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    La cathédrale Notre-Dame de Chartres

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    Intérieur

    Les vitraux

    Les trois lancettes de la façade occidentale
     
    Article détaillé : Vitraux de Chartres.

    Les vitraux de la cathédrale sont considérés comme l'un des ensembles les plus complets et les mieux préservés de l'époque médiévale.

    Ils couvrent une surface totale de 2 600 m² et présentent une collection unique de 172 baies illustrant la Bible et la vie des saints ainsi que celle des corporations de l'époque.

    La plupart des vitraux furent réalisés pour l'église actuelle reconstruite après l'incendie de 1194.

    Leur origine peut être datée des années 1205 à 1240.

    Cependant quelques-uns sont des témoins de la cathédrale antérieure, comme les trois lancettes de la façade occidentale qui furent exécutées entre 1145 et 1155 de même que la partie centrale du vitrail appelée Notre-Dame-de-la-Belle-Verrière, célèbre pour son bleu dit de Chartres, daté de 1180.

    Les plus anciens vitraux de Chartres sont contemporains de ceux que l'abbé Suger fit réaliser, entre 1144 et 1151, pour l'abbatiale de Saint-Denis.

    La destruction de la cathédrale de Reims et de ses vitraux en 1914 entraîna une forte vague d'émotion à travers le pays.

    Les vitraux furent entièrement déposés et entreposés en lieu sûr durant les deux guerres mondiales.

    Les vitraux de Chartres sont célèbres pour leur bleu qui a fait la renommée de la ville et de sa cathédrale, le « bleu de Chartres ».

    Ce « bleu roman » très lumineux, mis au point dans les années 1140 sur le chantier de la basilique Saint-Denis, fut utilisé par la suite dans la cathédrale de Chartres et celle du Mans.

    Ayant un fondant sodique coloré au cobalt, il s'est révélé plus résistant que les rouges ou les verts de la même époque.

     

    Les drapiers, donateurs

     

    Vie de saint Eustache

     

     

    Notre-Dame de la Belle Verrière

     

     Rosace Nord

     

     

    Vie de Charlemagne

     

    Les charpentiers, donateurs

     

    Le labyrinthe

    Chartres 1750, J.B. Rigaud
     

    Le labyrinthe de Chartres, œuvre du XIIe siècle, est une figure géométrique circulaire inscrite dans toute la largeur du pavage de la nef principale, entre les troisième et quatrième travées.

    Elle représente un tracé continu déployé de 261,55 m, partant de l'extérieur et aboutissant au centre, en une succession de tournants et d'arcs de cercle concentriques.

    Une de ses particularités est que, partant du centre ou de l'extérieur, le chemin parcouru présente exactement le même enchaînement de tournants et d'arcs de cercle.

    Son parcours serait composé de 276 pierres blanches dont les trois premières de dimensions différentes.

    Publiant la revue Caerdroia consacrée aux labyrinthes, Jeff Saward signale sur le site labyrinthos une opinion de plus en plus répandue: le nombre exact de pierres formant le tracé du labyrinthe de Chartres, 270 ou 272 pierres, correspondrait symboliquement au nombre de jours de la grossesse et donnerait au labyrinthe le sens d'une nouvelle gestation.

    Cet auteur met pourtant en doute la possibilité de fournir un décompte exact du nombre de pierres formant le tracé du labyrinthe, en raison des brisures apparaissant sur les pierres depuis leur pose et de possibles réparations.

    De telles affirmations découlent probablement d'un manuscrit non publié de Robert Ferré, A Day at Chartres (1995), qui crédite le chanoine Legaux et avant lui Jean Villette d'avoir fait un compte précis de 272 pierres.

    Jean Villette avait lui-même eu l'attention attirée par une note en bas de page figurant dans un article de Gilles Fresson.

    Paradoxalement, ce dernier n'avait compté que pour couper court à toute tentative d'interprétation exagérée, tandis qu'un ouvrage grand public donnait alors le nombre de 365 pierres.

    Cet exemple précis montre, parmi tant d'autres, combien le labyrinthe de Chartres, fascinant les contemporains, donne lieu à de nombreuses récupérations, issues de mouvements marqués par leur grande diversité (géobiologie), psychologie comportementale, nouvel âge, templiers, spiritualités orientales) et auxquelles il ne faut pas prêter de valeur scientifique ni historique.

