Giuseppe Toniolo

Il est né à Trévise , dans la paroisse de Sant'Andrea , en 1845, dans une famille de la bonne bourgeoisie vénitienne.

La famille a déménagé dans différentes villes de la Vénétie pour suivre leur père, un ingénieur.  

Giuseppe a fait ses études secondaires à Venise dans le Collège collégial de Santa Caterina (anciennement "Marco Foscarini").  

Il a poursuivi ses études à la Faculté de droit de l' Université de Padoue , où ses professeurs étaient Fedele Lampertico et Angelo Messedaglia. Il obtint son diplôme le 21 juin 1867. L'année suivante, il est nommé assistant de la chaire politico-légale de l'Université de Padoue ; en 1873, il obtint son diplôme d'enseignement en économie politique .

Il a d'abord enseigné à l'Institut technique de Venise (à partir de 1874) ; après une courte offre de la Messadaglia de l'Université de Padoue, il est appelé en 1878 professeur extraordinaire d'économie politique à l'Université de Modène et à Reggio Emilia. Il resta à Modène seulement un an : en 1879, il obtint l'enseignement de la même discipline à l'Université de Pise grâce à un concours. En 1882, il fut nommé professeur titulaire à l'université toscane.

Toniolo a occupé la chaire d'économie politique jusqu'à sa mort (1918).  

En 1883, il avait parmi ses étudiants à Pise Werner Sombart, qui devint plus tard l'une des plus grandes autorités internationales de l'économie politique.

En 1893, il fonda à Pise la " Revue internationale des sciences sociales et des disciplines auxiliaires ", une revue scientifique encore publiée aujourd'hui.

Le 4 septembre 1878, il épousa Maria Schiratti de Pieve di Soligo, avec laquelle il eut sept enfants.

Giuseppe Toniolo est décédé en 1918.

Ses restes reposent à la cathédrale Santa Maria Assunta de Pieve di Soligo , dans la province de Trévise .

Spécialiste de l'économie de la Florence médiévale, Toniolo pensait trouver un modèle toujours valable à son époque : celui d'une société dans laquelle la coopération entre les différents groupes d'art et d'artisanat produirait à la fois du bien-être pour les travailleurs et la démocratie, Harmonica civitas chrétienne.  
 

Partisan de la liberté des échanges, Toniolo n'était pas un partisan de la libre circulation des capitaux, convaincu que les finances étaient essentielles à l'économie réelle et ne devaient jamais être réduites à un simple moyen d'enrichissement, au profit des quelques contribuables.  

La figure de Giuseppe Toniolo occupe une place importante dans l’histoire de la pensée et de l’organisation des laïcs catholiques. Son action est particulièrement importante car elle a eu lieu dans les années où - après la prise de Rome en 1870 et avant le concordat de 1929 - le Non expedit interdisait aux catholiques de participer directement à la vie politique italienne, générant un vulnus démocratique considérable. En ce sens, le dialogue toujours recherché entre toutes les positions catholiques était également important, du moins strict au plus "pragmatique" de ceux qui estimaient qu'une action politique était désormais possible.

En décembre 1889, Toniolo fonda "l'Union catholique d'études sociales" à Padoue, dont il était président. l'organisation a tenu trois congrès: 1892 à Gênes ; 1894 à Milan et 1896 à Padoue.

À l'occasion du congrès de Milan, Toniolo a formulé le premier programme social chrétien, appelé programme catholique face au socialisme (désormais appelé programme de Milan, le 3 janvier 1894).  

Le "programme de Milan" est arrivé trois ans après l'encyclique Rerum Novarum de Léon XIII.

Toniolo avait l'intention de relancer les principes contenus dans l'encyclique: elle avait reçu un accueil initial très favorable, mais les esprits s'étaient endormis au cours des trois années suivantes.  

