrivés à temps pour participer à mes mystères. Pauvres âmes ! Mon cœur souffre pour elles, ma fille, parce qu’elles sont aussi mes fils. Bien qu’ils repoussent leur Mère, leur Mère les aime de tout son cœur et de toutes ses forces. C’est pourquoi je vous demande, mes fils : ne repoussez pas cet appel, il est encore temps pour vous de changer de vie.

    Et toi, ma fille, continue à t’offrir comme victime pour le salut de toutes les âmes et pour ces quatre âmes plus encore ma fille. Pauvres âmes ! Combien mon cœur les aime ! Elles vont avoir le bonheur, ma fille, de recevoir la sainte bénédiction et de recevoir aussi les objets bénis ; ils vont être bénis, mes fils.

    Levez tous les objets ; ils seront tous bénis avec des grâces spéciales pour convertir les âmes, mes fils. . .

    A présent, mes fils, ils sont tous bénis. Je vais vous donner ma sainte bénédiction : je vous bénis, mes fils, comme le Père vous bénit au moyen de son Fils et avec l’Esprit Saint.

    Au revoir, mes fils. Au revoir !
     
     

    MENSAJE DEL DÍA 5 DE ENERO DE 1985, PRIMER SÁBADO DE MES,
    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hija mía, te dije que seguirías viendo el sacramento[1] de los Reyes, hija mía, esos Magos de Oriente. Cuenta cómo lo ves.
     
     

         LUZ AMPARO:

         Sigo viendo... El Niño está en la cueva; sigue estando en la cueva. Le dice san José a la Virgen que se van a marchar en este momento. La Virgen María le responde mirando todos los sitios. San José va hacia Ella y le dice: “Esposa mía, recoge todo, que en este lugar no hay acomodo para seguir viviendo en él”.

         ¡Pobre Niño! El Niño está ahí. ¡Pobrecito! ¡Ay! ¡Ay, qué pequeño! ¡Ay, pobrecito, ahí tan pobre! ¡Ay! ¿Dónde se van a ir?... José coge al Niño. ¡Ay, qué pequeño! ¡Ay, qué pequeñito, pobrecito! Le coge en brazos y la Virgen se pone de rodillas. Oyen una voz que les dice: “Pura doncella y José, casto José: no os marchéis hasta que no vengan los Magos de Oriente”.

         ¡Ay! La Virgen está de rodillas con las manos juntas. Está mirando al cielo. ¡Ay! ¿Qué dice?: “Dios Eterno, te he pedido, no quería abandonar este lugar. Tengo muchos recuerdos en él. Se han cometido[2] aquí muchos misterios. Es un recuerdo muy grande el que tengo de este lugar. Gracias, Padre Eterno, mi Dios amado, mi Dios Creador. Te doy gracias por haberme hecho madre, a esta indigna madre, de este Niño, Rey de Cielo y Tierra; mi Creador”.

         ¡Ay, qué cosa más hermosa! ¡Ay! San José tiene al Niño. Le sigue teniendo en brazos. ¡Ay! La Virgen empieza a colocar todo y le dice a san José: “José, mientras tú tienes al Niño, yo voy a aliñar un poco este pesebre y esta pobre cueva, para recibir a esos Magos que vienen a traerle obsequios a tu Hijo, a tu Hijo y mío natural, tuyo adoptivo y mío natural”.

         ¡Ay, qué hermosura! ¡Ay, lo que hay ahí! ¡Qué rayos entran! ¡Ay! ¡Ay, qué cosas! ¡Ay! ¿Por dónde vienen? ¡Ay! ¡Qué rayos van para allá! ¡Ay! Hay uno, un Rey que está en la cama. Se levanta porque ve un rayo de luz y oye que dice un ángel: “Levántate, vete a Belén a adorar a Jesús que ha nacido, Rey de los judíos”.

         ¡Ay! ¡Ay, qué cosas! Hay otro Rey con otro ángel que le vuelve a decir: “Levántate. ¡Levántate! Vete a Belén a adorar al Rey de Cielo y Tierra que ha nacido ya”.

         Otro en otra parte. Otro ángel le vuelve a decir a éste: “Levántate. Tienes que cabalgar mucho, y vete a Belén, que ha nacido el Mesías y tienes que adorarle”.

         ¡Ay! Se levantan. ¡Ay! Los tres están en el mismo sitio. ¡Ay! Uno por un camino, otro por otro, y el otro llegan al mismo sitio. Se juntan los tres, se arrodillan y se dicen: “Yo voy a adorar al Mesías que ha nacido en Belén. Un Rey, Rey de los judíos”.

         Todos dicen lo mismo, los tres. Bueno, ¿qué es eso que llevan? ¡Ay, qué animal! ¡Ay, es el camello! ¡Ay!, montan en él. Van por un camino. Viene un rayo de luz. Un rayo formando una letra que es una “V”, y un ocho al revés. ¡Cómo siguen andando! ¡Ay!, andando eso delante. Ellos detrás. ¡Ay, ya llegan! ¡Ay, Madre mía! Hay un letrero que pone: “Jerusalén”. Entran a Jerusalén. Preguntan a tres hombres, vestidos con ropas de romanos, que si ha nacido allí un Rey. Que van a Belén. Que dónde está Belén; por dónde se va. Entonces le dicen que allí no ha nacido ningún rey. Uno se dice a otro: “Pregunta que dónde está Belén”. “Oiga,...” (Palabras en idioma desconocido). No quieren que se entere ese otro. Van corriendo y dicen unos a otros que esos Reyes están preguntando que ha nacido un Rey y que es Rey de los judíos.

         Entonces, llega otro rey[3]. ¡Oy, qué feo ése! ¡Oy, qué cara tiene! Y les pregunta: “¿Dónde vais?”.

         Ellos responden los tres: “Vamos a adorar a un Rey”.

         “¿Dónde está ese Rey?”.

         “Camino de Belén”, responden.

         “Id, buscadle y, cuando le hayáis encontrado, me avisáis a mí. Yo también quiero adorar a ese Rey. Yo he tenido noticias de ese Rey y quiero adorarle”.

         Cuando se van más para allá, les dice a los otros: “Éste es el Rey que yo esperaba. Tenemos que ir a buscarle. Vete y avisa a todos los lugares que ha nacido un Rey; que hay que salir a buscarle, porque aquí no hay más rey que yo. ¡No hay otro rey!, díselo a todos”.

         ¡Ay, ay, qué malo!

         Ahí llegan. ¡Ay, ya entran! ¡Ay, cómo entran! Entra una luz, ¡ay, como si fuese un rayo! Entran ahí dentro. Ahí se arrodillan en la puerta. Sale la Virgen a buscarlos y les dice: “Os estábamos esperando”.

         El Rey —¡ay!–, el Rey ése, se arrodilla y le coge la mano a la Virgen, se la besa y le dice: “Señora, amada Señora, Madre de David, Madre de David”.

         ¡Ay! Pero si Él no es David. ¡Vaya lío que hay ahí! ¡Ay!

         “Estrella de David”.

         ¡Ay!, pero ¿cómo va a ser si es la Madre de ese Niño?, ¿cómo va a ser la Madre de David? ¡Ay, Reina, Madre..., qué lío hay ahí! Explica lo de otro lugar, anda; de otra forma.

         “Estrella y Madre de... de todas las tribus de David”.

         Pero ¡vaya lío! ¡Ay!

         “Madre del Salvador”.

         Eso sí.

         “Y Reina, y Señora”.

         ¡Ay, pasan dentro! ¡Ay! Tiene san José al Niño. Se arrodillan. ¡Ay, con la cabeza en el suelo! ¡Ay, cómo le adoran...! Entonces le dicen a la Virgen: “Señora, cuánta pobreza hay en este lugar. El Niño, el Niño va a coger frío en este lugar”.

         La Virgen le enseña las habitaciones. Le enseña la casa. ¡Ay, menuda casa!, ¡si es una cueva! ¡Ay, qué luz!, hay una luz. ¡Qué luz! ¡Ay!, besan el suelo los Reyes y saludan a san José, y saludan a la Virgen, y les dice...: “Vamos a buscar posada a otro lugar. Vamos, Señora, no salga. Hay un fuerte vendaval”.

         Se van por el camino. Llegan a buenas tiendas, compran ropa, mantas, juguetes. ¡Ay, ay, mandan a ése! ¡Ay!, ése que es que venía con ellos. ¡Ay!, se lo dan a ése y le dicen que vaya y que lleve todos esos regalos a un Niño muy pobre que ha nacido en Belén. ¡Ay, qué contento se va a poner! ¡Madre, las mantas! ¡Ay! Llegan y le dan la ropa. Le dan la ropa a la Virgen y le dan los juguetes.

         ¡Ay, cuántas cosas! ¡Pobrecito! ¡Pobrecito, que... cuántas cosas! No tenía nada. ¡Ay, qué bonito es! ¡Ay! Coge la Virgen al Niño y le besa y le dice: “Mi bien amado, Dios mi Creador, ¿me dais permiso para descansar?”.

         ¡Cómo le responde el Niño! Le dice: “Amada mía, Madre Purísima, Madre mía; gracias por haberme dado carne humana”.

         La Virgen le responde: “Hijo de mis entrañas, no soy digna, soy un vil gusano. No soy digna de haberte dado carne humana, ¡a Dios, mi Creador, Omnipotente, Rey de Cielo y Tierra! Lucero mío, duerme y descansa”.

         ¡Ay, qué hermosura! ¡Ay, qué grande eres! ¡Ay, qué grande! ¡Ay! ¡Ay, pobrecito!

         Ahora vienen otra vez. ¿Otra vez? ¡Ay!, pues ¿dónde irán ahora? Pasan otra vez a la cueva. Los tres, otra vez. Si ya les han llevado regalos. Llevan una caja y la descubren cuando entran. Tiene un collar y unas sortijas de diamantes; y le dice a la Virgen: “Señora, Doncella, Madre del Mesías, quiero obsequiaros a Vos también. Recibid esta...”. ¡Oy, qué cosa! Eso es una joya. ¡Ay!, la Virgen agacha la cabeza y le dice que Ella no recibe joyas, que ha recibido los regalos para su Hijo; pero que Ella no quiere joyas. Que nunca se las ha puesto, nunca. Y ahora, menos todavía. La joya más grande que Dios le ha dado ha sido ser Madre de Dios su Creador. Madre de ese Niño humanado para morir por la Humanidad. ¡Ay, pobrecita! ¡Ay, pobrecita!

         (Continúa la Virgen). “No quiero. Vos podéis hacer algún regalo a los pobres, que en este día hay muchos pobres que no tienen ni para vestirse ni para comer. Os lo agradezco, pero no lo acepto”.

         Lo ha metido otra vez en la caja y se lo lleva. Entonces le piden a la santísima Virgen. ¡Ay!, ¿qué le dicen? Que les dé consejo para gobernar su país, porque quieren gobernar con las leyes que Dios ha dado. ¡Ay! Se acerca la Virgen a la cunita del pesebre y le dice al Niño que responda Él por Ella. ¡Ay!, ¿qué les dice? Que cumplan las leyes, las leyes que están escritas, que sin esas leyes no habrá salvación. ¡Ay, qué contentos se ponen! ¡Ay! Besan la mano de la Virgen, se arrodillan, vuelven a agachar la cabeza en el suelo, besan el suelo, se levantan y se van. ¡Ay, qué contentos! Se frotan las manos y le dice éste al otro: “¡Vaya un regalo que hemos recibido del Cielo! Es el mayor regalo que nos han podido dar”.

         ¡Ay, qué contentos! ¡Ay, pobrecito!, ya se quedan solos otra vez. ¡Ay, qué aire más fuerte! ¡Ay! ¡Cómo llueve! ¡Cómo cae agua! ¡Qué viento más fuerte! Da golpes en las ventanas de la cueva. Hace mucho frío. La Virgen pone una manta sobre el pesebre para que no tenga frío el Niño. ¡Qué viento! Sale la Virgen a la puerta de la cueva. Pone las manos juntas y mira al cielo y les dice a las nubes: “Nubes encapotadas, no descarguéis vuestra ira sobre un inocente, sobre Dios vuestro Creador, no le maltratéis, no le hagáis daño, es inocente. Dadme a mí todo lo malo que pueda venir de vosotros, pero al Niño no me le toquéis, es inocente. ¿Qué os ha hecho Él?, ¡pobrecito!, ¡pobrecito! Vosotros descargáis vuestra ira por el pecado, pero no la descarguéis sobre este inocente que no tiene mancha alguna; sobre vuestra esclava y sobre todo lo que sea, pero no, ¡pobrecito! ¡Pobrecito!, ¡ay, tan pequeño!”. ¡Ay! ¡Ay, qué Sol sale! ¡Ay, qué Sol!, ¡ay, qué Sol y qué calor! ¡Ay!, vuelve a salir la Virgen y dice: “Gracias, Padre mío, por haberme dado todo lo que te he pedido; no te lo he pedido para mí, sino para tu Hijo y mío. ¡Gracias, Padre mío!”.

         ¡Ay, qué buena eres! Dejadme aquí un poquito, ¿eh?, porque yo sí que no quiero irme de aquí, ¿eh? ¡Ay, qué bien se está aquí! No me digáis que me vaya. ¡Ay!, yo no quiero irme de aquí, ¿eh?, ¡ay!, cuéntame más cosas, ¡cuéntamelas! ¡Ay, qué grande eres! ¡Ay!
     
     

         LA VIRGEN:

         Sí, hija mía, quiero dar ejemplo de humildad y de pobreza. Mi Hijo lo dio, hija mía. Por eso quiero que el mayor presente que podéis ofrecer a mi Hijo es acercándoos al sacramento de la Eucaristía y al sacramento de la Confesión. Ése es el mayor regalo, hijos míos. También te pido, hija mía, que tu mayor presente es el de la humildad. Quiero que seas humilde, muy humilde, para poder alcanzar todo esto.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay!, yo no quiero irme otra vez allí; no, yo quiero estarme aquí. ¿Tú sabes qué dolor cuando me veo otra vez en ese otro sitio? ¡Ay, déjame que me quede!
     
     

         LA VIRGEN:

         No te has purificado, hija mía. Todavía no estás pulida.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay!
     
     

         LA VIRGEN:

         Hazte pequeña, pequeña, para que subas pronto alta, muy alta. Ya te seguiré revelando mis secretos y mis misterios, como a otras almas se los he revelado. Hay[4] muchas almas, hija mía, que este mismo secreto se lo he revelado. Por eso quiero que participen de mi alegría y de mis secretos todo el ser humano. Pero, ¿cómo se puede participar? Con la humildad, hijos míos, con el sacrificio y con la caridad. Amad mucho a vuestros semejantes, para que mi Hijo os pueda amar a vosotros.

         Besa el suelo, hija mía, en acto de desagravio... Este acto de humildad sirve, hija mía, para reparar los pecados de esas almas ingratas que no quieren hacer caso a mis avisos y que se ríen de mis avisos, hija mía. ¡Pobres almas! Aquí presentes hay muchas, hija mía. Te podría señalar con el dedo: tú, y tú, y tú. Sois ingratos, hijos míos. ¡Ingratos! No os rebeléis contra mis cosas, hijos míos. ¡Qué pena me dais, almas mías!, no quiero que os condenéis. Aún estáis a tiempo, hijos míos. Habéis llegado a tiempo para participar en mis misterios. ¡Pobres almas! Sufre mi Corazón por ellas, hija mía, porque también son hijos míos. Aunque ellos rechacen a su Madre, su Madre los ama con todo su Corazón y con todas sus fuerzas. Por eso os pido, hijos míos: no rechacéis esta llamada, que aún estáis a tiempo para cambiar vuestras vidas.

         Y tú, hija mía, sigue ofreciéndote como víctima por la salvación de todas las almas y por estas cuatro almas más todavía, hija mía. ¡Pobres almas! ¡Cuánto las ama mi Corazón! Van a tener la dicha, hija mía, de recibir la santa bendición y de recibir también los objetos bendecidos; van a ser bendecidos, hijos míos.

         Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos y con gracias especiales para convertir a las almas, hijos míos...

         Ahora, hijos míos, todos han sido bendecidos. Os voy a dar mi santa bendición: os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

         Adiós, hijos míos. ¡Adiós!

    [1] “Sacramento”; aquí según la tercera acepción de la palabra en lengua española, que significa “misterio, cosa arcana”.

    [2] Del verbo “cometer”, sinónimo de “realizar”, “producir”... La frase quedaría así: “Se han realizado (producido) aquí muchos misterios”.

    [3] Esta vez parece que se refiere a Herodes.

    [4] En la cinta casete disponible se produce un corte aquí. Falta el fragmento resaltado en cursiva; se ha tomado del o. c., nº 5, pp. 10-11.

    6 janvier 1985
    MESSAGE DU 6 JANVIER 1985 
    AU PRADO NUEVO (PRE NEUF) DE L’ESCORIAL (MADRID) 
     

         LA SAINTE VIERGE : 
         Ma fille, ma sainte bénédiction ne pouvait manquer en ce jour, et je veux aussi que tu participes un peu à ce mystère ; il n’est pas encore terminé. Continue de raconter ce que tu vas voir. 

         LUZ AMPARO : 
         Je vois, que la Très Sainte Vierge se trouve dans la grotte, il y a aussi saint Joseph et l’Enfant. Saint Joseph dit à la Sainte Vierge : “ Marie, tu dois reprendre les affaires qui te manqueront le plus pour que nous puissions partir de cet endroit ”. Il y a beaucoup d’affaires ; la Très Sainte Vierge est en train de les reprendre. Ah, quelles belles choses ! 
         Parmi toutes ces affaires il y a trois flacons de cristal mis sur une planche de bois. Est-ce ce qu’ont apporté les Rois ? Ah ! Mais qu’y a-t-il à l’intérieur ? Ah ! Dans un, il y a de l’encens, dans l’autre de la myrrhe et dans le dernier de l’or. Ceci est ce qu’ils leur ont offert. Marie dit à Joseph : “ Prends ces trois flacons. Celui qui contient de l’or, nous allons le partager avec les pauvres ”. Ah, quel or moulu ! Comme il brille ! Oh, Mère! Ah ! Cet or n’est-il pas moulu ? Ah ! 
         La Sainte Vierge prend beaucoup de jouets, les couvertures, regarde tout autour, prend la mangeoire où se trouve l’Enfant, se met à genoux, l’embrasse et dit à saint Joseph : “ Joseph, je t’obéirai en tout. Je serai ton esclave, je ferai ce que tu me diras. Mais quelle douleur ressent mon cœur en quittant cet endroit ! Tant de choses s’y sont passées ! Tant de mystères Dieu mon Créateur y a révélés ! Quelle peine a mon cœur de l’abandonner ! ”. Saint Joseph lui dit : “ Mon épouse, nous devons partir loin d’ici, il faut que l’Enfant ait plus de confort qu’ici ; pas beaucoup plus, mais au moins jusqu’à ce qu’il meure sur la Croix, nous devons lui en donner plus ”. 
         La Sainte Vierge lui dit : “ Il fait très froid, où allons-nous aller ? ”. 
         Alors, ah, comme on entre ! Que viennent-ils faire ici ? 
         Ah ! Comme il y en a ! Oh, combien il y a d’anges ! Oh, il y en a tant de ce côté ! De nombreux enfants ! Il y a beaucoup de monde ! Oh ! Ils pleurent. Oh ! Pourquoi pleurent-ils ? Ah, les pauvres, parce que l’Enfant s’en va ! La Sainte Vierge leur dit : “ Ne faites pas attention. Nous devons partir. Ceci est écrit : Suivez le chemin de Dieu et respectez les lois de Moïse. Je vous donnerai des présents ”. 
         Ah, la pauvre ! Elle prend l’Enfant, se met à genoux et lui baise les pieds. Ah ! Elle lui dit une autre fois : “ Etoile brillante de mes entrailles. Hostie vivante dans mes mains. Tu t’es penché sur cette jeune fille indigne ”. 
         Pourquoi dis-tu ceci ? Ah ! Oui, tu n’es pas indigne. La pauvre ! Ah ! 
         Elle baise le sol. Ah ! Saint Joseph aussi. . . 
         Ah, la pauvre ! Ah, qu’elle est triste ! Ah Pourquoi doivent-ils partir d’ici ? La pauvre ! Ah ! Où irez-vous maintenant ? Ah ! Trouverez-vous mieux ailleurs ? Ah, quelle peine elle a ! Comme elle prend avec la main toute la mangeoire où a été l’Enfant ! Comme elle se penche sur lui ! Comme elle le serre dans ses bras, regarde le ciel et dit à Dieu le Père : “ Dieu le Père Tout-Puissant, ayez miséricorde de mon Fils, je ne veux pas qu’il souffre un seul tourment, il est très petit, il aura le temps. Protégez-le. Ah, pardonnez-moi ”. 
         Ah, la pauvre ! Ah ! 
         “ Il aura le temps de souffrir, c’est un enfant innocent. Je ne suis pas digne, Dieu mon Créateur, d’avoir engendré de mes entrailles cet Enfant si parfait ”. 
         Ah, la pauvre ! 
         “ Je veux que vous le protégiez, parce qu’il fait très froid ”. 
         Ah ! Ah, comme il fait froid ici ! Ah ! Sont-ils loin du chemin ? Quelle raison y a-t-il pour partir ? Ah ! On entend l’Ange qui dit : “Marie, dehors il y a 2 ânons, prenez-les : sur l’un chargez tous les habits de l’enfant, tous les objets de valeur dont vous pourrez avoir besoin, et sur l’autre montez avec votre Fils. Ils vous amèneront à Jérusalem ; là-bas, vous devrez présenter votre Fils ”. 
         Ah ! Une autre fois ? Que vont-ils faire maintenant ? Ils doivent le présenter à nouveau ? Le pauvre ! Ah ! Le pauvre ! Ah ! qu’on me laisse l’embrasser. Le pauvre ! Tu t’en vas ? Ah, laisse-moi ! Ah, quelle peine ! Ah. . . ! Ah, le pauvre ! Que vont-ils faire de toi maintenant ? Va-t’en avec ta Mère. Ah, le pauvre ! Ah ! 
         Comme ils chargent l’âne. Ah ! Les couvertures. Ah, comment ils enveloppent l’Enfant ! Ah, la Sainte Vierge monte sur l’âne. Ah ! Saint Joseph enveloppe l’Enfant. Ah ! Il lui a mis une couverture dessus. Ah ! Elle prend l’Enfant et il attache les deux ânes ensemble, bien chargés. Ils s’en vont en marchant, en marchant. . . 
         Oh, quel temps il fait ! Ah !, ils s’en vont avec l’âne. Où iront-ils maintenant ? Mais les anges les accompagnent. 
         Ah, chic ! Ah ! Avec les anges, vous serez bien. 
         Ah !, comme tout le monde reste là derrière pleurant et disant : “ Au revoir, Mère bien-aimée. Au revoir, tendre Enfant. Au revoir à tous ! ” Comme les enfants pleurent, les pauvres ! Comment ne pleureront-ils pas s’il s’en va ? Ah, quelle peine ! Après avoir été là aussi longtemps. Comme la Sainte Vierge regarde derrière elle ! Quelle peine est la sienne, ah, mon Dieu ! Ah ! Elle prend la main de l’Enfant, la lui baise, et lui dit : “ Mon bien-aimé, me donnez-vous la permission pour que nous puissions vous embrasser sur le visage ? ”. L’Enfant lui dit : “ Mère bien-aimée, fais de moi ce que tu voudras, et je te rends grâces, Mère bien-aimée, de m’avoir allaité de ce lait virginal. Toutes les générations t’adoreront, Mère bien-aimée ”. 
         Ah, comme tu es grand ! Ah, combien tu l’aimes ! Ah ! 
         L’Enfant continue : “ Tous ceux qui t’aimeront, ma Mère, m’aimeront aussi. Je ne peux pas dire que Toi et moi sommes une même chose, parce que seuls Dieu et moi sommes une même chose, mais tu es ma Mère naturelle. Tu m’as donné chair et tu m’as nourri au sein avec ton lait virginal. Ah, merci !”. 
         Ah, quel si joli visage ! Comme la Sainte Vierge le prend ! Ah, quelle joie ! Oh, que tu es beau ! 
         Ils s’en vont en marchant, en marchant avec les deux ânes. Ah, les pauvres, comme ce chemin est long ! Ah ! Où iront-ils aussi loin ? Ah !, il n’y a ni arbre, oh, pas même une maison, les pauvres ! Ah ! La route sera-t-elle très longue ? Elle demande à Joseph si la route sera longue, ah, la pauvre ! Ah ! elle se le demande. Ah ! A plus de deux lieues et demies ! Ah, le pauvre ! Et quelle distance cela fait-il ? Ah ! C’est très loin ? Ah ! Ils vont le faire de nuit ? Ah ! Où allez-vous prier et où allez-vous demeurer ? Le pauvre ! Ah ! 
         Au loin, on voit un château. Ah ! Demandez qu’on vous ouvre, ah ! 
         Ah, un homme sort ! Oh, quel visage a celui-là ! Oh ! Il n’a pas le visage de quelqu’un de bon, non ? Il ne va pas vous laisser entrer. Frappez pour voir. Ah ! La Sainte Vierge l’appelle et lui dit : “ Brave homme, me donneriez-vous l’hospitalité pour héberger mon Fils et mon époux du mauvais temps ? ”. 
         L’homme l’ignore. Oh, on dirait qu’il est sourd ! . . . Il l’ignore, et alors ! . . . Oh. . ., le pauvre ! 
         Ah ! Saint Joseph le touche un peu et lui demande s’il peut l’héberger, parce que l’Enfant est très petit et qu’il va prendre froid. 
         Ah, cet homme est sourd ! Ah ! Sourd et il ne voit pas non plus. Ah ! Alors que fait-il ici s’il est comme ça ? Ah ! Il le prend et le met à l’intérieur. Mais comment, s’il ne le voit pas ? Oh, fais-les entrer à l’intérieur à tous les deux ! Ah, qu’il ne les laisse pas là ! Ah, une femme sort ! Voilà qu’ils vont entrer à l’intérieur. Quel très grand feu il y a ! Allons, faites-les asseoir ici, les pauvres, qu’ils sont gelés ! Sur ces bancs de bois qui sont ici. Les pauvres ! Ah, Mère, quelle peine ! Ah ! Ils seront bien ici. Ah, ils entrent ! Ah ! La Sainte Vierge dit à cette femme : “ Es-tu mariée ? ”. Elle lui répond : “ Oui, Madame, c’est mon mari ; il ne voit pas ni n’entend ”. 
         Ah, c’est pour ça qu’il l’ignorait ! Oh, le pauvre, moi qui disait qu’il était mauvais ! Ah ! 
         “ Ne vous en faites pas, belle jeune fille, ici je vous prendrai soin de vous et vous abriterai jusqu’à ce que le temps change et vous reprendrez de nouveau votre route ”. 
         Et vous, ah, que se passe-t-il ? Ah ! Ah, mais donne-lui quelque chose toi aussi ! Ah, bien sûr ! Parce qu’il faut toujours que la Sainte Vierge dise tout, toujours ; il est si silencieux, le pauvre ! 
         Ah ! “ Je vous promets — dit la Sainte Vierge à la femme —, je vous promets de vous payer cette grande faveur. Dieu mon Créateur ne vous laissera pas sans récompense ”. 
         Ah ! L’homme commence à voir ! Oh, et à entendre ! Ah, comme il entend bien ! Ah ! Il se met à genoux, il se met à genoux devant l’Enfant, regarde le ciel et dit : “ Quelle faveur si grande m’a accordé le Ciel au moyen de cet Enfant Divin. Je promets de l’adorer et de le glorifier ”. 
         Oh ! Comme il voit tout à présent ! 
         Ah ! La Sainte Vierge lui dit : “ Ne vous avais-je pas dit que vous ne resteriez pas sans récompense ? Dieu donne toujours à cent pour un, et ceci a été votre faveur. Il vous a récompensé ”. 
         Ah, quelle joie ! Ah ! Les deux se mettent à genoux et baisent le sol. Ah, que tu es bonne ! Ah ! 
         L’homme sort et rentre les ânes, il leur donne à manger, les nettoie avec une brosse et leur met une couverture dessus afin qu’ils ne prennent pas froid. 
         Ah, comme il voit bien ! 
         Ah !, c’est déjà l’heure de partir une fois de plus. La journée est très belle, il ne fait plus froid. Ah, chic alors ! Ils montent une autre fois sur l’âne et s’en vont. Ils arrivent à une très grande salle, il y a un panneau où est écrit : “ Le temple de Jérusalem ”. Ah !  il y a comme une estrade là, ainsi qu’un autel, mais sans Sainte Vierge ni rien, et il n’y a pas de tabernacle non plus. Il n’y a rien là ? Il y a un autel comme quand ils le firent pour le Seigneur. Ah ! Avec un petit drap blanc. Ah ! Des voiles. Ah ! La Sainte Vierge met l’Enfant dessus. Il y a un monsieur très âgé. En bas il y a beaucoup de monde. Ce monsieur monte et prend l’Enfant. Ah ! Il l’embrasse, lui baise les pieds et ce monsieur lui dit. . . — Mais, qui est cet homme ? —. Ah ! Il lui dit : “ La prophétie s’est bien accomplie, je peux mourir tranquille maintenant. Elle s’est accomplie ”. L’Enfant lui dit : “ Je t’ai rempli de sagesse — ah ! — ; cette sagesse, que tu l’utilises pour faire le bien dans toute les nations où tu iras ”. 
         Ah ! Mais qui est-ce ? Ah ! Comment s’appelle-t-il ? Salomon ? Oh ! Qui est-ce ? Un roi aussi ? Ah ! Mais, celui-là que lit-il ? Oh ! Ah ! Mais, que lui passe-t-il ? Ah, qu’il est savant cet homme ! Ah, mais chic ! Ah, quelles belles choses ! 
         Ah, il y a beaucoup de monde ! Et ces hommes vêtus de rouge ? Ah ! Les anges sont là aussi ? En tous les lieux ? Ah, quelles choses ! Oh ! Quelles belles choses ! Ah, ma Mère, que tu es bonne ! Hein ? Avec ton Fils ? Ah, formidable ! Ah ! Ils se mettent à lire un livre là. Ah ! Les lois qu’il faut respecter, les lois du temple. 
         Ah, quelles belles choses ! Je veux que tu me les apprennes aussi, pour les entendre, parce que, sinon, je ne les comprendrai pas. Ah ! Et maintenant, où vas-tu aller ? Quand tu sortiras de là, où iras-tu ? Ah ! Elle appelle Joseph, la Sainte Vierge l’appelle. C’est cet homme qui lui a dit ceci, celui qui est Roi. Il y a beaucoup d’hommes, beaucoup, de prêtres aussi, et la Sainte Vierge dit à saint Joseph : “ Joseph, quand ta volonté sera de partir, ton esclave soumise se trouvera ici ”. Saint Joseph lui dit : “ Nous devons partir pour Nazareth ”. 
         Ailleurs une autre fois ? Mais ils n’arrêtent pas, les pauvres ! 
         Ah ! Ceux qui sont ici lui disent où se trouve Nazareth, où ils vont, a quel endroit se trouve cette ville, et disent que c’est du côté de la Palestine. 
         Ah, quelles grandes choses ! 
         Ah ! La Sainte Vierge se met une autre fois à genoux devant l’Enfant, et lui dit : “ Mon Dieu, mon étoile brillante, que je t’aime ! Mais au-dessus de mon amour il y a celui de Dieu. Que se fasse sa volonté et la Tienne en tout. Nous allons partir, mon Roi ”. Ah ! Ah, le pauvre, partir une autre fois ! Ah ! “ Nous devrons respecter les lois, donner un exemple à l’Humanité ”. 
         Ah ! Ah ! Pourquoi devez-vous accomplir cela, si vous êtes qui vous êtes ? 