    Ce labyrinthe s'inspire probablement du mythique Labyrinthe de Crète construit par Dédale, comme semble l'indiquer la plaque de cuivre située en son centre, ôtée en 1792, et qui aurait représenté le combat de Thésée et du Minotaure.

    Néanmoins, André Peyronie fait part de son scepticisme sur l'existence d'une représentation Minotauromachique à Chartres, qui serait un cas unique en France, comme le propose pourtant Marcel-Joseph Bulteau à la fin du XIXe siècle.

    Si l'on se fie à l'univers culturel des chanoines du XIIIe siècle, seuls maîtres d'ouvrage de l'édifice, le labyrinthe serait un chemin symbolique où l'homme va à la rencontre de Dieu.

    On peut le comprendre soit comme un pèlerinage « sur place », dont la finalité est d'inviter à la pénitence et à la méditation, vécue aussi bien avec le corps qu'avec l'esprit.

    On peut aussi y lire symboliquement le parcours qu'est l'existence humaine, long et compliqué, ou s'exprimerait la confiance d'être conduit finalement en présence de Dieu.

     

    Tous les vendredis les chaises sont mises de côté

     

    Depuis plusieurs années, les responsables de la cathédrale mettent en valeur un rituel qui avait lieu autour de la fête de Pâques, largement documenté par des textes du XIIe siècle et du XIVe siècle et dans lequel le doyen du chapitre (le Christ) parcourait le labyrinthe (les enfers), allait jusqu'à son centre, rappelant l'extermination du minotaure (la mort vaincue), tenant une balle jaune (pelote du fil d'Ariane: fil de vie) qu'il lançait aux participants. Le parcours du labyrinthe serait ainsi - initialement - une évocation de la résurrection, celle du Christ appelant celle des hommes.

    Le centre de ce grand motif symboliserait ainsi la Jérusalem céleste, soit l'au-delà.

    Quand on réalise une projection de la rose de la façade sur le pavement, cette rose consacrée à la résurrection des morts correspond exactement au labyrinthe, le christ de la fin des temps se superposant alors au centre du labyrinthe.

    La démarche du labyrinthe ne consiste pas seulement à aller jusqu'au centre, mais à en ressortir.

    Le pèlerin est invité à emprunter la ligne tracée face à lui pour monter vers le chœur de la cathédrale - en particulier l'autel.

    Le labyrinthe de Chartres a été appelé « La Lieu » — bien que la lieue française soit bien plus longue que la longueur développée du labyrinthe — et plus tard « chemin de Jérusalem ».

    La ville de Toronto au Canada s'est inspirée du labyrinthe de la cathédrale pour construire son propre labyrinthe dans le parc de Trinity Square à proximité de l'hôtel de ville.

    Tous les vendredis, de 10 h à 17 h, les chaises sont mises de côté pour que les visiteurs qui le souhaitent puissent aussi effectuer ce parcours.

    La clôture du chœur

    Clôture du chœur
    Le massacre des Innocents
     

    La clôture de chœur est un mur entourant le chœur, destiné à mieux isoler ce dernier du déambulatoire.

    Entièrement sculpté, il est formé d’un ensemble de 40 groupes totalisant 200 statues.

    Il est partiellement l'œuvre de Jehan de Beauce qui commença les travaux au début du XVIe siècle.

    Le programme iconographique est de style Renaissance et évoque les épisodes de la vie de Jésus et de la Vierge Marie.

    Sa réalisation dura près d'un siècle mais le style reste cohérent d’un bout à l’autre de la clôture.

     

    Vue d’ensemble

     

     

     

     

    Le voile de la Vierge

     

    Voile de la Vierge

     

     Chapelle de Notre-Dame du Pilier

     

    Il s'agit d'une relique importante qui fut offerte en 876 à la cathédrale par Charles le Chauve, empereur d'Occident. Selon la tradition, il pourrait s’agir de la chemise que portait Marie lors de l'Annonciation.

    Cette relique, une des plus précieuses d’Occident, fit de l'église un sanctuaire marial qui accueillit de nombreux pèlerins.

    Lors de l'incendie de l'ancienne église en 1194, la relique sembla perdue, mais elle avait été providentiellement mise à l'abri dans le martyrium par des clercs.

    Après deux ou trois jours de déblayage, les sauveteurs et la relique furent retrouvés.