Toniolo a affirmé la nécessité de traiter avec la classe ouvrière pour la sortir de la condition de subordination qui l'oppressait. Il a courageusement proposé la reconstitution des corps moraux ecclésiastiques, confisqués par l'État, qui avaient joué pendant des siècles un rôle essentiel dans l'atténuation de la misère des personnes défavorisées. En outre, Toniolo a suggéré la mise en œuvre d'une réforme agraire et a soutenu la nécessité de créer des associations de travailleurs catholiques. Pour résumer son programme en une phrase, il a inventé le slogan suivant: "Les travailleurs du monde entier s'unissent en Christ sous la bannière de l'Église!" 

Toniolo n'a jamais été engagé dans la sphère politique, mais a été l'un des fondateurs de la Fédération des universités catholiques italiennes ( 1896 ). Il a également collaboré avec l' Opéra dei Congressi , inséré dans la section II (économie sociale, dirigée par Stanislao Medolago Albani).

Son action sociale a été marquée par une profonde harmonie avec le magistère ecclésiastique.

De plus, sa formulation du concept chrétien de démocratie était le point de départ de tout le mouvement de la démocratie chrétienne. Après la dissolution de l'Opéra dei Congressi ( 1904 ), le pape Pie X préconise la naissance d'un nouveau corps unitaire et en confie la formation au Toniolo. Il a réorganisé l'action des laïcs catholiques au sein de "l'Union populaire".

Giuseppe Toniolo a été l’inspirateur et le promoteur de la première Semaine sociale des catholiques italiens, qu’il a baptisée en 1907.

En 1918 , avant de mourir, il convainc le père Agostino Gemelli de fonder un institut catholique d'études supérieures. Gemelli a fondé l'institut en 1920. Un an plus tard, l’Université catholique du Sacré-Cœur de Milan a été créée .

La contribution de Giuseppe Toniolo aux études économiques et sociales est attestée par de nombreuses publications.  

Dans les premiers essais, l'intérêt pour les problèmes liés à la division du travail et à la répartition de la richesse est visible :

• La question des petites entreprises industrielles dans le moment historique d'aujourd'hui. Essai sur l'économie des petites industries, dans Revue de l'agriculture, de l'industrie et du commerce, a. II, vol. III, n 5, ensemble. 1874, pages 346-358 ( 1874 );
• Diverses formes de rémunération du travail ( 1875 );
• Leçons sur la répartition de la richesse ( Vérone , 1878 );
• Le salaire (1878-1879).

Entre 1881 et 1893, les intérêts de l'histoire économique prédominent :

• La scolastique et l'humanisme dans les doctrines économiques de la Renaissance en Toscane , discours inaugural de l'année universitaire 1886 - 87 ;
• Éléments lointains du pouvoir économique de Florence au Moyen Âge , rassemblés ensuite
  • Affaires économiques de la municipalité florentine de 1378 à 1530 , publié en 1889 ;
• Histoire de l'économie sociale en Toscane ( 1890-1891 );
• L'histoire en tant que discipline auxiliaire des sciences sociales (1890);
• La genèse historique de la crise socio-économique actuelle ( 1893 ), dans laquelle il indique comme solution à la crise le retour à la justice et à la charité dans les relations entre les classes, en obéissance au magistère infaillible de l'Église.

Après 1893, Toniolo aborde les thèmes liés à la réalité contemporaine et au programme social chrétien, alternant études de caractère appliqué et interventions doctrinales, historiques et critiques, jusqu'aux grandes synthèses sociologiques:

• Programme synthétique de sciences économiques et sociales (1893);
• L'économie capitaliste moderne dans sa fonction et ses effets ( 1894 );
• Unions professionnelles rurales (1894);
• Pour l'histoire du mouvement coopératif ( 1895 );
• Le concept chrétien de démocratie ( 1897 );
• La protection internationale des travailleurs ( 1900 );
• Démocratie chrétienne ( 1900 );
• Mesures sociales populaires ( 1902 ).

