• Mardi de la 8ème semaine du temps ordinaire Année A

     
     

     Mardi de la 9ème semaine du temps ordinaire 

    Année A

     

     

    Première Lecture : 2Pierre 3 12–15, 17–18

    12 tandis que vous attendez et faites tout pour que vienne le jour du Seigneur, lorsque les cieux se déferont dans les flammes et les éléments fondront dans la chaleur. 

    13 Mais nous attendons, car Dieu l’a promis, des cieux nouveaux et une terre nouvelle où régnera la droiture.

    14 Donc, frères bien-aimés, si c’est là ce que vous attendez, faites le nécessaire pour être sans souillure ni défaut et que Dieu vous rencontre dans la paix. 

    15 Croyez bien que si Dieu prend son temps, c’est pour vous sauver. D’ailleurs Paul, notre frère bien-aimé, vous a écrit à ce sujet avec la sagesse que Dieu lui a donnée.

    17 Mais vous, frères bien-aimés, vous voilà avertis. Soyez sur vos gardes de peur que les égarés ne vous entraînent à votre tour et vous fassent tomber alors que vous étiez fermes. 

    18 Progressez dans l’amour et dans la connaissance de notre Seigneur et Sauveur Jésus Christ, à qui soit la gloire maintenant et jusqu’au jour qui n’aura pas de fin.


    Psaume : Psaume 90 2–4, 10, 14, 16

    2    Bien avant la naissance des monts,
        avant la mise au monde du globe de la terre,
        tu étais déjà Dieu, tu l’es à jamais,
    3    toi qui renvoies les mortels à la poussière,
        et qui leur dis : “Repartez, fils d’Adam !”
    4    Mille années ont passé : pour toi c’était hier !
        mille années : le temps d’une veille !

    10    Combien d’années ? Soixante-dix ans peut-être,
        quatre-vingts, si l’on est vigoureux.
        La plupart ne sont que peine et déception,
        elles passent vite et nous voilà envolés.

    14    Comble-nous de tes faveurs dès le matin,
        que le rire et la joie soient toujours avec nous.

    16    Agis enfin et que tes serviteurs le voient,
        que leurs enfants découvrent ta majesté.

     


    Évangile : Marc 12 13–17

    13 Alors on lui envoie quelques Pharisiens, avec des Hérodiens, pour le prendre au piège dans ses paroles. 

    14 Ils arrivent et lui disent : “Maître, nous savons que tu es droit, tu ne te laisses influencer par personne et tu ne cherches pas à te faire bien voir des gens ; mais tu enseignes les chemins de Dieu selon la vérité. Est-il permis de payer l’impôt à César ou non, devons-nous donner ou non ?”

    15 Jésus a vu leur hypocrisie ; il leur dit : “Pourquoi essayez-vous de m’avoir ? Apportez-moi un denier pour que je le voie.” 

    16 Ils en apportent un et Jésus leur dit : “Cette tête, et ce nom qu’on a gravé, de qui sont-ils ?” Ils lui répondent : “De César.” 

    17 Alors Jésus leur dit : “Rendez à César ce qui est de César, et à Dieu ce qui est de Dieu.”
    Ils en restèrent fort étonnés.