    À l’époque, l’interprétation de cet épisode comme d’un désir de la vierge Marie à abriter le voile dans une église plus spacieuse, conduisit à une multiplication des dons sur son autel.

    Cela explique sans doute l'enthousiasme et la rapidité avec laquelle la nouvelle cathédrale fut bâtie, sans qu'il soit exclu que l'incendie de 1194 soit arrivé de façon opportune afin d'accélérer les travaux de l'église de Fulbert alors même que les chanoines étaient réticents face à ce projet coûteux dont l'agrandissement imposait la destruction des quartiers canoniaux et de leurs habitations.

    Suite à l'ouverture au début du XVIIIe siècle de la châsse alors en mauvais état, il fut constaté qu’il s’agissait d’un long habit de tête, et non d’une chemise ainsi qu’elle figurait sur le sceau du chapitre de la cathédrale.

    Par la suite, la relique fut contenue dans une châsse de grande valeur, dont les joyaux furent vendus à la Révolution.

    De même en 1793, le voile fut découpé en plusieurs morceaux, qui furent vendus.

    Une expertise du tissu restant, réalisée en 1927 par le musée des soieries de Lyon, propose une datation ancienne, des premiers siècles.

    Il est en soie de grande valeur, ce qui est étonnant au vu du statut social de Marie.

    Le voile, placé dans un reliquaire monstrance réalisé par l’orfèvre Poussielgue-Rusand en 1876, est toujours exposé dans le déambulatoire, du côté Nord, dans une des chapelles absidales.

    Notre-Dame de Chartres reste un lieu de pèlerinage important à l'heure actuelle, principalement grâce au traditionnel pèlerinage de Notre-Dame de Chrétienté qui a lieu chaque année durant le week-end de Pentecôte et qui n'attire pas moins de 8 000 pèlerins venant du monde entier, mais aussi grâce à l'engouement pour la route de Saint-Jacques-de-Compostelle, dont Chartres est une étape pour les pèlerins qui viennent du Nord par la route de Paris.

    Notre-Dame du Pilier

    Notre-Dame du Pilier est une vierge en bois de poirier sculptée vers 1540.

    Elle était autrefois adossée au jubé qui a lui-même été détruit en 1763 par les chanoines.

    Grand orgue

    Les grandes orgues actuelles
     
    Article connexe : Orgue.

    En 1353, la cathédrale possédait déjà des orgues, Jehan de Châteaudun en est le premier orgasniste connu.

    Au XVe siècle un instrument plus puissant est édifié.

    Il est desassemblé au XVIe siècle et Robert Filleul, organiste, en construit un nouveau plus conséquent alors que des menuisiers chartrains assurent la réalisation du buffet.

    L’orgue est installé sur la façade occidentale. Aux XVIIe et XVIIIe siècles la partie sonore évolue.

    Cependant le manque de moyens financiers et l’incendie de 1836 coupant cours à un projet de restauration, conduiront à un état déplorable de l’instrument à la fin du XIXe siècle.

    En 1964, Pierre Firmin-Didot fonde une association afin d’assurer la rénovation des orgues.

    Le grand orgue actuel a été construit en 1971 par les Établissements Danion-Gonzalez.

    Le buffet placé en nid d’hirondelle, sur un côté de la nef, bien que maintes fois modifié, a gardé son aspect du XVIe siècle.

    L'horloge astronomique

    Le cadran intérieur dans le chœur de la cathédrale
     
    Article détaillé : Horloge astronomique de Chartres.

    La cathédrale comporte les restes d'une ancienne horloge astronomique.

    Le cadran a fait l'objet d'une restauration vers 2008-2009.

    Cette restauration a nécessité la reconstitution de plusieurs roues et pignons manquants.

    Les cryptes

    La cathédrale actuelle résulte de constructions de différentes époques.

    Les cathédrales ont souvent été superposées, servant chacune de fondations à celle qui lui succédait.

    Les parties qui n'ont pas été remblayées forment deux cryptes concentriques.

    La crypte intérieure

    Caveau Saint-Lubin
     

    Les premiers chrétiens auraient édifié du IVe au XIe siècles des sanctuaires successivement dévastés par les flammes et/ou persécutions religieuses.

    Un vestige de muraille, généralement attribué à l'époque gallo-romaine, fait référence à l'époque de la première église.

