• Saint Vincent Ferrier († 1419)

     

     

     

    Saint Vincent Ferrier († 1419)

    Frère dominicain

     

    Image illustrative de l’article Vincent Ferrier

    Saint Vincent Ferrier par Juan de Juanes
    (entre 1445 et 1450)

     

    Vincent Ferrier (en valencien Sant Vicent Ferrer) est un prêtre de l'ordre dominicain, né le 23 janvier 1350 près de Valence (Couronne d'Aragon) et mort le 5 avril 1419 à Vannes (Bretagne) qui est resté célèbre pour ses prédications publiques et ses conversions de Juifs et de Maures.

    Une partie de ses reliques sont vénérées à la cathédrale Saint-Pierre de Vannes dont il est le saint patron de la ville ainsi que de la Communauté valencienne.

    Il est fêté le 5 avril selon le Martyrologe romain, et le 5 mai par l'ordre dominicain.

    Biographie

    Enfance et formation

    Vincent est le quatrième enfant du notaire Guillem Ferrer, originaire de Palamos et de Constança Miquel.

    Selon certaines légendes - qui iront en multipliant les signes surnaturels -, son père aurait fait un rêve avant sa naissance l’informant qu’il aurait un fils dominicain.

    Il est le frère de Boniface Ferrier, chartreux, élu prieur de la Grande Chartreuse et général de l'ordre en 1402.

    Il fut baptisé dans l’église Saint-Étienne et nommé d’après saint Vincent de Saragosse, le patron de sa ville natale, Valence.

    À l’âge de 19 ans, Vincent Ferrer entre dans l’ordre des Prêcheurs, communément appelé l’ordre dominicain.

    Les premières années, il est tenté de quitter l’habit mais ses parents l’incitent à continuer sa formation. Bien leur en est puisque, dès l’âge de vingt ans, il donne des cours de logique puis écrit deux ouvrages, l'un traitant d'astronomie, l'autre de dialectique.

    En 1379, il est ordonné prêtre à Barcelone. Dans un premier temps, il enseigne la théologie à Barcelone puis à l’université de Lérida, où il obtient un doctorat de théologie. Il s’y fait connaître pour ses talents d’orateur.

    Prédications en Europe

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    Saint Vincent Ferrier - Livre d'heures de Pierre II de Bretagne

     

    Son charisme et son influence populaire sont tels qu'il devient un personnage-clé dans les troubles politico-religieux liés au Grand Schisme d'Occident.

    Proche de Pedro de Luna, alors cardinal et futur Benoît XIII, Vincent Ferrier se rallie tout d'abord à la papauté d'Avignon, rejetant la légitimité d'Urbain VI dans son traité De moderno ecclesiae schismate.

    Il devient par la suite confesseur de Benoît XIII, désormais antipape et figure emblématique de la résistance à Rome. Mais, dans un souci d'union de l'Église, il finit par se résigner à abandonner la cause de Benoît pour reconnaître le pape romain. Son acte de renonciation officiel intervient en 1416, à l'époque où le Concile de Constance s'emploie à mettre fin au schisme.

     

     Saint Vincent Ferrier, détail d'un tableau de Giovanni Bellini.

     

    Infatigable prêcheur, évangélisateur et prosélyte de l'Europe pendant vingt ans, de 1399 à sa mort, il parcourt l'Espagne, la France, l'Italie, la Suisse, l'Angleterre, et va même jusqu'en Écosse.

    Il est souvent accompagné d'un nombre impressionnant de disciples, au point qu'il doit essentiellement prêcher dans de grands espaces extérieurs pour pouvoir être entendu de la foule.

    On lui prête le don des langues, au vu de sa capacité à communiquer avec tant de peuples différents, ainsi que celui de guérison.

    Il est considéré comme « le plus grand des missionnaires populaires de son temps ».

    En dehors des questions papales, son rôle politique est particulièrement important en Espagne, où il aide Ferdinand de Castille à accéder à la couronne d'Aragon dans un contexte de succession difficile (cf. Compromis de Caspe, en 1412).

    Auprès des Juifs

    Vincent Ferrer fait partie de l'histoire antijudaïque de l'Espagne, de triste mémoire. Il aborde « la question juive » en Espagne en prêchant la conversion des Juifs. Son œuvre prosélyte est facilité par sa connaissance de l'hébreu, des traditions et des Saintes Écritures.