         LA SAINTE VIERGE : 
         C’est à cause de cela, ma fille, parce que nous étions ceux que nous étions, que nous devions donner un exemple d’humilité et d’obéissance, et avec l’humilité, ma fille, on pourra tout obtenir. 
         C’est pourquoi je vous le demande, mes fils : je veux que vous soyez petits, très petits, comme cet Enfant, pour pouvoir arriver haut, très haut. Oui, mes fils, l’humilité est très importante pour le salut. 
         Je vais vous donner ma sainte bénédiction, avec le privilège de bénir les objets. Levez tous les objets. . . 

         LUZ AMPARO: 
         Oh ! Hein ? . . . Ah ! 

         LA SAINTE VIERGE : 
         Ils ont une bénédiction très spéciale. 
         Je vous bénis, mes fils, comme le Père vous bénit au moyen de son Fils et avec le Saint-Esprit. 
         Au revoir, mes fils. Au revoir ! 

    MENSAJE DEL DÍA 6 DE ENERO DE 1985
    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hija mía, este día no podía faltar mi santa bendición, y también quiero que participes un poco, hija mía, del misterio; todavía no ha acabado ahí. Sigue diciendo lo que vas a ver.
     
     

         LUZ AMPARO:

         Veo, veo que está la santísima Virgen en la Cueva, está san José, está el Niño. San José le dice a la Virgen: “María, tienes que recoger las cosas que más falta te hagan para marcharnos de este lugar”. Hay muchas cosas; la santísima Virgen las está recogiendo. ¡Ay, cuántas cosas!

         Entre todas esas cosas hay tres frascos de cristal metidos en una madera. ¿Eso es lo que trajeron los Reyes? ¡Ay!, pues, ¿qué hay en eso? ¡Ah! En uno dice que hay incienso, en el otro hay mirra y en el otro hay oro. Eso se lo han ofrecido. Le dice María a José: “Coge esos tres frascos. El de oro lo vamos a repartir con los pobres”. ¡Ay, cuánto oro molido! ¡Cómo brilla! ¡Oy, Madre! ¡Ay!, ¿no es oro molido eso? ¡Ay!

         La Virgen coge muchos juguetes, coge las mantas, mira todo el lugar, toca el pesebre donde está el Niño, se pone de rodillas, lo besa y le dice a san José: “José, yo te obedeceré en todo. Yo seré tu esclava, lo que tu digas haré. Pero ¡qué dolor siente mi Corazón al despedirme de este lugar! ¡Han sucedido tantas cosas en él! ¡Tantos misterios ha revelado Dios mi Creador en este lugar! ¡Qué pena siente mi Corazón de abandonarlo!”. San José le dice: “Esposa mía, es preciso marchar lejos de aquí, hay que darle a este Niño más comodidad de la que tiene; no mucha, pero por lo menos, hasta que muera en la Cruz, tenemos que darle más comodidades”.

         La Virgen le dice: “Hace mucho frío, ¿dónde vamos a ir?”.

         Entonces, ¡ah!, ¡cómo entra! Entonces, ¿qué van a hacer ahí?

         ¡Ay! ¡Muchos! ¡Huy, cuántos!, ¡cuántos ángeles! ¡Oy, muchos a este lado!, ¡muchos niños!, ¡hay mucha gente!; ¡oy!, lloran. ¡Oy!, ¿por qué lloran? ¡Ay, pobrecitos, porque se va el Niño! La Virgen les dice: “No tengáis cuidado. Tenemos que marchar. Así está escrito. Seguid el camino de Dios y cumplid con las leyes de Moisés. Yo os tendré presentes”.

         ¡Ay, pobrecita! Coge al Niño, se pone de rodillas, le besa los pies. ¡Ay!, otra vez le dice: “Lucero de mis entrañas. Hostia viva en mis manos. Estás reclinado en esta indigna doncella”.

         ¿Por qué dices eso? ¡Ay!, si no eres indigna. ¡Pobrecita! ¡Ay!

         Besa el suelo, ¡ay!; san José también...

         ¡Ay, pobrecita! ¡Ay, qué triste está! ¡Ay! ¿Por qué se tiene que ir de aquí? ¡Pobrecita! ¡Ay!, ¿dónde iréis ahora? ¡Ay!, ¿será mejor el sitio? ¡Ay, qué pena le da!, ¡cómo toca con la mano todo el pesebre donde ha estado el Niño!, ¡cómo se reclina en él!, como si lo abrazase, y mira al cielo, y le dice a Dios Padre: “Dios Padre omnipotente, tened misericordia de mi Hijo, no quiero que sufra ningún tormento, es muy pequeñito, tiempo tendrá. Protegedle. ¡Ay!, mandadme a mí”.

         ¡Ay, pobrecita! ¡Ay!

         “Tiempo tendrá de sufrir, es un Infante inocente. No soy digna, Dios mi Creador, de haberse engendrado en mis entrañas este Niño tan perfecto”.

         ¡Ay, pobrecita!

         “Quiero que lo protejáis, que hace mucho frío”.

         ¡Ay! ¡Ay, qué frío hace ahí! ¡Ay! ¿Está muy lejos el camino? ¿Qué modo hay para llegar? ¡Ay! ¡Ay! ¡Ay!, oye al Ángel que dice: “María, fuera hay dos pollinos, cogedlos: en uno cargad todas las ropas del Infante, todas las prendas que más falta os hagan, y en el otro montad con vuestro Hijo. Os llevará a Jerusalén; allí tendréis que presentar a vuestro Hijo”.

         ¡Ay!, ¿otra vez? ¿Qué le van a hacer ahora? ¿Otra vez tiene que presentarlo? ¡Pobrecito! ¡Oy! ¡Ay! ¡Pobrecito! ¡Ay!, déjame que te lo bese. ¡Pobrecito!, ¿que te vas? ¡Ay, déjame! ¡Ay! ¡Ay! ¡Ay, qué pena! ¡Ay...! ¡Ay, pobrecito! ¿Qué te irán a hacer ahora? Vete con tu Madre. ¡Ay! ¡Ay! ¡Ay, pobrecito! ¡Ay! ¡Ay!

         Cómo cargan el borrico. ¡Ay!, las mantas. ¡Ay, cómo lía al Niño! ¡Ay!, monta la Virgen en él. ¡Ay!, le sujeta san José al Niño. ¡Ay!, se ha echado una manta por encima. ¡Ay!, coge al Niño y el otro borrico lo ata junto al otro, detrás cargado. Van andando, andando...

         ¡Oy, qué tiempo hace! ¡Ay!, van con el burro. ¿A dónde irán ahora? Pero van los ángeles con ellos.

         ¡Ay, qué bien! ¡Ay!, con los ángeles sí que vais bien.

         ¡Ay!, ¡cómo toda la gente se queda ahí atrás llorando y diciendo: “Adiós, Madre amada. Adiós, tierno Niño. Adiós todos”! Cómo lloran los niños, ¡pobrecitos! ¿Cómo no van a llorar si se va? ¡Ay, qué pena! Después de haber estado ahí tanto tiempo. ¡Cómo mira la Virgen para atrás! ¡Qué pena le entra, ¡ay, Dios mío! ¡Ay!, coge la mano al Niño y se la besa, y le dice: “Amado mío, ¿me dais permiso para poderos besar en el rostro?”. El Niño le dice: “Madre amada, haz de mí lo que quieras, y te doy gracias, Madre amada, por haberme criado con esa leche virginal. Todas las generaciones te adorarán[1], Madre amada”.

         ¡Ah, qué grande eres! ¡Ay, cuánto la quieres! ¡Ay!

         Responde el Niño: “Todo aquél que te ame a Ti, Madre, me amará a mí. No puedo decir que Tú y yo somos una misma cosa, porque Dios y yo somos una misma cosa, pero Tú eres mi Madre natural. Me has dado carne, me has amamantado con tu virginal leche. ¡Ay, gracias!”.

         ¡Ay, qué cara más bonita! ¡Cómo le toca la cara la Virgen! ¡Ay, qué alegría! ¡Huy, qué hermoso eres!

         Van andando, andando con los dos borricos. ¡Ah, pobrecitos, qué largo es ese camino! ¡Ay!, ¿dónde irán tan lejos? ¡Ay!, no hay ni un árbol, ¡oy!, ni una casa siquiera, ¡pobrecitos! ¡Ay!, ¿estará muy lejos el camino? Anda, pregúntale a José que si está muy lejos, ¡ay, pobrecita! ¡Ay! Anda, pregúntaselo. ¡Ay! ¡Ay, a más de dos leguas y media! ¡Ay, pobrecito! ¿Y cuánto es eso? ¡Ay!, ¿eso es muy lejos? ¡Ay!, ¿se os va a hacer de noche? ¡Ay! ¡Ay! ¿Dónde vais a pedir, dónde os quedáis?, ¡pobrecito!, ¡ay, ay!

         A lo lejos allí hay un castillo. ¡Ay! Allí pedir que os abran, ¡ay!

         ¡Ay, sale un hombre! ¡Oy, qué cara tiene también ése! ¡Oy!, ése no tiene cara de ser bueno, ¿eh? Ése no os va a dejar entrar. Llamad a ver. ¡Ay!, ¡ay!, llama la Virgen y le dice: “Buen hombre, ¿me dais posada para albergar a mi Hijo del mal tiempo y a mi esposo?”.

         El hombre no le hace caso. ¡Oy, parece que está sordo!... Ni caso, ¡anda que!... ¡Uh..., pobrecito, díselo otra vez!

         ¡Ay!, le toca así un poco san José y le dice que si le puede albergar, que el Niño es muy pequeñito y va a coger frío.

         ¡Ay, está sordo ese hombre!, ¡ay!, sordo y tampoco ve. ¡Ay!, ¿pues qué hace ahí si está así? ¡Ay!, le coge y le mete dentro. Pues, ¿cómo, si no le ve? ¡Oy, mételes dentro a los dos! ¡Ay, no los dejes ahí! ¡Ah, bueno, pues ya sale esa mujer! Ésasí que los va a entrar para dentro. ¡Qué lumbre hay más grande! Anda, sentadlos ahí, ¡pobrecitos, que están heladitos de frío! En esos bancos de madera que hay ahí. ¡Pobrecitos! ¡Ay, qué pena! ¡Ay, Madre, qué pena! ¡Ay!, ahí sí que vais a estar bien. ¡Ay, ya entran! ¡Ay! ¡Ay!, la Virgen le dice a esa señora: “¿Es tu marido?”. Le responde: “Sí, Señora, es mi marido; no ve ni oye”.

         ¡Ay, por eso no le hacía caso! ¡Oy, pobrecito, yo que decía que era malo! ¡Ay!

         “No os preocupéis, bella doncella, que aquí os cogeré y os cobijaré hasta que el tiempo cambie y cojáis de nuevo el camino”.

         Y vosotros, ¡ay!, pues, ¿qué pasa? ¡Ay!, ¡ay, pero dile tú también algo! ¡Ay, claro!, porque siempre lo tiene que decir la Virgen todo, siempre; ¡ahí tan calladito, pobrecito!

         ¡Ay! “Os prometo —le dice la Virgen a la señora—, os prometo pagaros este gran favor. Dios mi Creador no os dejará sin recompensa”.

         ¡Ay! ¡Cómo empieza el hombre a ver! ¡Oy, y a oír! ¡Ay, cómo ya oye!, ¡ay! ¡Ay!, se arrodilla, se arrodilla ante el Niño y mira al cielo y dice: “Qué favor tan grande me ha otorgado el Cielo por medio de este Divino Niño. Prometo adorarle y glorificarle”.

         ¡Oy!, ¡cómo ve ya todo!

         ¡Ay!, le dice la Virgen: “¿No os dije que no quedaríais sin recompensa? Dios siempre da ciento por uno, y éste ha sido vuestro favor. Ha sido recompensado”.

         ¡Ay, qué contentos! ¡Ay!, los dos se arrodillan y besan el suelo. ¡Ay, qué buena eres Tú! ¡Ay!

         El hombre sale y mete a los borricos, les echa de comer y los limpia con un cepillo y les pone una manta por encima para que no cojan frío.

         ¡Ay, cómo ve ya!

         ¡Ay!, ya es la hora de salir otra vez. El día está muy bueno, no hace nada de frío. ¡Ay, qué bien! Montan otra vez en el burro y se van. Llegan a una sala muy grande, hay un letrero que pone: “El Templo de Jerusalén”. ¡Ay!, que hay como un tablao[2] allí, y un altar, pero sin Virgen y sin nada, y no hay sagrario. ¿No hay nada ahí? Hay un altar como cuando le hicieron eso al Señor. ¡Ay!, con un pañito blanco. ¡Ay!, unas velas. ¡Ay! Pone la Virgen al Niño encima. Hay un señor muy mayor. Desde abajo hay mucha gente. Sube ese señor y coge al Niño. ¡Ay!, le abraza, le besa los pies y este señor le dice... —Pues, ¿quién es ese hombre, también?—. ¡Ay!, le dice: “Ya se ha cumplido la profecía, ya puedo morir tranquilo. Está cumplido”. El Niño le dice: “Te he llenado de sabiduría —¡ay!—; esta sabiduría que la emplees para hacer el bien en todas las naciones donde te encuentres”.

         ¡Ay!, pues ¿quién es? ¡Ay!, ¿cómo se llama? ¿Salomón? ¡Oy!, ¿quién es ése? ¿Un rey también? ¡Ay!, pero ¿ése qué lee? ¡Huy!, ¡ay!, pues ¿qué le pasa? ¡Ah, que es el hombre más sabio! ¡Ay, pues qué bien! ¡Ay, cuántas cosas!

         ¡Ay, mucha gente! ¿Y esos hombres vestidos de colorado? ¡Ay!, ¿también los ángeles están ahí? ¿En todos los lugares? ¡Ay, qué cosas!, ¿eh? ¡Huy! ¡Cuántas cosas! ¡Ay, Madre mía, qué buena eres!, ¿eh? Con tu Hijo, ¿eh?, ¡ay, qué buena! ¡Ay! Ahí se ponen a leer un libro. ¡Ay!, las leyes que hay que cumplirlas, las leyes en el templo.

         ¡Ay, cuántas cosas!, yo quiero que me las enseñes así, para entenderlas, porque, si no, es que no me entero, ¿eh? ¡Ay!, y ahora, ¿dónde vas a ir?; cuándo salgas de ahí, ¿a dónde vas a ir? ¡Ay! Llama a José, la Virgen le llama. Está ese hombre que le ha dicho eso, ése que es Rey. Hay muchos hombres, muchos, y sacerdotes también, y le dice la Virgen a san José: “José, cuando sea tu voluntad de marchar, aquí está tu sumisa esclava”. San José le dice: “Hay que marchar para Nazaret”.

         ¿Otra vez a otro sitio? ¡Pues anda que no paran, pobrecitos!

         ¡Ay!, y le dicen que dónde está Nazaret los que hay ahí, que dónde van, a qué parte, y dice que a la parte de Palestina.

         ¡Ay, cuántas cosas!

         ¡Ay!, otra vez la Virgen se pone de rodillas ante el Niño, y le dice: “Dios mío, lucero mío, ¡cuánto te amo!, pero por encima de mi amor está el de Dios. Que se haga su voluntad en todo y la Tuya. Vamos a marchar, Rey mío”. ¡Ay!, ¡ay, pobrecito, otra vez para allá! ¡Ay! “Tendremos que cumplir las leyes, dar ejemplo para la Humanidad”.

         ¡Ay! ¡Ay!, ¿por qué tenéis que cumplir vosotros eso, si sois quien sois?
     
     

         LA VIRGEN:

         Por eso, hija mía, porque somos quien somos, tenemos que dar ejemplo de humildad y de obediencia, y con la humildad, hija mía, se podrá conseguir todo.

         Por eso os pido, hijos míos: quiero que seáis pequeñitos, pequeñitos como este Niño, para poder llegar altos, muy altos. Sí, hijos míos, la humildad es muy importante para la salvación.

         Os voy a dar mi santa bendición, con el privilegio de bendecir los objetos. Levantad todos los objetos...
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Oy!, ¿esto?... ¡Ah!
     
     

         LA VIRGEN:

         Tienen una bendición muy especial.

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

         Adiós, hijos míos. ¡Adiós!

    [1] Varias acepciones del verbo “adorar” son aplicables a María santísima: “Reverenciar con sumo honor o respeto a un ser, considerándolo como cosa divina” (o divinizada). También, “amar con extremo”; o bien “tener puesta la estima o veneración en una persona o cosa”. Son esclarecedoras, al respecto, las palabras siguientes del mensaje atribuidas al Niño Jesús.

    [2] Vulgarismo por “tablado”.

    12 janvier 1985
    MESSAGE DU 12 JANVIER 1985 
    AU PRADO NUEVO (PRE NEUF) DE L’ESCORIAL (MADRID) 
     

         LA SAINTE VIERGE : 
         Ah ! Ma fille, je veux te révéler le mystère qui suit. Tu es préoccupée. Je t’ai déjà dit qu’il n’y a personne qui comprenne les mystères du Ciel. 
         Cela t’étonne, ma fille, que Salomon soit dans le temple alors que mon fils est né. Il était aussi présent dans l’esprit de Dieu, parce qu’Il lui promit qu’il ne mourrait pas avant d’avoir vu Dieu fait homme. 
         Il utilisa toute sa sagesse pour construire un temple à Dieu, toutes ses richesses, l’or, l’argent, tout ! Il l’a investi dans le temple pour plaire à Dieu. C’est pourquoi il fût récompensé. . ., et, avant sa mort, Dieu le Père permit qu’il vît le mystère de la Présentation au Temple. 
         Il promit aussi que, pour tous ceux qui seraient au temple à demander pardon et à se purifier, il leur serait pardonné. 
         C’est pour cela que Dieu n’allait pas permettre que, bien que beaucoup péchèrent, ils se damnent facilement, ma fille. 
         Il y a d’autres très grands mystères. 