    Il ne subsiste rien de celle du VIe siècle.

    Dans un couloir de fouille, on a tout au plus quelques marches de celle du VIIIe siècle.

    Par contre la crypte de l'église carolingienne édifiée par Gislebertus au IXe siècle correspond vraisemblablement à une salle conservée.

    Elle porte le nom de caveau Saint-Lubin et se situe sous le chœur de la cathédrale actuelle, juste sous le maître-autel.

    La crypte extérieure

    Chapelle de Notre-Dame Sous-Terre
     

    La crypte de Fulbert, ou église basse, enveloppe ce caveau et va d'un clocher jusqu'à l'autre, en faisant le tour de l'édifice.

    Datant du XIe siècle, avec ses 230 mètres de long sur 5 à 6 mètres de large, elle est la plus grande crypte de France.

    En partant de l'extrémité de la galerie Nord, on arrive à la chapelle de Notre-Dame Sous-Terre, peut-être l'un des plus anciens sanctuaires consacrés à Marie en occident.

    Réouverte au culte en 1857, une messe y est célébrée chaque jour à 11h45.

    On peut y observer une reproduction datant de 1975 d'une statue en chêne sombre d’époque romane, le modèle original ayant été brûlé par les révolutionnaires en 17935.

    La galerie devient semi-circulaire sous le chevet et s'ouvre sur trois chapelles romanes profondes, encadrées par quatre plus petites chapelles gothiques du XIIIe siècle.

    C'est là que se trouve le puits dit des Saints-Forts.

    Dans la galerie Sud, on peut admirer une fresque du XIIe siècle avec plusieurs grands saints populaires (Clément, Gilles, Martin, Nicolas…).

    À l'extrémité de cette même galerie, un baptistère en pierre est installé, datant de l'époque romane.

     

    Chapelle sous le chevet

     

    Chapelle sous le chevet

     

    Fresque du XIIe siècle

     

    Fresque du XIIe siècle

     

    Vie spirituelle de la cathédrale

    Les principaux pèlerinages

    Statue représentant l'Assomption
    au fond du chœur
     

    La cathédrale Notre-Dame de Chartres est, depuis son édification, un haut lieu de pèlerinage pour les catholiques français (et avant tout un pèlerinage marial - ce qui explique notamment l'ampleur du déambulatoire, permettant la circulation des fidèles autour du chœur).

    Au cours du XXe siècle, les pèlerinages à Chartres ont connu un nouvel élan, à la suite de l'écrivain Charles Péguy qui se rendit à pied de Paris à Chartres en 1912, accomplissant un vœu fait au chevet de son fils malade.

    Après la mort de Péguy en 1914, certains de ses amis refirent la route en méditant ses poèmes, initiant un vaste mouvement de pèlerinages à Chartres, parmi lesquels :

    • le pèlerinage étudiant, organisé par les aumôneries de l'enseignement supérieur en Île-de-France, aux Rameaux depuis 75 ans.
    • le pèlerinage de Chrétienté à la Pentecôte, qui dure trois jours, durant lesquels la messe est célébrée dans la forme extraordinaire du rite romain et qui réunit 10 000 personnes chaque année depuis 30 ans, faisant de celui-ci le plus grand pèlerinage à pied d’Europe.
    • le pèlerinage des Guides et Scouts d'Europe du département des Yvelines, le premier dimanche d'octobre (4 000 scouts et guides).
    • le pèlerinage du monde du travail, depuis 60 ans au mois d'avril.
    • le « Pèlerinage Chartres-Paris », organisé par l'association Pèlerinages de Tradition (Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X). Le passé de ce pèlerinage se confond avec celui de « Notre-Dame de Chrétienté » puisque les deux n'en formaient originellement qu'un seul avant la scission de 1989 découlant du motu proprio Ecclesia Dei du pape Jean-Paul II. Si ce pèlerinage a pour départ Chartres, la séparation de la fraternité Saint Pie X en 1988 d'avec l'Église catholique et romaine ne permet pas aux Évêques de Chartres comme de Paris de recevoir les participants de ce pèlerinage dans leurs cathédrales. Il est réalisé, comme son nom l'indique en sens inverse, lors du week-end et du lundi de Pentecôte.

    Chartres est également une étape importante pour les pèlerins qui viennent du Nord de l'Europe et qui font route vers Saint-Jacques-de-Compostelle, en empruntant la route de Paris à Tours (Via Turonensis).