     

     

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    Statue de Vincent Ferrier sur la fontaine de la Plaça de Sant Vicent Ferrer, à Valence, anciennement quartier juif de la ville

    Par Jerónimo Roure Pérez, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=58624494

     

    Dans La Foi triomphante paru en 1691, le jésuite de Gérone, Francisco Garau prétend que Vincent Ferrier disait que les Juifs étaient « des animaux avec des queues et menstrués comme les femmes ».

    Sa devise était : « Le baptême ou la mort ».

    Il disait également des Juifs : « La première bête [de l’Écriture : Daniel 7:2-7] signifie le schisme des Juifs sous le règne de Jean. Les Juifs ont la cruauté du lion, mais à présent on leur a arraché leurs énormes ailes, ils ont été retirés de la terre des fidèles du Christ et rejetés dans un coin du monde où ils persévèrent dans les pensées et les effets de leur cœur dépravé ».

    En bon communicant de masse, comme on dirait actuellement, il fait « porter la responsabilité de la mauvaise situation économique ou de la dégénération morale sur une classe aux soutiens instables ou sur celle qu’on veut priver de la position importante qu’elle occupe dans la société », à savoir celle des Juifs.

    Il s'adresse à une population précédemment décimée par la grande peste et « marquée par un sentiment mortel d’impuissance que Vincent Ferrier invitait à la pénitence ».

    Il est ainsi également l'un des instigateurs du pogrom de 1391 qui a fait 5 000 morts dans le quartier juif de Valence, où se trouve actuellement la Plaça San Vicente Ferrer et une statue à son effigie trônant sur la fontaine centrale. Des auteurs nient que Ferrier était à Valence en 1391 et insistent sur le fait qu'il n'approuvait pas la violence, bien qu'il pensât que « la perte était une bonne occasion d'intensifier la catéchèse »

    En effet, Ferrier écrit au début du XVe siècle : « Les apôtres qui ont conquis le monde ne portaient ni lances ni couteaux. Les chrétiens ne doivent pas tuer les Juifs avec le couteau, mais avec la parole et pour cela les émeutes qu'ils font contre les Juifs, ils les font contre Dieu même, car les Juifs doivent venir d'eux-mêmes au baptême » ou « Vous autres, avez-vous une consolation quand un Juif se convertit ? Il y a beaucoup de Chrétiens assez fous pour ne pas en avoir. Ils devraient les embrasser, les honorer et les aimer ; au contraire ils les méprisent parce qu’ils ont été Juifs. Mais ils ne doivent pas l’être, car Jésus-Christ a été Juif et la Vierge Marie a été juive avant d’être chrétienne. C’est un grand péché que de les avilir. Ce Dieu circoncis est notre Dieu et tu seras damné comme l’est celui qui meurt juif. Car on doit leur enseigner la doctrine pour qu’ils soient au service de Dieu » et aussi : « Il faut avoir pour [les Juifs] d'autant plus de sympathie que Jésus-Christ et la Sainte Vierge étaient de race juive. Cette douceur nouvelle ne semble pas avoir convaincu tous les Juifs d'alors convertis de force puis, accusés de crypto-judaïsme, qui se plaignent d'avoir eu à « céder à la violence et à la nécessité et pour éviter de plus mauvais traitements » encore, et que « Ferrier soit aussi grand persécuteur que calomniateur ».

    Le controversé pape Sixte IV eut tôt fait de punir sévèrement ces Juifs convertis par le charismatique Ferrier mais si peu profondément qu'ils ont préservé leur religion première, entre pénitences, humiliations publiques, cachots et bûchers dans toutes les villes d'Espagne.

    Ferrier prêche aussi la séparation complète des Juifs et des chrétiens et serait donc un des instigateurs de la création des « juderias » en Espagne.

    Selon le Frère Bertrand-Marie Guillaume, « son empathie et sa bienveillance à leur égard, ainsi que sa connaissance approfondie de l’hébreu et de la Torah, lui permirent de gagner au Christ nombre d’entre eux, y compris des rabbins, tel Yeoshua ha-Lurqui qui prit le nom de Jérôme de Sainte Foi. Une fois converti, ce dernier voulut convertir un grand nombre de juifs. Dans ce but, il convoqua à Tortosa des conférences contradictoires entre rabbins et théologiens. Il semble que saint Vincent tint un grand rôle, même s’il ne participa pas à toutes les séances qui s’étalèrent sur deux années. Il contribua au mouvement massif de conversion qui toucha les juifs d’Aragon et d’autres régions d’Espagne ».