         LUZ AMPARO: 
         Ah ! De retour là ? Ah ! A nouveau dans ce temple. Ah ! Mais tu n’étais pas partie ? Ah ! Ah, comme ils entrent une autre fois ! Ah ! Ceci est un autre endroit, mais ils entrent par le même endroit. Ah, de l’autre côté ! Ah ! Il y a du monde là en bas. 
         L’Enfant va avec la Vierge. Ah ! Elle se met là. Elle est en train de regarder partout, comme si elle cherchait où se mettre ! Ah ! Elle se met là, derrière tout le monde. Ah ! Mais elle est si éloignée. Ah ! Elle continue de prier avec l’Enfant dans les bras. 
         Ah ! Entre un homme vêtu de ce rouge. Ah ! Il est lui aussi très âgé. Ah ! Comment s’appelle-t-il ? Ah ! Il se met à genoux où se trouve la Vierge. Comme il prend la main de l’Enfant ! Ah ! Celui-ci, c’est Siméon. Ah ! Il est à genoux et rends grâces à Dieu le Père pour lui avoir permis de voir l’Enfant. Ah, comme tu es grande ! Ah ! Ils regardent en haut, d’où une voix dit : 
         “ Sortez tous, vous qui êtes dans la Limbe : les prophètes, Joachim et Anne, tous les justes, tous les martyrs, allez tous dans ce temple et adorez Dieu ”. 
         Ah, combien il en sort ! Ah ! Ah, comme tout bouge ! Comme s’ils sortaient de quelque. . . Ah, comme ils sortent ! 
         Ils sont tous à genoux, tous. Ah, comme ils se mettent avec les mains jointes ! Ils regardent le ciel et disent tous ensemble : “ Merci Dieu Créateur du monde et de l’homme. Nous te rendons grâces pour nous avoir permis de voir l’Enfant dans les mains de cette jeune fille, sa Mère ”. 
         Ah, quelles choses on voit là ! Ah ! La Sainte Vierge regarde le ciel. Ah ! Elle s’incline en baissant la tête. Ah ! Saint Joseph aussi. Ils font tous de même. Ah ! Ils sont avec les mains jointes. Quelles choses ! Ah ! Celui-ci se trouve là aussi, qui est monté. Ah, que tu es grande ! Ah ! La Sainte Vierge a l’Enfant dans les bras, et la voix dit : “ Celui-ci est mon Fils, mon Fils bien-aimé et en Lui j’ai toute confiance ; je lui laisserai tout entre ses mains ”. 
         Ah, comme tu es grande ! Ah ! La Sainte Vierge dit : “ Merci, Père Céleste, je suis votre esclave, faites de mon Fils et du votre ce que vous  voudrez ”. 
         Ah, que tu es grande ! Ah ! Ils baissent tous la tête et la mettent contre le sol. Ah ! . . . (Pause pendant laquelle Luz Amparo imite cette position). 
         (Maintenant, il semble que la Sainte Vierge continue (?)). “ Merci, Dieu Créateur et Sauveur de l’homme, nous te rendons grâces de nous avoir montré le Sauveur du monde ”. 
         Ah ! On s’approche. . . ! Ah ! Mais. . . Je n’étais pas ailleurs ? Ah ! celle-là c’est, ah, c’est la mère de la Sainte Vierge, et celui-ci est Joachim (son père). Ah ! Ils s’agenouillent devant l’Enfant, baissent la tête en bas et s’en vont tous. 
         La voix dit de nouveau : “ Une autre fois je vous demande de partir ”. 
         Ah, tous ! Ah, ils s’en vont tous à nouveau ! Ah ! Ah, ma Mère ! La Sainte Vierge reste là avec saint Joseph. Ah ! Elle regarde en haut, met l’Enfant entre les mains, le lève et l’offre à Dieu le Père : “ Dieu le Père, je t’offre ton Unique et le mien, fais-lui ce que tu veux, mais protège-le ; il est très petit ”. 
         Ah ! La voix répond : “ Non, Marie, le moment n’est pas encore venu ”. 
         Ah ! Ah, ma Mère, comme tu es grande ! Ah, ils sont à genoux ! Ah ! Saint Joseph prend la Sainte Vierge et la fait se lever. Ah ! Ils s’en vont. Ah ! Celui-ci aussi. Ah ! Celui-ci, Siméon, sort aussi avec Elle. 
         Il y a beaucoup d’anges, comme il y en a ! Ah, ils partent ! Ah, ma Mère ! Ils vont voir un autre endroit, la Sainte Vierge s’agenouille. Elle appelle Joseph : “ Joseph, nous allons offrir l’Enfant — Ah ! — toi et moi ”. 
         Ah ! Saint Joseph est là, en train de regarder en haut. Les anges sont là. Ah, quelles choses ! Ah, ce qu’ils vont faire ! Comme ils chantent ! Ah, ils chantent tous ensemble ! Quelle lumière entre par là aux bras de la Sainte Vierge ! Quelle lumière ! Ah ! Tout est illuminé ici. Ah ! Alors, qu’es-tu en train de faire ? Que te dit-il ? Ah ! Que dit cet homme-là ? Ah ! Que lui dit-il ? “ Marie, j’ai eu un songe et j’ai vu l’Enfant battu, maltraité — oh ! — et mort sur une croix ”. 
         Ah, ah ! La Sainte Vierge touche sa poitrine et cache l’Enfant. Ah ! Et elle dit : “Siméon, il faut que mon Fils meure pour la rédemption du monde ? On m’a aussi révélé ce mystère ”. 
          La pauvre ! Ah ! 
         Saint Joseph s’approche. La Sainte Vierge pleure, comme elle pleure, la pauvre ! Comment lui répond l’Enfant ! Il lui dit : “ Mère bien-aimée, sèche tes larmes ; tu sais que je suis victime pour l’Humanité ”. 
         “ Etoile brillante de mes entrailles ! Comment va mourir la Victime Innocente ! Mon pauvre Fils ! Mon pauvre Fils ! ”. 
         Ah, quelle peine, la pauvre ! Comme elle le serre ! Ah ! Elle regarde en haut et dit : “ Dieu Eternel, mon Créateur, me voici. Tu as ici ton esclave, fais ce que tu veux de moi, mais que mon Fils ne subisse pas tout !”. 
         Ah, Mère, quelles choses ! Ah, le pauvre, comment il la regarde, sèche les larmes de la Sainte Vierge, si petit qu’il soit. . . ! (Luz Amparo pleure). Le pauvre ! 
         Ah ! La Sainte Vierge part, s’appuie sur cet autel. Ah ! Elle se met à genoux avec son Fils et le caresse. Saint Joseph va vers Elle, la lève et lui dit : “ Mon épouse, nous devons partir, il faut partir. Demain nous reviendrons ”. 
         Ah, quelle peine ! 
         Ils prennent la Sainte Vierge et la poussent, oh ! Combien il y a de monde ! Comme ils sont nombreux ! Comment ils les regardent ! Oh ! Tous ceux ceux-là en rouge, qui sont-ils ? Ah ! Les prêtres ? Là aussi ? Les pauvres, où iront-ils maintenant ? Ah ! Bon, et à la sortie, où allez-vous ? Ah, les pauvres, encore une fois ! Demain ils reviendront là. Ah, comme elle souffre, la pauvre ! 
         Ils sortent tous ensemble et sont tous à la porte. Que celui-ci est grand ! Oh, qu’il est grand ! Ah ! Ils sortent avec l’Enfant dans les bras. Ah ! Ils s’en vont par là-bas, ils entrent dans une maison. Ah ! Ils montent. Il y a une chambre avec un lit et un berceau. Ah, tu as un berceau ! Ah ! Ah, ma Mère, comme tu es grande ! Ah ! Ils s’assoient. Ah ! La Sainte Vierge dit : “ Joseph, retire-toi, je dois allaiter l’Enfant. Mon bien-aimé, retire-toi ”. 
         Joseph incline la tête et dit, ah ! Que dit-il ? “ Mon épouse et ma colombe, je vais me retirer ”. Elle incline la tête. Ah ! Il sort. Elle va donner à manger à l’Enfant. Ah, le pauvre ! Comme la Sainte Vierge lui caresse le visage ! Ah ! Ah, ma Mère, comment tu le regardes ! Le pauvre ! Ah! 
         “ Alimente-toi, mon Fils, étoile de mes entrailles, alimente-toi et prend des forces. Tu dois être fort. Beaucoup de tourments t’attendent ”. 
         La pauvre ! Ah ! Mère et dame, ne pleurez pas, séchez vos larmes. 
         Comme elle pleure ! La pauvre ! 
         Ah ! Elle le couche dans le berceau. Il est dans le berceau. La pauvre ! Saint Joseph entre et que lui dit la Sainte Vierge ? “ Joseph, apporte un peu nourriture, pour que mon Fils puisse s’alimenter ”. 
         Ah ! Il lui apporte un plateau avec de la nourriture. . . Ah, comme tu es grande ! Ah, mange, mange ! Ah, comme ils bénissent la table ! Ah, il n’y a pas de table ! Mais ils la bénissent. Ils baisent le sol avant de manger : “ Dieu Tout-Puissant, nous te rendons grâces pour cette nourriture que tu nous as donnée. Nous te rendons grâces pour la vie que tu nous as donnée, et je te rends grâces pour avoir incarné cet Enfant à l’intérieur de mes entrailles. Je te rends grâces, Père Eternel ”. 
         Ah ! Ils partagent le pain et se mettent à manger. Ah, quelle grande chose, ah ! Ah! 

         LA SAINTE VIERGE : 
         Oui, ma fille, vous devez rendre grâces pour la nourriture quotidienne, pour la vie que Dieu vous a donnée, pour tous, pour tout ce que Dieu vous a donné. 
         Ah ! Avec humilité, mes fils, je vous demande que vous rendiez grâces au Créateur avec humilité. 

         LUZ AMPARO: 
         Ah, comme tu es grande ! 

         LA SAINTE VIERGE : 
         A chaque minute de votre vie, pour chaque aliment que vous recevez dans votre corps, rendez grâces, mes fils, à Dieu votre Créateur. 
         Je vous veux humbles, très humbles, pour pouvoir monter au Ciel. 

         LUZ AMPARO: 
         Ah, que tu es grande ! 

         LA SAINTE VIERGE : 
         Et à toi, ma fille, je continuerai à te révéler le mystère. 
         Je vais bénir tous les objets. Levez tous les objets, mes fils. . . 
         Je vous bénis comme le Père vous bénit au moyen du Fils et avec le Saint-Esprit. 
         Au revoir, mes fils. Au revoir ! 

    MENSAJE DEL DÍA 12 DE ENERO DE 1985

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         ¡Ay!, hija mía, quiero revelarte el misterio que sigue. Estás preocupada, hija mía. Ya te dije que los misterios del Cielo no hay nadie que los comprenda.

         Te extraña, hija mía, que Salomón esté en el templo, cuando nace mi Hijo. También estuvo presente en la mente de Yahvé, porque Él le prometió que no moriría sin ver a Yahvé hecho hombre.

         Puso toda su sabiduría en construir un templo para Yahvé, todas sus riquezas, el oro, la plata, ¡todo!, lo invirtió en el templo para agradar a Yahvé. Por eso fue recompensado..., y antes de su muerte permitió Dios Padre que viese el misterio de la Presentación en el Templo.

         También prometió que todo aquél que fuese a pedir perdón al templo y a purificarse, sería perdonado.

         Por eso Dios no iba a permitir que, aunque mucho pecó, que se condenase, hija mía.

         Hay otros misterios más grandes.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ah! ¿Otra vez ahí? ¡Ah! ¡Ay!, otra vez en ese templo, ¡ay!; ¿pues no te habías ido? ¡Ay! ¡Ay, cómo pasan otra vez!, ¡ay!, pero éste es otro sitio, pero pasan por el mismo sitio. ¡Ay, otro lado!, ¡ay! Hay gente ahí abajo.

         Va con el Niño la Virgen, ¡ay!, se mete ahí. Está mirando por todos los sitios, ¡cómo busca dónde ponerse! ¡Ay!, se pone ahí atrás del todo. ¡Ay!, pero ahí tan atrás. ¡Ay! Con el Niño en brazos sigue rezando.

         ¡Ay!, entra un hombre vestido con eso colorado, ¡ay!, muy mayor también, ¡ay! ¿Cómo se llama ése? ¡Ay! Se arrodilla donde está la Virgen, ¡cómo le toca la mano al Niño! ¡Ay!, ése es, ése es Simeón. ¡Ay!, está de rodillas y da gracias a Dios Padre por haberle permitido ver al Niño. ¡Ay, qué grande eres! ¡Ay!, miran para arriba. La voz esa de arriba dice:

         “Salid todos los que estáis en el Limbo: los profetas, Joaquín y Ana, todos los justos, todos los mártires, todos poneos en este templo y adorad a Dios”.

         ¡Ay, cuántos salen! ¡Ay! ¡Ay, cómo se mueve todo!, como si salieran de algún... ¡Ay, cómo salen!

         Todos están de rodillas, todos. ¡Ay, cómo se ponen con las manos juntas! Miran al cielo y dicen todos juntos: “Gracias Dios Creador del mundo y del hombre. Te damos gracias por habernos permitido ver al Infante en las manos de esta doncella, su Madre”.

         ¡Ay, qué cosas se ven ahí! ¡Ay!, la Virgen mira al cielo. ¡Ay!, se inclina con la cabeza para abajo. ¡Ay!, san José también. Todos ésos también. ¡Ay!, están con las manos juntas. ¡Qué cosas! ¡Ay!, este también está ahí, ése que ha subido. ¡Ay, qué grande eres! ¡Ay!, tiene al Niño la Virgen en brazos, y la voz dice: “Este es mi Hijo, mi Hijo amado y en Él tengo puestas todas mis confianzas; todas mis confianzas las dejo en Él, todo lo dejaré en sus manos”.

         ¡Ay, qué grande eres! ¡Ay!, la Virgen dice: “Gracias, Padre Celestial, yo soy vuestra esclava, haced de mi Hijo y del vuestro lo que queráis”.

         ¡Ay, qué grande eres! ¡Ay! Todos bajan la cabeza y la ponen en el suelo, ¡ay!... (Pausa en la que Luz Amparo imita esa postura).

         (Ahora parece que continúa la Virgen). “Gracias, Dios Creador y Salvador del hombre, te damos gracias por habernos presentado al Salvador del mundo”.

         ¡Ay! ¡Se acerca! ¡Ay, se acerca la...! ¡Ay!, pero, si... ¿no estaba en otro sitio? ¡Ay!, ésa es, ¡ay!, ésa es la madre de la Virgen, y ése es Joaquín. ¡Ay!, se arrodillan ante el Niño, agachan la cabeza para abajo y se marchan todos.

         Vuelve a decir la voz: “Otra vez os mando a transitaros[1]”.

         ¡Ay, todos! ¡Ay, todos otra vez se van! ¡Ay! ¡Ay, Madre mía! La Virgen se queda ahí con san José, ¡ay!; mira para arriba, pone al Niño entre las manos para arriba y lo ofrece a Dios Padre: “Dios Padre, te ofrezco a tu Unigénito y al mío, haz lo que quieras, pero protégele; es muy pequeño”.

         ¡Ay!, contesta la voz: “No, María, todavía no ha llegado el momento”.

         ¡Ay! ¡Ay, Madre mía, qué grande eres! ¡Ay! ¡Ay, que están de rodillas! ¡Ay! Coge san José a la Virgen, la levanta; ¡ay!, se van. ¡Ay!, ése también, ¡ay!, ése, que es Simeón, también sale con Ella.

         Hay muchos ángeles, ¡cuántos hay! ¡Ay, se van! ¡Ay, Madre mía! Van a ver otro sitio, se arrodilla la Virgen en él; llama a José: “José, vamos a ofrecer al Niño —¡ay!— tú y yo”.

         ¡Ay!, san José está ahí, mirando para arriba. Los ángeles están ahí, pero como nosotros, ahí. ¡Ay, qué cosas! ¡Ay, lo que van a hacer!, ¡cómo cantan!; ¡ay, todos juntos están cantando! ¡Qué luz entra por ahí a los brazos de la Virgen! ¡Qué luz! ¡Ay! Todo se queda iluminado, todo ahí. ¡Ay!, entonces, ¿qué estás haciendo?, ¿qué te dice? ¡Ay!, ¿qué dice ese hombre? ¡Ay!, ¿qué le dice?: “María, he tenido un sueño y he visto al Infante azotado, maltratado —¡oy!— y muerto en una cruz”.

         ¡Ay, ay! La Virgen se coge así el pecho ocultando al Niño. ¡Ay! ¡Ay! Y dice: “Simeón, ¿es preciso que muera mi Hijo para la redención del mundo? También me ha sido revelado a mí este misterio”.

         ¡Pobrecita! ¡Ay!

         Se acerca san José. La Virgen llora, ¡cómo llora, pobrecita! ¡Cómo le contesta el Niño! Le dice: “Madre amada, enjuga tus lágrimas; sabes que soy víctima de la Humanidad”.

         “¡Lucero mío de mis entrañas!, ¡cómo va a morir la Víctima Inocente!, ¡pobre Hijo mío! ¡Pobre Hijo mío!”.

         ¡Ay, qué pena, pobrecita!, ¡cómo lo aprieta! ¡Ay!, mira para arriba y dice: “Dios Eterno, mi Creador, aquí estoy. Aquí tienes a tu esclava, haz lo que quieras conmigo, pero ¡no dañes todavía a mi Hijo!”.

         ¡Ay, Madre, qué cosas!, ¡ay, pobrecito, cómo le mira, le limpia las lágrimas a la Virgen, tan pequeñito como eres...! (Luz Amparo llora). ¡Pobrecito!

         ¡Ay!, va la Virgen, se arrima en el altar ese, ¡ay!, se pone de rodillas con su Hijo, lo acaricia, va san José a por Ella, la levanta y la dice: “Esposa mía, tenemos que marchar, es preciso marchar. Mañana volveremos otra vez”.

         ¡Ay, qué pena!

         Cogen a la Virgen, la sacan, ¡huy!, ¡cuánta gente!, ¡cuántos! ¡Cómo los miran! ¡Oy!, todos ésos de colorado, ¿quién son ésos? ¡Ay!, ¿los sacerdotes?, ¿también ahí? Pobrecitos, ¿dónde irán ahora?, ¡ay! Bueno, y a la salida, ¿a dónde vais?, ¡ay, pobrecitos, otra vez! Mañana vuelven ahí otra vez. ¡Ay, cuánto sufre, pobrecita!

         Salen todos juntos, todos a la puerta. ¡Qué grande es eso! ¡Oy, qué grande! ¡Ay!, con el Niño en brazos, salen. ¡Ay! se van para allá, entran en una casa, ¡ay!, suben. Hay una habitación con una cama y una cuna. ¡Ay, ya tienes cuna! ¡Ay! ¡Ay, Madre mía, qué grande eres Tú! ¡Ay!, se sientan, ¡ay!, le dice la Virgen: “José, retírate, tengo que amamantar al Niño. Amado mío, retírate”.

         Inclina la cabeza José y dice, ¡ay!, ¿qué dice?: “Esposa mía y paloma mía, me voy a retirar”. Inclina la cabeza, ¡ay!, se sale. Va a darle de comer al Niño. ¡Ay, pobrecito!, ¡cómo acaricia a la Virgen la cara! ¡Ay! ¡Ay, Madre mía, cómo le miras!, ¡pobrecito!, ¿eh? ¡Ay!

         “Aliméntate, Hijo mío, Lucero de mis entrañas, aliméntate y fortalécete. Tienes que estar fuerte. Te esperan muchos tormentos”.

         ¡Pobre! ¡Ay! Madre y Señora mía, no lloréis, secaos vuestras lágrimas.

         ¡Cómo llora!, ¡pobrecita!

         ¡Ay!, lo acuesta en la cuna. Ya lo tiene en la cuna. ¡Pobrecita! Entra san José y la Virgen, ¿qué le dice?: “José, trae un poco de alimento, para poder alimentar a mi Hijo con mi sustento”.

         ¡Ay!, le trae una bandeja con comida ese... ¡Ay, qué grande eres!, ¡Ay, come, come! ¡Ay, cómo bendicen la mesa!, ¡ay, si no hay mesa!, pero la bendicen. Besan el suelo antes de comer: “Dios Omnipotente, te damos gracias por este sustento que nos has dado. Te damos gracias por la vida que nos has dado, y yo te doy gracias por haber encarnado este Hijo dentro de mis entrañas. Te doy gracias, Padre Eterno”.

         ¡Ay! Parten el pan y se ponen a comer. ¡Ay, qué grande, ay! ¡Ay!
     
     

         LA VIRGEN:

         Sí, hija mía, tenéis que dar gracias por el sustento de cada día, por la vida que Dios os ha dado, por todos, por todo lo que os ha dado Dios.

         ¡Ay! Con humildad, hijos míos, con humildad os pido que deis gracias al Creador.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, qué grande eres!
     
     

         LA VIRGEN:

         Cada minuto de vuestra vida, cada alimento que recibáis en vuestro cuerpo, dad gracias, hijos míos, a Dios vuestro Creador.

         Hijos míos, os quiero humildes, humildes, muy humildes, para poder subir al Cielo.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, qué grande!
     
     

         LA VIRGEN:

         Y a ti, hija mía, te seguiré revelando el misterio.

         Voy a bendecir todos los objetos. Levantad todos los objetos, hijos míos...

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

         Adiós, hijos míos. ¡Adiós!

    [1] “Transitar”= “Ir o pasar de un punto a otro por vías o parajes públicos”. También: “Viajar o caminar haciendo tránsitos”. “Hacer tránsitos”= “Parar o descansar en albergues o alojamientos situados de trecho en trecho entre los puntos extremos de un viaje”.

    13 janvier 1985
    MESSAGE DU 13 JANVIER 1985 
    AU PRADO NUEVO (PRE NEUF) DE L’ESCORIAL (MADRID) 
     

         LA SAINTE VIERGE : 
         Ma fille, je vais continuer à te révéler un autre mystère. Dis ce que tu vois. 

         LUZ AMPARO: 
         Je vois une autre fois la Sainte Vierge dans le temple. Elle est en train de prier avec l’Enfant dans les bras et avec saint Joseph. Combien il y a d’anges ! Ils sont avec les mains jointes en regardant le ciel, en offrant son Fils. Elle dit aussi à Joseph : “ Joseph, nous allons rester pendant neuf jours à prier dans le temple et à offrir notre Fils, mon fils naturel et ton adoptif, pour l’offrir à Dieu le Père ”. 
         Ah ! Ils sont en train de prier tous les deux ; saint Joseph avec la tête contre le sol et la Sainte Vierge avec l’Enfant dans les bras et regardant le ciel. Ils sont à un autre endroit, ils ne sont plus à l’autre. Ah ! Sur l’autel il y a des anges, comme s’ils étaient en or, à côté de celui qu’il y a ici. Il y a aussi un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit, neuf, dix, onze, douze ; douze bœufs en or sur cette autel. Ah, comme il y a de l’or ici ! Il y a aussi des lions. Ah, combien ! Et comme celui-ci est beau ! Qu’il est grand ! Comme il y a de l’or ! Et des diamants aussi, ici, en face de ce mur. Ah, comme il y en a ! 
         Ah ! Ils sont à genoux. Les anges chantent. Ah ! On entend une autre fois ce bruit ainsi que la voix qui dit : “ Marie, tu vas devoir partir, tu ne pourras pas rester ici plus longtemps ”. 
         Ah, la pauvre ! Mais, où va-t-elle aller maintenant ? Ah ! Elle répond : “ Je suis votre esclave, qu’il soit fait selon votre volonté ”. 
         Ah ! Ils vont se lever. Ah, comment saint Joseph la prend ! Il la lève. Ils sortent du temple avec les anges. A partir de cet endroit ils arrivent dans la rue. Où iront-ils maintenant ? Ils partent à nouveau par cette rue. Ils vont où ils étaient avant. Il y a une femme avec une fille à la porte, une fille paralysée ; ah, la pauvre ! Quel visage elle a ! Ah ! Que lui arrive-t-il ? Elle sort de l’écume par la bouche. Ah, oui c’est la femme d’ici, de l’auberge ! Ah ! Elle touche la Sainte Vierge. Ah, pauvre fille ! Cette femme la touche. 
         Ah ! La Sainte Vierge lui dit : “ Cette fille, est-ce la vôtre ? ”. 
         La femme lui dit : “ Oui, Madame, jeune fille bien-aimée, c’est ma fille. Elle est épileptique et paralysée. . . ”. Ah, la pauvre ! “ Et mon époux est aussi très malade ”. Ah, le pauvre, lui aussi ! 
         La Sainte Vierge lui dit : “ Brave femme, qu’est-il arrivé à ton époux ? Il est très malade aussi ? Entrez ”. 
         Ils entrent à l’intérieur. Ah ! La Sainte Vierge prend l’Enfant et le regarde. Elle lui dit : “ Mon bien-aimé, me donnez-vous la permission de chasser l’ennemi de cette pauvre jeune fille ? Il est en train de la martyriser ”. 
         Ah, la pauvre ! Mais, qu’y a-t-il ? Ah ! La Sainte Vierge lui dit : “ Entrez à l’intérieur. Appelez votre époux ”. 
         Ah ! Que vont-ils faire ? 
         La Sainte Vierge dit : “ Je vous prie de sortir immédiatement de ce corps, au nom de Jésus. Sortez dehors, retournez dans les profondeurs de l’Enfer !”. 
         Ah, ce qui sort ! Ah, comment ils sortent ! Ah, la pauvre ! Ah ! Ah, ceux-ci sont des démons ! Ah, la pauvre ! Ah ! 
         “ Et vous, adorez Dieu votre Sauveur ; n’adorez pas ces faux dieux. Marchez ! ”. 
         Ah, la fille marche ! Oh, comme tu es grande ; comme tu es grande ! Ah ! Comme elle marche ! Et l’homme va bien ! 
         Ah, quelle peine ! La pauvre ! Ah. . . ! Ah, la pauvre ! Ah, les pauvres ! 
         “ Partez d’ici, ne vous emparez plus de cette jeune fille ! ”. 
         Ah, comme ils courent ! Que vous êtes méchants ! Ah, la pauvre ! Comment elle était ! 
         Ah ! La femme la remercie, la pauvre ! Elle met la tête contre le sol et la remercie. Ah, elle était si malheureuse ! Ah ! La pauvre ! Ah ! Ah ! Que vas-tu faire ? Ah ! Ah ! Que lui dit-elle ? Ah, comme la femme te baise la main ! 
         “ Merci ! — lui dit-elle —, merci, jeune fille bien-aimée, pour ces faveurs que vous m’avez accordées ! ”. 
         Ah, la pauvre ! Sa fille et son mari vont bien. Ah ! Ils s’en vont à l’intérieur avec l’Enfant dans les bras. Ils vont dans la chambre. Ah ! Ils s’assoient ici. Comme ils sont en train de prier ! Ah, ils prient toujours ! Avec les mains jointes ! Saint Joseph met la tête contre le sol et rend grâces à Dieu le Père pour lui avoir accordé d’être l’époux de Marie. 
         Ah, que tu es grande ! Ah ! Que vont-ils faire maintenant ? Ah, ils mettent l’Enfant là ! Comme ils lui mettent les couches ! 
         Ah ! Ils boivent un liquide. Ah ! Comme si c’était un verre de lait. Ah ! Saint Joseph va dans la chambre, il se couche ; et la Sainte Vierge est en train de prier à genoux, elle prie. Pourquoi ne te reposes-tu pas toi non plus ? La pauvre ! 
         Ah, une lumière vient dans cette chambre ! Une lumière et un bruit. Mais, qu’est-ce que c’est ? Ah ! Un ange à nouveau. Ah ! Que lui dit-il ? : “ Levez-vous, Joseph. Prenez Marie et son Fils et fuyez en Egypte. Hérode cherche l’Enfant pour le tuer. Fuyez et restez-y jusqu’à ce que je vous avertisse une autre fois ”. 
         Ah ! Il se lève en courant. Il arrive et dit : “ Marie, nous devons partir. J’ai été averti qu’Hérode veut tuer ton Fils ”. 
         Ah ! Marie lui dit : “ Joseph, je le savais déjà. Dieu, mon Créateur, m’a aussi révélé ce mystère. Nous devons fuir. Prends les habits de l’Enfant. Nous nous en allons loin, très loin ”. 
         Ah, la pauvre, encore une fois ! Elle prend l’Enfant et ses habits, ah ! Ils s’en vont, les pauvres, à nouveau ! Ah ! Ah, encore une fois avec l’Enfant et avec les ânes, de nouveau ! Ah ! 
         On plante un panneau, qu’y met-on ?  “ Bethléem ”. Ah ! Bethléem ? Ah ! Ils partent par ce chemin. Ah ! Les pauvres, encore ! Ils partent en marchant, en marchant. Sainte Vierge, comment tu pries sur l’âne en regardant le ciel ! Ah ! Comment elle parle à l’Enfant ! Ah, le pauvre ! Que lui dit-il ? Ah ! Elle appelle Joseph et lui dit : “ Arrêtez-vous, notre Rédempteur va nous bénir. Il nous en a donné la permission ”. 
         Ah ! La Sainte Vierge descend au sol, ils s’agenouillent, et l’Enfant, comment il fait une bénédiction avec la main ! Ah, si petit, il les bénit ! Ah ! Ils font le signe de la croix. Ah ! La Sainte Vierge lui dit : “ Joseph, nous sommes bénis, nous ne devons avoir peur de personne, car Dieu incarné est avec nous. Qui peut te tuer, mon bien ? Qui peut désirer ta mort ? Alors que tu donnes la vie à tous pour qu’ils participent à ton Règne. Qui en est capable, mon bien ? Etoile brillante de mes entrailles ! Qui est si méchant pour vouloir te tuer ? ”. 
         Ah, le pauvre ! Ah, il nettoie la Sainte Vierge ! Ah, comme il nettoie avec ses mains le visage de sa Mère ! Ah, comme il le nettoie, le pauvre, alors qu’il est si petit ! Ah ! Mais qui voudrait te tuer à Toi, mon bien ? Ah, le pauvre ! 
          Oh ! On s’arrête là. Est-il né ici ? C’est en ce lieu ! Il y a beaucoup d’anges ici. Ah, ils s’en vont une autre fois de là ! Ah ! Oh, non ! 
         Ah, comment la Sainte Vierge regarde cet endroit ! Ah, oui, c’est où il est né ! Ah, les anges viennent ; bien, ils viennent sur le chemin, s’agenouillent et chantent ! Ah ! Ah ! Comme il lui dit : “ Marie — lui dit Joseph —, je sais qu’il te plairait de t’approcher de cet endroit où le Verbe s’est fait homme, mais nous ne pouvons pas y aller. Il faut partir et nous arrêter nulle part ”. 
         Ah ! Les anges sont là. Ah ! La Sainte Vierge lui dit : “ Oui, Joseph, je suis ton humble esclave, je ferai ce que vous voudrez ”. 
         Ils s’en vont en marchant. La pauvre, comment elle regarde ! Ah, comme elle porte l’Enfant ! Comme elle le serre ! Ah, comme tu es grande ! Ah ! Ah ! Ils s’en vont en marchant. Oh ! Marie dit à Joseph : “ Joseph, proche est la ville où se trouve ma cousine Elysabeth. Combien il me plairait de la visiter et de la prévenir qu’on veut tuer le Verbe fait homme ! ”. Ah ! Joseph lui dit : “ Marie, je sais que tu ressens une grande douleur quand on te dit que tu ne peux pas lui rendre visite. Il faut suivre le chemin et ne pas nous arrêter ”. 
         Ah ! Un ange vient. La Sainte Vierge lui dit : “ Approchez-vous d’Elysabeth et dites-lui que nous allons sur le chemin de l’Egypte, qu’Hérode veut tuer l’Enfant, qu’elle fasse attention et qu’elle protège Jean, qu’on veut tuer aussi ! ” 
         Lui aussi, le pauvre ! Ah, ah ! 
         “ Dites que mon Cœur ressent une grande douleur de ne pas pouvoir lui rendre visite. Mais nous ne devons pas nous arrêter ”. 
         Ah ! L’ange s’en va. Ah ! La Sainte Vierge dit : “ Joseph, continuez, votre esclave soumise est à vos pieds ”. 
         Ah, comme tu es grande ! Que tu es bonne ! Comme elle serre l’Enfant ! La pauvre, comment elle regarde ! Elle part en priant et en baisant l’Enfant. Ah, que tu es grande ! 
         Ah ! Comme l’ange y va ! Ah ! Il vient par là avec quelqu’un. Ah, on dirait qu’il vient en l’air ! Ah, ils arrivent ! Comment ils vont les leur porter ! Ah ! Celui-ci porte des provisions, ou qu’est-ce que c’est ? Oh, combien il y a de choses ! 
         Ah ! Ils arrivent. Ah ! C’est un homme. Ah, comment il lui donne les choses ! 
         “ Prenez, belle jeune fille, votre cousine m’a ordonné de vous apporter toutes ces choses : nourriture et vêtements, pour que vous puissiez protéger votre Fils du froid et que vous puissiez vous alimenter ”. 
         Ah, il apporte de l’étoffe ! Ah, et de la nourriture ! Saint Joseph le prend. Ah ! Il le met sur l’âne. Comment celui-ci s’en va ! Il leur dit : “ Donnez votre bénédiction Madame, et je demande aussi la bénédiction de l’Enfant ”. 
         L’Enfant lève la main et fait une croix sur son front. Ah, que tu es bon ! Et elle lui dit : “ Ne dites à personne que vous nous avez vus en ce lieu, parce que Hérode nous cherchera pour tuer mon Fils ”. Il lui répond : “ Soyez tranquille, jeune fille bien-aimée, je ne dirai rien à ce sujet. Pour moi. . .”. 
         Ah ! Bon, comme il s’en va ! Ah ! Ils s’en vont. Ah, quel vent et quel froid, les pauvres ! Ah ! Que dit la Sainte Vierge ? “ Joseph, il faut se reposer, vous êtes épuisé ”.
         “ Et vous, Dame bien-aimée, mon épouse, vous êtes fatiguée aussi, vous devez vous reposer ”. 
         Ah ! Ils se mettent par ce chemin. Ils se mettent sur le sol, dans une grotte de pierre. Ils se réfugient là. Ah, quels malheureux ! Quelle pauvreté ! Ah, quelle peine ! Comment peuvent-ils être là, si pauvres ? Ah, les pauvres ! Où allez-vous aller maintenant ? Ah ! La Sainte Vierge dit : “ Reposez-vous, Joseph, vous êtes épuisé ”. 
         Elle se met à prier, la pauvre, toujours à prier ! Et quand te reposeras-tu ? Ah ! Joseph se met sur la pierre, et Elle reste avec l’Enfant. Ah, sans une maison ni rien où se mettre ! 