    Liturgie

    La cathédrale accueille toujours une vie liturgique intense. L'eucharistie est célébrée chaque jour dans l'édifice, à 11h45 (crypte) et 18h15.

    Le dimanche, elle est célébrée à 9h15 en latin (messe grégorienne) selon le rite de Paul VI, à 11h (messe solennelle qui regroupe ordinairement plus de mille personnes), 18h (hiver) ou 18h30 (été).

    Chaque soir, depuis le 11 septembre 2001, la Communauté du Chemin Neuf chante les vêpres, à la demande de Mgr Bernard-Nicolas Aubertin, puis de Mgr Michel Pansard, qui lui a succédé. Le Chemin Neuf continue ainsi l'œuvre que les chanoines avaient initiée46.

    La cathédrale était le lieu central du Festival de Pâques au cours de ses huit éditions, de 2003 à 2010.

    La cathédrale de Chartres et les arts

    Représentations picturales

    Jean-Baptiste Corot
    Cathédrale de Chartres
    1830 (64 × 51 cm)
    Paris, musée du Louvre
     

    Plusieurs peintres ont représenté la cathédrale dans leurs œuvres.

    L'un des tableaux les plus connus est celui de Jean-Baptiste Corot, peint en 1830 (Paris, musée du Louvre). Chaïm Soutine a repris le même thème en 1933 (Musée d'art moderne, Troyes) de même que Maurice Utrillo entre 1912 et 1914 (collection privée).

    La cathédrale de Chartres dans la littérature

    • Joris-Karl Huysmans, La cathédrale, Paris, P.-V. Stock,‎ 1898, in-18, 488 p. (notice BnF no FRBNF30631450x)  La cathédrale disponible sur Gallica
      Publié en 1898 La Cathédrale est un roman où l’auteur s'initie à la symbolique médiévale et catholique à Chartres. Ce livre connut un certain écho à l'époque et fit dire à François Mauriac que Huysmans « avait réintroduit Chartres dans la vie spirituelle française ».
    • Charles Péguy, La Tapisserie de Notre Dame, Paris, Cahiers de la Quinzaine, coll. « Cahiers de la Quinzaine » (no 10),‎ 1913, 103 p. (notice BnF no FRBNF35571577k) 
      Charles Péguy dans son recueil « la Tapisserie de Notre-Dame » écrit le long poème Présentation de la Beauce à Notre-Dame de Chartres.
    • Kathleen McGowan (trad. Arlette Stroumza), Le livre de l'amour : Traduction de : The book of love, Paris, XO éd.,‎ 2009, couv. ill. en coul. ; 24 cm, 493 p. (ISBN 978-2-84563-307-0, notice BnF no FRBNF41490518m) 
      De New York à Chartres, Kathleen McGowan nous entraîne dans un voyage initiatique pour nous révéler la plus incroyable des vérités.
    • (en) Salley Vickers, The Cleaner of Chartres, New York, Viking,‎ 2013, 298 p. (ISBN 978-0-6709-2212-3) 
      Travaillant comme femme de ménage dans la cathédrale de Chartres depuis plus de vingt ans, Agnes Morel transforme profondément la vie locale en utilisant son influence subtile jusqu'à ce qu'une rencontre fortuite révèle les tragiques incidents qui lui sont arrivés durant sa jeunesse.

    La cathédrale de Chartres dans la bande-dessinée

    • Jean-Pierre Pécau et Igor Kordey, L'histoire secrète : La Ville aux milles piliers, Paris, Delcourt, coll. « Néopolis »,‎ novembre 2012, 32 cm (ISSN 1248-5152, notice BnF no FRBNF40080554f) 
      Une partie de l'histoire se passe à Chartres, où Erlin parcourt le labyrinthe, porte d'entrée de la Route d'Or. Il disparaît en arrivant au centre, passant dans un autre monde. On y voit aussi une "explication" d'un des incendies.

    Source

     

     


     

     

    Chartres

    - Notre-Dame de Chartres

    - Notre-Dame de Chartres page2

    - Notre-Dame de Chartres page3

    - Notre-Dame de Chartres page4

    - Cathédrale Notre-Dame de Chartres

    - Cathédrale Notre-Dame de Chartres page2

    - Neuvaine à ND de Chartres

    - Litanies de ND de Chartres