    Dans son étude des sermons de Vincent Ferrier, Ricardo Muñoz Solla de l'université de Salamanque « a attiré l’attention sur la valeur de ces sermons comme stratégie de persuasion. L’auteur établit que probablement « les légendes ont parlé plus que les sermons eux-mêmes, car il est difficile d’imaginer que grâce à un seul sermon puissent se produire autant de conversions au christianisme, et qu’au fond ce qui s’est développé autour du travail de prédication de Vincent Ferrier, a été un bon nombre de stratégies ne faisant pas partie du discours linguistique mais dépendant essentiellement du contexte ». Parmi les différentes clefs que Muñoz Solla considère importantes pour mieux comprendre la raison de l’efficacité de Vincent Ferrier, il faut mettre en exergue le style, l’usage des citations bibliques afin d’introduire des arguments négatifs contre les Juifs, la création fictive de dialogues entre l’auditoire juif et le prédicateur, et le recours à la peur ».

    En fait, de nombreux chercheurs considèrent que « l’exaltation homilétique du frère Vincent Ferrier au début du XVe siècle en Castille, en Aragon et en Catalogne, dans le but d’encourager la conversion des Juifs... incitait [théoriquement] à la violence et soutenait la mobilisation contre eux ».

    Pour l'historien Salomon Mitrani-Samarian, « tout en s'efforçant de modérer la sauvagerie des massacreurs, il faisait entrer dans le giron de l'Église les malheureux Juifs qui, pour échapper à la mort, se réfugiaient dans les églises » et il aurait selon ses apologistes converti 25 000 à 30 000 Juifs. Un rabbin de l'époque affirmait en s'en désolant, que Vincent Ferrier avait converti, au total, « plus de 200 000 Juifs ».

    Appropriation de la synagogue de Tolède

     

    Ancienne synagogue de Tolède convertie en église Santa María La Blanca

    Par Luis Daniel Carbia Cabeza from Almeria, Spain — Santa María La Blanca, CC BY 2.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=82992884

     

    Les sources divergent sur la nature des événements (invasion pendant un sermon obligatoire ou bien massacres pendant le culte synagogal), sur la date (1391 ou 1411) et la part majeure ou accessoire que prit Ferrier dans l'appropriation de la grande synagogue de Tolède puis sa transformation en l'église Santa Maria la Blanca.

    La version du père Fages en 1901 est que prêchant un jour dans l’église d'un faubourg de Tolède devant une immense foule, Vincent Ferrier interrogea : « Est-il possible que vous supportiez de tels monuments de perfidie (les synagogues) ? Allons à la synagogue. Qu’elle devienne le plus beau sanctuaire dédié à la Mère de Dieu, dans cette ville qui lui est consacrée ». Alors, il serait allé ardemment vers la grande synagogue de Tolède, son crucifix élevé, où le peuple le suit. Frappés de terreur, les Juifs assistent sans protester à la prise de possession de leur temple et par la suite, les convertis pour la plupart y reviennent, soi-disant pour « adorer celui que leurs pères avaient crucifié », écrit son biographe catholique.

    En France

     

    Statue de Saint Vincent Ferrier, Musée d'histoire et d'archéologie de Vannes

    Travail personnel, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=10390662

     

    La France n'est pas oubliée dans ses missions, il en parcourt tout le Sud avec succès. Il y a souvent foule pour venir l'écouter et il impressionne ses auditeurs. Par exemple, la localité de Puy-Saint-Vincent en Vallouise (Hautes-Alpes), qui s'appelait auparavant Puy-Saint-Romain, prend son nom après son passage dans les Alpes du Sud.

    En 1417, il séjourne en Bourgogne avant d'être appelé l'année suivante en Bretagne par Jean V, duc de Bretagne.

    Il passe par Nevers, Tours, Angers, Nantes, également l'Auvergne, et parvient à Vannes, au siège de la cour ducale.