Il produit également des analyses historico-critiques sur la doctrine et sur le mouvement socialiste qui se profilait rapidement :

• Doctrines socialistes de l'Antiquité classique et du Moyen Âge ( 1899 ) ;
• Le socialisme dans la culture moderne (1900) ;
• Le socialisme dans l'histoire de la civilisation (1902) ;
• Le problème suprême de la sociologie ( 1903 ) ;
• Le problème sociologique d'aujourd'hui ( 1905 ) ;
• Les prémisses philosophiques et la sociologie contemporaine ( 1909 ).

Entre 1908 et 1921, les trois premiers volumes de son traité d'économie sociale ont été publiés ( Introduction générale ; Production ; Circulation ). Ce travail est considéré comme son plus important et celui qui résume le mieux scientifiquement l'immensité de son activité d'érudit.

En 2012, à l'occasion de sa béatification, la maison d'édition des banques coopératives de crédit Ecra a publié le livre "Pour un meilleur bien à venir". Scritti Scelti (1871-1900) . Un recueil d'écrits, édité par Romano Molesti et avec une préface de Lorenzo Ornaghi , à l'origine de la coopération de crédit italienne.

En 1933 , à la demande de la FUCI , le processus de canonisation fut lancé. Le 14 juin 1971, le pape Paul VI clôt l'examen de sa vie avec le décret de la vertu héroïque.

Après avoir été reconnu comme vénérable , le 14 janvier 2011, le pape Benoît XVI a autorisé la Congrégation pour la cause des saints à promulguer le décret relatif à un miracle, attribué à "l'intercession du vénérable Serviteur de Dieu Giuseppe Toniolo, père laïc de la famille".

Le 20 septembre 2011, la reconnaissance canonique du corps de Giuseppe Toniolo a été réalisée dans la cathédrale de Pieve di Soligo . L' évêque de Vittorio Veneto, Corrado Pizziolo , l' évêque émérite Alfredo Magarotto et l' évêque postulateur, Domenico Sorrentino, étaient présents . Le corps a été recomposé par trois médecins de l' ULSS locale et placé dans une nouvelle urne en marbre. Après une célébration solennelle au Duomo le 7 octobre 2011 (à l'occasion du 93e anniversaire de sa mort), l'urne avec le corps de Toniolo a été placée dans son sarcophage.

À la suite de la reconnaissance et de la reconnaissance du miracle, il a été proclamé béni en 2012.

Avant sa mort, Giuseppe Toniolo a confié au père Agostino Gemelli la tâche de créer une "université catholique".  

En 1919, le père Gemelli, aux côtés d'autres personnalités culturelles et religieuses, Ludovico Necchi, Francesco Olgiati, Armida Barelli et Ernesto Lombardo, fonda l'Istituto Giuseppe Toniolo di Studi Superiori, garant et fondateur de l'université, à Milan. La nouvelle université, appelée Université catholique du Sacré-Cœur, a été officiellement inaugurée le 7 décembre 1921 .

Pour la contribution offerte par Giuseppe Toniolo en tant que professeur et promoteur de l'économie coopérative sociale catholique, réalisée par des banques de crédit coopératives , deux institutions ont été nommées en son nom : la BCC "Giuseppe Toniolo" de Genzano di Roma et la BCC " Giuseppe Toniolo "de San Cataldo, en Sicile .

Source :

https://it.wikipedia.org/wiki/Giuseppe_Toniolo

Education et mariage

Giuseppe Toniolo est né à Trévise le 7 mars 1845.

Il était le premier de quatre enfants d’Antonio Toniolo et Isabella Alessandrini. Il vivait dans la région de la paroisse de Sant'Andrea.  Son oncle maternel était Alessandro.  

Pendant son enfance, le Toniolo a déménagé à plusieurs reprises depuis que son père (un ingénieur) a occupé différents emplois à divers endroits de la Vénétie.

Toniolo a fréquenté le lycée de Sainte Catherine à Venise avant d'entrer au collège de Padoue.  C'est là qu'il a étudié la jurisprudence et suivi des cours dirigés par Fedele Lampertico et Angelo Messedaglia avant de recevoir son diplôme le 21 juin 1867. Mais la mort soudaine de son père a interrompu ses études, mais il a repris ses études avant l'obtention de son diplôme.  

