• Sant'Anastasia, Notre-Dame de l'Arc

     
     

    Sant'Anastasia

    Notre-Dame de l'Arc

     

     

    Notre-Dame de l'Arc

    By AndreaCoppola2002 - Own work, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=59734525

     

    (Traducteur google)

    Histoire

    Le site était à l'origine occupé par un édicule votif, construit au XVe siècle et abritant une Vierge à l'Enfant nommée "Madonna dell'Arco" d'après une arche voisine d'un ancien aqueduc romain.

    La tradition veut que le lundi de Pâques 1450, un jeune homme fâché d'avoir perdu une partie de jeu de mail, lança une balle sur l'image, dont la joue commença à saigner.

    Cela a été considéré comme un miracle par la population locale et la nouvelle est parvenue à Raimondo Orsini, comte de Sarno et grand justicier du royaume de Naples, qui a traduit le jeune homme en justice. Il a été condamné à mort et pendu à côté de l'édicule votive.

     

     

    Fujenti 

    By AndreaCoppola2002 - Own work, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=60488692

     

    Le lundi de Pâques 1589, lors de la fête de la Madonna dell'Arco, une femme de la ville nommée Aurelia Del Prete s'est rendue au sanctuaire avec son mari Marco Cennamo pour offrir un ex-voto représentant la Madone après avoir guéri son mario d'une grave maladie oculaire..

    La femme avait un porcelet avec elle, mais il s'est détaché et elle n'a pas pu le récupérer parmi la foule, alors Aurélia a maudit avec colère l'ex-voto de son mari représentant la Madone.

    L'année suivante, elle tomba gravement malade et mourut bientôt le 28 juillet 1590.

    La maladie lui fit tomber les pieds, et ils sont toujours enfermés dans une petite cage de fer dans le sanctuaire.

    Le culte commença à se répandre au-delà de Naples et en 1592, le pape Clément VIII envoya le père Giovanni Leonardi de Rome à Naples pour coopérer avec l'évêque de Nola pour administrer l'aumône et les terres du sanctuaire.

    La première pierre du sanctuaire actuel a été posée en 1593 et ​​deux ans plus tard, elle a été remise aux dominicains, qui ont commencé à l'agrandir.

    Cependant, en raison de tensions avec le Reale Albergo dei Poveri (qui tenait toujours une partie du monastère) et de divers effondrements, il n'a atteint sa forme définitive qu'en 1973.

    Le 25 mars 1676, le vice-roi Antonio Alvarez et le cardinal Pier Francesco Orsini (futur pape Benoît) XIII) a vu l'image du sanctuaire de Marie entourée d'étoiles.

    Source :

    https://en.wikipedia.org/wiki/Santuario_della_Madonna_dell%27Arco

     

     

    Détail du sanctuaire

     

    Le sanctuaire de la Madonna dell'Arco (Madone-de-l'Arc) est une église de pèlerinage située dans la commune de Sant'Anastasia, à l'Est de Naples, dans le diocèse de Nole.

    Le lundi de Pâques (in albis) y a lieu le traditionnel pèlerinage des fujenti (pénitents vêtus de blanc) qui viennent de toute la Campanie. Ils s'accompagnent pendant leur pèlerinage d'une mélodie vocale très suggestive remontant au XVe siècle.

    Une autre cérémonie a lieu le deuxième dimanche de septembre en l'honneur de la fête du Couronnement de la Bienheureuse Vierge Marie, à l'issue de laquelle on incendie symboliquement le campanile.

    Le sanctuaire est depuis près de cinq siècles administré par les dominicains.

    Histoire

    La tradition

    On trouvait à l'emplacement du sanctuaire au XIVe siècle un petit édicule votif dédié à la Madone de l'Arc, vocable de la Vierge dû à la présence d'un antique arc romain à proximité.

    Une fête y était donnée tous les ans en son honneur. Ainsi, le lundi de Pâques 1540, la tradition locale rapporte qu'un jeune homme, irrité d'avoir perdu au jeu de mail, jure contre la Madone et lui lance une boule au visage.

    Aussitôt l'effigie de la Madone se met à saigner de la joue gauche.

    La foule crie au miracle et, furieuse, demande réparation au jeune homme qui est emmené devant le comte de Sarno représentant la justice.

    Le jeune homme est condamné à la pendaison.

    Il est pendu à un tilleul, mais l'arbre se ratatine, jusqu'à ce que le jeune homme soit sauvé devant les yeux de la foule ahurie.

    Depuis ce miracle, ce lieu n'a cessé d'attirer les foules.

    Au-delà des faits, cette histoire témoigne de la mansuétude et du pardon que la Vierge enseigne, et de la colère qui doit être vaincue autrement.

    Construction

     

    Façade de l'église

     

    En 1592, le pape Clément VIII fait venir ici le Père Leonardi en qualité d'administrateur gérant les dons et les biens temporels. Le Père Leonardi sera canonisé en 1938 par Pie XI. La première pierre du sanctuaire est bénie en 1593.

    En 1595, le sanctuaire passe aux mains des dominicains qui ne cessent de faire agrandir le couvent et l'église, mais comme une partie du couvent appartient pendant longtemps à l'hospice royal des Pauvres, l'ensemble ne prend sa forme actuelle qu'en 1973.

    Devant l'affluence constante des fidèles, une aula en béton armé a été construite récemment pour les cérémonies de foule, derrière l'église du côté nord de l'ensemble architectural.

    Description

    Architecture

     

    Vue du cloître

    Par Giuseppe Pepe, CC BY 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=47418442

     

    L'ensemble architectural du sanctuaire est constitué d'une église, avec deux chapelles, d'un couvent avec un cloître et d'une aula moderne.

    L'église s'inscrit dans une croix latine à nef unique couverte d'une voûte en berceau éclairée de lunettes avec quatre chapelles de côté. Elle est surmontée d'une coupole. Au milieu de la croisée, on trouve l'édicule sacré qui abrite l'icône de la Madone. L'abside est semi-circulaire et le chœur est en bois. Les colonnes qui soutiennent le plafond sont couverts d'ex-votos à la Vierge.

    La chapelle du Rosaire est contiguë à l'église; elle permet d'accéder à une seconde chapelle, consacrée à saint Jean Leonardi, apôtre de la communion fréquente, à une époque où l'on ne communiait qu'une ou deux fois par an.

    En face de l'entrée, on trouve un corridor menant à la salle des confessions, puis au cloître, au milieu duquel se dresse un puits. Les salles donnant sur le cloître étaient autrefois les salles de classe d'un lycée classique. En face de l'entrée principale du cloître, le corps de bâtiment abrite en partie une hôtellerie et en partie un musée des ex-votos.

    Source :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Sanctuaire_de_la_Madonna_dell%27Arco

    En savoir plus :

    https://www.santuarioarco.com/