    Puis, il parcourt la Bretagne en direction du nord jusqu'à rejoindre Caen afin de rencontrer le roi d'Angleterre Henri V pour l'inviter à mettre fin à la guerre de Cent Ans. Son succès ne dure que quelques semaines.

    À nouveau à Vannes, il sillonne encore un peu la région, avant de revenir à son port d'attache épuisé et malade. Il y meurt le 5 avril 1419.

    Canonisation

    Après les nombreux miracles constatés sur sa tombe, qui lui sont attribués, le duc de Bretagne Jean V (1399-1442) demande que le dominicain soit canonisé.

    L’enquête en vue de sa canonisation reconnaît comme authentiques 873 miracles. Calixte III proclame sa canonisation le 29 juin 1455 et son successeur Pie II signa la bulle de canonisation le 12 octobre 1458. Le pape désigne le prélat breton Alain de Coëtivy pour lever les reliques du tombeau ; la cérémonie a lieu à Vannes le 5 avril 1456.

    En 1955, pour le Ve centenaire de la canonisation de saint Vincent Ferrier, le pape Pie XII vante « ce héraut de la parole divine, ce prédicateur de la vertu, cet admirable médiateur de la paix ».

    Il est fêté le 5 avril selon le Martyrologe romain (date de son dies natalis, sa « naissance au ciel »), le 5 mai par l'ordre dominicain, et le 6 septembre, en mémoire de la translation de ses reliques.

    Surnoms

    Élevé aux nues pour son zèle et les miraculeux exploits qu'on lui accordait, il était surnommé « l'Étoile brillante de l'Espagne, la Lumière de Valence, le Prodige de l'univers, le Modèle des Dominicains » ou « la Gloire des Saints glorifiés » quand les Juifs d'alors l'appelaient « Mummar » ou « l'Apostat » pour ce qu'il leur avait fait.

     

    Vincent Ferrier, par Jean Le Clerc dans Vita et miracula Vicentii Ferrerii, Paris, 1712

    Vincent Ferrier, par Jean Le Clerc dans Vita et miracula Vicentii Ferrerii, Paris, 1712

    Par Moreau.henri — Travail personnel, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=61376988

    Coffre reliquaire de saint Vincent Ferrier, cathédrale de Vannes

    Coffre reliquaire de saint Vincent Ferrier, cathédrale de Vannes

    Par Moreau.henri — Travail personnel, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=61417132

     

    Protection

    Il est le patron des travailleurs de la construction en général, et plus particulièrement des :

    • Constructeurs
    • Fabricants de briques et de tuiles, des couvreurs
    • Plombiers
    • Poseurs de revêtements de sol.

    Dévotions particulières

    • Invoqué contre l'épilepsie et le mal de tête.
    • Les 22 et 23 août 1925 de grandes fêtes furent organisées à Ploudalmézeau lors du transfert d'une relique de saint Vincent Ferrier découverte peu de temps avant.

    Postérité

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    Plaque indiquant la place sant Vicent Ferrer à Valence

    Par Joanbanjo — Travail personnel, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=47601471

     

    Le culte de Vincent Ferrier et de ses reliques fut entretenu sans interruption à travers les siècles.

    Il fut largement diffusé en Bretagne, notamment à Vannes. « Grâce aux Espagnols, son culte s’est largement répandu en Italie, spécialement à Naples, qui était une possession de la couronne de Castille ; il s’étendit en Amérique latine par l’entremise des missionnaires dominicains partis d’Espagne ».

    À Valence, depuis 1950, sa maison natale est devenue une petite église et un lieu de formation et d'études de la vie dominicaine.

    Également à Valence, existe encore aujourd'hui un orphelinat que Vincent Ferrier fonda en 1410, alors le premier du pays.

    De nombreuses statues restent érigées encore en son honneur.

    En iconographie, il est généralement représenté avec son index levé vers le ciel et avec une paire d'ailes derrière lui. Ce dernier attribut est dû à sa dénomination comme legatus a latere Christi (sorte de représentant personnel du Christ) et au titre d'« ange de l'Apocalypse » grâce à ses sermons au cours desquels il avait l'habitude d'aborder le thème du Jugement dernier et même d'annoncer l'arrivée imminente de l'Antéchrist (comme il le fit lors de sa prédication dans la ville de Tolède en 1411).