         LA SAINTE VIERGE : 
         Oui, ma fille. Combien de fois  mon Fils a-t-il dit que le Fils de Dieu n’avait pas d’endroit où appuyer la tête ! Apprenez, mes fils, apprenez de la pauvreté. 
         Et toi, sois humble, très humble, pour que tu puisses arriver jusqu’au Ciel. 
         Je vais vous bénir, mes fils ; mais avant, je vais bénir les objets. 
         Levez tous les objets. . . Tous ont été bénis avec des grâces spéciales, mes fils. 
         Je te dis aussi, ma fille, que je continuerai de te révéler les mystères cachés en ce lieu. 
         Maintenant, je vais donner ma bénédiction, mes fils. 
         Je vous bénis comme le Père vous bénit par le moyen du Fils et avec le Saint-Esprit. 
         Au revoir, mes fils. Au revoir ! 

    MENSAJE DEL DÍA 13 DE ENERO DE 1985

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hija mía, voy a seguir revelándote otro misterio. Di lo que ves, hija mía.
     
     

         LUZ AMPARO:

         Veo otra vez a la Virgen, está en el templo. Está orando allí con el Niño en brazos, con san José también. ¡Cuántos ángeles! Están con las manos juntas mirando al cielo, ofreciendo a su Hijo. También le dice a José: “José, nos vamos a quedar durante nueve días orando en el templo y ofreciendo a nuestro Hijo, mío natural y tuyo adoptivo, ofreciéndolo a Dios Padre”.

         ¡Ah! Están orando los dos; san José con la cabeza en el suelo, la Virgen con el Niño en brazos mirando al cielo. Están en otro sitio, no están en el otro. ¡Ay!, ahí en el altar hay ángeles, como si fuesen de oro, al lado de eso que hay ahí. También hay una, dos, tres, cuatro, cinco, seis, siete, ocho, nueve, diez, once, doce; doce vacas de oro en ese altar. ¡Ay, cuánto oro hay ahí! También hay leones. ¡Ay, cuánto!, ¡y qué bonito es eso!, ¡qué grande! ¡Cuánto oro!, y hay también diamantes, ahí enfrente a la pared esa. ¡Ay, cuántos!

         ¡Ay!, están de rodillas. Los ángeles están cantando. ¡Ay!, se abre otra vez ese ruido y se oye la voz que le dice: “María, tendrás que marchar, no podrás estar aquí más tiempo”.

         ¡Ay, pobrecita! Pues, ¿dónde se va a ir ahora? ¡Ay!, Ella responde: “Soy vuestra esclava, hágase vuestra voluntad”.

         ¡Ay!, se van a levantar. ¡Ay, cómo la coge san José! La levanta. Salen del templo. Los ángeles salen con ellos. Por esa parte salen a la calle. ¿Dónde irán ahora? Vuelven a ir por esa calle. Van a donde estaban antes. Hay una mujer con una niña en la puerta, una niña paralítica; ¡ay, pobrecita!, ¡qué cara tiene! ¡Ay!, ¿qué le pasa?, echa espuma por la boca. ¡Ay, si es la mujer de ahí, de la posada! ¡Ay!, toca a la Virgen. ¡Ay, pobre niña!, la toca esa mujer.

         ¡Ay! Le dice la Virgen: “Esta hija, ¿es vuestra?”.

         Le dice la mujer: “Sí, Señora, amada doncella, es mi hija. Tiene epilepsia y está paralítica...”. ¡Ay, pobrecita! “Y mi esposo también está muy enfermo”. ¡Ay, pobre también!

         Le dice la Virgen: “Buena mujer, ¿qué le pasa a tu esposo?, ¿también está muy enfermo? Entrad”.

         Entran para dentro. ¡Ay!, la Virgen coge al Niño, le mira. Le dice: “Amado mío, ¿dais permiso para echar a ese enemigo de esa pobre doncella?, la está martirizando”.

         ¡Ay, pobrecita! Pues, ¿qué tiene? ¡Ay!, la Virgen le dice: “Entrad dentro. Llamad a vuestro esposo”.

         ¡Ay!, ¿qué van a hacer?

         Dice la Virgen: “Os ruego salgáis inmediatamente de ese cuerpo, en nombre de Jesús. ¡Salid fuera, a la profundidad de los Infiernos!”.

         ¡Ay, lo que sale! ¡Ay, cómo sale! ¡Ay, pobrecita! ¡Ay! ¡Ay, ésos son demonios! ¡Ay, pobrecita! ¡Ay!

         “Y vosotros, adorad a Dios vuestro Salvador; no adoréis a dioses falsos. ¡Andad!”.

         ¡Ay, anda la niña! ¡Oy, qué grande eres; qué grande eres! ¡Ay! ¡Cómo anda! ¡Ay, cómo anda!, ¡y el hombre está bueno!

         ¡Ay, qué pena!, ¿cómo tendrán eso dentro? ¡Pobrecita! ¡Ay...! ¡Ay, pobrecita! ¡Ay, pobrecitos!

         “Marchaos de aquí, ¡no volváis a apoderaros de esta doncella!”.

         ¡Ay, cómo corren! ¡Qué malvados sois! ¡Ay, pobrecita!, ¡cómo estaba!

         ¡Ah! La mujer le da las gracias, ¡pobrecita! Pone la cabeza en el suelo y le da las gracias. ¡Ay, que es tan pobrecita! ¡Ay! ¡Pobrecita! ¡Ay! ¡Ay!, ahora, ¿qué vas a hacer? ¡Ay! ¡Ay!, ¿qué le dice? ¡Ay, cómo te besa la mano la mujer!

         “¡Gracias! —le dice—, ¡gracias, amada doncella, por estos favores que me habéis otorgado!”.

         ¡Ay, pobrecita!, ya tiene a su hija buena y a su marido. ¡Ay!, ya se van para dentro con el Niño en brazos. Se van a la habitación. ¡Ay!, ya se sientan ahí. ¡Cómo están rezando!, ¡ay, siempre rezando!, ¡con las manos juntas! San José pone la cabeza en el suelo y da gracias a Dios Padre por haberle otorgado ser esposo de María.

         ¡Ay, qué grande eres! ¡Ay!, ahora, ¿qué van a hacer? ¡Ay, están echando al Niño ahí! ¡Cómo le pone los pañales!

         ¡Ay! Beben algún líquido. ¡Ay!, como si fuese un vaso de leche. ¡Ay!, san José se va a la habitación, se acuesta; y la Virgen está orando de rodillas, está orando. ¿Por qué no descansas Tú también? ¡Pobrecita!

         ¡Ay, que viene una luz a esa habitación! Una luz y un ruido. Pero, ¿qué es eso? ¡Ay!, un ángel también. ¡Ay! ¿Qué le dice?: “Levantad, José. Coged a María y a su Hijo y huid a Egipto. Herodes está buscando al Niño para matarle. Huid y estad allí hasta que yo os avise”.

         ¡Ay!, se levanta corriendo. Llega y le dice: “María, tenemos que marchar. He tenido un aviso de que Herodes quiere matar a tu Hijo”.

         ¡Ay!, María le dice: “José, ya lo sabía. Ese misterio también me lo había revelado Dios, mi Creador. Tenemos que huir. Coge la ropita del Niño. Vámonos lejos, muy lejos”.

         ¡Ay, pobrecita, otra vez! Ella coge al Niño. Coge la ropa, ¡ay!, y se van; ¡pobrecitos, otra vez! ¡Ay! ¡Ay, otra vez con el Niño y con los borricos, otra vez! ¡Ay!

         Pone ahí un letrero, ¿qué pone?: “Belén”. ¡Ay!, ¿Belén? ¡Ay!, se van por ese camino. ¡Ay! ¡Pobrecitos, otra vez! Van andando, andando. La Virgen ¡cómo hace oración en el borrico mirando al cielo! ¡Ay! ¡Cómo le dice al Niño! ¡Ay, pobrecito! ¿Qué le dice? ¡Ay! ¡Ay!, llama a José, le dice: “Deteneos, que nos va a bendecir nuestro Redentor. Nos ha dado permiso para bendecirnos”.

         ¡Ay!, se baja la Virgen al suelo, se arrodillan, y el Niño ¡cómo hace con la mano una bendición! ¡Ay, tan pequeño, los bendice! ¡Ay!, se santiguan. ¡Ay!, le dice la Virgen: “José, ya estamos bendecidos, no tenemos que tener miedo a nadie, con nosotros va Dios encarnado. ¿Quién puede matarte, bien mío? ¿Quién puede desear tu muerte? Cuando Tú das la vida a todos para que participen de tu Reino. ¿Quién es capaz, bien mío? ¡Lucero mío de mis entrañas! ¿Quién es tan malvado para matarte y querer tal?”.

         ¡Ay, pobrecito! ¡Ay! ¡Pobrecito! ¡Ay, le limpia la Virgen! ¡Ay, cómo le limpia con sus manos la cara de su Madre! ¡Ay, cómo la limpia, pobrecito, tan pequeño! ¡Ay!, pero, ¿quién te querrá matar a Ti, mi bien? ¡Ay, pobrecito!

         ¡Huy!, si se para ahí. ¿Ahí está donde nació? ¡Ahí, eso es! Hay muchos ángeles allí. ¡Ay, si van otra vez allí! ¡Ay! ¡Huy, que no!

         ¡Ay, cómo mira la Virgen a ese sitio! ¡Ay, si es donde nació! ¡Ay, vienen los ángeles; bueno, vienen al camino, se arrodillan y cantan! ¡Ay! ¡Ay!, cómo le dice: “María —le dice José—, sé que te agradaría acercarte a ese lugar donde se ha humanado el Verbo, pero no podemos. Es preciso salir y no pararnos en ningún lugar”.

         ¡Ay! Ahí están los ángeles. ¡Ay! Le dice la Virgen: “Sí, José, soy tu humilde esclava, lo que vos queráis haré”.

         Van andando, pobrecita, ¡cómo mira! ¡Ay, cómo lleva al Niño!, ¡cómo le aprieta! ¡Ay, qué grande! ¡Ay! ¡Ay!, van andando, andando. ¡Oy!, le dice María a José: “José, cerca está la ciudad donde está mi prima Isabel. ¡Cuánto me agradaría visitarla y darle el recado de que quieren matar al Verbo humanado!”. ¡Ay! José le dice: “María, sé que sientes un gran dolor cuando te diga que no puedes visitarla. Es preciso seguir el camino y no pararnos”.

         ¡Ay!, viene un ángel. Le dice la Virgen: “Acercaos donde Isabel y decidle que vamos camino de Egipto, que Herodes quiere matar al Niño, que tenga cuidado y que preserve, ¡preserve a Juan, que también querrán matarle!”[1]

         ¡También, pobrecito! ¡Ay, ay!

         “Decidle que mi Corazón siente un gran dolor: no poder visitarla. Pero es preciso no pararse”.

         ¡Ay!, se va el ángel. ¡Ay!, le dice la Virgen: “José, seguid adelante, vuestra sumisa esclava está a vuestros pies”.

         ¡Ay, qué grande eres! ¡Qué buena eres! ¡Cómo aprieta al Niño! ¡Pobrecita, cómo mira! Va rezando y va besando al Niño. ¡Ay, qué grande eres!

         ¡Ay! ¡Cómo va allí el ángel! ¡Ay! Viene por ahí con uno. ¡Ay, si parece que vienen en el aire! ¡Ay, ya llegan! ¡Cómo van a cogerlos! ¡Ay!, ése trae unas alforjas, ¿o qué es eso? ¡Huy, cuántas cosas!

         ¡Ay!, ya llegan. ¡Ay!, es un hombre. ¡Ay, cómo le da las cosas!

         “Tomad, bella doncella, vuestra prima me ha ordenado que os traiga todas estas cosas: comida, ropa, para que podáis proteger a vuestro Hijo del frío, y podáis alimentaros”.

         ¡Ay, trae tela! ¡Ay, de esas piezas, y comida! Lo coge san José; ¡ay!, lo pone en el borrico. ¡Cómo se va ése! Les dice: “Dadme vuestra bendición Señora, y pido también la bendición del Infante”.

         El Niño levanta la mano y hace una cruz en su frente. ¡Ay, qué bueno eres! Y le dice: “No digáis a nadie que nos habéis visto por este lugar, porque Herodes nos buscará para matar a mi Hijo”. Él le dice: “Estad tranquila, amada doncella, no diré nada desde este momento. Para mí...”.

         ¡Ah! ¡Bueno, cómo se va! ¡Ay!, se van para alante. ¡Ay, qué aire y qué frío, pobrecitos! ¡Ay! ¿Qué dice la Virgen?: “José, hay que descansar, estáis agotado”.

         “Y Vos, amada Señora, esposa mía, también estáis cansada, tenéis que descansar”.

         ¡Ay! Se meten por ese camino. Se ponen así en el suelo, en una cueva de piedra. Se refugian ahí. ¡Ay! ¡Ay, qué pobrecitos!, ¡qué pobreza! ¡Ay! ¡Ay, qué pena! ¿Cómo pueden estar ahí, tan pobres? ¡Ay, pobrecitos! ¿Dónde vais a ir ahora? ¡Ay!, le dice la Virgen: “Descansad, José, estáis rendido”.

         Se pone a rezar, ¡pobrecita, siempre rezando!, y ¿cuándo vas a descansar Tú? ¡Ay!, se echa en la piedra José, y Ella se queda con el Niño. ¡Ay, sin una casa y sin nada donde ponerse!
     
     

         LA VIRGEN:

         Sí, hija mía. ¡Cuántas veces dijo mi Hijo que el Hijo de Dios no tenía ni dónde reclinar la cabeza! Aprended, hijos míos, aprended en la pobreza.

         Y tú, hija mía, sé humilde, muy humilde, para que puedas alcanzar el Cielo.

         Voy a bendeciros, hijos míos; pero antes, os voy a bendecir los objetos.

         Levantad todos los objetos... Todos han sido bendecidos con gracias especiales, hijos míos.

         También te digo, hija mía, que te seguiré revelando los misterios aquí ocultos, para ti.

         Ahora os voy a dar mi bendición, hijos míos.

         Os bendigo como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

         Adiós, hijos míos. ¡Adiós!

    [1] El fragmento resaltado en cursiva falta en la cinta de audio disponible. Se ha tomado del o. c., nº 5, p. 27.

    2 Février 1985

    "Ma fille regarde le soleil"(La TS Vierge garde un long silence pendant que les assistants observent le prodige céleste) 
    "Que d'âmes ingrates! 
    Malgré ce qu'elles voient, elles ne croient pas. Pauvres âmes! 
    Mes enfants, regardez quelles merveilles dans l'Univers; 
    ma fille, ce sont les couleurs des demeures. 
    Aujourd'hui, ce message est pour les consacrés 
    Mes enfants, -mots très accentués- N'offensez plus mon Fils, ne continuez pas à affliger son Cœur qui est très affligé par les âmes consacrées ne remplissant par leurs devoirs. Mettez-vous en règle avec Dieu et soyez prêts; vous avez abandonné le chemin de l'Evangile et avez exposé votre corps aux plaisirs du monde. Pauvres âmes! Convertissez-vous, car vous donnez un très mauvais exemple. Ce qui fait le plus souffrir mon Cœur, ce sont les péchés des consacrés: les péchés d'impureté, mes enfants C'est pourquoi Je vous demande de restreindre vos fautes, vos vices et vous mettre sur le chemin de l'Evangile, 
    Vous avez abandonné le CHRIST, mes fils, vous n'avez pas la foi. Pauvres âmes qui ont abandonné le caractère distinctif du sacerdoce pour se mettre sur le chemin de l'Ennemi. Ce caractère distinctif était la soutane qui empêchait bien des péchés. Pauvres âmes! Elles ne sont pas loyales avec le CHRIST. Ce sont des pharisiens, des hypocrites, Mon Fils veut des âmes pures se donnant à la publication de la parole de Dieu. Il est encore temps, mes enfants, la Miséricorde de Dieu est très grande, mais sa Justice est terrible. 
    Je demande aussi que les consacrés, comme le CHRIST, vivent dans la pauvreté: Lui n'avait pas de tunique de rechange. Vous vivez comme le riche avare, sans même penser à donner des miettes aux pauvres Pauvres âmes, mon Cœur les aime tant, et elles correspondent si mal à mon amour. 
    Réfugiez-vous dans mon Cœur Immaculé. Il vous protègera des impuretés: imitez votre Mère, mes enfants. Soyez pauvres, humbles. Que les âmes consacrées soient des modèles de perfection pour tous les hommes. 
    J' ai eu la joie de porter le CHRIST dans mes mains, mais vous, mes fils, qui touchez chaque jour le Corps du CHRIST? Vous avez perdu la foi, vous n'êtes pas loyaux en célébrant les Saints Mystères de la Messe. Vous faites beaucoup de mal aux âmes: corrigez vos vices. Soyez en règle avec le Seigneur: il faut beaucoup d'hommes saints. 
    Pauvres âmes, ma fille. L'Ennemi les a fait entrer comme des agneaux dans l'abattoir de son Enfer. Prie beaucoup pour elles, fais beaucoup de sacrifices, J'ai tant de pitié pour ces âmes! Mon Cœur les aime tant et quel glaive de douleur J'ai en mon cœur à cause d'elles, mon Cœur en est tellement affligé! Je les prie de me consoler un peu et de consoler mon Fils! 
    Baise le sol pour les consacrés, pour ces pauvres âmes qui ont besoin de prière et de sacrifice: ayant abandonné la prière, l'Ennemi s'est emparé de leur âme. Priez pour qu'elles prennent le chemin de l'Evangile. Pauvres âmes, ne les critiquez pas, priez beaucoup pour elles qui sont si chères à mon Cœur. 
    Et toi, ma fille, sois très petite pour que Je t'élève très haut. Aujourd'hui c'est un jour spécial pour vous donner une bénédiction qui servira pour les âmes consacrées. 
    Vous tous, mes enfants, aidez-les, vous êtes tous héritiers de la Gloire de DIEU. 
    Levez tous vos objets. 
    Tous ont été bénis avec des bénédictions spéciales. 
    Que de curieux viennent en ce lieu, mais ne te préoccupe pas d'eux, ma fille, parce qu’il y a quelque chose dans leur âme qui les appelle.
    Ce ne sont pas des ennemis ; eux qui repoussent les grâces ; ces pauvres âmes, qui ont besoin de ce que leur dit mon Fils. Parlez du CHRIST dans tous les lieux du monde, n'ayez pas honte sinon le Père Céleste aura honte de vous devant ses anges. 
    Que personne ne vous trompe. Allez de l'avant, publiez partout la parole du CHRIST. 
    Mes enfants, soyez humbles, très humbles pour gagner le Ciel. Que d'âmes croient que tout finit sur terre! Non, mes enfants, que je fois J'ai dit quel sens a la vie sur terre, si ce n'est d'atteindre le Ciel pour y être heureux. Ici tout finit mais après il y a l'ETERNITE. Pensez toujours à l'ETERNITE, l'ETERNITE (mots accentués par la TS Vierge) Cela vaut la peine de souffrir, de faire des sacrifices, pour acquérir l'ETERNITE. 
    Pauvres âmes remplies de ténèbres, ce qui les attend... 
    J'ai déjà dit, DIEU est très miséricordieux, mais Il est aussi très juste et rendra à chacun selon ses œuvres. Au revoir, mes enfants, au revoir. 

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    MENSAJE DEL DÍA 2 DE FEBRERO DE 1985, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Mirad el Sol... (Largo silencio mientras los asistentes observan el milagro del Sol).

         Hija mía, aun viendo, ¡cuántas almas ingratas!; aun viendo, hija mía, no creerán. ¡Pobres almas, hija mía!

         Mirad, hijos míos, qué maravillas vienen del Universo, hija mía, los colores de las moradas, hija mía.

         Hoy, este mensaje, hijos míos, va a ser para las almas consagradas: hijos míos, no ofendáis más a mi Hijo, ni aflijáis más su Corazón. Su Corazón está muy afligido, hijos míos, por las almas consagradas que no cumplen, hijos míos. Poneos a bien con Dios y prepararos. Habéis abandonado, hijos míos, el camino del Evangelio, y habéis expuesto vuestros cuerpos a los placeres del mundo. ¡Pobres almas! Convertíos, que estáis dando muy mal ejemplo al ser humano, hijos míos. Lo que más daña mi Corazón es los pecados de las almas consagradas, los pecados de impureza, hijos míos. Por eso os pido que frenéis vuestras culpas, vuestros vicios, y os dediquéis al camino del Evangelio.

         Hijos míos, habéis abandonado a Cristo; no tenéis fe, hijos míos. ¡Pobres almas! Han abandonado el distintivo de sacerdotes, para ponerse, hijos míos, en el camino del enemigo. El distintivo era la sotana, que los frenaba de muchos pecados, hija mía. ¡Pobres almas! No son legales con Cristo, son fariseos, hipócritas. Mi Hijo no quiere fariseos ni hipócritas, quiere almas puras, que se entreguen para publicar la palabra de Dios. Por eso os pido: ¡aún estáis a tiempo, hijos míos, aún estáis a tiempo!, que la misericordia de Dios es muy grande, pero su justicia es terrible, hijos míos.