Toniolo a épousé Maria Schiratti le matin du 4 septembre 1878 (le couple s'est rencontré après que les frères de Maria, Gaetano et Renato, eurent facilité l'union).

Le couple a eu sept enfants et trois sont décédés dans leur enfance.  

Quatre de ces sept enfants étaient:

• Emilia - nonne (décédé en 1970)
• Antonio (mort en 1955)
• Elisa
• Teresa

Professeur

Plutôt que de poursuivre une carrière juridique, il enseigna l’économie pendant plus de quatre décennies et fut nommé assistant de la chaire d’études juridico-politiques de son alma mater en 1868, avant d’enseigner à Venise à l’Institut Tecnico di Venezia de 1874 à 1878. a été interrompu une fois à cause d’un bref passage à Padoue.  

En 1878, il devint professeur à l'université de Modène et de Reggio Emilia.  

Toniolo fut nommé professeur au collège de Pise en 1883 et y occupa la chaire d'économie politique jusqu'à sa mort en 1918.

Toniolo a défendu l’importance des valeurs religieuses en politique et en économie malgré le refus de certains chrétiens de faire de la politique en raison des éléments maçonniques et anticléricaux qui avaient contribué à l’unification de l’Italie en 1860_^.

Toniolo a développé des théories de économie du laissez-faire (la proposition d' Adam Smith ; celle que Camillo Benso a préconisée, tout comme Vilfredo Pareto ) et le socialisme centré sur l'État que les adeptes de Karl Marx ont proposé et défendu.

En 1889, il fonda l'Union catholique d'études sociales et fonda plus tard la Revue internationale de sciences sociales en 1893. La pensée économique historique germanique - celle de Gustav von Schmoller et plus tard de Joseph Schumpeter - servit d'influence aux intellectuels italiens de l'époque . Toniolo a plaidé en faveur de la protection des travailleurs et, en 1889, a fondé un syndicat pour défendre les droits des travailleurs et s'est également employé à limiter la semaine de travail tout en luttant pour la protection des femmes et des enfants. Toniolo croyait en des institutions capables de servir d'intermédiaire entre les individus et l'État, du ménage aux syndicats et aux associations professionnelles_^. Il a dirigé le mouvement chrétien d’action sociale après 1900, qui est devenu un peu similaire à l’activisme social aux États-Unis.

Les idées de Toniolo ont notamment influencé les papes Léon XIII (y compris Rerum novarum ) et Pie X.

Il a dit que les sciences économiques "font partie intégrante de la conception opérationnelle de Dieu", ce qui est considéré comme une "obligation de justice" qui devrait servir de service essentiel à tous les peuples plutôt qu'à un petit nombre.

Toniolo connaissait également Mgr Georg Ratzinger - le grand-oncle du pape Benoît XVI.  

En septembre 1918, il demanda à Agostino Gemelli de créer un collège à Milan après la guerre et Gemelli fonda "l'Université catholique du Sacré-Cœur" en 1921 et devint l'une des plus grandes universités du monde avec des succursales à Milan (la principale). ainsi qu'à Piacenza et à Brescia avec son école de médecine située à Rome (Institut Gemelli).  

Toniolo était également un ami du Bienheureux Bartolo Longo et les personnalités du cardinal Andrea Carlo Ferrari et de l'évêque Giacomo Radini-Tedeschi ont loué sa pensée et son activisme.  

Mort et points de vue de contemporains

Toniolo est décédé le 7 octobre 1918 et ses restes sont inhumés dans l'église Santa Maria Assunta de Pieve di Soligo.  

Dans une conférence qui concernait Toniolo, béatifié, en 2012, des remarques ont été formulées dans un message envoyé du cardinal Tarcisio Bertone, qui l'a cité comme un modèle d'activisme. La plupart de ses œuvres n'ont pas été traduites en anglais depuis 2013.

Ses restes ont été exhumés le 20 septembre 2011 pour inspection canonique et réenterrés ultérieurement le 7 octobre dans la même tombe mais dans un sarcophage en marbre différent. L' évêque de Vittorio Veneto, Corrado Pizziolo et son évêque émérite Alfredo Magarotto étaient présents aux côtés du postulateur Sorrentino.