    De nombreux lieux en Espagne portent son nom.

     
    Lieux
     
    Colonie Saint Vincent Ferrier de Godelia

    Colonie Saint Vincent Ferrier de Godelia

    Par Francesc Fort — Travail personnel, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=86572409

    Place Saint-Vincent-Ferrier, Valence 

    Place Saint-Vincent-Ferrier, Valence

    Par Joanbanjo — Travail personnel, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=47602050

    Intérieur de la basilique Saint-Vincent-Ferrier, Valence 

    Intérieur de la basilique Saint-Vincent-Ferrier, Valence

    Par Joanbanjo — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=30496673

    Place Saint-Vincent-Ferrier, Valence

    Place Saint-Vincent-Ferrier, Valence

    Par Joanbanjo — Travail personnel, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=47601681

    Ermitage Saint-Vincent-Ferrer, Llucena

    Ermitage Saint-Vincent-Ferrer, Llucena

    Par Juan Emilio Prades Bel — Travail personnel, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=48529266

    Plaque sur la place Saint-Vincent-Ferrer, Elx

    Plaque sur la place Saint-Vincent-Ferrer, Elx

    Par Joanbanjo — Travail personnel, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=58389031

    Faculté de théologie Saint-Vincent-Ferrer, Valence

    Faculté de théologie Saint-Vincent-Ferrer, Valence

    Par Jerónimo Roure Pérez, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=59394554

    Chapelle saint Vincent Ferrer à la cathédrale, Valence

    Chapelle saint Vincent Ferrer à la cathédrale, Valence

    Par Joanbanjo — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=30822107

    Chapelle saint Vincent Ferrer au couvent Saint-Dominique, Valence

    Chapelle saint Vincent Ferrer au couvent Saint-Dominique, Valence

    Par Joanbanjo — Travail personnel, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=36060125

    Presbytère de la chapelle saint Vincent Ferrer au couvent Saint-Dominique, Valence

    Presbytère de la chapelle saint Vincent Ferrer au couvent Saint-Dominique, Valence

    Par Joanbanjo — Travail personnel, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=36628914

    Cloïtre de la faculté de théologie saint Vincent Ferrer, Valence

    Cloïtre de la faculté de théologie saint Vincent Ferrer, Valence

    Par Joanbanjo — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=13317738

    Ermitage Saint-Vincent-Ferrer, El Salze (province d'Alicante)

    Ermitage Saint-Vincent-Ferrer, El Salze (province d'Alicante)

    Par Enrique Íñiguez Rodríguez (Qoan) — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=15633374

    Portail du pouet dans sa maison natale, Valence

    Portail du pouet dans sa maison natale, Valence

    Par Un valencià — Travail personnel, Domaine public, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=5234197

    Chapelle du tombeau de saint Vincent Ferrier, XVIe, cathédrale Saint-Pierre de Vannes

    Chapelle du tombeau de saint Vincent Ferrier, XVIe, cathédrale Saint-Pierre de Vannes

    Par Jainetty — Travail personnel, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=76340417

    Clef de voute avec ange dans la maison natale de saint Vincent Ferrer

     

    Clef de voute avec ange dans la maison natale de saint Vincent Ferrer

    Par Joanbanjo — Travail personnel, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=36505770

    Relique de saint Vincent Ferrer à la basilique, Valence

    Relique de saint Vincent Ferrer à la basilique, Valence

    Par Joanbanjo — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=30496186

    Deux versions de la prédication de saint Vincent Ferrer, A. Cano, av. 1667

    Deux versions de la prédication de saint Vincent Ferrer, A. Cano, av. 1667

    Par Alonso Cano — Travail personnel, Joanbanjo, 2014-04-02 16:57:01, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=32573719

     

    Effigies

    Retable en céramique représentant saint Vincent Ferrier, place Almoina, Valence Retable en céramique représentant saint Vincent Ferrier, place Almoina, Valence