         También os pido que las almas consagradas tienen que vivir la pobreza, hijos míos, la pobreza como Cristo. Cristo no tenía ni una túnica de repuesto, hijos míos. Vivís como el rico avariento, y no os acordáis de dar las migajas a los pobres. ¡Pobres almas, hijos míos! ¡Las ama tanto mi Corazón! ¡Tanto, tanto!, y ¡qué mal corresponden a este amor!

         Refugiaos, hijos míos, en mi Inmaculado Corazón, que él os protegerá de las impurezas, hijos míos. Imitad a vuestra Madre: sed pobres, humildes, hijos míos, que las almas consagradas sean modelo de perfección para los hombres.

         Yo tuve la dicha, hijos míos, de tener a Cristo en mis manos; pero y vosotros, hijos míos, que diariamente tocáis el Cuerpo de Cristo, no sois leales, hijos míos, habéis perdido la fe, y no sois leales en celebrar los santos misterios de la Misa. Estáis dañando muchas almas. Por eso os pido, hijos míos, que os corrijáis de vuestros vicios, y os pongáis a bien con Dios. Hay mucha necesidad de hombres santos, hijos míos.

         ¡Pobres almas!, hija mía, cómo el enemigo los ha introducido como corderos en el matadero de su infierno. Pide mucho por ellos, hija mía; haz mucho sacrificio, porque ¡me dan tanta pena esas almas!, porque mi Corazón ¡las ama tanto! ¡Qué espada de dolor tengo dentro del Corazón por ellos, hija mía, y qué afligido está mi Corazón! Les pido que me den un poco de consuelo y que consuelen a mi Hijo. ¡Pobres almas, hija mía!

         Besa el suelo, hija mía, por las almas consagradas... Por esas pobres almas que están tan necesitadas, hija mía, de oración y de sacrificio, porque ellas han abandonado la oración, y el enemigo se ha apoderado de sus almas. Pedid por ellas, para que vuelvan al camino del Evangelio. ¡Pobres almas, hijos míos! No los critiquéis. Pedid por ellos, porque son almas muy queridas de mi Corazón.

         Y tú, hija mía, te pido que te hagas muy pequeña, muy pequeña, para yo hacerte alta, muy alta.

         También hoy un día muy especial para daros una santa bendición, con una bendición especial, hijos míos, y esas bendiciones servirán para las almas consagradas, para que vuelvan al camino del Evangelio, hijos míos.

         Todos tenéis que ayudar; todos, hijos míos, porque todos sois hijos míos, y todos sois herederos de la Gloria de Cristo; por eso tenéis que ayudar con vuestros sacrificios y con vuestras oraciones a esas pobres almas.

         Levantad todos los objetos, hijos míos, todos serán bendecidos... Todos han sido bendecidos, con unas bendiciones especiales.

         ¡Cuántos curiosos, hija mía, vienen a este lugar! Pero no te preocupes de esos curiosos, hija mía, porque dentro de sus almas hay algo que les llama, hija mía.
     
     

         LUZ AMPARO:

         Pero puede a veces el enemigo más.
     
     

         LA VIRGEN:

         No, hija mía, son ellos, no es el enemigo; ellos, que rechazan la gracia; esas pobres almas, que están necesitadas de que se les hable de mi Hijo, hija mía. Hablad de Cristo, y no os avergoncéis, por todos los rincones de la Tierra. No os avergoncéis, hijos míos, porque el Padre Celestial se avergonzará de vosotros, ante sus ángeles, como os avergoncéis de Cristo en la Tierra.

         Que nadie, hijos míos, ¡nadie!, os confunda. Seguid adelante, y publicad por todos los rincones de la Tierra la palabra de Cristo.

         Hijos míos, sed humildes, muy humildes, para poder conseguir el Cielo. ¡Cuántas almas creen que todo se acaba en la Tierra! No, hijos míos, cuántas veces he dicho: “¿Qué significado tiene el ser humano en la Tierra, si no fuese porque hay otra gloria, para gozar en ella, hijos míos?”. Por eso os pido: que aquí no se acaba todo. Aquí se acaba todo, pero luego hay una eternidad. Pensad siempre: la eternidad, la eternidad. Vale la pena sufrir, hijos míos, y vale la pena hacer sacrificio, para conseguir la eternidad.

         Pobres almas, esas almas que están llenos de tinieblas, ¡lo que les espera, hijos míos!, porque ya he dicho que Dios es muy misericordioso, pero es muy justo, y dará a cada uno según sus obras, hijos míos.

         ¡Adiós, hijos míos! ¡Adiós!

    2 mars 1985

    Ma fille, tu es triste, mon Coeur aussi est triste car les hommes s'obstinent dans le péché. Dans les foyers, les enfants se disputent avec leurs parents, les pères avec les fils, le frère avec la soeur, la soeur avec la soeur, la belle-mère contre la belle-mère, la belle-fille contre la belle-mère C'est eux-mêmes qui font la guerre, qui se haissent, ne veulent pas la paix mais la guerre.
    C'est pourquoi Je te demande de prier beaucoup ma fille, la prière peut tout. Ne te décourage pas: fais des sacrifices, fais pénitence. Pense que si beaucoup d'âmes ne se sont pas encore converties, beaucoup d'autres l'ont été: elles en ont appelé à nos Coeurs et nos Coeurs se sont ouverts les portes de part en part pour qu'elles y entrent. Pour cela, Je te demande d'unir la prière au sacrifice.
    Ma fille, pauvres âmes: baise le sol à cause de tous les pécheurs du monde, pour eux tous Car tous sont mes enfants.
    Tu vas voir, mon Fils.

    Le Seigneur parle:
    LUZ (premier prénom d'AMPARO se traduisant par "Lumière") pourquoi es-tu triste ? Combien je fois j'ai dit que le disciple n'est pas plus que le Maitre. Ma fille, pense que Moi qui en mon pays, étais le Maitre, on ne m'a pas honoré. Tu n'es pas plus que Moi. Mais Je t'ai appelé et tu as entendu ma voix: Je t'ai admise en (mots perdus)
     t'ai appelée et tu as entendu ma voix. Je t'ai admise en  mon troupeau et personne ne pourra t'arracher de mes  mains.   Pauvres âmes que celles de ceux qui veulent  détruire mon oeuvre! Pauvres âmes de ceux qui ferment le  Royaume de Dieu aux hommes! Eux-mêmes n'y entrent pas et  n'y laissent pas entrer ceux qui le voudraient, induisant à ne pas croire en Moi. Que d'âmes de pharisiens hypocrites, propres  à l'extérieur mais souillées à l'intérieur. J'ai fait  le corps semblable à l'extérieur comme à l'intérieur.  Pour cela, Je veux que vous ayez le corps pareil à l'éxtérieur comme à l'intérieur et que vous le laviez.

    Tu sais déjà ,ma fille, qui sont ceux qui veulent détruire  mon oeuvre. Ce sont des serpents, de la race des vipères.
    Vous ne voyez pas la poutre dans votre oeil et vous voulez enlever la paille dans l'oeil de votre prochain: enlevez d'abord la poutre de votre oeil et ensuite enlevez  la paille de l'oeil de votre prochain.   Ne sois pas triste, ma fille. Ta conversion,  qu'elle ait eu lieu avant ou après, pour Moi, cela n'a  pas d'importance, pour Moi les derniers seront les premiers. Qui êtes-vous pour juger ? Il n'y en a qu'Un seul  qui vous jugera, ce sera votre Père Céleste. Ma fille, réfugie-toi dans nos Coeurs, eux ne t'abandonneront pas si tu les quittes pas. Tu fais partie de mon troupeau, Je suis le Pasteur, pense que J'ai donné ma vie pour toutes mes brebis. Si J'en ai quatre-vingt-dix neuf et qu'une soit égarée, Je quitte la bergerie et n'en vais la chercher. Quand tu es malade, toi, tu appelles le médecin car ce sont les malades qui ont besoin du médecin et non pas ceux qui sont en bonne santé. Dans le Ciel la fête est beaucoup plus grande pour une âme convertie que pour la persévérance de beaucoup de justes
    Tu es en sûreté dans ma bergerie: ne t'affliges donc pas.

    Pour sauver les âmes de toute l'humanité, Moi, J'ai publié l'Evangile et ils m'appelaient le "fou" ils disaient que J'étais possédé par Béelzébud et que lui parlait en mon nom. Aussi, Je te demande de manifester l'humilité que Je t'ai enseignée. Sois très humble, ma fille, avec l'humilité mon oeuvre ne se détruira pas. Je te demande aussi de beaucoup aimer tes frères -vous étes tous frères- vous êtes tous enfants de Dieu et héritiers d'une Gloire Eternelle. Cela vaut la peine de souffrir, ma fille pour recevoir une grande récompense.

    Bienheureux ceux qui sont calomniés à cause de mon nom: leur héritage est sûr. Prie pour eux.
    Sais-tu qui m'emmena au gibet de la Croix ?
    Sais-tu qui furent les premiers ?
    Prie pour eux, pour qu'ils lisent l'Evangile, le méditent et y réfléchissent car ils n'agissent pas bien. La charité est très importante envers tous.
    Que ton coeur se réjouisse :au cours de l'histoire il y a eu de grands saints qui ont été de grands pécheurs et ils jouissent maintenant d'une très grande gloire. Pense donc à la gloire, non à la souffrance et à l'humiliation.

    Recommence à baiser le sol pour ces pauvres âmes égarées.
    Cependant toutes ne sont pas semblables au sein de ce pauvre troupeau. Il y a de nombreuses brebis aimant beaucoup mon Coeur et celui de ma Mère bien-aimée c'est pourquoi Je te dis qu'elles ne sont pas toutes semblables: qu'elles ne soient pas lâches et défendent le Christ. (Amparo baise le sol)
    Cet acte d'humilité sert pour ces pauvres âmes.
    Quel est celui d'entre vous qui est sans péché ? Je vous ai répété cela souvent.

    Mes enfants, vous devez tous prier Dieu qu'Il fasse miséricorde à votre pauvre âme, et vous mettre bien en règle avec son Fils: Approchez vous du sacrement de l'Eucharistie en recevant auparavant celui de la confession.
    Beaucoup de ceux à qui vous pensez se demandent si c'est l'oeuvre du démon ? Le démon ne construit pas, il détruit. S'ils ne parlent pas contre mon Nom, ils ne sont pas contre Moi, c'est pourquoi avec la prière vous pourrez les sauver, mes enfants.

    Sois humble, ma fille, très humble pour qu'avec l'humilité on ne puisse pas détruire mon oeuvre.
    Je vous bénis, mes enfants, mais auparavant Je vais bénir tous les objets avec des bénédictions spéciales pour les pauvres pécheurs. Levez tous les objets.
    Ils ont été bénis.
    Allez par toute la terre publier l'Evangile parlant de Dieu, c'est la Parole de l'Evangïle.
    Je vous bénis, comme le Père vous bénit, par le Fils et l'Esprit-Saint: cette bénédiction est accompagnée de celle de ma Mère.
    Au revoir, mes enfants, au revoir.

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    MENSAJE DEL DÍA 2 DE MARZO DE 1985, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         ¡Ay!, hija mía, estás triste; mi Corazón también está triste, porque los hombres siguen en la obstinación del pecado. En los hogares, hija mía, se pelean los hijos con los padres, los padres con los hijos, hermano contra hermana, hermana contra hermano, suegra contra nuera, nuera contra suegra. Hacen ellos mismos la guerra, hijos míos. Se odian, hija mía, se odian, no quieren paz, quieren guerra. Por eso te pido, hija mía, que hagas mucha oración; la oración lo puede todo.

         No te abandones, haz sacrificio, sacrificio y penitencia, hija mía. Piensa que aunque hay muchas almas que aún no se han convertido, hay otras muchas, hija mía, que están convertidas, han llamado a nuestros Corazones, y nuestros Corazones han abierto la puerta de par en par, para que entren en ellos, hija mía. Por eso te pido oración, acompañado de sacrificio. ¡Pobres almas, hija mía!

         Besa el suelo, hija mía, por todos los pecadores del mundo... Por todos, hija mía, porque todos sois hijos míos.

         Vas a ver a mi Hijo, hija mía.
     
     

         EL SEÑOR:

         Luz, ¿por qué estás triste? ¡Cuántas veces te he dicho que el discípulo no es más que el maestro! Piensa, hija mía, que a mí, siendo el Maestro, no me honraron en mi tierra; tú no eres más que yo, hija mía; pero también piensa que yo te llamé y tú oíste mi voz, y te mudé a mi rebaño, y nadie, nadie podrá arrebatarte de mis manos. ¡Pobres almas, hija mía!, aquéllos que quieren destruir mi Obra, ¡pobres almas! También, hija mía, aquéllos que cierran el Reino de Dios a los hombres, que no entran en Él, ni dejan entrar a todos aquéllos que quisieran entrar, induciéndoles a no creer en mí, hija mía. ¡Cuántas almas, hija mía, son fariseos, hipócritas, que estáis por fuera muy limpios y por dentro estáis sucios!

         Yo hice el cuerpo, del exterior y del interior igual; por eso quiero que hagáis el cuerpo igual dentro que fuera: lo lavéis.

         Tú ya sabes, hija mía, los que quieren destruir mi Obra, ¡son serpientes! ¡Raza de víboras!, que no miráis vuestras viga en vuestro ojo y queréis quitar la paja en el ojo ajeno; quitad primero vuestra viga y luego quitad la paja del ojo ajeno.

         Para mí, hija mía, no estés triste, tu conversión lo mismo me da después que antes, para mí los últimos son los primeros. ¿Quién sois vosotros para juzgar? Sólo uno os juzgará, que será vuestro Padre Celestial.

         Hija mía, refúgiate en nuestros Corazones, que si tú no te sales de ellos, ellos no te abandonarán. Estás en mi rebaño, y yo soy el Pastor; piensa que di la vida por todas mis ovejas, y, si tengo noventa y nueve, y una de ellas se me descarría, dejo todo el rebaño y me voy a por la descarriada.

         Tú, cuando estás enferma, hija mía, llamas al médico, porque los enfermos son los que necesitan del médico, no los sanos, hija mía. En el Cielo hay más fiesta cuando un alma se convierte que cuando hay muchos justos, hija mía.

         Segura, hija mía, estás en mi rebaño; por eso te pido: ¡no te aflijas! Piensa, hija mía, que a mí, por querer salvar el alma de toda la Humanidad, por publicar mi Evangelio, me llamaban endemoniado, decían que estaba poseído de Belcebú, y que él hablaba en mi nombre. Por eso te pido, hija mía, que demuestres la humildad que te he enseñado; sé muy humilde, hija mía, que con la humildad no se destruirá mi Obra.

         También te pido que ames mucho a todos tus hermanos, porque todos sois hermanos; todos, hijos míos, sois hijos de Dios, y herederos de una gloria que es eterna. Vale la pena sufrir, porque luego, hija mía, recibirás una gran recompensa.

         ¡Bienaventurados los que son calumniados a causa de mi nombre, porque tienen su herencia segura, hija mía! Pide por ellos.

         ¿Sabes, hija mía, quién me llevó al patíbulo de la Cruz? Ya sabes quién fueron los primeros; pide por ellos, para que lean el Evangelio, recapaciten y mediten que no están obrando bien. La caridad es muy importante con el ser humano.

         Regocíjate, hija mía, que tu corazón no se entristezca. Piensa que a lo largo de la Historia, hija mía, ha habido grandes santos que han sido grandes pecadores, y ahora tienen una gloria muy grande, hija mía. Piensa en la gloria, no pienses en el sufrimiento, ni en la humillación.

         Vuelve a besar el suelo, hija mía, por esas pobres almas que están descaminadas, hija mía; pero todos no son igual; de ese pobre rebaño hay muchas ovejas que aman mucho a mi Corazón y al de mi amada Madre. Por eso te digo, hija mía, que todos no son igual, pero que no se acobarden, que defiendan a Cristo... Este acto de humildad sirve para esas pobres almas.

         ¿Cuál de vosotros, hijos míos, no tiene pecado? Esto lo he repetido muchas veces; todos, hijos míos, todos tenéis que pedir a Dios que tenga misericordia de vuestra pobre alma, y poneos a bien con Él, hijos míos.

         Acercaos al sacramento de la Eucaristía, pasando antes por el sacramento de la Confesión. Pensad, hijos míos, que muchos de los que pensáis: “¿Será obra del demonio?”, el demonio no construye, hijos míos, destruye, y si no hablan en contra de mi Nombre no están en contra mía, hijos míos. Por eso os pido que con la oración lo podréis salvar todo, hijos míos.

         Oración y sacrificio para poder salvar vuestra pobre alma.

         Tú, hija mía, sé humilde, muy humilde, para no poder destruir mi Obra; con la humildad, hija mía, no se podrá destruir.

         Os voy a bendecir, hijos míos; pero antes voy a bendecir todos los objetos, con bendiciones especiales para la conversión de las pobres almas pecadoras. Levantad todos los objetos... Todos los objetos han sido bendecidos, hijos míos. Id por todos los rincones de la Tierra, publicad el Evangelio, hijos míos, hablando de Dios; es palabra del Evangelio.

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo. Esta bendición va acompañada de la bendición de mi Madre.

           Adiós, hijos míos. Adiós.
     

    Depuis le 15 mars 1985, pour accomplir le désir de l'archevêque de Madrid, Mgr Taracon, maintenant décédé, Amparo ne va plus prier chaque jour le rosaire sur le pré neuf, de manière publique, elle ne dirige plus le rosaire et elle n'y reçoit plus publiquement les messages.

    Depuis le 15 mars 1985, pour accomplir le désir de l'archevêque de Madrid, Mgr Taracon, maintenant décédé, Amparo ne va plus prier chaque jour le rosaire sur le pré neuf, de manière publique, elle ne dirige plus le rosaire et elle n'y reçoit plus publiquement les messages.

    4 avril 1985 Jeudi Saint

    MESSAGE du SEIGNEUR, JEUDI-SAINT 4 Avril I985 AMPARO souffrant des stigmates de la Passion.

    Ma fille, mon agonie ne dura pas seulement trois heures: elle continue jusqu'à la fin du monde.
    Sais-tu qui me fait continuer cette agonie ? Beaucoup de mes prêtres, de mes âmes consacrées. Je leur ai donné beaucoup; ils sont ceux qui ont reçu le plus et ce sont les pires, ceux qui correspondent le plus mal à mon amour.

    Mes enfants, PENSEZ QUE JE SUIS PRISONNIER DANS LE TABERNACLE POUR TOUS LES HOMMES, JE DEMANDE AUSSI QUE VOUS AIMIEZ BEAUCOUP MA MERE, celui qui aime ma Mère m'aime aussi parce que J'aime beaucoup ma Mère.
    Je vous demande aussi de prier pour les prêtres et aux prêtres (?) Je leur demande un peu d'Amour que Je suis en train de leur mendier! UN ROI CREATEUR, MENDIANT UN PEU d'AMOUR!
    Mes enfants, priez pour eux.
    Je te dis aussi énergiquement de leur faire savoir qu'ils se réveillent de leur sommeil car ils sont en léthargie. Le démon les a affaiblis ainsi pour pouvoir s'emparer de leurs âmes. Mon Coeur les aime tant! mais ils correspondent très peu à cet Amour de mon Coeur Ils sont ingrats, ont abandonné la prière et le sacrifice, encore que Je continue de les aimer et de répandre des grâces pour qu'ils se repentent. Priez pour eux; dites-leur de s'unir à mon Armée des Anges et de se laisser marquer du sceau par eux.

    Vous êtes à une heure très critique, mes enfants, laissez-vous marquer du Sceau des élus.
    Satan aussi marque du sceau et veut s' emparer de la plus grande partie de l'humanité.
    Sur beaucoup de fronts et de mains, il y a le 666, mes enfants, ne vous laissez pas tromper par l'astuce de Satan.
    Aimez ma Mère, Elle vous mènera vers Moi et Je vous emmènerai au Père.

    Je viendrai comme Juge et alors [je] ne viendrai pas comme ami, mes enfants. Aussi Je vous demande de vous efforcer d'accomplir de bonnes oeuvres. Aimez-vous les uns les autres. Confessez vos péchés. Obéissez aux Dix Commandements de Dieu pour vous sauver.
    Ne pensez pas que le temps est éloigné car il est proche
    Maintenant Je répands des grâces et mon Coeur vient en ami, plein de Miséricorde, mais quand arrivera ce moment cette heure si terrible, Je n'entendrai pas de lamentations, Je n'écouterai pas vos gémissements.
    SOYEZ PRETS, CAR C' EST UNE HEURE TRES IMPORTANTE, MES ANGES MARQUENT AVEC LE SCEAU DES ELUS.
    Je vous aime beaucoup mes enfants, ne refusez pas mon Amour.

    Tu vas boire les gouttes du Calice de Douleur, ma fille (On voit AMPARO faisant le geste de boire et on entend la déglutition et elle tousse comme enrouée en prononçant des "Aie"!) C'est amer, ma fille, cette amertume, mon Coeur la ressent pour tous mes fils, spécialement pour les âmes consacrées, pour ces prêtres qui sont prêtres de nom mais n'agissent pas comme tels. Priez pour eux. Je leur ai tout donné, Je leur ai remis mon Corps pour qu'ils le conduisent où ils veulent,
    J'AI SOIF D'AMOUR, DONNEZ-MOI de L'AMOUR, mee enfants, mon coeur est assoiffé. Ne soyez pas ingrats.

    Aujourd'hui, ma fille, tu vas recommencer à boire quelques gouttes du Calice de Douleur. Il manque peu de gouttes pour qu'il soit achevé et quand cela arrivera, ce sera la fin. (0n voit la même attitude d'AMPARO que précédemment avec la toux et les cris: elle termine en disant:"Ah! Seigneur, Ah! Seigneur..."

    Ma fille, Je te demande de te sacrifier pour les prêtres: crucifie-toi chaque jour pour eux. Je veux qu'ils reprennent le bon chemin. Cela pourra s'obtenir par le sacrifice et la pénitence.

    Comme Je te l'ai dit d'autres fois, vous pourrez éviter par le Rosaire, prière préférée de ma Mêre, une grande guerre, une grande catastrophe et de nombreux dangers qu'il y a dans le monde. Pour cela, je te dis:"Crucifie-toi pour les âmes consacrées.Beaucoup parmi elles n'honorent pas mon Corps JE VEUX QU'ON FASSE DES ACTES DE REPARATION POUR CES OFFENSES COMMISES PAR BEAUCOUP DE PRETRES.

    Je te demande d'être fidèle, d'être forte, ma fille. Les épreuves ont été dures en commençant et celle -ci est très forte, mais continue de lutter, car il n'en est pas beaucoup de ceux-là qui croient en l'existence (?) de ma Mère. Que les prêtres et religieux croient en notre existence!
    Aussi je vous demande de réparer par des actes et avec amour.Ne soyez pas ingrats.
    Beaucoup disent que c'est l'oeuvre du démon. Le démon ne construit pas, il détruit. Que de fois je te répète ces mêmes paroles. L'oeuvre du démon se fait par ceux qui n'observent pas mon Evangile, ceux qui choisissent ce qui leur plait et écarte ce qui les gêne: cela c'est l'oeuvre du démon. Mais là où se trouve l'humilité la charité, l'amour, Satan ne pourra rien, ma fille. Je te demande donc d'étre humble, très humble pour empêcher Satan d'entrer.
    Réfugie-toi en nos Coeurs, dans celui de ma pure et sainte Mère et dans le Mien pour en ètre fortifiée, Ne sois pas affligée ni triste. Nous sommes avec toi, ainsi que t'importe [ce qui t'arrive] de la part des autres!

    Ne les critiquez pas, mes enfants, priez pour eux: ils ont tant besoin de prière et de sacrifice. Pauvres âmes! Combien mon Coeur les aime alors que beaucoup correspondent mal à cet Amour!

    Aimez-vous les uns les autres: attention à vos paroles, mes enfants: la langue est un couteau à double fil. Ne vous critiquez pas, aimez-vous comme Je vous ai aimés.

    Ma fille, tu vas écrire six noms en récompense pour ta souffrance: ils seront tes élus. Ecris-les sur le Livre de la Vie et au nom de Dieu. (AMPARO dit quelques paroles qu'on ne comprend pas) Ma fille, vois comme tes souffrances sont récompensées ? Six noms qui ne s'effaceront jamais.

    Vois-tu ma Mère, ma fille ?
    Je vais vous donner une bénédiction spéciale qui répandra beaucoup de grâces, surtout pour ces âmes qui n'ont pas encore profité du Sacrement de Pénitence et de la Confession. Aujourd'hui même, recevez-le et n'ayez pas honte de vos fautes.
    DONNEZ AMOUR AU PRISONNIER QUI A SOIF DE VOTRE AMOUR, Mes Enfants, DONNEZ-MOI CET AMOUR, CAR MON COEUR EST ASSOIFFE. REFUGIEZ-VOUS TOUS EN LUI OUVERT POUR VOUS DE PART EN PART.

    Je vous bénis, comme le Père vous bénit, par le Fils que Je suis, avec l'Esprit-Saint.
    Je vous dis : LE FILS EST DIEU, l'ESPRIT-SAINT EST DIEU, le PERE EST DIEU C'EST UN SEUL DIEU EN TROIS PERSONNES MAIS LE MEME. Ce mystère vous sera révélé à votre arrivée aux Demeures célestes.

    Bénissez vos parents qui vous ont donné l'être en mon nom; honorez-les :celui qui honore son père et sa mère entrera dans le Royaume des Cieux. Soyez humbles avec eux et aimez-les beaucoup. Ne regardez pas vos (?) défauts ou regardez les vôtres avant les leurs. Ils vous ont donné l'être et vous leur devez la vie. S'ils ne vous avaient pas donné la vie, vous n'auriez pas eu la connaissance de Dieu, mes enfants: d'ici même, ils sont bénis .

    Levez tous les objets, tous seront bénis. Au revoir, mes enfants, au revoir.

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    MENSAJE DEL DÍA 4 DE ABRIL DE 1985[1]

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         EL SEÑOR:

         Hija mía, mi agonía no fueron tres horas. Mi agonía sigue hasta el fin del mundo. ¿Sabes quién me hace esa agonía dura? Muchos de mis sacerdotes, de mis almas consagradas. Les he dado mucho; son los que más han recibido. Y los peores, hija mía; los que peor corresponden a mi amor.

         Pensad, hijos míos, que estoy prisionero en el sagrario por todos los hombres. Y también pido que améis mucho a mi Madre, porque el que ama a mi Madre me ama a mí también, porque yo amo mucho a mi Madre.