En 1961, Albino Luciani, futur évêque du pape Jean-Paul Ier, évêque de Vittorio Veneto, prononça un discours soulignant la contribution de Toniolo à l'enseignement social et à l'activisme. Luciani a qualifié Toniolo de "propagateur infatigable des idées de Rerum Novarum ".  

Les groupes de pression de la FUCI pour la reconnaissance de sa sainteté ont commencé en 1933, menant à l’initiation du processus de béatification selon lequel Toniolo serait élevé aux honneurs de l’autel.  

La phase informative de l'enquête a débuté à Pise en 1934 et s'est achevée en 1941 avec un processus apostolique qui a eu lieu à Pise de 1951 à 1954.

Les théologiens ont évalué les écrits de Toniolo afin de déterminer si la doctrine était respectée et ont approuvé leur non-possession de doctrine. erreurs dans un décret du 1er juin 1947.

L'introduction officielle de la cause passa sous l'autorité du pape Pie XII le 7 janvier 1951, dans laquelle Toniolo devint titré en tant que serviteur de Dieu. La Congrégation pour les rites a ensuite validé les processus informatif et apostolique le 8 juillet 1955.

La Congrégation pour la cause des saints et leurs consultants se sont réunis et ont approuvé la cause le 16 février 1971 ; seuls les cardinaux et évêques membres de la SCC ont ensuite donné leur approbation supplémentaire un mois plus tard, le 29 mars. Le 14 juin 1971, le pape Paul VI désigna Toniolo comme vénérable , après avoir confirmé que le regretté économiste avait vécu une vie modèle de vertu héroïque .

La béatification de Toniolo dépendait d'un seul miracle recevant l'approbation papale.  

Un tel miracle devait guérir, ce que la science et la médecine pourraient ne pas expliquer.  

Un de ces cas a été découvert à Vittorio Veneto et le processus d’évaluation de ce miracle s’y est déroulé du 24 septembre 2006 à sa fermeture un mois plus tard, le 19 octobre.

L'enquête a été transférée à Rome où la CCS a validé ce processus le 30 novembre 2007 avant que des experts médicaux ne confirment le caractère miraculeux de la guérison le 28 février 2008.

Les théologiens ont confirmé le 29 avril 2009 que le miracle était dû à l'invocation de l'intercession de Toniolo auprès de la CCS. Les membres ont marqué leur accord avec les deux panels lors de leur réunion du 11 janvier 2011.

Le pape Benoît XVI a confirmé les conclusions du 14 janvier 2011 et accordé son approbation pontificale à la béatification de Toniolo. Giovanni Angelo Becciu a informé le 11 novembre 2011 le postulateur de Sorrentino de la date confirmée pour la béatification.  

La béatification a été célébrée le 29 avril 2012 dans la basilique Saint-Paul-du-Seigneur, sous la présidence du cardinal Salvatore De Giorgi, au nom du pape. L'archevêque de Pise a assisté à la béatification, de même que plus de 40 évêques et archevêques et 5 000 personnes. Le cardinal Dionigi Tettamanzi était également présent aux côtés d'autres cardinaux, Angelo Bagnasco et Giuseppe Betori , ainsi que de Paolo Sardi . Dans son discours de Regina Caeli, prononcé le même jour, Benoît XVI a déclaré à propos de Toniolo: "Son message est très actuel, en particulier à cette époque. Bl. Toniolo indique la voie de la primauté de la personne humaine et de la solidarité."  

L'ancien postulateur pour cette cause était l'évêque Domenico Sorrentino et est maintenant le Dr. Silvia Mónica Correale.

Miracle

Le miracle qui a permis la béatification de Toniolo a été la guérison de Francesco Bortolini, guéri de blessures graves après une chute en 2006 et l'invocation de son intercession.  

Source :

https://en.wikipedia.org/wiki/Giuseppe_Toniolo