    Par Enfo — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=28082548

    Statue à Valence

    Statue à Valence

    Par Joanbanjo — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=30916982

    Statue dans sa maison natale, Valence

    Statue dans sa maison natale, Valence

    Par Joanbanjo — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=28813929

    Statue en l'église des Dominicains, Valence

    Statue en l'église des Dominicains, Valence

    Par Joanbanjo — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=31398309

    Statue processionnelle par Francesco Eva, 1606, Cathédrale de Valence

    Statue processionnelle par Francesco Eva, 1606, Cathédrale de Valence

    Par Joanbanjo — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=30822216

    Statue, XVIIe, musée de la Ciutat de Valence

    Statue, XVIIe, musée de la Ciutat de Valence

    Par Joanbanjo — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=32538551

    Autel des Fonts baptismaux de San Vicente Ferrer, Plaza de la Virgen à Valence 

    Autel des Fonts baptismaux de San Vicente Ferrer, Plaza de la Virgen à Valence

    Par 19Tarrestnom65 — Travail personnel, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=58291490

    Statue en la basilique Nôtre-Dame des Abandonnés, Valence

    Statue en la basilique Nôtre-Dame des Abandonnés, Valence

    Par Joanbanjo — Travail personnel, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=32807465

    Vitrail saint Vincent Ferrier, église Saint-Pierre, Plounéour-Trez

    Vitrail saint Vincent Ferrier, église Saint-Pierre, Plounéour-Trez

    Par Photographie — Cathédrale de Vannes, CC BY-SA 3.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=5387090

    Buste à la chapelle Saint-Vincent-Ferrier, cathédrale de Vannes

    Buste à la chapelle Saint-Vincent-Ferrier, cathédrale de Vannes

    Par Jordiferrer — Travail personnel, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=35001737

    Retable de San Vicente Ferrer, couvent de San Onofre, Museros

    Retable de San Vicente Ferrer, couvent de San Onofre, Museros

    Par Miguel del Prado — Travail personnel, Quinok, Domaine public, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=42690916

    Statue de San Vicente Ferrer avec vitrail circulaire sur l'arrière-plan, église de Luganes (Iloilo), Philippines

    Statue de San Vicente Ferrer avec vitrail circulaire sur l'arrière-plan, église de Luganes (Iloilo), Philippines

    Par Franz Miko G. Verzon — Travail personnel, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=36356552

    Reliques

    Des ossements de saint Vincent Ferrier conservés dans un reliquaire (dans une timbale en argent placée dans un coffret) exposé sous une châsse placée sur l'autel) ont été volés en septembre 2020 dans l'église paroissiale Notre-Dame-des-Sept-Douleurs de Garlan.

    Œuvres

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    Lettre des députés de la Diputació del General à Vincent Ferrier, l'informant des événements et de la situation de la ville de Valence, et lui demandant d'y venir au lieu d'aller à Majorque, 13 juin 1409

    Par Joanbanjo — Travail personnel, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=77905992

     

    • Traité de la vie spirituelle
    • Sermons, traduits du valencian par Patrick Gifreu et préfacés par Josianne Cabanas, Éditions de la Merci, 2010 (ISBN 9782953191752). Manuscrit des "Sermones quadragesimales" conservé sous la cote MS 45 à la bibliothèque du patrimoine de Clermont Auvergne Métropole. Consultable en ligne [archive] sur Overnia.
    • Questions solennelles sur l’unité de l’universel
    • Le traité des suppositions dialectiques
    • Traité pour dés aveugler les juifs

    Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Vincent_Ferrier

     

    En savoir plus :

    http://www.chemere.org/accueil.html?http://www.chemere.org/st_vincent_ferrier.html

    http://www.infobretagne.com/saint-vincent-ferrier.htm

    http://livres-mystiques.com/partieTEXTES/Vincent_Ferrier/table.htm

     

    Arradon, l'église Saint Pierre

    Saint Vincent Ferrier (Église Saint Pierre à Arradon)

     

    Vannes, la cathédrale Saint Pierre

    Autel-tombeau de marbre rouge et noir datant de 1648, contenant une partie des reliques

    Sur l'autel, un buste reliquaire contenant le chef de Saint Vincent Ferrier dans la cathédrale Saint Pierre à Vannes

    Vannes, la cathédrale Saint Pierre

    Cathédrale Saint Pierre à Vannes

    Carnac, la chapelle saint Colomban

    Saint Vincent Ferrier (Chapelle saint Colomban à Carnac)

    Josselin, la basilique Notre-Dame du Roncier

    Saint Vincent Ferrier

    (Basilique Notre-Dame du Roncier à Josselin)

     

     

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