         También os digo que pidáis por los sacerdotes. Y a los sacerdotes les pido un poquito de amor; que estoy mendigándoles. ¡Un Rey Creador mendiga un poquito de amor! Pedid por ellos, hijos míos.

         También te digo enérgicamente que les digas que despierten de ese sueño; que están aletargados. El demonio los tiene así postrados, para apoderarse de sus almas. ¡Mi Corazón los ama tanto! Pero corresponden muy poco a ese amor que siente mi Corazón. Son ingratos, hija mía. Han abandonado la oración y el sacrificio, pero aún los sigo amando. Y sigo derramando gracias para que se arrepientan. Pedid por ellos. Decidles que se unan a mi ejército de ángeles y que se dejen sellar por ellos. Estáis en una hora muy crítica, hijos míos. Dejaos sellar; dejaos poner el sello de los escogidos. Satanás también está sellando y quiere apoderarse de la mayor parte de la Humanidad. En muchas frentes y en muchas manos hay el 666, hijos míos. No os dejéis engañar por la astucia de Satanás.

         Amad a mi Madre. Que mi Madre os traerá a mí. Y yo os llevaré al Padre. Y vendré como juez cuando venga. No vendré como amigo, hijos míos. Por eso os pido que procuréis hacer buenas obras. Amaos los unos a los otros, confesad vuestros pecados. Cumplid con los diez mandamientos para que os podáis salvar, hijos míos.

         No penséis que el tiempo está lejos; que el tiempo está cerca, hijos míos. Ahora estoy derramando gracias y mi Corazón viene como amigo, lleno de misericordia; pero, cuando llegue ese momento, esa hora tan terrible, no oiré lamentos, hijos míos, no escucharé vuestros gemidos. Estad preparados, que es una hora muy importante. Mis ángeles están marcando, hijos míos, con el sello de los escogidos. Os amo mucho, hijos míos. No rechacéis mi amor.

         Vas a beber las gotas del cáliz del dolor, hija mía...

         Está amargo, hija mía. Esa amargura siente mi Corazón por todos mis hijos, pero especialmente por las almas consagradas; por esos sacerdotes que son sacerdotes de nombre; pero que no cumplen, hija mía. Pedid por ellos. Yo les he dado todo; incluso, hija mía, he entregado mi Cuerpo a ellos, para que ellos lo conduzcan donde quieran. Estoy sediento de amor.

         Dadme amor, hijos míos; que mi Corazón está sediento. No seáis ingratos.

         Tú, hija mía, vas a volver a beber del cáliz del dolor. Faltan pocas gotas, hija mía. Y cuando se acaben será el final.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, qué amargo! ¡Ay, Señor!, ¡ay, Señor!, ¡ay, Señor!
     
     

         EL SEÑOR:

         Te pido, hija mía, que te sacrifiques por los sacerdotes. Crucifícate diariamente por ellos. Quiero que vuelvan al buen camino. Con el sacrificio y con la penitencia se podrá alcanzar esto, hija mía. Con el santo Rosario, que es la plegaria de mi Madre, podréis evitar, como te he dicho otras veces, hija mía, una gran guerra, una gran catástrofe y muchos peligros que hay en el mundo. Por eso te pido: crucifícate, hija mía, por los consagrados; muchos de ellos no honran mi Cuerpo. Quiero que hagáis actos de desagravio por esos agravios que cometen muchos sacerdotes, hija mía.

         Te pido que seas fiel, hija mía, y seas fuerte. Las pruebas han empezado duras. Para ti es muy dura esta prueba. Pero sigue luchando, sigue, porque ni muchos de ellos mismos creen en la existencia de mi Madre. Y si no creen en la existencia de mi Madre, no creen en mi existencia. Que los sacerdotes y religiosos crean en nuestra existencia. Por eso os pido que reparéis con amor y hagáis actos de desagravio. No seáis ingratos.

         Y muchos, hija mía, dicen que es obra del demonio. El demonio destruye, no construye. ¡Cuántas veces voy a repetir esta misma palabra! Obra del demonio es aquéllos que no cumplen con mi Evangelio, hija mía; aquéllos que ponen lo que les agrada y quitan lo que les molesta. Eso sí que es obra del demonio. Pero donde hay humildad y donde hay caridad, donde hay amor, Satanás no podrá, hija mía. Por eso te quiero humilde, muy humilde, para que Satanás no pueda entrar.

         Refúgiate en nuestros Corazones: en el de mi santa y pura Madre y en el mío, hija mía. Que ellos te fortalecerán. No estés compungida ni triste, hija mía. Estamos contigo. Y, estando contigo nosotros, ¿qué te puede importar nadie?

         No los critiquéis, hijos míos. Pedid por ellos. Están muy necesitados de oración y de sacrificio. ¡Pobres almas! ¡Cuánto las ama mi Corazón y qué mal corresponden a ese amor!

         Amaos los unos a los otros. ¡Y cuidado con la lengua, hijos míos!, que es un cuchillo de doble filo, hija mía. No os critiquéis. Amaos como yo os he amado, hijos míos.

         Vas a escribir seis nombres; y hoy, hija mía, en recompensa a tu sufrimiento, serán escogidos por ti. Escríbelos en el Libro de la Vida y en el nombre de Dios...

         ¿Ves, hija mía, cómo tus sufrimientos son recompensados? ¡Vaya seis nombres, hija mía! Estos nombres no se borrarán jamás, hija mía. Y ahora te pido humildad y sacrificio por las almas consagradas, hija mía. ¿Ves a mi Madre, hija mía?

         Voy a daros una bendición especial. Y esta bendición, hija mía, derramará muchas gracias y, especialmente, para aquellas almas que todavía no han ido al sacramento de la Penitencia y de la Confesión. Hacedlo hoy mismo. No os avergoncéis de vuestras culpas. Dad amor al Prisionero que está sediento de vuestro amor, hijos míos. Dadme amor, que mi Corazón está sediento. Y refugiaos todos en él, que estará abierto de par en par para vosotros.

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo, que soy yo, y con el Espíritu Santo. Por eso os digo: el Hijo es Dios, el Espíritu Santo es Dios, el Padre es Dios. Es uno solo en tres personas, hijos míos, pero es el mismo. Ese misterio os será revelado cuando lleguéis a las moradas, hijos míos.

         Bendecid a vuestros padres, hijos míos; que ellos os han dado el ser en mi nombre. Y honradlos, porque todo aquél que honre a su padre y a su madre entrará en el Reino de los Cielos, hijos míos. Sed humildes con ellos y amadlos mucho. No miráis vuestros defectos; no los miráis, pero miráis los de ellos. Primero mirad vuestros defectos y luego los de ellos, hijos míos. Os han dado el ser y les debéis la vida. Si no os hubieran dado la vida, no hubierais conocido a Dios, hijos míos. Desde aquí están bendecidos.

         Levantad todos los objetos. Todos serán bendecidos...

         Adiós, hijos míos. Adiós.

    [1] No se ha encontrado grabación en audio de este mensaje. Cf. o. c., nº 5, pp. 38-42.

    6 avril 1985
    MESSAGE reçu par AMPARO le 6 avril 1985  à 9H,Pré-Neuf La TS.Vierge parle:

    Ma fille, notre rencontre se trouve ici.

    -Mais tu m'as demandé de venir et comme on me l'a défendu!
    Ils m'ont dit de m'abstenir, pour moi c'est une défense. Toi, qu'est-ce que tu m'en dis ? Parce que ça c'est mal passé, je veux venir en ce lieu mais Toi, aide-le pour lui donner des forces. Toi ma Mère qui peux tout!

    -Ma fille, personne ne pourra détruire les plans divins.
    -Ah! Mais pour moi on me les detruit, par exemple comme pour ce qui est de venir ici.
    - Viens tous les jours ma fille, Je t'attends ici.
    -Ah! quelle grandeur! "Madre mia!", Je suis si orgueilleuse que je voudrais venir tous les jours et te parler! Mais parfois je suis triste.
    -Obéis, ma fille, unis-toi à eux par l'obéissance. Tu n'as pas fait de voeux, mais pour Moi c'est très important.
    -"Madre mia! comme Tu es grande Ah! je ferai ce que Tu demandes car je suis orgueilleuse, humilie-moi si Tu veux.
    -Regarde, ma fille, tous ceux que tu vois, le chapelet à la main, ont été martyrs de la prière. Ah! oui, tous ceux qui sont vêtus de blanc! Que de chapelets, quelle grandeur Tu as...
    -Je continue de te répéter: continuez de prier, mes enfants, continuez les sacrifices. Je te demande aussi, ma fille, qu'on MORTIFIE SES SENS ,QU'ON AIME DIEU SON CREATEUR, DE TOUT SON COEUR, DE TOUTES SES FORCES.

    Unis-toi au Vatican, prie pour le Vicaire du Christ, ne t'en écarte pas, n'écoute pas ceux qui se montrent contre le Vatican. Aime-nous beaucoup, Je te le répète encore: crucifie-toi pour les âmes consacrées. Obéis, ma fille, l'obéissance est tellement importante.
    -Ah! quelle joie! quelle allégresse ressent mon coeur! Ah quelle grandeur est la tienne, "Madre Mia" Aide -moi à supporter tout, aide-moi, je veux être fidèle, obéissante et humble, mais aide-moi O Mère!
    -Prie pour les prêtres, ma fille, mais ne les critiquez pas; demande qu'ils soient remplis de Dieu, que l'Esprit-Saint les illumine pour qu'ils portent le sel de la terre dans tous les coins du monde et conduisent les âmes au Ciel.
    -Mère, tu sais que tous deux, je vous aime beaucoup, de tout mon coeur et de toutes mes forces (Ces paroles sont très accentuées) J'ai commencé tard à vous aimer mais je vous aime de tout mon coeur et je veux donner ma vie pour vous. O Mère! Tu dis qu'il y a bien des façons d'être martyr, mais je veux l'étre!
    -J'ai un rendez-vous avec toi tous les premiers samedis (du mois) ma fille. J'ai choisi ce lieu, ce n'est pas toi qui l'as choisi, aussi Je te demanderai à quelle heure tu peux y venir pour pouvoir me rencontrer. Je choisis les endroits qui sont miens, personne ne les chotsit.
    -O Mère avec quelle grandeur tu parais!
    -Mes enfants, donnez l'exemple par votre charité votre humilité, votre amour. Ne demandez pas la paix si vous ne la faites pas entre vous auparavant.
    Baise le sol, ma fille, en acte d'humilité. Sois humble, très humble, petite pour pouvoir te mouler selon notre désir.

    Je vous donne aussi ma bénédiction très spéciale mes enfants. Cette bénédiction vient du Père, du Fils et du St Esprit: Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit par le Fils et avec le St Esprit. Je vous bénis tous, mes enfants: au revoir.

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    MENSAJE DEL DÍA 6 DE ABRIL DE 1985, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hija mía, aquí tienes la cita.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay!, Tú me pediste venir, pero ¡cómo me lo han prohibido! Me han dicho que me abstenga; para mí es prohibirme. ¿Tú, qué dices?, porque yo lo paso muy mal, yo quiero venir a este lugar, pero ayúdales Tú, para ver lo que hacen. ¡Ay, Madre mía, Tú que lo puedes todo!
     
     

         LA VIRGEN:

         Nadie, hija mía, nadie podrá destruir los planes divinos.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay!, pero a mí me están destruyendo con no venir aquí a este lugar.
     
     

         LA VIRGEN:

         Ven todos los días, hija mía; aquí te espero.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, Madre mía, qué grandeza! ¡Soy tan soberbia, que quisiera venir todos los días y hablar contigo! A veces estoy muy triste. ¡Ay!
     
     

         LA VIRGEN:

         Obedece, hija mía, únete a ellos en la obediencia. No has hecho votos, pero para mí es muy importante.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, qué grande eres, Madre mía! ¡Ay!, hazme lo que quieras porque soy soberbia; si quieres, humíllame.
     
     

         LA VIRGEN:

         Mira, hija mía, todos éstos que ves, con el Rosario en la mano, han sido mártires de mi oración.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay! Todos vestidos de blanco. ¡Cuántos rosarios! ¡Ay...! ¡Qué grande eres!
     
     

         LA VIRGEN:

         Te sigo pidiendo: seguid rezando, hijos míos, seguid haciendo sacrificios.

         También pido, hija mía, que pidas que se mortifiquen los sentidos y que amen a Dios, su Creador, con todo su corazón, con todas sus fuerzas.

         Únete, hija mía, al Vaticano, pide por el Vicario de Cristo; no te salgas, hija mía, ni escuches a aquéllos que vayan en contra del Vaticano.

         Ámanos mucho, hija mía. Te sigo repitiendo: crucifícate por las almas consagradas. Obedece, hija mía, ¡la obediencia es tan importante!
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, qué gozo! ¡Ay, qué alegría siente mi corazón! ¡Ay, qué grande eres, Madre mía! Ayúdame a soportarlo todo. Ayúdame, Madre mía, quiero ser fiel y obediente, humilde. Es muy duro, Madre mía. ¡Ay!
     
     

         LA VIRGEN:

         Pide por los sacerdotes, hija mía; pide, pero no los critiquéis; pide que se llenen de Dios, y que el Espíritu Santo los ilumine para que lleven la sal de la tierra por todos los rincones del mundo y para que lleven almas al Cielo.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay! Tú sabes, Madre mía, que yo os quiero mucho a los dos, con todo mi corazón, con todas mis fuerzas. ¡Os amo tanto, Señor! He empezado tarde a amaros, pero os amo con todo mi corazón, y quiero dar mi vida por vosotros. ¡Ay, Madre mía!, Tú dices que hay muchas maneras de ser mártir, pero yo quiero ser mártir. ¡Ay! ¡Madre mía!
     
     

         LA VIRGEN:

         Todos los primeros sábados tengo una cita contigo, hija mía. Yo escogí este lugar, no lo escogiste tú; por eso yo te pediré a qué hora puedes venir a este lugar para poder comunicarme contigo. Yo escojo mis lugares, nadie me los escoge.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay! ¡Ay, Madre mía, qué grande eres!
     
     

         LA VIRGEN:

         Dad ejemplo, hijos míos, con vuestra caridad, con vuestra humildad y con vuestro amor. No pidáis paz, si antes no la hacéis vosotros.

         Besa el suelo, hija mía, en acto de humildad.

         Y sé humilde, muy humilde; y pequeña, muy pequeña, para poder moldearte a nuestro capricho.

         También os voy a dar una bendición muy especial, hijos míos. Esa bendición vendrá del Padre, del Hijo y del Espíritu Santo. Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

         Os bendigo a todos, hijos míos. Adiós.

    Mai 1985
    Pas de message sur virgendolorosa.net. Selon Christian (dixit le 7septembre 2009), il n'y aurait pas eu d'apparitions, ni de message ce jour là. A vérifier. demande à Maria J le 10 octobre 2009.

    1er juin 1985

    AU PRE NEUF DE l'ESCORIAL,
    LE 1er juin 1985 à 6H30  DU MATIN, MESSAGE RECU PAR AMPARO.

    Ma fille, prie et fais prier. Cette recommandation est très importante. Dis qu'on prie et fasse prier: l'humanité a perdu la foi. Réfugiez-vous en ma protection et Je vous protègerai.
    Mes enfants, vous serez protégés par mon coeur immaculé, je suis Mère de la Grâce,de l' Amour, de la miséricorde; venez à mon coeur car il sera votre refuge.
    La Justice de Dieu le Père pèse sur la Terre. Les hommes seront lavés dans leurs propres péchés, dans leur propre sang. Comme au temps du Déluge, ils ont a- abandonné le chemin du Ciel et ont introduit l'esprit de Satan dans leurs coeurs. La Justice de Dieu pèse sur toute la Terre.  Avec leurs crimes atroces, à cause de leurs péchés d'impureté, les hommes sont lavés de leur propre péché par leur propre sang. C'est ainsi que la Justice de Dieu permet des crimes atroces, de grandes tempêtes, de grands tremblement; de terre, de grandes catastrophes sur la terre car le péché des hommes a transpercé la voûte des cieux. Je vous demande donc le sacrifice et la pénitence pour sauver beaucoup d'âmes.
    Toi, ma fille Je te demande l'humilité pour pouvoir (langage inconnu à cet endroit)
    Comme Je te l'ai dit souvent, tu dois prêcher par ton exemple avec humilité.
    Ne te décourage pas, prie et fais beaucoup de sacrifices: le monde en a tant besoin  Mes enfants, vous êtes presque en train de vivre la fin des temps, aussi Je vous fais une importante reconmandation: prier et faite prier le saint rosaire. Le saint rosaire peut faire éviter une grande guerre, une grande catastrophe et un grand crime.
    La prière, la pénitence, et le sacrifice peut tout faire éviter.

    L'esprit des humains inverse cela seulement dans le péché en construisant des armes meurtrières pour détruire la plus grande partie de l'humanité.
    Je te demande aussi de beaucoup prier pour le Vicaire du Christ mon fils aimé,  que mon Coeur aime tant, mais il est en grand danger, prie beaucoup pour lui, ma fille
    Baise le sol en acte d'humilité Cet acte sert pour le salut des âmes.
    Sois très humble, très obéissante, l'obéissance est aussi une vertu, ma fille Je sais que tu souffres mais il faut offrir ta souffrance, ta douleur pour le salut des âmes.
    Mes enfants, priez, ne vous couchez pas un seul jour sans réciter le saint rosaire. Dites-le à votre Mère, Pure et lmmaculée, cette prière me plaît tant.
    Je vous le demande, mes enfants et vous protégerai.

    Soyez fermes et continuez de porter mes messages par tous les coins de la Terre. Votre Mère vous en récompensera.
    Aimez-moi beaucoup, aimez beaucoup votre Jésus, vous ne resterez pas sans récompense. Votre Jésus vous donnera cent pour un.
    Et toi, ma fille, fais-toi petite, très petite pour qu'ensuite tu puisses monter très haut. Ton obéissance me plait beaucoup; offre tout pour le salut des âmes, pour mes âmes consacrées car mon Coeur les aime beaucoup.
    Sacrifice et prière, mes enfants.

    Je vais vous donner ma sainte bénédiction: Je vous bénis, mes enfants, comme Le Père vous bénit, avec le Fils et l'Esprit-Saint. Je vous donne toutes mes grâces car mon Coeur désire les répandre.
    Levez tous les objets, tous seront bénis. Au revoir, au revoir, mes enfants.

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    MENSAJE DEL DÍA 1 DE JUNIO DE 1985, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hija mía, reza y haz rezar. Esta recomendación, hija mía, es muy importante, de que reces y hagas a los seres humanos rezar. La Humanidad, hija mía, ha perdido la fe. Refugiaos en mi protección, que yo os protegeré.

         Seréis protegidos, hijos míos, por mi Inmaculado Corazón. Yo soy Madre de la Gracia, del Amor y de la Misericordia. Id a mi Corazón, que Él os refugiará, hijos míos.

         La justicia de Dios Padre gravita sobre la Tierra, hijos míos. Los hombres serán lavados de su propio pecado y en su propia sangre. Han abandonado los hombres, como en tiempos del Diluvio, el camino del Cielo y han introducido en sus corazones el espíritu de Satán, hijos míos. ¡La Justicia de Dios Padre gravita sobre la Tierra!

         Los hombres, con sus crímenes atroces, con sus pecados de impureza, son lavados, hijos míos, de su propio pecado con su propia sangre. Por eso la Justicia de Dios permite, hijos míos, crímenes atroces, grandes tempestades, grandes terremotos, grandes catástrofes sobre la Tierra, porque el pecado de los hombres ha traspasado la bóveda del cielo. Por eso os pido, hijos míos, sacrificio y penitencia. El sacrificio y la penitencia podrá salvar a muchas almas.

         Tú, hija mía: te pido humildad para poder... (Palabras en idioma desconocido).

         Tienes que predicar, como te he dicho muchas veces, con tu ejemplo, hija mía, y con tu humildad. No te abandones en la oración, hija mía; haz mucho sacrificio, que el mundo está necesitado, ¡muy necesitado!

         Estáis, hijos míos, casi viviendo el fin de los tiempos. Por eso, hija mía, mi recomendación es muy importante: reza y haz que recen el santo Rosario, hija mía. El santo Rosario puede evitar una gran guerra, una gran catástrofe y un gran crimen, hija mía. Todo lo puede evitar la oración, el sacrificio y la penitencia.

         Los seres humanos: su mente la invierten sólo en el pecado, hija mía, y en construir armas mortíferas para destruir la mayor parte de la Humanidad.

         También te pido: reza mucho, hija mía, por mi amado hijo el Vicario de Cristo, ¡mi Corazón le ama tanto!, pero está en un gran peligro, hija mía; reza mucho por él.

         Besa el suelo, hija mía, en acto de humildad... Este acto de humildad, hija mía, sirve para la salvación de las almas. Sé muy humilde, hija mía, y muy obediente; la obediencia es una virtud también, hija mía.

         Ya sé que sufres; pero hay que ofrecer ese sufrimiento y ese dolor por la salvación de las almas.

         Rezad, hijos míos. No os acostéis ni un solo día sin rezar el santo Rosario. Rezadle a vuestra Madre Pura e Inmaculada esa plegaria que le agrada tanto. ¡Me agrada tanto esta plegaria, hijos míos! Os lo pido, hijos míos, rezádmela, que vuestra Madre os protegerá.

         Sed firmes, hijos míos, y seguid por todos los rincones de la Tierra llevando mis mensajes. Vuestra Madre os premiará, hijos míos.

         Amadme mucho, hijos míos, amad mucho a vuestro Jesús; no quedaréis sin recompensa. Vuestro Jesús os dará ciento por uno.

         Y tú, hija mía, hazte muy pequeña, muy pequeña, para que luego puedas subir muy alto.

         Me agrada mucho tu obediencia, hija mía. Ofrécelo todo por la salvación de las almas, por mis almas consagradas, que mi Corazón también las ama mucho.

         Sacrificio, hijos míos, sacrificio y oración.

         Voy a daros mi santa bendición. Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

         Os voy a dar todas mis gracias, hijos míos, porque mi Corazón está deseando de derramarlas. Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos...

         Adiós, hijos míos. ¡Adiós!

    6 juillet 1985
     1er Samedi Juillet 1985

    La T.S.Vierge parle:
    " Mes enfants, merci d'être venus; quelle joie vous avez donnée à mon Immaculée Conception, parce que Je vois que J'ai encore des âmes qui peuvent réparer pour les autres. Aimez beaucoup votre Mère, n'ayez pas peur, si je suis avec vous, qui pouvez-vous craindre, mes enfants ?

    Je vous demande aussi de faire des actes de réparation pour tant de péchés qui se commettent. Le monde est au bord du précipice; chaque jour les hommes ingrats offensent mon Coeur davantage.
    Aimez beaucoup vos semblables, mes enfants.

    Et toi, ma fille, je veux que tu acceptes ces épreuves si dures, avec humilité.
    Les âmes victimes doivent souffrir jusqu'au bout. Réfugie-toi en mon Coeur Immaculé: il triomphera sur toute l'humanité.
    Faites des actes de réparation pour les offenses si graves qui se commettent contre mon Coeur Immaculé mes enfants.
    Je vous demande aussi d'aller de village en village, publiant la parole de Dieu, répandant les messages de votre Mère Pure et Immaculée.

    Faites des actes de réparation. Baisez le sol, en acte de réparation à mon Coeur Immaculé (Beaucoup de personnes baisent le sol) Mon Coeur Immaculé vous protègera ,mes enfants.

    N'ayez pas peur des hommes qui peuvent tuer votre corps mais non votre âme. Le corps seul ne se tue pas d'un coup de feu ou d'un coup de poignard,   (?)
    la langue tue!
    Mes enfants, faites attention, car Satan veille et veut s'emparer des âmes.
    Pour cela, Je vous demande le SACRIFICE et la PRIERE.
    Satan n'est pas dans le sacrifice ni dans la pénitence, ni dans la prière;
    mais que la prière sorte du plus profond de votre coeur.

    AIMEZ VOTRE MERE, AIMEZ MON FILS, REFUGIEZ-VOUS EN MON COEUR IMMACULE, mes enfants.
    Je vous bénis, comme le Père vous bénit par le Fils et avec l'Esprit-Saint, mes enfants. Au revoir.

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    MENSAJE DEL DÍA 6 DE JULIO DE 1985, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Gracias, hijos míos, gracias por haber venido. ¡Qué alegría habéis dado a mi Inmaculado Corazón, hijos míos, porque veo que todavía tengo almas que pueden reparar los pecados de los demás, hijos míos!

         Amad mucho a vuestra Madre, hijos míos, no tengáis miedo; si estoy yo con vosotros, ¿a quién podéis temer, hijos míos?

         Por eso os pido, hijos míos, que hagáis actos de reparación por tantos pecados como se cometen en el mundo, hijos míos. El mundo está al borde del precipicio; los hombres ingratos, cada día ofenden más mi Corazón.

         Amad mucho, hijos míos, amad mucho a vuestros semejantes.

         Y tú, hija mía, quiero que aceptes con humildad estas pruebas tan duras, hija mía. Las almas víctimas tienen que sufrir hasta el final, hija mía. Refúgiate en mi Inmaculado Corazón. Mi Inmaculado Corazón será el que triunfe sobre toda la Humanidad, hija mía.

         Haced actos de desagravios por las ofensas tan graves que se cometen a mi Inmaculado Corazón, hijos míos. También os pido que vayáis, de pueblo en pueblo, publicando la palabra de Dios y extendiendo los mensajes de vuestra pura e inmaculada Madre, hijos míos. Haced actos de reparación, hijos míos. Besad el suelo, hijos míos, en acto de reparación a mi Inmaculado Corazón, porque mi Corazón Inmaculado os protegerá, hijos míos.

         No tengáis miedo a los humanos, hijos míos; pueden matar vuestro cuerpo, pero ¿y vuestra alma, hijos míos? El cuerpo sólo no se mata de un tiro, ni de una puñalada, hijos míos. ¡La lengua mata, hijos míos! Tened cuidado, porque Satanás está alerta y quiere apoderarse de las almas. Por eso os pido: sacrificios, hijos míos, sacrificio y oración, porque en el sacrificio Satanás no está, hijos míos, ni en la penitencia ni en la oración. Pero que la oración salga de vuestro corazón, de lo más profundo de vuestro corazón, hijos míos.

         Amad a vuestra Madre y amad a mi Hijo, hijos míos, y refugiaos en mi Inmaculado Corazón.

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo, hijos míos.

         ¡Adiós!

