Isabel Sánchez Romero

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Bienheureuse Isabel Sanchez Romero

 

(1861-1937) religieuse.

Pendant la guerre d'Espagne, elle a subi le martyre.

Ses dernières paroles furent : « Vive le Christ Roi ! »

 

(Traducteur Google)

Isabel Sánchez Romero, nom religieux Asunción de San José, (9 mai 1861 - 17 février 1937) était une religieuse espagnole de l'Ordre des Prêcheurs.

Sánchez est devenue postulante après avoir eu dix-sept ans et était connue parmi ses pairs pour sa nature obéissante et silencieuse, mais a également développé une réputation de travailleuse acharnée de nature contemplative.

La guerre civile espagnole l'a vue emprisonnée et les forces anti-religieuses ont tenté de la forcer à renoncer à sa foi et à souscrire à leur régime.

Sánchez a refusé de le faire et a été battue à mort car ses ravisseurs ont décidé de ne pas lui tirer dessus comme d'autres exécutés.

Sa béatification a été célébrée à Séville le 18 juin 2022.

La vie

Isabel Sánchez Romero est née à Huéscar dans la province de Grenade le 9 mai 1861 en tant que dernière de huit enfants.

Son baptême a été célébré dans son église paroissiale locale le 13 mai et elle a reçu sa confirmation le 11 novembre.

Sánchez est devenue postulante et a rejoint les religieuses dominicaines une fois qu'elle a eu dix-sept ans au couvent de La Consolación dans sa ville natale et a pris le nom religieux de "Asunción de San José" pour honorer Saint Joseph ; elle a fait sa profession solennelle de vœux le 2 octobre 1885.

Dans son couvent, elle s'est fait remarquer pour sa nature obéissante et silencieuse et était devenue connue comme une travailleuse acharnée qui n'hésitait pas à aider ses pairs dans leurs fonctions.

Dès son enfance, elle souffrait d'une maladie rare qui créait des plaies douloureuses qui ne se plaignaient jamais malgré la douleur qu'elle éprouvait.

Le déclenchement de la guerre civile en Espagne au milieu des années 1930 a vu une vague intense de sentiment anti-religieux et a également été témoin d'une période de terreur qui a vu des couvents dissous et des prêtres et des religieuses interrogés et exécutés.

Les religieuses ont pris la décision de quitter leur couvent et de se réfugier chez leurs amis tandis qu'elle est allée vivre avec ses proches dans sa ville natale.

Le temps est venu où les socialistes les forces armées l'ont appréhendée et emprisonnée le 16 février 1937 après que les hommes ont fait irruption dans la maison ce soir-là ; elle a été parfois battue et condamnée à renoncer à sa foi et à blasphémer car ses ravisseurs pensaient que cela les amuserait de voir une religieuse de son âge faire cela. Mais elle a refusé de céder et ses ravisseurs ont décidé de la tuer aux côtés de plusieurs autres dont son neveu Florencio.

Les soldats ont décidé de les emmener dans une camionnette le matin vers un cimetière local et ont brutalement jeté la religieuse âgée dans la camionnette dans laquelle elle n'avait pas pu monter seule en raison de son âge.

Sánchez, qui n'a jamais cessé de prier tout au long de l'épreuve, a été la dernière tuée le 17 février 1937 et ses ravisseurs ont décidé de ne pas lui tirer dessus comme les autres et l'ont plutôt battue à mort avec une pierre.

Ses derniers mots ont été enregistrés comme "long live Christ the King!"

Béatification

Le procès de béatification de Sánchez Romero a été engagé le 5 juillet 1995 après que la Congrégation pour les Causes des Saints eut émis le nihil obstat ; cela a permis au diocèse de Guadix de lancer une enquête diocésaine sur sa vie et sa sainteté le 5 décembre 1995 et qui s'est terminée le 18 mars 1997. Le pape François a signé un décret le 11 décembre 2019 qui a déterminé que Sánchez avait été tué in odium fidei ( "en haine de la foi").

La béatification a été célébrée à Séville le 18 juin 2022. Le postulateur de cette cause est le dominicain Gianni Festa.

Source : https://en.wikipedia.org/wiki/Isabel_S%C3%A1nchez_Romero