• Bienheureuse Eugénie Ravasco, fondatrice de l’Institut des Filles des Sacrés-Cœurs de Jésus et Marie († 1900)

     
     

    Bienheureuse Eugénie Ravasco († 1900)

    fondatrice de l’Institut des Filles des Sacrés-Cœurs de Jésus et Marie 

     

    Bienheureuse Eugénie Ravasco, fondatrice de l’Institut des Filles des Sacrés-Cœurs de Jésus et Marie († 1900)

     

    Eugénie Ravasco (Milan 4 janvier 1845 - Gênes 30 décembre 1900) est une religieuse italienne, fondatrice des filles des Sacrés-Cœurs de Jésus et de Marie vouée à l’éducation de la jeunesse et à la promotion des jeunes ouvrières.

     

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    Elle est béatifiée à Rome, le 27 avril 2003, par Jean-Paul II.

    Son œuvre rassemble aujourd’hui près de 500 religieuses, surtout en Amérique latine et en Italie ; mais aussi en Suisse, en Albanie, aux Philippines et en Afrique.

    Elle est célébrée liturgiquement par l'Église catholique le 30 décembre.

    Source :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Eug%C3%A9nie_Ravasco

     

    Eugenia (Eugénie) Ravasco naît à Milan en 1845 dans un milieu aisé de banquiers.

    Elle perd très tôt sa mère, puis son père, mais elle est prise en charge par de proches parents qui l'élèvent avec affection.

    Sa première communion, en 1855, est l’origine pour elle d'un grand attrait pour le mystère eucharistique (Présence réelle) et d'un grand amour pour le Sacré-Cœur et le Cœur Immaculé de Marie.

    Tout part du cœur : son amour pour les pauvres et pour la jeunesse, spécialement les fillettes laissées à elles-mêmes et en danger.

    En dépit de l'opposition de ses proches, elle se consacre à Dieu en 1863 et, le 6 décembre 1868, elle fonde les ‘Filles des Sacrés-Cœurs de Jésus et Marie’.

    Son désir est de « faire du bien par amour du Cœur de Jésus. »

    Elle collabore avec le clergé pour des retraites et missions paroissiales. En 1878, à une époque anti-cléricale, elle n'hésite pas à ouvrir une ‘École normale’ féminine pour former des ‘maîtresses chrétiennes’.

    Dans l'éducation des enfants, elle insiste sur la ‘pédagogie de l'amour’ et fait une grande place à la joie.

    Pour elle, l'enseignement est une ‘mission évangélique’.

    Missionnaire dans l'âme, elle désire atteindre aussi ceux qui sont au loin, ce qui se réalisera pleinement après sa mort, car elle-même, à la fin de sa vie, connaît l'isolement et la maladie.

    Elle meurt à 55 ans dans la maison-mère de Gênes (1900).

    Source

     

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