    3 août 1985
    1er samedi du mois d' août 1985
     

    Je viens répandre amour et miséricorde. Ma fille, dis aux hommes que c`est encore l'heure de la miséricorde, que celle de la justice n'est pas encore arrivée, que mon Coeur est ici, déversant des grâces pour tous. Qu'on ne les refuse pas, mon Coeur lmmaculé intercède auprès du Père pour tous mes enfants.

    Tous ceux qui ont la dévotion à mon Coeur Immaculé, Je promets de les sauver.

    Ma fille, J`implorerai mon Fils pour qu'Il prie le Père.
    Oui, mon Fils m'envoie en beaucoup de lieux du monde pour donner des avertissements mais quelle ingratitude: on ferme les oreilles à mes appels.
    Aussi Je te dis que sans pénitence ni sacrifice on ne pourra sauver les âmes.
    Je fais un appel: Mes Enfants: pénitence, pénitence et sacrifice.

    Je demande aussi que vous alliez à la Sainte Messe tous les jours.
    Je t'ai dit la grande valeur de la Sainte Messe. Mon Fils s'immole chaque jour en Elle. Ce sacrifice de la Sainte Messe a une valeur très grande et tous ceux qui ne peuvent pas y assister quotidiennement q'ils y assistent les jours de fête.
    Mais vous n'en faites pas cas, rnes enfants.

    Je demande aussi la confession individuelle et qu'on reçoive le sacrement de l'eucharistie. Je vous demande de faire le saint chemin de croix, et de méditer la Passion du Christ, le chapelet quotidien: vous pouvez sauver tant d'afnes avec cette prière, mes enfants.
    Ayez la dévotion à vos anges gardiens, beaucoup de dévotion envers eux, ils guideront vos pas durant toute votre vie.
    Implorez votre Mère qui vous aime de tout son coeur.

    Que ceux qui ne peuvent venir à ce lieu consacré récitent le saint Rosaire en famille. Si vous le pouvez dites en les trois parties des Mystères: vous ne connaissez pas la valeur de ma prière devant mon Fils. J'intercède auprès de Lui mais vous devez intercéder auprès de Moi.

    Baise le sol, ma fille, en réparation pour tous les péchés du monde.
    Ma fille, sacrifice et prière accompagnée de pénitence. Sois forte avec tant d'épreuves. Bienheureux ceux qui sont calomniés à cause du Nom du Christ car ils auront la récompense éternelle.
    Aimez votre Mère, aimez-la beaucoup car Elle vous aime, mes enfants.
    Mon Coeur Imnaculé triomphera sur l'humanité.

    Quelle bonne maman peut refuser à son fils un caprice ? Vous qui êtes de tendres mères, vous refusez si peu les caprices à vos enfants! Ma fille, comment refuserais Je le salut éternel que vous demandez par cette prière qui m'implore ? Votre Mère ne peut vous refuser.. (paroles en idiome inconnu) Quelle merveille ! lorsque vous pourrez obtenir tout cela.Rien de terrestre ne peut se comparer à l'éternelle félicité!
    Je vous demande donc d'AIMER BEAUCOUP VOTRE MERE, car elle vous aime toujours sans que vous l'aimiez.
    N'abandonnez pas le Saint Sacrifice de la Sainte Messe, il a une valeur incalculable, mes enfants. Vous ne l'appréciez pas, mais elle est si importante... (Paroles en idiome inconnu...)

    Recommence à baiser le sol pour les ârnes consacrées, ma fille.
    Tous ceux qui vont de village en village en publiant mes messages, qu'ils soient humbles. Aimez-vous les uns les autres. ; je ne veux pas qu'il y ait des disputes entre vous.
    Que de fois Je vous ai dit :"Aimez vous comme le Christ aima ses Apôtres et comme Il vous aime."
    Je vais donner ma bénédiction mais auparavant je bénirai les objets: levez tous les objets.Tous sont bénis et recevront beaucoup de grâces spéciales.

    Je demande aussi qu'on ne s'interpose pas sur mon chemin lorsque Je vous demande de venir à telle heure, soyez ponctuels, mes enfants: que personne ne s'interpose: l'obéissance est très importante, ma fille tu mèneras mon oeuvre à bien avec humilité et avec l'obéissance. Je te veux humble, très humble et sacrifiée.

    Je vnus bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par le Fils et avec l'Esprit-Saint.
    Au revoir, mes enfants, au revoir.

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    MENSAJE DEL DÍA 3 DE AGOSTO DE 1985, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Vengo derramando amor y misericordia. Di a los hombres, hija mía, que todavía es la hora de la misericordia, que no ha llegado la justicia todavía; que mi Corazón está aquí derramando gracias para todos ellos, hija mía. Que no rechacen las gracias, que mi Corazón Inmaculado está intercediendo a Dios Padre por todos mis hijos, hija mía, y todo aquél que tengan devoción a este Inmaculado Corazón, le prometo que lo salvaré, hija mía; imploraré a mi Hijo, para que mi Hijo pida al Padre. Sí, hija mía, mi Hijo me manda a muchos lugares del mundo para dar avisos, pero ¡qué ingratos, hija mía!, cierran sus oídos a mis llamadas.

         Por eso te pido, hija mía, que sin penitencia y sin sacrificio no se podrán salvar las almas. Hago una llamada: penitencia, hijos míos, penitencia y sacrificio.

         También pido que todos los días vayáis a la Santa Misa. Te lo he dicho, hija mía: ¡cuánto valor tiene una Santa Misa! Mi Hijo se inmola diariamente en ella. Ese sacrificio de la Santa Misa tiene un valor muy grande, hija mía; y todo aquél que no pueda diariamente ir a Misa, que vaya los días festivos, que no deje de asistir a ese Santo Sacrificio. No hacéis caso, hijos míos.

    También os pido la confesión individual y el sacramento de la Eucaristía.

         Os pido que hagáis santos Vía Crucis, y meditéis la Pasión de Cristo; y os pido también, hijos míos, el Rosario diariamente; ¡podéis salvar tantas almas con esa plegaria, hijos míos! Como os pido devoción a vuestros Ángeles Custodios; mucha devoción, hijos míos, porque ellos os guiarán vuestros pasos durante toda vuestra vida, hijos míos.

         Implorad a vuestra Madre, que vuestra Madre os ama con todo su Corazón.

         Pido, hijos míos, que aquéllos que no podáis acudir a este lugar consagrado, en familia, hijos míos, rezad el santo Rosario todos los días y, si podéis, rezad las tres partes del Rosario. No sabéis, hijos míos, el valor de mi plegaria ante mi Hijo. Yo intercedo a mi Hijo, hijos míos, pero vosotros tenéis que interceder ante mí.

         Besa el suelo, hija mía, en reparación de todos los pecados del mundo. Sacrificio, hija mía, sacrificio y oración, acompañado de penitencia.

         Sé fuerte, hija mía, a tantas pruebas. Bienaventurados aquéllos que son calumniados a causa del nombre de Cristo, porque recibirán la recompensa eterna. Y os pido, hijos míos: amad a vuestra Madre, amadla mucho, porque Ella os ama a vosotros. Amadme mucho, hijos míos, que mi Corazón Inmaculado será el que triunfe sobre la Humanidad, hijos míos. ¿Qué madre buena puede negar a su hijo un capricho, hija mía? Vosotras, que sois madres terrenas, ¡qué poco negáis a vuestros hijos los caprichos! Pues, ¡cómo yo os voy a negar, hija mía, cómo os voy a negar esta plegaria que me imploráis, hija mía, que me imploráis la salvación eterna! Vuestra Madre, hijos míos, no puede negaros... (Palabras en idioma desconocido). ¡Qué maravilla, hijos míos, cuando podáis alcanzar todo esto! Nada terrestre, hija mía, puede compararse a la felicidad eterna. Por eso os pido: amad mucho a vuestra Madre, que vuestra Madre, aun no amándola, os sigue amando, hijos míos. Y no dejéis el santo sacrificio de la Santa Misa, hijos míos, tiene un valor incalculable, hijos míos, no se puede calcular el valor que tiene. No le dais aprecio, hijos míos, pero ¡es tan importante!

         Vuelve a besar el suelo, hija mía, por las almas consagradas... Y todos aquéllos que vais de pueblo en pueblo, publicando mis mensajes, hijos míos, sed humildes, muy humildes, y amaos los unos a los otros. No quiero, hijos míos, que entre vosotros haya contiendas; cuántas veces os lo he dicho, hijos míos: amaos, como Cristo amó a sus Apóstoles, y como Cristo os ama.

         Voy a dar mi bendición, hijos míos, pero antes voy a bendecir los objetos. Levantad todos los objetos... Todos han sido bendecidos, hijos míos; recibirán muchas gracias especiales.

         También pido, hijos míos, que no os interpongáis en mi camino. Os pido, hijos míos, que cuando yo pido que se baje a una hora, seáis puntuales, hijos míos; pero también pido que nadie se interponga en mi camino. La obediencia es muy importante, hija mía. Sacarás mi Obra adelante con humildad y con obediencia, hija mía. Te quiero humilde, muy humilde, y sacrificada, hija mía.

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

         Adiós, hijos míos. ¡Adiós!

    7 septembre 1985

    Ma fille, aujourd'hui Je vais te parler de la pureté pour que tu fasses beaucoup de sacrifice et beaucoup péitennce pour ces âmes qui se consacrent au Christ et ne laissent pas les plaisirs.

    Je t'ai dit d'autres fois que pour Jésus, la pureté est très importante.
    Pour Dieu le Père, vois si c'est important car Il a pris pour Mère de Jésus la femme la plus pure de la Terre: avant et après.

    En une autre occasion je t'ai dit que le privilège le plus grand fut d'être Mère de Dieu mon Créateur ensuite le plus grand don que Dieu m'octroya fut d être Pure et Immaculée.
    Ainsi, vois ma fille, si la pureté a de la valeur pour les hornnes devant Dieu!

    Dans l'Evangile du Christ, il est dit plusieurs fois:"Si ton oeil te scandalise, ou quelque membre de ton corps, arrache-le et jette-le au loin, très loin!"
    Malheur à celui qui provoque le scandale avec son corps !
    Que d'indécences, que d'offenses on commet envers mon Coeur Immaculé! Sais-tu pourquoi, ma fille ? Parce qu'ils sont orgueilleux: où il y a l'humilité il n'y a pas de luxure.

    Combien de fois Je t'ai dit que l'humilité est accompagnée par la pureté.
    Celui qui est pur est chaste.
    Malheur à mes âmes consacrées qui ne remette pas ce trésor intact et sans tâche au Christ.
    Priez mes enfants, pour que leur corps ne soit pas souillé par le péché.
    Prie et crie ma fille pour qu'on veille, que l'on ne tombe pas dans ce péché si grave.

    Comme on lui donne peu d'importance après y être tombé!
    C'est un péché très grave, ma fille. Tu as vu que ce sont les péchés de la chair qui condamnent le plus les âmes. L'enfer est rempli d'impurs.
    Aussi veille beaucoup pour ces âmes, veille pour qu'elles ne tombent pas dans cet horrible péché.
    Pauvres âmes! Satan s'empare de la plus grande partie de mes âmes consacrées.Ils ne renoncent pas parce qu'ils sont orgueilleux, arrogants et n'écoutent pas ma Parole, ni la Parole du Christ.

    Priez, priez pour ne pas tomber en tentation, comme disait mon Fils, car la chair est faible. Le démon profite de cette fragilité car Satan avec son astuce fit commettre le premier péché d'impureté à l'homme que Dieu avait créé pour l'aimer et le glorifier (?), C'est ce premier péché qui fut la cause de cet enfer si terrible, (AMPARO pleure beaucoup en voyant le châtiment)
    -Ah! non, non! fais miséricorde à tous, fais miséricorde. Pas encore, pas encore! Fais miséricorde! Ah! c'est terrible, c'est terrible!)

    Continue de crier, ma fille, crie fort: dis que l'heure de la miséricorde existe encore, mon Coeur répand des grâces pour toutes ces ames et le Coeur de mon Fils également.
    Par pitié, soyez purs! Par pitié soyez purs! Votre Mère vous le demande, elle veut que vous vous sauviez.

    Mon Coeur est rempli de douleur,ma fille.
    Que l'on en rencontre peu qui sont purs!
    Priez beaucoup pour ces âmes, pour mes âmes consacrées qui continuent obstinément dans le péché. Ma fille, fais beaucoup de sacrifices et beaucoup pénitence. Là où se trouve le sacrifice, il n'y a [pas] de péché.

    Baise le sol, en réparation de tous les péchés des âmes consacrées
    Je continue de vous répéter, mes enfants "Ne soyez pas faibles, soyez forts"

    Je vous bénis, mes enfants, comme le Père vous bénit, par le Fils et avec l'Esprit-Saint.
    Au revoir, mes enfants, au revoir.

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    MENSAJE DEL DÍA 7 DE SEPTIEMBRE DE 1985, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hija mía, hoy te voy a hablar de la pureza, hija mía, para que hagas mucho sacrificio y mucha penitencia por esas almas que se consagran a Cristo y no dejan el placer. Ya te he dicho otras veces, hija mía, que para Jesús es muy importante la pureza. Para Dios Padre, mira si es importante, que cogió por Madre de Jesús la mujer más pura de la Tierra, antes y después. Te he dicho, hija mía, en otra ocasión, que el privilegio más grande fue... —no confundáis los humanos—, el más grande fue: ser Madre de Dios mi Creador; pero, después de ser Madre de Dios mi Creador, el mayor don que Dios mi Creador me otorgó fue de ser pura e inmaculada. Por eso te digo, hija mía, ¡mira si tiene valor la pureza de los hombres ante Dios! En el Evangelio de Cristo dice varias veces, hija mía: “Si tu ojo te escandaliza, o cualquier miembro de tu cuerpo, arráncatelo y tíralo lejos, muy lejos”. ¡Ay de aquél, hija mía, que provoque el escándalo con su cuerpo, hija mía! Cuántas indecencias cometen y cuántas ofensas, hija mía, a mi Corazón Inmaculado. ¿Sabes por qué, hija mía?, porque son soberbios; porque donde hay humildad no hay lujuria, hija mía. Cuántas veces te he dicho que la humildad va acompañada de la pureza. Aquél que es puro, hija mía, es casto. ¡Ay de mis almas consagradas que no entregan ese tesoro intacto, sin mancillar, a Cristo! Pedid, hijos míos, para que su cuerpo no sea mancillado por el pecado. Pide, hija mía, y grita que velen y oren para no caer en ese pecado tan grave. ¡Qué poca importancia le dan después de caer! Es un pecado muy grave, hija mía; tú has visto los pecados de la carne; son los que más condenan al alma. El Infierno está lleno de impuros, hija mía. Por eso te pido: vela mucho, hija mía, por esas almas; vela para que no caigan en ese horrendo pecado. ¡Pobres almas, hija mía! Satanás se está apoderando de la mayor parte de mis almas consagradas. No se dejan porque son orgullosos, hija mía, son soberbios y no escuchan mi palabra ni la palabra de Cristo.

         Orad, hijos míos, “orad —como decía mi Hijo— para no caer en tentación”. Pensad, hijos míos, que la carne es débil, y el demonio se aprovecha de esa debilidad, porque Satán, con su astucia, hizo cometer el primer pecado de impureza al hombre, que Dios había creado para amarle y glorificarle. Ese primer pecado fue causante, hija mía, de este Infierno tan tremendo.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, no, no, no! ¡Ay, ten misericordia de todos, ten misericordia! ¡Todavía no, todavía no! ¡Ah! ¡Ay, ten misericordia; todavía no! ¡Ay, es terrible, es terrible! ¡Ay, ay, ay!
     
     

         LA VIRGEN:

         Sigue gritando, hija mía, grita fuerte; di que la hora de la misericordia todavía existe. Mi Corazón derrama gracias para todas esas almas, hija mía, y el Corazón de mi Hijo también.

         ¡Por piedad, hijos míos, por piedad, sed puros; os lo pide vuestra Madre; quiere que os salvéis!

         Mi Corazón, hija mía, está henchido de dolor. ¡Qué pocos puros, hija mía, se encuentran! Pedid mucho por esas almas, por mis almas consagradas que siguen obstinadas en el pecado. Hija mía, haz mucho sacrificio y mucha penitencia. Donde hay sacrificio, no hay pecado, hija mía.

         Besa el suelo, hija mía, en reparación de todos los pecados de las almas consagradas.

         Yo os sigo repitiendo, hijos míos: no seáis débiles, sed fuertes.

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

         Adiós, hijos míos. ¡Adiós!

    5 octobre 1985
     

    Ma fille, aujourd'hui ma douleur est encore plus grande que les autres jours.
    Elle est causée par ceux qui se disent "miens" et vont de village en village faire connaitre mes messages. Vous ne pouvez parler de charité, mes enfants, si vous ne l'avez pas d'abord vous mêmes les uns avec les autres. Vous ne pouvez parler d'amour si d'abord vous ne vous aimez pas entre vous.
    Mon Coeur est triste, car Je ne vois pas d'âmes capables d'être humbles.
    C'est pourquoi Je pleure amèrement à cause des ces âmes.
    (On entend pleurer et AMPARO dit à la T.S.Vierge:"Ne pleure pas! Ah! Ah!...Quelques minutes après on entend Amparo pleurer en même temps et le message continue entre des sanglots)
    Vois-tu, ma fille, comme les âmes sont incapables de donner quelque chose au Christ! Quand on les humilie, elles sont furieuses. Comnent le Christ devrait être lors de l'humiliation et "ils" l'humilient quotidiennement par leurs péchés!
    Je te laisse avec mon Fils, ma fille.

    LE SEIGNEUR PARLE:
    Qui d'entre vous est capable de faire obstacle à mes plans, les plans que J'ai pour les hommes ? La haine, la jalousie, la division, la désunion, c'est l'oeuvre de mort, c'est l'oeuvre de Satan, mes entants, C'est pourquoi Je vous ai enseigné un Comnendement: "Aimez-vous les uns les autres comme Je vous ai toujours aimé! mais ce Commandement que vous l'observez peu! Personne ne peut faire obstacle à mes plans divins: les responsables devront en rendre compte à Dieu par la suite.

    J'ai besoin d'âmes capables de publier l'Evangile. Il y a besoin d'âmes mais Je n'oblige pas. J'ai besoin de ces volontaires qui voudraient aller de village en village. Je n'oblige pas bien que J'en ai besoin. Je ne vous enlève pas votre liberté, mes enfants.

    La division, la désunion sont oeuvres de Satan.
    Mes oeuvres sont de lumière, d'amour, de charité, de douceur.
    Qui est capable de donner sa vie pour son frère ?
    Personne n'en est capable , mes enfants.

    J'ai donné ma Vie pour vous et vous êtes si peu capables de la donner pour moi.

    Aimez-vous les uns les autres, n'ayez pas de disputes entre vous.
    Ne vous mettez pas aux premières places, pensez que les premiers seront les derniers.
    Vous vous mettez beaucoup au-dessus de vos frères, sans regarder la mal que vous faites pourvu que vous soyez aux premières places.
    Aimez-vous et ne créez pas la division.
    J'ai besoin d'âmes de bonne volonté pouvant tout me donner.

    Mes enfants, combien d'entre vous font partie du groupe [des fervents de l'Escorial ?] et demeurez matérialistes tellement encore!
    Je vous ai aussi demandé de tout quitter pour me suivre.
    J'ai eu douze Apôtres et l'un d'entre eux me trahit.
    Ne me trahissez pas, vous mes enfants.
    Laissez participer toutes ces âmes qui le voudraient.
    Abandonnez votre "Je" et soyez humbles, l'humilité est la principale base de tout.

    En combien de lieux ma très Sainte et Pure Mère se manifeste! Mais on n'écoute pas ses appels alors qu'elle veut seulement sauver l'humanité.
    Ne refusez pas les grâces, mes enfants, ne cherchez pas la désunion et la discorde.

    Baise le sol, ma fille, pour toutes ces âmes afin qu'elles soient capables de tout me donner.
    Elles refusent mon amour et ma miséricorde, mes enfants, et mon amour agonise avec mes mérites dans le bourbier de la faute!
    Les hommes sont ingrats, n'écoutent pas mon appel: ils se sont laissés séduire par la gloire, le mensonge, la jalousie, la luxure, la convoitise, la superbe, le désordre: ils se sont laissés séduire par ce roi trompeur qui se croit victorieux.
    Je vous en prie: "Prenez la main de votre Mère, Elle vous amènera à Moi J'arracherai les âmes que tient Satan qui se croit sûr de sa victoire.

    Mes enfants, les Anges de ma Justice sont prêts:
    l'humanité ne mérite pas le pardon ni l'amour: elle mérite d'être détruite.

    Voyez à quel point j'aime les âmes: pour les arracher à Satan, J'envoie de grandes purifications, de grands tremblements de terre, de grandes catastrophes, mais les hommes se révoltent contre Moi comme des fauves blessés. Ils ne savent pas que Je veux les sauver, Je les aime tellement les âmes que Je meurs chaque jour pour elles.
    Je vous demande l'humilité.
    Savez-vous pourquoi existe la désunion ?
    C'est parce que vous abandonnez la prière.

    Ne priez pas de manière mécanique car ainsi votre prière ne vient pas de votre coeur. Aimez-vous les uns les autres car celui qui repousse son frère ou le hait, est homicide, coupable et condamnable .Aussi, je vous demande :AMOUR, UNION ET PAIX ENTRE VOUS .Qne votre visage soit toujours souriant. Dieu se trouve dons ce sourire, dans cette douceur, dans cette humilité .
    Que l'orgueil ne l'emporte pas, aimez-vous comme le Christ vous aime, que l'amour sorte du plus profond de votre coeur, mes enfants.
    Ne soyez pas des pharislens hypocrites.

    (Amparo parle en sanglotant)

    Aie! Aide-moi, Moi aussi je suis orgueilleuse, aide-moi (aie! répété).
    Je n'ai pas la paix
    - Cormrent veux-tu avoir la paix dans cette division et cette désunion ,ma fille ? (Amparo continue à pleurer)
    - Je te promets d'être humble avec ton aide, mais parfois je ne le peux pas
    - ma fille, tu reçois bien peu d'aide des humains: réfugie-toi dans le Coeur Immaculé de Marie. Elle te protègera sous son manteau. Sois humble, très humble.

    Mes enfants, soyez humbles et unis.
    Je vous bénis, mess enfants, comme le Père vous bénit par le Fils et le Saint-Esprit

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    MENSAJE DEL DÍA 5 DE OCTUBRE DE 1985, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Hija mía, hoy mi dolor es más grande todavía que otros días. Hoy este dolor lo tengo por los mismos que se llaman míos, y van de pueblo en pueblo publicando mis mensajes, hija mía. No se puede hablar de caridad, hijos míos, si antes vosotros no la tenéis unos con otros; no se puede hablar de amor si antes vosotros no amáis, hijos míos. Mi Corazón está triste, porque veo que no hay almas capaces de ser humildes, hija mía. Por eso, hija mía, lloro amargamente por estas almas.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, no llores! ¡Ay, ay, ay...!
     
     

         LA VIRGEN:

         ¿Ves, hija mía, cómo las almas no son capaces de dar nada por Cristo? Cuando las humillan se ponen furiosas. ¡Cómo tendría que estar Cristo cuando le humillan, que le humillan diariamente con su pecado! Aquí se queda mi Hijo, hijos míos.
     
     

         EL SEÑOR:

         ¿Quién de vosotros es capaz de estropear mis planes, los planes que tengo sobre los hombres? El odio, la envidia, la división, la desunión, es obra muerta, hijos míos; es obra de Satanás. Por eso os digo que os enseñé un mandamiento, hijos míos: que os amaseis los unos a los otros, como yo os he amado siempre, pero ¡qué poco cumplís ese mandamiento!

         Mis planes divinos nadie los puede estropear, porque luego, hijos míos, los responsables tendréis que dar cuenta a Dios.

         Necesito almas, almas que puedan publicar el Evangelio. Hay necesidad, hijos míos, de almas; pero yo no obligo, necesito aquellos voluntarios que quieran ir de pueblo en pueblo. No obligo, hijos míos; aunque necesito, respeto, hijos míos, vuestra libertad. La desunión, la división, es obra de Satán. Mis obras son la luz, el amor, la caridad, la dulzura. ¿Cuál es capaz de dar la vida por su hermano? Ninguno sois capaces, hijos míos. Yo di la vida por vosotros, ¡y qué poco capaces sois de dar la vida por mí!

         Amaos los unos a los otros; no arméis contiendas entre vosotros, hijos míos. No os pongáis en los primeros puestos, pensad que los primeros son los últimos. Muchos escaláis por encima de vuestros hermanos, sin mirar el daño que hacéis, con tal de estar en el primer puesto, hijos míos. Amaos, hijos míos, y no creéis división. Y necesito almas, almas de buena voluntad, que sean capaces de dar todo por mí. ¡Cuántos, hijos míos, sois materialistas, hijos míos! Os dije también que dejarais todo para seguirme, hijos míos. Yo tuve doce Apóstoles y, entre esos doce, había uno que me traicionó. No me traicionéis vosotros, hijos míos. También dejad participar a todas las almas que quieran participar, hijos míos. Dejad vuestro “yo” y sed humildes, que la humildad, hijos míos, es la base principal de todo.

         En cuántos lugares, hijos míos, se está manifestando mi santa y pura Madre, cierran sus oídos a las llamadas, y sólo quiere salvar a la Humanidad. Sí, hijos míos, no rechacéis las gracias. No busquéis la desunión ni la discordia, hijos míos.

         Besa el suelo, hija mía, por todas estas almas... Para que sean capaces de darlo todo por mí. Rechazan mi amor, rehúsan mi misericordia, hijos míos, y mi amor también agoniza con mis méritos en la ciénaga de la culpa, hijos míos.

         Los hombres son ingratos, no escuchan mi llamada. Se han dejado seducir, hijos míos, por el rey de la mentira, de la envidia, de la lujuria, de la codicia, de la soberbia, del desorden; se han dejado seducir por ese rey engañoso; se cree victorioso, hijos míos, pero os ruego: cogeos de la mano de vuestra Madre, que Ella os traerá a mí, y yo arrebataré las almas que tiene Satán, que se cree victorioso y seguro.

           Los ángeles de mi justicia, hijos míos, están preparados. No merece esta Humanidad el perdón ni el amor, hijos míos; merece ser destruida.

         Mirad si quiero las almas, hijos míos, que, para arrebatarlas de las manos de Satán, mando grandes purificaciones como grandes terremotos, grandes catástrofes, y los hombres se revelan contra mí como fieras heridas. ¡No saben, hija mía, que lo que quiero es salvarlos! ¡Las amo tanto a las almas, hijos míos, que muero cada día por ellos!

         Humildad os pido, hijos míos, humildad. ¿Sabéis por qué os entregáis al desorden y a la desunión? Porque os abandonáis en la oración. No se puede rezar mecánicamente, hijos míos, porque no sale vuestra oración de dentro de vuestro corazón, hijos míos.

         Amaos los unos a los otros, porque aquél que rechaza a su hermano y que le odia es homicida, hijos míos, y es reo de condenación; por eso os pido: amor, unión y paz entre vosotros.

         Que vuestra cara esté siempre sonriente, que ahí está Dios, en esa sonrisa, en esa dulzura, en esa humildad, hijos míos. No os dejéis por la soberbia, hijos míos.

         Amaos como Cristo os amó. Que ese amor salga de lo más profundo de vuestro corazón, hijos míos. No seáis hipócritas, fariseos.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ah...! ¡Ay, ayúdame Tú, que yo también soy soberbia! ¡Ayúdame Tú...! ¡Aquí tampoco, a veces, tengo paz...!
     
     

         LA VIRGEN:

         ¡Cómo vas a tener paz, hija mía, en esa desunión, en esa división!
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay!, a Ti te prometo, ¡ay!, con tu ayuda, ser humilde. ¡Ay!, pero a veces no puedo...
     
     

         LA VIRGEN:

         ¡Qué poca ayuda recibes, hija mía, de los humanos! Refúgiate en el Corazón Inmaculado de María, que Ella te protegerá bajo su manto, hija mía. Sé muy humilde, muy humilde, hija mía.

         Humildad pido, hijos míos, humildad y unión.

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

         Adiós, hijos míos. ¡Adiós!

    2 Novembre 1985
     

    Dans ce lieu, ma fille, on est en train de mentir aux humains. Pauvres âmes! Elles sont trompées et elles aiment aller à ces lieux pour se croire plus. Regardez comnent l'enfer existe parce que Luzbel (Belle Lumière) [Lucifer?] voulut en savoir plus que Dieu.
    Bienheureux ceux qui croient sans voir, ils auront une grande récompense ,vous dit le Christ dans son Evangile.

    Ma fille, vois comme les humains ne changent pas (Amparo s'exclame: Ah! Seigneur, le feu ,le feu .. trois, quatre) De grandes colonnes de feu détruiront la plus grande partie de l'humanité (AMPARO donne des signes d'angoisse à cause de ce qu'elle voit)
    Regarde cette colonne: elle vient de l'Est et va détruire une grande partie de l'Europe. (Amparo redonne des signes d'angoisses).
    Cette autre colonne, ma fille, va en direction de Rome. (Amparo dit en pleurant:"Aie! aie! le Vatican) Une grands partie de Rome sera détruite, ma fille Regarde cette autre :Russie , Chine (Aie, Aie!)
    - Et quand aura lieu tout cela ?
    - Cette autre ira vers l'Allerrragne.
    Le monde sera détruit par le feu en plusieurs endroits.

    Savez-vous pourquoi le démon continue à rôder en ce lieu pour le détruire en faisant croire que Je me manifeste ailleurs ? Parce que vous ne priez pas assez, ne faites pas assez pénitence et de sacrifices, votre prière ne vient pas du coeur, mes enfants. Comme vous appréciez peu mes manifestations !

    Soyez humbles, nmes enfants, n'essayez pas de chercher.
    Vous cherchez: que trouvez-vous dans ces endroits ? Mensonge, tromperie. Depuis son jeune âge, cet être a la méchanceté dans son coeur, une méchanceté destructrice pour tromper les hommes. Pauvre âme! S'il lit ce message, il aura encore le temps de réparer le mensonge et la tromperie.

    J'ai besoin d'âmes capables de réparer toutes les hérésies qui se comnettent contre Moi.
    Ces âmes me font tant de peine! Mais Je veux qu'elles se repentent, qu'ellles demandent pardon.

    Baise le sol, en réparation pour les hérésies contre Moi et contre le Christ.
    Ma fille, ils imitent mes Messages de ce lieu, ils imitent la voix, ils m'imitent pour tromper les gens. Ils jouent avec la Passion du Christ, avec ce Saint Sacrifice Divin. Ces âmes me font tant de peine! Ils mettent nos Noms dans la bouche des humains comme un jouet dans la bouche d'un enfant. C'est pourquoi Je veux des âmes réparatrices (AMPARO pleure amèrement et on entend en même temps qu'Amparo la T.S.Vierge)
    -Ah! comme Elle pleure, quelle tristesse! comme les larmes tombent sur le manteau!...Aie! aie!

    Entre les sanglots, la Très Sainte Vierge dit:
    "Ma fille tu vas boire au Calice de Douleur, cela fait longtemps que tu n'y bois pas. Seulement une goutte. Oui, il est amer (Un entend AMPARO faire effort pour avaler, tousser et dire plusieurs fois: "c'est amer".)
    Si une goutte te semble amère, ma fille, combien alors mon Coeur ressent la douleur pour ces âmes qui, jouent avec nos Noms.

    J'ai besoin d'âmes réparatrices.
    Qui est prêt à réparer, mes enfants ?
    Vous ne prenez pas les choses au sérieux.
    En conrbien de lieux, Je me manifeste pour que les hommes changent, pour qu'ils s'approchent du Sacrement de la Pérritence et de l'Eucharistie !
    Que ceux qui ne l'ont pas fait encore, le fassent aujourd'hui même:
    n'attendez pas une minute de plus, mes enfants.

    De grandes catastrophes tomberont sur la Terre de grands fléaux, des maladies, des trombes d'eau, des ouragans et grands tremblements de terre. Tout cela tombera sur l'humanlté pour la purifier, mes enfants.

    Ne vous rebellez pas contre Dieu, aimez-Le avec votre coeur votre esprit et vos sens. Réfugiez-vous dans mon Coeur Immaculé, Il vous protégera, vous conduira à Jésus pour que Jesus vous conduise au Père qui vous donnera la grande récompense.

    Humiliez-vous, car celui qui s'humilie sera élevé.
    Aimez votre prochain de tout votre coeur;
    aimez le Christ et aimez sa Mère qui vous attend les bras ouverts.

    Baise le sol à nouveau, ma fille, pour les consacrés; Mon Coeur les aime tant!

    Prie beaucoup pour eux. Offre-toi en victime de réparation pour tant d'offenses, tant d'outrages qu'ils font à mon Coeur Je les aime tant! (La TS Vierge accentue ces derniers mots)

    Je vais te donner un signe pour confirmer que ce que Je t'ai dit auparavant aura lieu. Quand les hommes n'aimeront pas Dieu -ceci est le cas, ma fille lorsque les consacrés abandonneront leur ministère, -ceci est en train d'arriver, ma fille- Lorsque dans les foyers il y aura peu de familles chrétiennes à remplir leurs devoirs de chrétiens,- ceci est en train d arriver ma fille,- Lorsque le père se révoltera contre le flls et le fils contre le père, -ceci est le cas, ma fille; cela sera le signal que tu me demandais.(Amparo dit alors:"Ah! je vois que c'est terrible! Ah! Ah!) C'est pourquoi ce qui peut sauver l'humanité, c'est la prière et la pénitence: vous faites si peu cas de la pénitence! mes enfants. Et que votre prière ne soit pas mécanique.
    Aimez-vous les uns les autres.
    Sois humble, ma fllle.

    Tu vas boire encore une goutte du Calice de la Douleur. (AMPARO s'étouffe, tousse et dit :"Comme c'est amer" plusieurs fois.)
    -Cette rnême amertume ,mon coeur le ressent pour tous mes enfants, pour tous sans distinction de race.

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    MENSAJE DEL DÍA 2 DE NOVIEMBRE DE 1985, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         En ese lugar, hija mía, están engañando a los humanos. ¡Pobres almas! Son engañadas y les gusta ir a esos lugares por querer ser más, más. Mirad el Infierno cómo existe, porque Luzbel quiso saber más que Dios. Bienaventurados... —como dice Cristo en su Evangelio—, bienaventurados aquéllos que creen sin ver, porque tienen una gran recompensa.

         Mira, hija mía, como los humanos no cambien...
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ah! ¡Ay, Señor! ¡Fuego, fuego! ¡Tres, cuatro! ¡Ay...!
     
     

         LA VIRGEN:

         Grandes columnas de fuego, hija mía, destruirán la mayor parte de la Humanidad. Mira esa columna, viene del Este y va a destruir grande parte de Europa... (Ante esta visión, Luz Amparo se lamenta). Esa otra, hija mía, va en dirección a Roma.
     
     

         LUZ AMPARO:

           ¡Ay, ay, ay, al Vaticano! ¡Ay, ay...!
     
     

         LA VIRGEN:

         Grande parte de Roma será destruido, hija mía. Mira esa otra.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay...! ¡Ay...!
     
     

         LA VIRGEN:

         Rusia, China.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay..., cuántos!
     
     

         LA VIRGEN:

         Esa otra, hija mía, irá hacia Alemania... (Luz Amparo se vuelve a lamentar con profunda pena). Varias partes del mundo serán destruidas, hija mía, con fuego.

         ¿Sabéis por qué el demonio, hija mía, sigue rondando este lugar? Para destruirlo, haciendo ver en otro lugar que me estoy manifestando; para destruirlo, hijos míos, porque no hacéis bastante oración, ni penitencia, ni sacrificio. Vuestra oración no sale de vuestro corazón, hijos míos. ¡Qué poco apreciáis mis manifestaciones!

         Sed humildes, hijos míos, sed humildes y no queráis buscar. Buscáis, buscáis, y ¿qué encontráis en esos lugares? Mentira, engaño. Ese ser humano, desde niño, tiene una maldad en su corazón, una maldad destructora para engañar a los hombres, hija mía. ¡Pobre alma! Si lee este mensaje, todavía está a tiempo de reparar el engaño y la mentira.

         Necesito almas, hija mía, almas que sean capaces de reparar las herejías que cometen contra mí, hija mía. ¡Me dan tanta pena esas almas! Pero quiero que se arrepientan, que pidan perdón de su engaño, de su mentira.

         Besa el suelo, hija mía, por esas herejías que cometen conmigo y con Cristo... Hija mía, imitan mis mensajes en ese lugar; los mensajes que doy en este lugar. Imitan la voz, y hacen imitación, hija mía, para engañar a la gente. Está jugando con la Pasión de Cristo, con ese sacrificio divino y santo. ¡Me dan tanta pena esas almas, porque nuestros nombres los ponen en boca de los humanos, como un juguete en manos de un niño! Por eso digo, hija mía, que quiero almas, almas que reparen.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, ay, ay...! ¡Ay, qué triste y cómo lloras, ay! ¡Cómo caen tus lágrimas en el manto! ¡Ay, ay, ay...!
     
     

         LA VIRGEN:

         Hoy vas a beber del cáliz del dolor; hace mucho que no bebes, hija mía. Sólo una gota. Sí, hija mía, está amargo, amargo.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, ay!... ¡Ay, ay, qué amargo! ¡Ay, ay, qué amargo! ¡Ay...! ¡Ay, qué amargo! ¡Ay, está muy amargo...! ¡Ay! ¡Ay, qué amargo!
     
     

         LA VIRGEN:

         Si una gota te sabe amarga, hija mía, ¡cuánto, cuánto dolor siente mi Corazón por esas almas que juegan con nuestros nombres, hija mía! Necesito, necesito almas para reparar. ¿Quién está dispuesto a reparar, hijos míos? No tomáis en serio las cosas, hijos míos. En cuántos lugares me estoy manifestando, de otras partes del mundo, para que los hombres cambien, para que se confiesen y se acerquen al sacramento de la Eucaristía. Aquéllos que no lo habéis hecho, hijos míos, hacedlo hoy mismo, no lo dejéis ni un minuto más.

         Grandes catástrofes caerán sobre la Tierra, hija mía, grandes plagas de enfermedades, de trombas de agua, de fuertes huracanes, de grandes terremotos, caerán sobre la Humanidad para purificarla, hijos míos. No os rebeléis contra Dios; amadle con vuestro corazón, con vuestra mente y con vuestros sentidos, hijos míos. Refugiaos en mi Inmaculado Corazón; Él os protegerá, hijos míos, y os llevará a Jesús, para Jesús llevaros al Padre, y el Padre daros la gran recompensa, hijos míos.

         Humillaos, hijos míos, que el que se humilla será ensalzado. Amad a vuestro prójimo con todo vuestro corazón, hijos míos, y amad a Cristo, y amad a vuestra Madre, que vuestra Madre os está esperando con los brazos abiertos, hijos míos.

         Vuelve a besar el suelo, hija mía, por las almas consagradas... ¡Las ama tanto mi Corazón, hija mía! Pide mucho por ellas, ofrécete víctima de reparación, por tantas ofensas y tantos ultrajes como hacen a mi Corazón, hija mía. ¡Las amo tanto!

         Cuando esto que te he dicho antes vaya a suceder, hija mía, te voy a dar una señal: cuando los hombres dejen de amar a Dios, esto está sucediendo; cuando las almas consagradas abandonen su ministerio, esto está sucediendo, hija mía; cuando en las escuelas no se hable de Dios, esto está sucediendo, hija mía; cuando en los hogares haya pocas familias cristianas y cumplidoras de su deber como cristianas, esto está sucediendo, hija mía; cuando el padre se rebele contra el hijo y el hijo contra el padre, esto está sucediendo, hija mía; entonces será la señal de todo esto que tú veías, hija mía.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, eso que veía es horrible! ¡Ay! ¡Ay! ¡Ay...!
     
     

         LA VIRGEN:

         Por eso lo que puede salvar a la Humanidad: la oración y la penitencia. Penitencia, penitencia, hijos míos. ¡Qué poco caso hacéis a esta llamada, hijos míos, de penitencia! Y vuestra oración que no sea mecánica.

         Amaos los unos a los otros, hijos míos. Tú sé muy humilde, hija mía, humilde, muy humilde.

         Vas a beber otra gota del cáliz del dolor.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, ay...! ¡Qué amargo está!, ¡ay, qué amargo! ¡Ay, ay...!
     
     

         LA VIRGEN:

         Esta amargura siente mi Corazón por todos mis hijos, por todos, sin distinción de razas, hijos míos.

         Levantad todos los objetos, hijos míos; todos serán bendecidos...

         Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

         Adiós, hijos míos. ¡Adiós!

    7 décembre 1985
     

    Ma fille, regarde mon visage voilé par la douleur et mes yeux rougis par les larmes ; ma poitrine transpercée par les sept épées de douleur et les hommes disent encore que Je ne souffre pas ! 
    Vois, ma fille comme mes larmes tombent sur mon manteau noir, mes yeux en sont perlés (AMPARO en voyant souffrir la T.S.Vierge a un cri de douleur. "Madre Mia !"(En Espagne, N.D. des Douleurs est représentée vêtue de noir et sept glaives lui transpercent le coeur).

    Fais attention, ma fille, à ce que je vais te confier et révéler aux hommes.

    "MON COEUR EST DOULOUREUX, à cause de la GRANDE RUINE EN LAQUELLE VA TOMBER L'HUMANITE. LA JUSTICE DE DIEU EST GRAVEMENT OFFENSEE. Les hommes continuent leur vie d'obstinés dans le péché et LA COLERE DE DIEU VA TOMBER D'UN MOMENT A L'AUTRE. Le monde va être secoué par de grands tremblements de terre, de grandes catastrophes ; il y aura de grandes épidémies et la disette. De grands ouragans feront déborder les mers et les fleuves.
    Crie bien fort QUE LES MINISTRES DU SEIGNEUR APPELLENT L'HUMANITE A LA PENITENCE ET A LA PRIERE. Comme on ne tourne pas ses regards vers Dieu, il y aura aussi une grande guerre. (AMPARO a une expression d'angoisse en entendant ces paroles). Les hommes savants élevés au pouvoir utiliseront des armes mortelles pour détruire de grandes nations : les unes seront balayées par des tremblements de terre, d'autres par les ouragans et d'autres seront victimes des guerres.

    Regarde, je supplie pour la protection du monde. Je suis en train de retenir le bras de mon Fils. TOUT CELA DEVAIT ARRIVER, mais lorsqu'il se trouve des âmes priant Dieu, Dieu empêche le châtiment. Dieu n'est pas un tyran, DIEU EST AMOUR ET MISERICORDE, mais les hommes se mettent dans le péché et vont vers l'abime.

    LE SEIGNEUR PARLE :
    Mes enfants, Je vous demande d'aller de village en village en publiant l'Evangile. Malheur à celui qui en enlève et y met ce qui n'y est pas.
    Beaucoup de mes pasteurs font ainsi, ôtant ce qui ne leur plait pas et ajoutant ce qui leur convient.
    Priez pour les consacrés, pour le Vicaire du Christ qui est en grand danger.
    Faites des sacrifices. Faites pénitence.
    Ne faites pas cas de ceux qui vous disent qu'il n'y a pas besoin de pénitence ni de prière pour se sauver, vous serez sauvés par la prière et a pénitence
    Je ne suis pas un père tyran ou cruel. A celui qui vient à Moi, je pardonne, mais ce monde est cruel pour moi. Comme SODOME et GOMORRHE, comme avec le Déluge, cette planète va être détruite. Soyez prêts, je vous mènerai à la Terre Promise. alors, Un seul sera votre Roi et votre Pasteur. Un seul vous fera connaitre l'Evangile et vous le prêchera, sans erreurs, ni mensonges.

    Il y a de nombreuses âmes consacrées, de grands saints, mais il y a aussi de nombreux loups dans mon Eglise couverts de peaux de brebis. Qu'ont-ils fait de mon Eglise ? Un repaire de voleurs.
    Priez beaucoup votre Mère : Elle vous amènera à Moi et Moi, Je vous mènerai au Père, mes enfants.

    La Très Sainte Vierge : 
    Ma fille, fait oraison et pénitence pour ces pauvres âmes qui ruinent tant d’autres âmes. Elles me donnent tant de peine ! Comme elles blasphèment mon nom !
    Aimez-moi beaucoup, mes fils, que je vous aime de tout mon cœur. Je vous aime tous, parce que vous êtes tous mes fils. Quelle mère ne souffrirait pas pour un fils, ma fille ? Vous êtes mères ; si votre fils va au mauvais chemin, votre cœur en est rempli de douleur. Ainsi je suis votre Mère, mes fils, et mon cœur, mon cœur, est traversé par la douleur. J’ai des épines, mes fils, beaucoup d’épines dans mon cœur, mais j’y ai aussi de l’amour, beaucoup d’amour, mes fils.

    Je ne veux pas que vous vous damniez, mes fils, parce que l’Enfer existe, et l’Enfer est pour ceux qui renient Dieu, mes fils, qui se vautrent dans les plaisirs du monde et tournent le dos au Dieu Créateur, mes fils. L’enfer existe.

    Aimez beaucoup votre prochain, mes fils, et aimez Dieu. Accomplissez ses commandements parce que, ma fille, comme je te l’ai dit tant de fois, dans les commandements se trouvent les Evangiles, les sacrements et toutes les lois de Dieu.

    Regardez, mes fils, votre Mère retient le bras de la Justice de Dieu, parce que Dieu est Juge, et il rendra à chacun selon ses œuvres, mes fils. Soyez droits et suivez la voie de l’Evangile, mes fils.
    Aujourd’hui est un grand jour, bien que je vienne remplie de douleur car les hommes ne pensent plus qu’à offenser Dieu.
    Je vais donner une bénédiction spéciale qui servira, mes fils, pour tous les agonisants. Pour tous ceux qui visitent quotidiennement le Saint Sacrement, qui récitent le saint Rosaire, qui reçoivent le Christ tous les jours, je promets de les assister avec mes anges à l’heure de leur mort. Mes anges lutteront contre Satan pour lui arracher les âmes.
    Ce sont des bénédictions spéciales, mes fils. Je vous bénis, mes fils comme le Père vous bénit au moyen du Fils et du Saint-Esprit.
    Je vais vous bénir et cette bénédiction donnera de grandes indulgences, mes fils, à tous les objets. Levez tous les objets. . .
    Je te demande l’humilité, ma fille ; les épreuves sont dures, mais ton humilité devra en venir à bout. C’est maintenant qu’arrivent les épreuves, ma fille.
    Au revoir, mes fils. Au revoir !

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    MENSAJE DEL DÍA 7 DE DICIEMBRE DE 1985, PRIMER SÁBADO DE MES,

    EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
     
     

         LA VIRGEN:

         Mira, hija mía, mi rostro velado por el dolor y mis ojos enrojecidos por las lágrimas; mi pecho atravesado por siete espadas de dolor, hija mía, ¡y todavía dicen los humanos que no sufro! Mira, hija mía, cómo caen mis lágrimas sobre mi manto negro; mis ojos perlados[1] por las lágrimas.

         Presta atención, hija mía, a lo que te voy a decir, y revélalo a los humanos: mi Corazón está dolorido por la gran ruina que va a caer sobre el mundo. La justicia de Dios es gravemente ofendida, hija mía. Los hombres siguen obstinados en el pecado, y la ira de Dios va a caer de un momento a otro. El mundo, hija mía, va a ser sacudido por grandes terremotos, grandes catástrofes, grandes epidemias y carestía, hija mía. También habrá fuertes huracanes que harán desbordarse los ríos y los mares.

         Grita fuerte, hija mía, para que los ministros del Señor llamen a la Humanidad a penitencia y oración. Como no vuelvan sus ojos a Dios, también habrá una gran guerra, porque los hombres sabios, subidos en el poder, usarán armas mortíferas para destruir grandes naciones. Unos serán barridos por terremotos, otros por huracanes y otros por guerras, hija mía.

         Mira, hija mía, estoy inclinada para proteger al mundo, hija mía; estoy sosteniendo el brazo de mi Hijo. Todo esto tenía que haber sucedido, pero cuando hay almas que piden a Dios, Dios sostiene el Castigo, hija mía. Dios no es tirano, hija mía, como dicen los hombres, Dios es amor y misericordia, pero los hombres se meten en el pecado y en el abismo.
     
     

         EL SEÑOR:

         Os pido, hijos míos: id de pueblo en pueblo, publicad el Evangelio, hijos míos, y ¡ay de aquél que quite y ponga lo que no hay en el Evangelio!, porque muchos de mis pastores quitan lo que no les conviene y añaden lo que les conviene, hijos míos.

         Pedid por las almas consagradas; pedid, hijos míos, por el Vicario de Cristo, que está en un gran peligro.

         Hija mía, vas a besar el suelo por las almas consagradas... Y haced, hijos míos, sacrificio y penitencia; no hagáis caso de aquéllos que os dicen que no hace falta penitencia para salvaros, ni oración ni sacrificio. Con la penitencia, hijos míos, con el sacrificio y con la oración, seréis salvados, hijos míos. Yo no soy un padre..., soy amor, misericordia y perdón; no soy un padre tirano, ni cruel, hijos míos. A todo aquél que venga a mí, le perdono, hijos míos.
     
     

         LUZ AMPARO:

         ¡Ay, qué grande eres, ay! ¡Ay!
     
     

         EL SEÑOR:

         Pero este mundo es cruel conmigo, hijos míos. Lo mismo que Sodoma y Gomorra que cuando el Diluvio, hijos míos, este planeta va a ser destruido. Estad preparados, hijos míos, que os llevaré a la Tierra Prometida. Entonces, sólo uno será vuestro rey, vuestro pastor, y sólo uno os publicará el Evangelio y os lo predicará, hijos míos, sin engaños ni mentiras.

         Hay grandes almas consagradas, hijos míos, grandes santos; pero hay también grandes lobos en mi Iglesia, forrados con piel de oveja. ¿Qué han hecho de mi Iglesia? Guarida de ladrones, hija mía.

         Pedid mucho a vuestra Madre, que Ella os traerá a mí, y yo os llevaré al Padre, hijos míos.
     
     

         LA VIRGEN:

         Hija mía, haz oración y penitencia por esas pobres almas que están destruyendo tantas otras almas. ¡Me dan tanta pena! ¡Cómo reniegan de mi nombre!

         Amadme mucho, hijos míos, que yo os amo con todo mi Corazón. Os amo a todos, porque todos sois hijos míos. ¿Qué madre no sufre por un hijo, hija mía? Vosotras sois madres; si vuestro hijo se va por el mal camino, vuestro corazón lo tenéis henchido de dolor. Pues yo soy Madre, hijos míos, y mi Corazón, mi Corazón, hijos míos, está atravesado por el dolor. Tengo espinas, hijos míos, muchas espinas en mi Corazón, pero también tengo amor, amor, mucho amor, hijos míos.

         No quiero que os condenéis, hijos míos, porque existe el Infierno, y el Infierno está para aquéllos que reniegan de Dios, hijos míos, que se meten en los placeres del mundo y vuelven la espalda a Dios Creador, hijos míos. Existe el Infierno.

         Amad mucho a vuestro prójimo, hijos míos, y amad a Dios. Cumplid con sus mandamientos, porque, hija mía, como te he dicho muchas veces, en los mandamientos están los Evangelios, los sacramentos y todas las leyes de Dios.

         Mirad, hijos míos, que vuestra Madre sostiene el brazo de la Justicia de Dios, porque Dios es Juez, y dará a cada uno según sus obras, hijos míos. Seguid rectos y seguros por el camino del Evangelio, hijos míos.

         Hoy es un día grande, aunque vengo llena de dolor porque los hombres no piensan nada más que en ofender a Dios.

         Voy a dar una bendición especial, que servirá, hijos míos, para todos los moribundos. Para todos aquéllos que visiten diariamente el Santísimo, que recen el santo Rosario, que reciban a Cristo diariamente, prometo asistirlos con mis ángeles en la hora de su muerte. Mis ángeles lucharán con Satán para arrebatarle a las almas.

         Son bendiciones especiales, hijos míos. Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

         Voy a dar bendición y esta bendición tendrá grandes indulgencias, hijos míos, a todos los objetos. Levantad todos los objetos...

         Humildad te pido, hija mía; las pruebas son duras, pero tu humildad tiene que sobresalir de todos los demás. Ahora es cuando vienen las pruebas, hija mía.

         Adiós, hijos míos. ¡Adiós!

    [1] “Perlado”= “Que tiene forma o brillo de perla”; o bien: “Que está adornado con perlas o motivos que las imitan”.
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